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ANALYSE DES FORCES, FAIBLESSES, OPPORTUNITES ET

B- LES SITES PROPOSES POUR LES ETUDES APDErreur ! Signet non défini

2- ANALYSE DES FORCES, FAIBLESSES, OPPORTUNITES ET

L’analyse des données de (l’ANNEXE 2 ) présentant le transept au niveau du bas-fond, son exploitation en plus d’autres informations (Tableau 2)

permettent de réaliser l’analyse forces et faiblesses au niveau du bas-fond de Tchafarga.

Tableau 2:Forces et faiblesses au niveau du bas-fond de Tchafarga

Forces Faiblesses

 Partenariat non formalisé avec l’UCCPR pour l’achat au comptant du riz paddy au

 prix avantageux de 140 à

 Inexistence de groupement au niveau du bas-fond Sarimapon

 Forte présence des

150 F/kg

 Existence de semenciers dans le village produisant les semences de variété IR 841, NERICA L20 et BL 19

 Utilisation des diguettes en terre pour freiner la vitesse d’écoulement de l’eau

 Grande facilité d’accès au bas-fond qui se trouve au bord de la route carrossable reliant Tanongou au parc

 Restitution des formations aux autres exploitants du bas-fond

 Inondation précoce du bas-fond paddy (prix offert : 120 F/kg)

 Destruction des diguettes par la force de l’eau en raison du débit élevé de l’eau de

ruissellement

 Dégradation du sol et

ravinement dans le bas-fond par les eaux de ruissellement

 Niveau élevé de dépôts de sables dans le bas-fond consécutif au ruissellement qui draine du sable

 Envahissement des cultures par le sable

 Fort niveau d’érosion dans le bas-fond avec des

ravinements par endroit

 Faible exploitation actuelle du bas-fond Sarimapon par

rapport à celui de Icrotètafa

 Faible diversification des exploitants du bas-fond

(appartenance à une même famille)

Opportunités Menaces

 Existence et accès facile aux moellons et cailloux

 Existence de la technique de production de plants de

pépinière pour contourner l’inondation précoce du bas-fond

 Ensablement rapide du bas-fond

3- PRESENTATION DU VILLAGE DE TCHAFARGA ET ANALYSE SOCIO-ECONOMIQUE

a- PRESENTATION DU VILLAGE DE TCHAFARGA

Le village de Tchafarga se trouve dans l’arrondissement de Tanongou lui-même situé dans la Commune de Tanguiéta. Il est limité :

 Au nord par le village Tanongou

 Au sud par le village Sangou

 Au Nord-Est par le village Tchantingou

 Au sud-Est par le village Birikiré

 A l’Ouest par la zone tampon du parc de la Pendjari Voir plan de situation en ANNEXE 6.

Le village Tchafarga a été fondé vers 1912 par TCHAA qui est un ressortissant du Burkina Faso ayant fui les affres de la guerre avec sa famille.

Le nom Tchafarga signifie à peu près en waama ‘’là où TCHAA est cachée avec sa population’’. Le fondateur était un combattant. Pour livrer ses batailles, il avait à son côté un cob. Il serait porté disparu par la

suite avec cet animal. TCHAA a été remplacé à la tête du village par TANGANTE. Le profil historique ci-dessous (Tableau 3) résume les faits marquants de l’histoire du village.

Tableau 3:Profil historique du village de Tchafarga Années Evènements

Vers 1912 Arrivée du fondateur du village TCHAA Vers 1922 Intronisation du 1er Roi Tanganté

Vers 1943 Affrontements entre les blancs et les chefs KAMPATIKOU et KORIMATCHIRE au motif d’empêcher la conquête de leur village par les blancs

Vers 1944 Epidémie de méningite

1983 Introduction de la culture du coton

2006 Introduction de la production de semences améliorée de riz Source : AG villageoise, mai 2016

La population de Tchafarga selon le dernier recensement de 2013 est de 400 habitants dont 230 femmes (58%). On note bien que la population est largement dominée par les femmes. Ceci est la conséquence de l’exode rural des jeunes garçons vers le Nigeria mais aussi l’arrière effet du développement du pôle économique de Tanguiéta qui attire de plus en plus les jeunes gens qui viennent y exercer de petits métiers (conducteurs de taxi-moto, courtiers ou intermédiaires pour les produits agricoles, apprentis chauffeurs, etc.)

