pulmonairesdus à la congestion des bases, à
droite
surtout.On
utilisa doncle sulfate de quinine,les ventouses sèchesetles toniques
soustoutesles formes, en particulier les injections sous-cutanées de
sérum artificiel.
Les accidentspulmonairessecalmèrent,lesrâlessous crépitants
des
basesdisparurent et la température baissa
notablement
àla fin delà
premièresemaine. Le 6 août au matin, la malade fut brusquement
reprise d'accidents cardiaques d'asystolie (pouls 120 et
130
etplus)
qui malgré tousles effortsthérapeu iques, ventouses,
injections
sous-cutanéesd'éther,de caféine entraînèrentla morten quelques heures.
Les accidents du côté de l'abdomen avaient toujours été nuls, le
sixièmejouron avait retiré les sutures superficielles de la
paroi
etle
septième jourlessutures profondes.
L'autopsie faite par Fridet fut négative, aucune lésion
du
côtédes
organes génitaux et du petit bassin.
Le cœur, augmenté de volume, était gros, à peine de
congestion
pulmonaire, pas d'embolie.
En fait, la mort paraît exclusivementdue à des accidents d'asysto¬
lie résultant de l'anémie profonde à laquelle la malade était arrivée
avantson opération.
— 4S —
Observation XII(inédite).
Service deM. leprofesseur Démons
Marguerite P..., 44ans,journalière, toujours bien portante, règles
normalesetrégulières.
Il y a deux ans, elle s'aperçoit que ses règles augmentaient de
durée et d'abondance (ménorrhagies). Au lieu de trois jours, elles
duraient successivement cinq etsix jours ; avec cela ellesavançaient
un peu chaquemois (deux jours).
Ily a sept ou huit mois, la malade s'aperçoit qu'elle est très
■essoufflée. Cette dyspnée d'effort se manifeste tout d'abord quand
elle monte des escaliers, puis pour des travaux pénibles. Elle est absolument incapable de monter des escaliers, et la marche seule
la rend Irès dyspnéique. La conversationsuffit à l'essouffler.
Le soir, quand elle vient de travailler, ses jambes sont très enflées, le repos de la nuit fait disparaître l'œdème. Jamais de
douleurs dans les articulations, jamais de douleurs au niveau du
cœur, mais quand elle fait un effort, elle sent qu'elle a des
palpita-lions bien intenses et indolores.
Depuisces sept ou huit mois la malade a beaucoup maigri, perdu
de ses forces et de ses couleurs. Elle accuse, il y a un an, desaccès
violents de constipation (selles tousles huitjours)et une diminution
notable dans la quantité des urines, le tout ayant à l'heure actuelle
à peu près disparu.
Actuellement, à notre examen, la malade estpale, les muqueuses sont décolorées, les traitsamaigris; néanmoins, elle ditn'avoirpas énormémentperdu de son poids. Elle est faible, abattue, incapable
de marcher, ne fût-ce que pendant quelques secondes; en effet, elle
ades syncopes chaque fois qu'elle sort dulit pourfaire le plus court trajet. Les forces sontdiminuées. A la vue,elle paraît bien essoufflée,
son thorax se soulève en masse. Pas de tirage inspiratoire.
L'abdomen présente quelques vergetures, il est très globuleux
surtout au niveau de son tiers inférieur.
A la palpation, on sent dans la région hypogastrique, au-dessus
du pubiset sur la lignemédiane,une tumeurdure, consistante, non
— 49 —
douloureuse au palper, mobilisable dans, lesens transversal, beau¬
coup moins dans le sens vertical. La tumeur ne bascule pas; onsent
laparoi supérieure à deux doigts au-dessous de Lombilie. La paroi
abdominale est mobile sur la tumeur. Celle-ci est irrégulière comme forme, légèrement bosselée, sortant au niveau de sa partie latérale
droite, où l'on constate la présence d'une petite tumeur surajoutée
de la grosseurd'un œuf. Mêmes caractèresmorphologiques quepour
lapremière.
