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A- CONTEXE ET OBJECTIFS DU PROJET

2- OBJECTIF DU PROJET

L’objectif principal est de réaliser les études techniques d’exécution pour les travaux d’aménagement de 55.5 ha de bas-fonds rizicoles et périmètres maraîchers répartis dans les communes de Tanguiéta et de Toucountouna. De façon spécifique, il s’agira de :

-Finaliser les études agro-socio-économiques en partant des résultats des études diagnostics

-Procéder aux études topographiques

-Elaborer les dossiers techniques d’exécution des travaux

-Proposer pour chaque site le type d’aménagement le plus adéquat sur le plan technique et à un coût raisonnable en partant des APS déjà élaborés

-Elaborer des DAO pour le recrutement des entreprises devant réaliser les travaux

-Contrôler et surveiller les travaux.

Les résultats suivants sont attendus de la mission :

 Les besoins réels des usagers de l’aménagement ainsi que les objectifs d’utilisation de cet ouvrage par les demandeurs sont bien identifiés par eux-mêmes,

 La volonté des usagers à acquérir l’infrastructure et leur engagement à une exploitation rentable et durable sont évalués.

 La superficie emblavée sur les trois dernières années par site retenu est appréciée dans une vision prospective d’exploitation maximale (augmentation de la superficie cultivable en relation avec la possibilité du bas-fond aménagé).

 La production agricole et maraîchère par les utilisateurs du Bas-Fond du village pour les trois dernières campagnes agricoles est présentée en quantité (sortie champ en nbr.de sacs) par produit (riz, sorgho, produits maraichers etc.).

 Les éléments de pertinence de la demande ou du rejet de l’aménagement dans chacune des localités sont établis.

 Les éléments de viabilité institutionnelle/ organisationnelle dans le cas où les éléments de justification sont favorables sont établis (confirmation du site présélectionné, existence de groupement, structuration de l’organisation devant conduire tout le processus d’aménagement jusqu’à l’exploitation de l’infrastructure ; acteurs et facteurs de l’environnement institutionnel ; processus interne, etc.).

 La tenue foncière de chaque site est établie

 Le renforcement des exploitations agricoles traditionnelles de type familial sera effectué ;

 La mise en place des instruments de promotion des bassins de développement agricole est actée ;

 La coordination et l’animation d’un cadre de concertation entre les acteurs des filières en promotion seront assurées ;

 L’installation d’unité de transformation spécifique sera promue ;

 Les capacités des acteurs en vue de la promotion des filières seront renforcées.

 D’autres filières autres que le coton seront promus ;

 La productivité et la production des filières identifiées seront améliorées ;

 Les productions de ces filières seront valorisées ;

 Leurs marchés d’écoulement seront développés ;

 Les revenus des différents acteurs de ces filières seront améliorés

 L’émergence des organisations professionnelles des acteurs sera appuyée.

Suite aux résultats de la mission de reconnaissance le consultant en compagnie des responsables à divers niveaux des communes respectives ont visité les sites proposés pour les aménagements.

1- le caractere amenageable de chaque site de bas-fond Conformément aux résultats des termes de référence de la mission du

consultant nous avons dans un premier temps visité les sites et rassemblé au terrain les informations exigées sur la base des indicateurs suivants voir

Tableau 1 :

Tableau 1:Les indicateurs utilisés

Indicateur Critères / exigences

Sol Aptitude pour la riziculture (sol limono-argileux) et maraîchage (sol argilo-sableux avec un taux d’humus acceptable et bien drainé).

Hydrologie Disponibilité en eaux sur l’axe de temps (au moins trois mois pour la culture de riz et en nappe souterraine jusqu’en mars pour le maraîchage).

Le débit des crues est limité par le débit spécifique admissible, c’est le débit débordant le seuil par mètre linéaire sans créer d’endommagement. Ce débit est pour le seuil -en terre : 0,020 m3/s/ml

Indicateur Critères / exigences -en enrochement : 0,250 m3/s/ml -« PEBASO » : 0,250 m3/s/ml

La durée de crue est limitée à un maximum de trois jours, au-delà le riz sera asphyxié. De plus, il faut tenir compte du temps de vidage de seuils individuels, temps qui s’ ajoute à la durée des crues !

Surface aménageable En dehors des exceptions on peut considérer en moyenne une surface de 10 ha comme limite minimum conformément au cadre organisationnel et institutionnel nécessaires pour l’accompagnement des exploitants.