Le village compte trois quartiers à savoir Tchafarga, Pébouné et Biriguiré. Il est dirigé par un Délégué répondant au nom de BONI Kouagou faisant office en même temps de chef traditionnel. L’ethnie dominante dans le village est le Waaba. On retrouve cependant quelques personnes d’ethnie Noba. La religion traditionnelle / endogène est dominante dans le village, elle s’exprime à travers les cérémonies qui se déroulent entre Novembre et Avril voire Mai.

L’islam et le christianisme sont également pratiqués.

b- Analyse socio-economique du village de tchafarga

Les groupes socioprofessionnels du village sont essentiellement constitués d’agriculteurs, d’éleveurs et des artisans (menuisiers, maçons, couturiers, mécaniciens, vanniers, etc.).

Les exploitations agricoles dans le village sont au nombre de 250. Les principales productions végétales du village sont le maïs, le coton, le sorgho et le riz. D’autres productions sont également réalisées : igname, arachide, voandzou, niébé, et manioc. Pour réaliser les différentes tâches de production, les populations disposent de matériel aratoire (houe, coupe-coupe) mais aussi de la traction animale (30 paires de bœufs sont utilisées dans le village pour 250 exploitations familiales soit un taux de couverture de 12%).Le Tableau 4 ci-dessous donne une idée des quantités produites.

Tableau 4:Statistiques de production végétale du village de Tchafarga

Cultures

Source : AG villageoise, mai 2016

On note des niveaux très faibles de rendement notamment pour le riz. Cette situation s’explique par la destruction des plants par les eaux de ruissellement violentes provenant de la montagne voisine et le dépôt de quantités considérables de sable sur les rizières.

L’analyse du calendrier saisonnier (présenté en ANNEXE 3) montre que les mois de Janvier à Mars sont les mois de faible activité agricole dans le village. En dehors des activités de vente, la seule activité agricole réelle c’est le semis de

l’igname pendant ces trois mois. Il y a donc un créneau de temps à valoriser ; la production de contre saison y trouverait un terrain favorable.

Les mois d’Avril à Septembre sont les mois d’intenses activités agricoles.

C’est la période de forte occupation des producteurs. Les périodes de préparation du sol, semis, sarclage du riz sont directement en concurrence avec celles de toutes les autres cultures sauf l’igname. C’est dire que le producteur aura à faire un arbitrage pour choisir ses cultures. Pour accroître les chances qu’il choisisse la culture du riz, il peut s’avérer déterminant de lui faciliter les opérations culturales comme :

 Le contrôle collectif des mauvaises herbes au moyen d’herbicides ;

 L’organisation du labour collectif au tracteur ou à la charrue sur le site de bas-fond ;

 La facilitation de l’accès aux semences et engrais ;

 La facilitation de la récolte à travers la mise en place d’une moissonneuse-batteuse et vanneuse ;

 L’amélioration des conditions de stockage du paddy dans le village à travers la construction d’autres magasins ;

 La facilitation de l’accès aux débouchés sûrs et rémunérateurs pour les producteurs (vente groupée)

Les animaux d’élevage rencontrés à Tchafarga sont : bovins (200 têtes), ovins (150 têtes), caprins (250 têtes) et la volaille (plus de 500 têtes). Des mouvements de transhumance sont observés dans le village entre Janvier et Mars. A travers cette transhumance, ce sont environ 600 bœufs étrangers qui traversent le village créant du coup une concurrence pour les ressources fourrage et eau. En dehors de l’agriculture et de l’élevage, les activités économiques pratiquées dans le village concernent la chasse, la pêche, l’apiculture et la production du charbon de bois.