Touchervaginal et palper bimanuel confirment le diagnostic.
Appareilrespiratoire : La malade est très essoufflée, la dyspnée
semanifeste même aulit et s'exagère dans l'effort, d'où de grosses crises d'oppression. Au niveau de la région précordiale, on voit un soulèvement rythmique de la paroi, assez accentué. La pointe bat
dans le quatrième espace intercostal, en dedans du mamelon. Le
choc est irrégulier comme intensité. On11e sent pas de frémissement
cataire.
Auscultation : A la pointe, on entend un souffle doux voilé qui
couvre la présystole et la systole. Ce souffle présente son maximum
à la pointe, ne se propage pas du côté de l'aisselle, se propage davantage du côté de l'appendice xyphoïde et du côté de l'artère
pulmonaire; nes'entend pas dansle dos. On note un redoublement
inconstant dans la région des gros vaisseaux.
Rien àl'orifice aortiquepulmonaireou tricuspide, lecœur présente
de latachycardie. Il y a de l'irrégularitédans le rythme, maissur¬
tout dans l'intensité des battements qui sont sourds, les bruits
val-vulairessont voilés.
Pouls : 108, petit, irrégulier, trèsfaible tension.
Appareil respiratoire : sain dans presque toute son étendue, sauf
au niveau de la base du poumon droit où l'on note de la submatité
etune diminution notable du murmure vésiculaire. Pasdé râles, pas de souffles.
Foie : Semble être augmenté de volume, dépassant de deux tra¬
versde doigt les fausses côtes.
Traitement médical par caféine pour remonter son état. Inutile,
meurt leo décembre en asystolie.
Autopsie. — Gros fibrome enclavé dans le petit bassin,
bosselé,
etClavé 4
de consistance trèsdure,développé,connue nouslemontrela section
médiane de l'organe aux dépensde la paroi postérieure de l'utérus.
Poids: 2kilos 0,50.
Comprime le rectum.
Reins : Présentent de lacongestion et de la néphrite.
Foie : Type de foie muscade avecpointsjaunâtres disséminés de
dégénérescence graisseuse.
Poumons : Sains, pas de congestion, épanchement pleural ducoté
droit, un peude liquide dans la plèvre.
Cœur :Volumineux et mou.
Par l'expérience de l'eau et de visu, on remarque sur la valvule
mitraledes granulations, un rétrécissement et une dilatation
ven-triculaire de l'orifice tricuspide.
Observation XIII(inédite).
Service de M. leprofesseurDémons.
Marie Bert..., 42 ans, ménagère, pas d'antécédents héréditaires,
pas d'antécédents personnels. Règles normales et régulières, six
grossesses dont trois fausses couches.
À 30 ans, un moisaprèssondernier accouchement,lamalade com¬
mence à souffrir au momentde ses règles, les douleurs siègentdans
lesreins,apparaissentun oudeux jours avantl'époque. L'hémorrlui-gie menstruelle augmente alorsen durée et en abondance. Pendant
les deuxpremiers jours, elle perd beaucoup, lesménorrhagi'esserépè¬
tent tousles mois avec la même intensité.
Il y a dix mois, s'aperçoit d'une grosseur sensibleà la palpation,
qu'elleporte dansle côté droit au niveau de la fosse iliaque. Elle a peu augmenté depuis qu'elle s'en estaperçue. Les hémorrhagies se reproduisenttouslesmoisen grande abondance, affaiblissantdeplus
en plus la malade. Les couleurs s'en vont, les muqueuses se décolo¬
rent. L'appétit néanmoins reste excellent, la malade continue à
vaquer à ses occupations jusqu'au moment de son entrée a l'hô¬
pital.
Etat actuel : Malade faible,anémiée.Tégumentsjaunâtreset pâles,
muqueuses décolorées. Devenue nerveuse depuis deux à troismois,
a des palpitations douloureuses, des céphalées intermittentes sié¬
geant au sommetde la tête. Pasde vertiges. Pas de bourdonnements
d'oreille.