Pente longitudinale et transversale

Avec l’augmentation des pentes le coût de l’ha aménagé accroit également. A part des cas exceptionnels on limite la pente longitudinale autour de 1%, la pente transversale autour de 2

%.

Morphologie Idéal sera un terrain plat avec peu d’ondulations, un lit mineur peu marqué, sans la présence des ravines ou l’affleurement des roches.

Végétation La végétation naturelle ne devrait pas dépasser une dizaine d‘arbres par ha.

Exploitation Si une bonne partie du site (au moins la moitié) est cultivée, non seulement l’aptitude pour une exploitation est fournie, mais aussi la preuve de

Indicateur Critères / exigences l’intérêt des exploitants y est.

Accès au site (à partir d’une route nationale)

La distance jusqu’au site et la qualité des voies sont des facteurs décisifs. Une trentaine de km de distance d’une route nationale peut être considéré comme limite économique. Si les voies secondaires sont bien praticables on peut aller encore au-delà. Quoi que ce soit, le site, après quelques réparations sommaires de la piste d’accès, doit être accessible par camion et véhicule tout terrain.

Les sommets topographiques

Disponibilité des points périphériques du site avec les coordonnées géographiques, également tous les points d’intérêt et des particularités du terrain (passage des chemins, grands arbres, etc.).

La partie aménageable

Doit être projetée avec les points géoréférencés sur des cartes topographiques respectives.

Cela permettra d’identifier le site au terrain pour des fins utiles.

Parties critiques Description à faire des parties nécessitant des mesures spécifiques de protection ou de régulation

Suite à l’examen des quatorze (14) sites il a été

 Sont retenus onze (11) sites qui méritent d’être soumis aux études APD, cependant pour trois (3) des sites existent encore des réserves hydrauliques économiques.

 Sont éliminés trois (3) sites, à savoir le site de :

o Tchaéta pour les conditions morphologiques défavorables et le faible degré d’exploitation.

o Tarpingou, où les exploitants ont exprimé leur non intérêt envers un aménagement du bas-fond.

o Nanoungou I à cause de la petite taille du site et le faible degré d’exploitation.

Dans le tableau récapitulatif de (l’ANNEXE 1) suivant une appréciation de chaque site par rapport aux indicateurs appliqués, a été fait le bilan de sa qualification pour les APD. Nous nous intéresserons au bas-fond de Tchafarga.

2- ANALYSE DES FORCES, FAIBLESSES, OPPORTUNITES ET MENACES AU NIVEAU DU BAS-FOND DE TCHAFARGA L’analyse des données de (l’ANNEXE 2 ) présentant le transept au niveau du bas-fond, son exploitation en plus d’autres informations (Tableau 2)

permettent de réaliser l’analyse forces et faiblesses au niveau du bas-fond de Tchafarga.

Tableau 2:Forces et faiblesses au niveau du bas-fond de Tchafarga

Forces Faiblesses

 Partenariat non formalisé avec l’UCCPR pour l’achat au comptant du riz paddy au

 prix avantageux de 140 à

 Inexistence de groupement au niveau du bas-fond Sarimapon

 Forte présence des

150 F/kg

 Existence de semenciers dans le village produisant les semences de variété IR 841, NERICA L20 et BL 19

 Utilisation des diguettes en terre pour freiner la vitesse d’écoulement de l’eau

 Grande facilité d’accès au bas-fond qui se trouve au bord de la route carrossable reliant Tanongou au parc

 Restitution des formations aux autres exploitants du bas-fond

 Inondation précoce du bas-fond paddy (prix offert : 120 F/kg)

 Destruction des diguettes par la force de l’eau en raison du débit élevé de l’eau de

ruissellement

 Dégradation du sol et

ravinement dans le bas-fond par les eaux de ruissellement

 Niveau élevé de dépôts de sables dans le bas-fond consécutif au ruissellement qui draine du sable

 Envahissement des cultures par le sable

 Fort niveau d’érosion dans le bas-fond avec des

ravinements par endroit

 Faible exploitation actuelle du bas-fond Sarimapon par

rapport à celui de Icrotètafa

 Faible diversification des exploitants du bas-fond

(appartenance à une même famille)

Opportunités Menaces

 Existence et accès facile aux moellons et cailloux

 Existence de la technique de production de plants de

pépinière pour contourner l’inondation précoce du bas-fond

 Ensablement rapide du bas-fond

3- PRESENTATION DU VILLAGE DE TCHAFARGA ET ANALYSE SOCIO-ECONOMIQUE

a- PRESENTATION DU VILLAGE DE TCHAFARGA

Le village de Tchafarga se trouve dans l’arrondissement de Tanongou lui-même situé dans la Commune de Tanguiéta. Il est limité :

 Au nord par le village Tanongou

 Au sud par le village Sangou

 Au Nord-Est par le village Tchantingou

 Au sud-Est par le village Birikiré

 A l’Ouest par la zone tampon du parc de la Pendjari Voir plan de situation en ANNEXE 6.