Il n’y a pas de marché qui s’anime à Tchafarga. La population fréquente les marchés de Tanongou (5 km), Tanguiéta (44 km) et Toucountouna (68 km).

Quelques commerçants viennent jusque dans le village pour faire des achats. Cependant, les populations signalent que ces commerçants sont ceux qui les taquinent le plus notamment par rapport à la fixation du prix de vente. Les infrastructures sociocommunautaires du village comprennent :

 01 magasin de stockage des intrants et du vivrier construit en 2009 sur cofinancement du PNDCC et de l’ADV Tchafarga. Ce magasin a une capacité de 100 tonnes. Cette capacité est totalement sollicitée pendant les mois de décembre à janvier.

 01 magasin de miel construit en 2013 par l’U-AVIGREF sur financement de PAGAP. Ce magasin a une capacité de stockage de 2.000 litres de miel. Il sert également pour stocker le matériel de travail.

 04 forages équipés de pompes à motricité humaine. La vente d’eau ne se fait plus dans le village. Le Comité de Gestion du Point d’Eau (CGePE) a pour Président BONI Mama.

 01 module de WC à usage public

 01 centre de santé

 03 ponceaux facilitant la traversée de la ville

 01 école primaire publique

La classification par paire (présentée en ANNEXE 5) a été réalisée pour voir les préférences du village par rapport à ses principales spéculations végétales.

Pour réaliser cette classification, deux critères ont été utilisés :

 Le niveau de revenus apportés par la culture

 La demande du produit

Au vu de ces critères, les résultats obtenus montrent que les cultures préférées du village sont par ordre décroissant : le riz, le soja, l’arachide et le maïs. Le résultat de cette classification a le mérite de démontrer l’intérêt de la population pour la culture du riz, culture de bas-fond par excellence dans le village.

A la suite de la classification, une analyse des problèmes liés à la production et vente de ces différentes cultures a été faite. Cette analyse ressort 5

contraintes principales qui sont par la suite priorisées à travers la classification par paire (ANNEXE 4). Pour réaliser cette classification le critère essentiel utilisé c’est l’urgence de régler le problème pour atteindre les objectifs d’épanouissement de la population. Les résultats montrent que les problèmes les plus urgents du village sont par ordre de priorité décroissante :

 Faible niveau d’équipement en matériel agricole (travail du sol, récolte et post-récolte)

 Insuffisance des terres agricoles

 Faible capacité financière des producteurs

 Faible niveau d’équipement pour les transformations agroalimentaires

 Insuffisance de magasins pour le stockage des vivriers

L’analyse de la situation actuelle montre que cette classification est bien pertinente. Le problème de manque de terres bien que préoccupant vient après celui des équipements qui conditionnent la réussite de la campagne.

Ce n’est qu’après avoir satisfait les contraintes liées à l’accès à la terre et aux équipements que les producteurs envisagent l’accès aux ressources financières pour l’achat des intrants et le paiement de la main d’œuvre.

DEROULEMENT DU STAGE

II. CADRE INSTITUTIONNEL DU STAGE

A- PRESENTATION DE LA STRUCTURE D’ACCEUIL

Créée en 2003, la société HORSE est un bureau d'études et d'ingénieurs conseils intervenant dans les projets de développement. Elle est très ouverte aux compétences nationales, sous régionales et internationales.

Sa clientèle est composée essentiellement des institutions étatiques, des organismes internationaux, des collectivités rurales etc... Les prestations comprennent tous les niveaux de projet en passant par l'identification du site jusqu'à la réalisation y compris la formation de la population bénéficiaire en vue de la gestion des ouvrages.

