Résultats et discussion
II. Résultats des hémocultures 1 Interprétation des résultats
4. Répartition des hémocultures positives
Parmi les souches isolées en milieu hospitalier, le service de occupe la première place avec
par (8.33%) en médecine interne, les
extérieure. La figure suivante montre les différents taux
Figure 13 : Répartition des
Les résultats montrent que la majeure partie des hémocultures positives émane du service des maladies infectieuses
est due au fait que les malades présentant un syndrome infectieux sérieux sont orientés automatiquement vers ce service. Alors que le service qui a le plus faible pourcentage de positivité des hémocultures est celui de la médecine interne
2%). Ces résultats concordent avec ceux d’une étude rétrospective menée à DAKAR de ZERBO et coll. (1996), qui a porté sur la description du profil épidémiologique des isolats d’hémocultures du CHU de Fann, qui a eu un taux de 95,25% pour le service des maladies infectieuses Fann, 1,50% à l'Hôpital d'Enfants Albert Royer et 0,5 % en pneumologie
Par contre une autre étude d’ANKOANDE H. à Burkina Faso
les services qui ont le plus fort pourcentage de positivité des hémocultures sont ceux de la médecine interne avec 60,3%, de la pédiatrie avec 23%
Aussi, celle d’ANAGONOU et coll.
27,8 % dans le service de Médecine et 43,2 % dans le service de pédiatrie
Tous ces résultats sont disparates d'une étude à l'autre. Ces différences peuvent expliquées par la différence de recrutement dans les structures (il y a pas de
12.5% 8.33%
2.08%
14.58%
des hémocultures positives par service
Parmi les souches isolées en milieu hospitalier, le service de maladie infectieuse occupe la première place avec un pourcentage de (74.99%) des hémocultures positives
en médecine interne, les 15% restantes correspondent La figure suivante montre les différents taux enregistrés.
Répartition des hémocultures positives par service
Les résultats montrent que la majeure partie des hémocultures positives émane du service des maladies infectieuses (MIF : 29.16%, MIH : 33.33% et MIP : 12.5%)
est due au fait que les malades présentant un syndrome infectieux sérieux sont orientés automatiquement vers ce service. Alors que le service qui a le plus faible pourcentage de
ltures est celui de la médecine interne (MI : 8%) et des urgences (PU . Ces résultats concordent avec ceux d’une étude rétrospective menée à DAKAR de
qui a porté sur la description du profil épidémiologique des isolats d’hémocultures du CHU de Fann, qui a eu un taux de 95,25% pour le service des maladies infectieuses Fann, 1,50% à l'Hôpital d'Enfants Albert Royer et 0,5 % en pneumologie
e une autre étude d’ANKOANDE H. à Burkina Faso en 2002
les services qui ont le plus fort pourcentage de positivité des hémocultures sont ceux de la médecine interne avec 60,3%, de la pédiatrie avec 23% et de la pneumologie avec 6,3 % Aussi, celle d’ANAGONOU et coll. (1993) à Cotonou ont cité des taux intermédiaires dont 27,8 % dans le service de Médecine et 43,2 % dans le service de pédiatrie [
Tous ces résultats sont disparates d'une étude à l'autre. Ces différences peuvent expliquées par la différence de recrutement dans les structures (il y a pas de
29.16%
33.33% 14.58%
Maladie infectieuse femme Maladie infectieuse Homme Maladie infectieuse Pidiatrique Médecine interne
Pavion d'urgence provenance externe
maladie infectieuse hémocultures positives, suivi à une provenance
par service.
Les résultats montrent que la majeure partie des hémocultures positives émane du : 12.5%); chose qui est due au fait que les malades présentant un syndrome infectieux sérieux sont orientés automatiquement vers ce service. Alors que le service qui a le plus faible pourcentage de : 8%) et des urgences (PU : . Ces résultats concordent avec ceux d’une étude rétrospective menée à DAKAR de KI-
qui a porté sur la description du profil épidémiologique des isolats d’hémocultures du CHU de Fann, qui a eu un taux de 95,25% pour le service des maladies infectieuses Fann, 1,50% à l'Hôpital d'Enfants Albert Royer et 0,5 % en pneumologie [72].