Le village Tchafarga a été fondé vers 1912 par TCHAA qui est un ressortissant du Burkina Faso ayant fui les affres de la guerre avec sa famille.

Le nom Tchafarga signifie à peu près en waama ‘’là où TCHAA est cachée avec sa population’’. Le fondateur était un combattant. Pour livrer ses batailles, il avait à son côté un cob. Il serait porté disparu par la

suite avec cet animal. TCHAA a été remplacé à la tête du village par TANGANTE. Le profil historique ci-dessous (Tableau 3) résume les faits marquants de l’histoire du village.

Tableau 3:Profil historique du village de Tchafarga Années Evènements

Vers 1912 Arrivée du fondateur du village TCHAA Vers 1922 Intronisation du 1er Roi Tanganté

Vers 1943 Affrontements entre les blancs et les chefs KAMPATIKOU et KORIMATCHIRE au motif d’empêcher la conquête de leur village par les blancs

Vers 1944 Epidémie de méningite

1983 Introduction de la culture du coton

2006 Introduction de la production de semences améliorée de riz Source : AG villageoise, mai 2016

La population de Tchafarga selon le dernier recensement de 2013 est de 400 habitants dont 230 femmes (58%). On note bien que la population est largement dominée par les femmes. Ceci est la conséquence de l’exode rural des jeunes garçons vers le Nigeria mais aussi l’arrière effet du développement du pôle économique de Tanguiéta qui attire de plus en plus les jeunes gens qui viennent y exercer de petits métiers (conducteurs de taxi-moto, courtiers ou intermédiaires pour les produits agricoles, apprentis chauffeurs, etc.)

Le village compte trois quartiers à savoir Tchafarga, Pébouné et Biriguiré. Il est dirigé par un Délégué répondant au nom de BONI Kouagou faisant office en même temps de chef traditionnel. L’ethnie dominante dans le village est le Waaba. On retrouve cependant quelques personnes d’ethnie Noba. La religion traditionnelle / endogène est dominante dans le village, elle s’exprime à travers les cérémonies qui se déroulent entre Novembre et Avril voire Mai.

L’islam et le christianisme sont également pratiqués.

b- Analyse socio-economique du village de tchafarga

Les groupes socioprofessionnels du village sont essentiellement constitués d’agriculteurs, d’éleveurs et des artisans (menuisiers, maçons, couturiers, mécaniciens, vanniers, etc.).

Les exploitations agricoles dans le village sont au nombre de 250. Les principales productions végétales du village sont le maïs, le coton, le sorgho et le riz. D’autres productions sont également réalisées : igname, arachide, voandzou, niébé, et manioc. Pour réaliser les différentes tâches de production, les populations disposent de matériel aratoire (houe, coupe-coupe) mais aussi de la traction animale (30 paires de bœufs sont utilisées dans le village pour 250 exploitations familiales soit un taux de couverture de 12%).Le Tableau 4 ci-dessous donne une idée des quantités produites.

Tableau 4:Statistiques de production végétale du village de Tchafarga

Cultures

Source : AG villageoise, mai 2016

On note des niveaux très faibles de rendement notamment pour le riz. Cette situation s’explique par la destruction des plants par les eaux de ruissellement violentes provenant de la montagne voisine et le dépôt de quantités considérables de sable sur les rizières.

L’analyse du calendrier saisonnier (présenté en ANNEXE 3) montre que les mois de Janvier à Mars sont les mois de faible activité agricole dans le village. En dehors des activités de vente, la seule activité agricole réelle c’est le semis de

l’igname pendant ces trois mois. Il y a donc un créneau de temps à valoriser ; la production de contre saison y trouverait un terrain favorable.

Les mois d’Avril à Septembre sont les mois d’intenses activités agricoles.