La malade souffre dans le ventre à la région hypogastrique au moment des règles. Lesdouleurs menstruelles, dit la malade, sont comparables aux douleurs expulsives del'accouchement; elles affec¬
tent le caractère de crampes. Irrégularitésdes règles qui avancent depuis deux mois.
Le ventre présente une tumeur médiane, occupantl'hypogastre,
dure, non fluctuante, sur laquelle la paroi glisse facilement, plon¬
geant profondément dans le bassin, atteignant comme hauteur un peuplusde la moitié d'une ligne tendue de la symphyse à l'ombilic.
A droite et surla partie antérieure, une seconde tumeur de la gros¬
seur d'un œuf de pigeon, dure, dirigée transversalement et mobili¬
sable dansune certaine étendue.
Au toucher, le col ne présente pas de graves particularités, sauf
qu'il estentr'ouvert. Le corps est fibromateux, dur etbosselé.
Appareil pulmonaire : toux nerveuse.
Appareil cardiaque : la malade se plaint de palpitations doulou¬
reuses.
Opération le 8 novembre 1899. Ilystérectomie abdominale totale.
Les suites opératoires sont excellentes. Pas d'inflammation de la plaie. Néanmoins, lamalade se plaint d'une douleur à la jambe gau¬
che, localisée à la région de la jointure. Douleur persistante. On invoque, comme cause,la compression des muscles du mollet par le
bord de la table.
Le iO décembre, elle se plaint de douleurs sous forme de picote¬
ments, de fourmillements dans le membre inférieur gauche. On
trouve le trajet de la saphène interne dur etdouloureux; celle-ci,au niveau de lajambe, est variqueuse, dure et douloureuse.
L'œdème est blanc, apparaît à la face interne du tibia, celui-ci
n'étant pas trop prononcé et les douleurs trop vives.
La malade part le 12décembre.
Observations XIV-XV
ROSE
Est-ce par l'effet du hasard que :
Mlle K. . avait une dilatation ducœur droit;
M|le F... avait unedilatation et une atrophie du ventricule droit,
et que dans ces deux cas la mort est survenue brusquement à la
suite de l'opération sans asphyxie et sans œdème pulmonaire? Pour
nous tous qui avons assisté à ces autopsies, il a été impossible de
trouver une autre cause que la tumeur utérine pour expliquer le développement de cetteaffection cardiaque.
Observation XVI
mese lier
Rapporte à la Société d'anatomie l'observation de corps fibreux utérins, communication fistuleuse avec lerectum,œdème généralisé.
Mort avantl'opération. A l'autopsie, on trouvéuncœurhypertrophié
mais pasde lésions valvulaires.
Observation XVII
Bertholu
Marie Kl., 38 ans, myome utérin considérable. Bruit de souffle
dans la tumeur. Malade anémiée. Souffle intense au premier temps du cœuret dans les deuxjugulaires.
Hystérectomie. Mortpar shock.
Autopsie : Cœurpèse 393 grammes.
Hypertrophiesurtout àgauche. Pasde lésions valvulaires. Valvu¬
les saines et suffisantes.
Observation XVIII
Pigeonnat
Ce praticien signale dans plusieurs cas d'hystérectomie pour fibrome, l'action nocive du cholùroformeagissantsur un cœur altéré
et dans 3 casla mortparshoek.Petitesse etfréquence dupouls, respi¬
ration saccadée, refroidissementdes extrémités avec sueurs froides
etprofuses.
Observation XIX
Sébileau
Pauline, 41 ans. Pas d'antécédents morbides. Porte actuellement
une tumeur de l'abdomen ayantdébuté il y a2 ans environ. Il s'agit
d'un myome remontant à 2 centimètres au-dessus de l'ombilic
déterminantquelques troubles vésicaux, comprimant aussile rectum, s'accompagnant de douleurs assez vives et au début surtout de quel¬
ques menorrhagies. Léger œdème après une station debout pro¬
longée.