La société HORSE Sarl est enregistrée sous le numéro RC : 07B606 dans le registre de commerce de Cotonou, sous le N° IFU : 3200800689910, Contact : Siège social situé à Cotonou- Bénin 02 BP 2146 Lot 4328 H LOM NAVA AKPAKPA Tél : 21 33 91 90 ; site web : www.horse-ic.com

B- DOMAINE D’INTERVENTION DU BUREAU Le bureau intervient dans plusieurs domaines à savoir :

Eau et Assainissement ; Bâtiments et ouvrages d’art ; Transport

Urbanisation et aménagement de l’espace ; Aménagement hydro-Agricole ;

Topographie ;

Environnement et gestion des ressources naturelles ; Etude du Milieu.

C- PERSONNEL DU BUREAU

Pour exécuter les travaux qui lui sont confiés, le bureau d'études HORSE dispose des cadres compétents jeunes et dynamiques composé de :

 Sept (07) Ingénieurs de Conception Génie-civil

 Douze (12) Techniciens Supérieurs.

 Six (06) Administratifs

 Six (06) Personnes auxiliaires

Il a à son actif plusieurs équipements techniques qui lui permettent de respecter le délai des travaux qu’il effectue.

III. MATERIEL ET METHODES A- MATERIELS

Tableau 5: MATERIEL ET MATERIAUX UTILISES

RUBRIQUES DESIGNATIONS

Appareils

-Niveau NAK2 -TS 06 LEICA

Accessoires

-Trépied en bois -Mire

-Nivelle -Crapaud - Demi-jalon -Coupe-coupe -Truelle -Sceau -Marqueur -Bidon d'eau -Marteau masse -Prisme

-Moule

-Chaîne en acier -Double mètres

Matériaux

-Sable -Ciment -Eau

B- METHODES UTILISEES

Une bonne connaissance de la topographie du site est nécessaire avant l’étude technique d’aménagement du bas-fond. Cette étude technique a pour but de connaitre la configuration du site et de simuler la présence des ouvrages pour ainsi définir ses caractéristiques. Pour atteindre cet objectif il a fallu concevoir une méthode appropriée et rigoureuse de travail.

La méthode adoptée dans le cadre de cette étude s’inspire des recommandations inscrites dans les termes de référence et se présente en deux principales étapes, une reconnaissance générale du site qui s’est achevée par la délimitation participative de la zone à aménager et les études topographiques proprement dites :

-La reconnaissance générale du site : comme tous travaux topographiques nécessitent une vérification de la documentation de base, nous avons procédé à cette recherche. Ce qui a révélé l’existence d’une image satellitaire obtenue à partir de google map. Après cela nous avons effectué une descente sur le terrain. La visite du terrain s’est identifiée comme le premier contact de notre équipe de géomètres avec le site. Elle a pour but essentiel de retrouver les limites identifiants le domaine avec la participation des bénéficiaires et d’essayer de choisir les différentes méthodes de travail qui correspondront à trouver des solutions aux obstacles et difficultés relevés sur le site. Aussi cette visite nous a-t-elle permis de nous rendre compte du relief du terrain, de sa situation. Au cours de la visite du terrain nous avons utilisé le récepteur GPS GARMIN de poche pour parcourir le périmètre du site. Il ressort de tout cela que la superficie du domaine avoisine vingt-cinq d’hectare (25.00ha)

o L’observation sur le terrain des différentes unités morphologiques (tête du bas-fond, buttes, thalwegs, pentes Longitudinales et transversales, etc.) ; o La localisation du site par rapport au village ou la ville la plus proche ;

o Le positionnement du site sur une photographie aérienne à l’aide de google map;

-Les études topographiques se sont déroulées avec un matériel adéquat.