C’est la période de forte occupation des producteurs. Les périodes de préparation du sol, semis, sarclage du riz sont directement en concurrence avec celles de toutes les autres cultures sauf l’igname. C’est dire que le producteur aura à faire un arbitrage pour choisir ses cultures. Pour accroître les chances qu’il choisisse la culture du riz, il peut s’avérer déterminant de lui faciliter les opérations culturales comme :

 Le contrôle collectif des mauvaises herbes au moyen d’herbicides ;

 L’organisation du labour collectif au tracteur ou à la charrue sur le site de bas-fond ;

 La facilitation de l’accès aux semences et engrais ;

 La facilitation de la récolte à travers la mise en place d’une moissonneuse-batteuse et vanneuse ;

 L’amélioration des conditions de stockage du paddy dans le village à travers la construction d’autres magasins ;

 La facilitation de l’accès aux débouchés sûrs et rémunérateurs pour les producteurs (vente groupée)

Les animaux d’élevage rencontrés à Tchafarga sont : bovins (200 têtes), ovins (150 têtes), caprins (250 têtes) et la volaille (plus de 500 têtes). Des mouvements de transhumance sont observés dans le village entre Janvier et Mars. A travers cette transhumance, ce sont environ 600 bœufs étrangers qui traversent le village créant du coup une concurrence pour les ressources fourrage et eau. En dehors de l’agriculture et de l’élevage, les activités économiques pratiquées dans le village concernent la chasse, la pêche, l’apiculture et la production du charbon de bois.

Il n’y a pas de marché qui s’anime à Tchafarga. La population fréquente les marchés de Tanongou (5 km), Tanguiéta (44 km) et Toucountouna (68 km).

Quelques commerçants viennent jusque dans le village pour faire des achats. Cependant, les populations signalent que ces commerçants sont ceux qui les taquinent le plus notamment par rapport à la fixation du prix de vente. Les infrastructures sociocommunautaires du village comprennent :

 01 magasin de stockage des intrants et du vivrier construit en 2009 sur cofinancement du PNDCC et de l’ADV Tchafarga. Ce magasin a une capacité de 100 tonnes. Cette capacité est totalement sollicitée pendant les mois de décembre à janvier.

 01 magasin de miel construit en 2013 par l’U-AVIGREF sur financement de PAGAP. Ce magasin a une capacité de stockage de 2.000 litres de miel. Il sert également pour stocker le matériel de travail.

 04 forages équipés de pompes à motricité humaine. La vente d’eau ne se fait plus dans le village. Le Comité de Gestion du Point d’Eau (CGePE) a pour Président BONI Mama.

 01 module de WC à usage public

 01 centre de santé

 03 ponceaux facilitant la traversée de la ville

 01 école primaire publique

La classification par paire (présentée en ANNEXE 5) a été réalisée pour voir les préférences du village par rapport à ses principales spéculations végétales.

Pour réaliser cette classification, deux critères ont été utilisés :

 Le niveau de revenus apportés par la culture

 La demande du produit

Au vu de ces critères, les résultats obtenus montrent que les cultures préférées du village sont par ordre décroissant : le riz, le soja, l’arachide et le maïs. Le résultat de cette classification a le mérite de démontrer l’intérêt de la population pour la culture du riz, culture de bas-fond par excellence dans le village.

A la suite de la classification, une analyse des problèmes liés à la production et vente de ces différentes cultures a été faite. Cette analyse ressort 5

contraintes principales qui sont par la suite priorisées à travers la classification par paire (ANNEXE 4). Pour réaliser cette classification le critère essentiel utilisé c’est l’urgence de régler le problème pour atteindre les objectifs d’épanouissement de la population. Les résultats montrent que les problèmes les plus urgents du village sont par ordre de priorité décroissante :

 Faible niveau d’équipement en matériel agricole (travail du sol, récolte et post-récolte)

 Insuffisance des terres agricoles

 Faible capacité financière des producteurs

 Faible niveau d’équipement pour les transformations agroalimentaires

 Insuffisance de magasins pour le stockage des vivriers

L’analyse de la situation actuelle montre que cette classification est bien pertinente. Le problème de manque de terres bien que préoccupant vient après celui des équipements qui conditionnent la réussite de la campagne.

Ce n’est qu’après avoir satisfait les contraintes liées à l’accès à la terre et aux équipements que les producteurs envisagent l’accès aux ressources financières pour l’achat des intrants et le paiement de la main d’œuvre.