Pointe bat danscinquième espace intercostal gauche,à7 centimè¬
tresdu bord du sternum. Rien à la palpation. Auscultation : souffle
intense de premier temps à la pointe avec maximum indiscutable.
Pasde souffle carotidien.
Opérée : Hystérectomie. Mortle troisième jour. Pas de nécropsie.
Orservation XX
Sébileau (Salpêtrière), Terrillon.
Joséphine P...,27 ans, malade depuisdeux ans, a eu ily aquelques
années une attaque de rhumatisme articulaire aigu. Pas de trace
de révulsifs anciens sur la peau de la région précordiale. Myome
volumineux depuis l'apparition duquel les règles sontabsolument
supprimées. Compression du rectum, dela vessie. OEdème des mem¬
bres inférieursavec pesanteur et douleurs abdominalesetlombaires.
Malade ayant un peu maigri, pâle par le repos au lit qu'elle prend depuis quelques jours. Poumons sains.
Au cœur, souffle intense à la pointe du cœur avec propagation
axillaire. Pas de souffle carofidien. Hystérectomie. Morte le septième jourd'hémorrhagie secondaire dans un foyer.
Autopsie : Cœur dilaté, rétrécissement mitral.
Observation XXI
Terriluon (Salpêtrière).
Joséphine P...,oOans, portedepuishuitans un myomevolumineux,
fluctuant parpoints,dépassant, l'ombilicde quatre à cinq centimètres
environ, saillant dans le vagin, ayant englobé le col. Pas de trou¬
bles de compression. Mictions fréquentes, point de douleur. Malade
forte, bien musclée mais anémiée (myome hémorrbagique).
Aucunantécédentrhumatismal. Pointe ducœurbat dansle 5° espace intercostal à 7 centimètres du bord gauche du sternum.
Souffle intense occupant les premiers temps dela révolution car¬
diaqueayantsonmaximum dansle 4e espace intercostal gauche entre
le siège de la pointe et le bord gauche du sternum. De son point
maximum,le souffle s'irradieendiminuantversle foyerd'auscultation
del'artère pulmonaire del'aorteet del'orifice mitral.Il y a du souffle
carotidien.
Malademortedeshock, 24heures après l'opération. Pasd'autopsie.
Observation XXII
Terrillon (Salpêtrière).
L..., 32 ans, porte une tumeur fibreuse depuis quatre ans, pas
très volumineuse, ne dépassant pas l'ombilic, s'accompagnant de
troublesménorrhagiques, comprimant le rectum, trèspeu la vessie,
mais déterminant des douleurs telles dans les lombes et les cuisses
que la maladeveutabsolument être débarrassée de sa tumeur. Elle
nepeut plus travailler. Pas d'œdème des jambes. Aucun
antécédent-rhumatismal,pas de scarlatine ni de fièvresgraves, pas d'éthylisme.
A la palpation de la région précordiale, roulement pas très pro¬
noncé aupremier temps. La pression n'indique rien sur le volume
du cœur, la pointe bat dans le cinquième espace intercostal à six
centimètres du bord gauche du sternum. Au premier temps, un souffle fortayantsonmaximum d'intensité dans le cinquièmeespace intercostalgauche, à l'endroit où bat la pointe, se propagevers
fais-selle en diminuant peu à peu d'intensité. On le perçoit, mais très
atténué, aux foyers d'auscultation de l'artère pulmonaire et de
l'aorte. Pas de souffle carolidien, malade un peu anémique, pom¬
mettesrosées, légère décoloration des muqueuses. Pouls petit,pres¬
quefiliforme, régulier.
Opération de Battey. Malade meurtdeux
mois
aprèsl'opération,
aprèsavoir présenté une série d'accidents graves.