Elles ont consisté à:

o La délimitation du site par une polygonale fermée matérialisée aux sommets par des bornes en béton scellées sur place

o Le lever altimétrique et planimétrique du bas-fond par un quadrillage de 20 m x 20 m comme prévu par le TDR;

o La réalisation du plan d’état des lieux du bas fond avant son

aménagement avec un répertoire des occupants, les types de cultures avec leurs superficies ;

o Le traitement numérique et graphique des données ; o L’édition des différents plans.

Toutes ces informations ont permis l’établissement d’un fond

topographique, des plans de situation, les courbes de niveau, le profil en long du site à aménager et du plan d’occupation du bas fond avant son aménagement.

1- IMPLANTATION DE LA POLYGONALE DE BASE ET DELIMITATION DU SITE

Une polygonale est d’abord un squelette sur lequel se basent tous travaux topographiques. Elle est constituée d’un ensemble de points judicieusement répartis sur l’ensemble de la surface à lever dont les positions sont déterminées avec une précision supérieure ou égale à celle que l’opérateur attend du levé. Ces points servent d’appui aux opérations tant planimétriques qu’altimétriques.

L’implantation de la polygonale de base a été faite suivant une méthode bien définit.

a- REPERAGE DES SOMMETS

Le repérage de l’emplacement des bornes est une étape très importante pour la réussite du chantier. Elles doivent être positionnées de manière à pouvoir observer de chaque borne scellée le plus grand nombre de détails possibles. Pour cela nous avons parcouru tout le site en repérant les sommets par des piquets en bois, ensuite ces piquets ont été relevés par le GPS de poche ce qui nous a permis d’avoir la superficie approximative du site qui devrait avoisiner les 20ha selon les TDR. Enfin les bornes ont été scellées à ses sommets avec du ciment, le sable, et l’eau de manière à ce que les distances les séparant soient inférieures ou égales à 250 mètres à cause de la précision recherchée et de l’instrument utilisé.

b- SCELLAGE DES BORNES DE LA POLYGONALE

Les bornes de polygonation doivent être bien scellées pour empêcher leur facile déplacement. Pour ce fait nous nous sommes dotés d’une moule de 20 centimètres de côté, du ciment, du sable et de l’eau. Nous avons alors creusé des trous de 18×18×45 centimètres. Ensuite nous sommes passés au malaxage jusqu'à l’obtention d’un mélange homogène. Ce dernier a été versé dans le trou jusqu'à remplissage et on y a enfoncé un piquet métallique pour marquer le centre de la borne. Signalons qu’au préalable la moule a été posée au-dessus du trou pour donner une forme régulière à la borne.

Quelques instants après que la moule soit enlevée nous inscrivons sur la borne le marquage ‘’HORSE/BECATEC. S1’’. (Figure 1)

FIGURE 1:PHOTO MONTRANT UNE BORNE SCELLEE SUR PLACE

Source : A.K. Nonfon,2016 2- NIVELLEMENT ET LEVE POLYGONAL

Nous avons procédé tout d’abord au nivellement de la polygonale avec un niveau NAK2 en aller et retour dont les résultats définitifs altitudes sont inscrit dans le tableau des coordonnées (Tableau 6). Cette opération nous a permis d’obtenir les dénivelées entre les différentes bornes avec une précision qui est égale à celle recherchée pour ces types d’aménagement, l’altitude de la première borne B1 implantée sur le terrain est de 251.00m.

Cette cote est obtenue à partir du récepteur GPS Garmin. Deux observations de GPS ont ensuite été faites sur les deux bornes B1 et B2 en vue d’obtenir le gisement de départ. Toutefois nous devons reconnaître que la détermination de l’altitude de départ et de l’orientation par le récepteur GPS Garmin n’est pas l’idéal.

Le levé du canevas a été fait sur le terrain en même temps que les observations relatives aux détails afin d’éviter une double mise en station sur

chaque borne de la polygonale et la perte de temps. Toutes ces observations sont suivies d’un croquis de terrain qui est une pièce très importante dans l’établissement des documents graphiques.