DEROULEMENT DU STAGE

II. CADRE INSTITUTIONNEL DU STAGE

A- PRESENTATION DE LA STRUCTURE D’ACCEUIL

Créée en 2003, la société HORSE est un bureau d'études et d'ingénieurs conseils intervenant dans les projets de développement. Elle est très ouverte aux compétences nationales, sous régionales et internationales.

Sa clientèle est composée essentiellement des institutions étatiques, des organismes internationaux, des collectivités rurales etc... Les prestations comprennent tous les niveaux de projet en passant par l'identification du site jusqu'à la réalisation y compris la formation de la population bénéficiaire en vue de la gestion des ouvrages.

La société HORSE Sarl est enregistrée sous le numéro RC : 07B606 dans le registre de commerce de Cotonou, sous le N° IFU : 3200800689910, Contact : Siège social situé à Cotonou- Bénin 02 BP 2146 Lot 4328 H LOM NAVA AKPAKPA Tél : 21 33 91 90 ; site web : www.horse-ic.com

B- DOMAINE D’INTERVENTION DU BUREAU Le bureau intervient dans plusieurs domaines à savoir :

Eau et Assainissement ; Bâtiments et ouvrages d’art ; Transport

Urbanisation et aménagement de l’espace ; Aménagement hydro-Agricole ;

Topographie ;

Environnement et gestion des ressources naturelles ; Etude du Milieu.

C- PERSONNEL DU BUREAU

Pour exécuter les travaux qui lui sont confiés, le bureau d'études HORSE dispose des cadres compétents jeunes et dynamiques composé de :

 Sept (07) Ingénieurs de Conception Génie-civil

 Douze (12) Techniciens Supérieurs.

 Six (06) Administratifs

 Six (06) Personnes auxiliaires

Il a à son actif plusieurs équipements techniques qui lui permettent de respecter le délai des travaux qu’il effectue.

III. MATERIEL ET METHODES A- MATERIELS

Tableau 5: MATERIEL ET MATERIAUX UTILISES

RUBRIQUES DESIGNATIONS

Appareils

-Niveau NAK2 -TS 06 LEICA

Accessoires

-Trépied en bois -Mire

-Nivelle -Crapaud - Demi-jalon -Coupe-coupe -Truelle -Sceau -Marqueur -Bidon d'eau -Marteau masse -Prisme

-Moule

-Chaîne en acier -Double mètres

Matériaux

-Sable -Ciment -Eau

B- METHODES UTILISEES

Une bonne connaissance de la topographie du site est nécessaire avant l’étude technique d’aménagement du bas-fond. Cette étude technique a pour but de connaitre la configuration du site et de simuler la présence des ouvrages pour ainsi définir ses caractéristiques. Pour atteindre cet objectif il a fallu concevoir une méthode appropriée et rigoureuse de travail.

La méthode adoptée dans le cadre de cette étude s’inspire des recommandations inscrites dans les termes de référence et se présente en deux principales étapes, une reconnaissance générale du site qui s’est achevée par la délimitation participative de la zone à aménager et les études topographiques proprement dites :

-La reconnaissance générale du site : comme tous travaux topographiques nécessitent une vérification de la documentation de base, nous avons procédé à cette recherche. Ce qui a révélé l’existence d’une image satellitaire obtenue à partir de google map. Après cela nous avons effectué une descente sur le terrain. La visite du terrain s’est identifiée comme le premier contact de notre équipe de géomètres avec le site. Elle a pour but essentiel de retrouver les limites identifiants le domaine avec la participation des bénéficiaires et d’essayer de choisir les différentes méthodes de travail qui correspondront à trouver des solutions aux obstacles et difficultés relevés sur le site. Aussi cette visite nous a-t-elle permis de nous rendre compte du relief du terrain, de sa situation. Au cours de la visite du terrain nous avons utilisé

-La reconnaissance générale du site : comme tous travaux topographiques nécessitent une vérification de la documentation de base, nous avons procédé à cette recherche. Ce qui a révélé l’existence d’une image satellitaire obtenue à partir de google map. Après cela nous avons effectué une descente sur le terrain. La visite du terrain s’est identifiée comme le premier contact de notre équipe de géomètres avec le site. Elle a pour but essentiel de retrouver les limites identifiants le domaine avec la participation des bénéficiaires et d’essayer de choisir les différentes méthodes de travail qui correspondront à trouver des solutions aux obstacles et difficultés relevés sur le site. Aussi cette visite nous a-t-elle permis de nous rendre compte du relief du terrain, de sa situation. Au cours de la visite du terrain nous avons utilisé

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