2002, a montré que les services qui ont le plus fort pourcentage de positivité des hémocultures sont ceux de la et de la pneumologie avec 6,3 % [73]. à Cotonou ont cité des taux intermédiaires dont
[74].
Tous ces résultats sont disparates d'une étude à l'autre. Ces différences peuvent être expliquées par la différence de recrutement dans les structures (il y a pas de médecine interne
Maladie infectieuse femme Maladie infectieuse Homme Maladie infectieuse Pidiatrique Médecine interne
Pavion d'urgence provenance externe
Partie pratique
UAMOB
au C.H.U de Fann mais plutôt un service de neurologie associé à infectieuses), les retards à l'acheminement des prélèvements mais l'utilisation abusive des antibiotiques en automédication
5. Répartition des hémocultures positives
Parmi les souches isolées d’hémocultures positives, ( (40%) de femmes. On remarque qu’il ya une
sexe féminin. La figure suivante montre les différents taux
Figure 14 : Répartition des
Dans la présente étude, les fréquences révèlent une prédominance masculine,
rejoint les données d’autres études qui affirment que les hommes sont plus susceptibles que les femmes de développer une septicémie
Des études attribuent cette différence aux facteurs sociaux et environnementaux, à la prédisposition génétique, et les différences dans la
[76]:
Les hommes sont plus exposés aux dangers extérieurs (nature de travail, accident de route…) qui favorisent les portes d’entrées cutanées (plaies, blessures profondes), à la toxicomanie par voie parentérale
Une étude en Europe, mettant au niveau du système immunitaire,
les différences entre les deux sexes dans les résultats du sepsis 40%
Partie pratique Résultats et discussion
.H.U de Fann mais plutôt un service de neurologie associé à celui des maladies infectieuses), les retards à l'acheminement des prélèvements mais aussi
l'utilisation abusive des antibiotiques en automédication [72]. des hémocultures positives par sexe
Parmi les souches isolées d’hémocultures positives, (60%) proviennent
. On remarque qu’il ya une prédominance de sexe masculin par rapport au suivante montre les différents taux obtenus.
Répartition des hémocultures positives par sexe
Dans la présente étude, les fréquences révèlent une prédominance masculine,
rejoint les données d’autres études qui affirment que les hommes sont plus susceptibles que les femmes de développer une septicémie [75].
Des études attribuent cette différence aux facteurs sociaux et environnementaux, à la , et les différences dans la réponse immunitaire de l'hôte à l’infection
Les hommes sont plus exposés aux dangers extérieurs (nature de travail, accident de route…) qui favorisent les portes d’entrées cutanées (plaies, blessures profondes), à la
xicomanie par voie parentérale etc. [77,78].
, mettant en évidence des inégalités entre hommes et femmes au niveau du système immunitaire, explique le rôle des œstrogènes et des androgènes dans les différences entre les deux sexes dans les résultats du sepsis [79].
60%
40% Homme
Femme
Résultats et discussion
49 celui des maladies aussi et surtout par
proviennent des hommes et prédominance de sexe masculin par rapport au
sexe.
Dans la présente étude, les fréquences révèlent une prédominance masculine, ce qui rejoint les données d’autres études qui affirment que les hommes sont plus susceptibles que
Des études attribuent cette différence aux facteurs sociaux et environnementaux, à la réponse immunitaire de l'hôte à l’infection
Les hommes sont plus exposés aux dangers extérieurs (nature de travail, accident de route…) qui favorisent les portes d’entrées cutanées (plaies, blessures profondes), à la
en évidence des inégalités entre hommes et femmes explique le rôle des œstrogènes et des androgènes dans
Homme Femme