TABLEAU 6:COORDONNEESDESBORNESDELAPOLYGONATION COORDONNEES

BORNES X Y Z

B1 330514,00 1198182,00 251,000 B2 330347,46 1198268,84 247,144 B3 330053,03 1198363,28 243,223 B4 329943,82 1198380,85 242,049 B5 329880,06 1198330,46 241,043 B6 329816,94 1198187,90 239,279 B7 329704,97 1198178,37 239,116 B13 329830,20 1198045,22 241,096 B14 329980,83 1197945,21 241,865 B15 330278,79 1198110,27 245,580

Les cheminements principal et secondaire ont été levés avec une station TS 06 Leica accompagnée d’une méthode d’autocontrôle. Cette méthode déterminés respectivement par le récepteur GPS GARMIN.

TABLEAU 7:COORDONNEESDEQUELQUESPOINTSLEVES

COORDONNEES

POINTS X Y Z

1 330532,711 1198190,481 250,799 2 330530,551 1198191,587 250,853 3 330527,902 1198192,926 250,784

4 330526,378 1198193,416 250,546 5 330524,759 1198194,339 250,937 6 330502,019 1198206,389 249,940 7 330512,499 1198229,016 250,318 8 330536,279 1198219,164 251,013 9 330540,236 1198216,923 251,204 10 330542,090 1198215,690 250,840 11 330543,140 1198214,658 251,083 12 330545,202 1198213,184 251,149 13 330547,711 1198211,600 250,988 14 330517,620 1198169,094 250,643 15 330515,667 1198169,331 250,613 16 330513,145 1198170,962 250,485 17 330511,852 1198171,879 249,638 18 330509,507 1198172,849 250,694 19 330500,025 1198146,181 250,549 20 330502,124 1198144,619 250,471 21 330496,876 1198148,412 250,289 22 330495,151 1198151,860 249,027 23 330494,786 1198154,275 249,903 24 330490,497 1198129,689 250,657 25 330491,791 1198130,641 249,306 26 330492,427 1198131,671 249,311 27 330492,770 1198132,938 250,749 28 330490,406 1198133,267 250,558 3- LEVE DU TERRAIN NATUREL ET DES DETAILS DU SITE

a- QUADRILLAGE DU SITE EN MAILLES

Le quadrillage est l’opération qui consiste à diviser un terrain en petits carrés de dimension judicieusement choisie, plus précisément en ce qui concerne l’aménagement de ce site le quadrillage a été fait à l’aide des mailles de 20 mètre ×20 mètres.

La surface du site étant vaste nous empêche d’effectuer un quadrillage en piquetant de tout le domaine. Pour cela nous avons opté pour une méthode plus rationnelle. Tout au long des côtés Ouest et Est du site nous avons implanté des jalons d’une taille de 4,00 mètres suivant le sens de la longueur du domaine. Sur chaque demi-jalon nous inscrivons la distance correspondant

à sa position et son numéro avec un marqueur. Ainsi chaque demi jalon se trouvant sur le côté Est avait son correspondant sur le côté Ouest.

b- SEMIS DES POINTS ET LEVE DES SOMMETS DES MAILLES POUR L’ALTIMETRIE

La surface du terrain relativement dégagée nous a permis de procéder à un quadrillage pour le levé altimétrique. Nous avons alors procédé à un semi de points alignés. Pour cela nous avons disposé des jalons en bois d’une hauteur minimum de 4 mètres au bout desquels nous avons attaché des drapeaux de couleurs différentes (jaune et rouge). A chaque 20 mètres sur le côté Est et Ouest, nous implantions un drapeau de couleur différente à celle qui précédait dans l’alignement des demis jalons. Ainsi à chaque drapeau de couleur donnée situé sur le côté Ouest correspondait la même couleur de drapeau situé sur le côté Est.

Au milieu des deux drapeaux de même couleur, deux jalons étaient

Au milieu des deux drapeaux de même couleur, deux jalons étaient

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