Obstruction lente
de l'intestin, accidents gravido-cardiaques(palpitationsdouloureuses
etviolentes, arythmie, congestion pulmonaire).
Le souffle ne s'étaitpoint modifié depuis la castration jusqu'àla
mort. Pas de néeropsie.
Observation XXIII
Terrillon (Salpétrière).
L. L..., 45 ans, malade depuis un an et demi, n'a jamais eu de
maladie antérieure. Migraineuse, hémorrhoïdaire, porte une tumeur
remontantau-dessus de l'ombilic dépendant de l'utérus, uniformé¬
ment dure, à l'ausculation de laquelle on perçoit un souffle interne systolique, au niveau dela ligne blanche
au-dessous de l'ombilic.
Compression vésicale. Douleur et fatiguelombaire. Léger
œdème des
jambes. Malade anémique par abondance des menstrues. Palpita¬
tions. Cœur arythmique. Pouls bat dans le cinquième espace inter¬
costal. A la palpation, léger frottement systolique. A l'auscultation,
bruit de souffle doux à la pointe du cœur, systolique, diminuegra¬
duellementen s'irradiant, très atténuéversle troisième espace inter¬
costal gauche. Pas de souffle carolidien. Pouls petit, irrégulier.
Hys-térectomie, la malade sort guérie 50 joursaprès. Lebruit de souffle
n'a pas subi de modification appréciable. Au mois de juillet (deux
moisaprès sa sortie), la malade se présente à l'hôpital avec des pal¬
pitations violentes, un œdcme assez considérable des jambes. Le
souffle mitral systolique est intense, des intermittence et de fausses
intermittencesrendentle cœur trèsarythmique.
Les battements sont très fréquents. Pas depouls jugulaire. Pas de'
battements hépatiques. Pas de souffle tricuspidien. Digitale en infu¬
sion.
— 56 —
Au boni de quelquesjours, les battementsserégularisent, les acci¬
dentsdisparaissent et la maladepart. Le bruit du souffle s'entend
mieux encoredepuis que l'arythmie adisparu.
La malade n'aplus reparu.
Observation XXIV
Terrillon (Salpêtrière), Sébileau.
Franchie Pr..., 44 ans, malade depuis unan. Jamais de maladies aiguës, atteinted'un myome peu volomineux, ne remontantpastout
àfaitjusqu'à l'ombilic, enclavé dans le petit bassin, comprimant la
vessie et déterminant de telles douleurs que la malade qui a déjà
abandonné son travail depuis longtemps maigrit à vue d'œil et réclame absolument l'intervention. Pas d'œdème desjambes.
Malade sèche,très amaigrie, peu anémique, ne perd pasde sang, lesrèglessontrégulières, peuabondantes. Pas de trace d'augmen¬
tationduvolume ducœur.Battements assezréguliers. Bruitde souffle
au premier temps ayant son maximum entre la pointe du cœur et
lefoyer de l'artère pulmonaire dans le quatrième espace, systolique
assezdoux.
Pas de souffle carotidien, pouls maigre. Battey. La maladeva bien pendant quelque temps, les douleurs disparaissentpresque. Maiselle
estprise58 jours après son opération d'accidents gastro-intestinaux
etmeurtle 73°jour après une longue agonie et une émaciation pro¬
gressive. Myomes utérins multiples, deux assez volumineux inters¬
titiels, quelques autres petits pédicules sous le péritoine. Cœur petit, poids minime (195 grammes). La malade était absolument des¬
séchée; mais le ventricule gauche paraît nettement dilaté pour le
volume du cœur et la valvule mitrale insuffisante laisse refluer le liquide de l'expériencevers l'oreillette.
Observation XXV (inédite).
Dubourg
Marg. A..., 55 ans, sans profession, entre dans le service de M. le
docteurDubourg le23 octobre 1898 pour une tumeur abdominale.
Rien à signaler dans ses antécédents héréditaires, elle
n'a jamais
étémalade.