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JJA ACCE EN NTTE E

3- Négation polémique :

1.Je ne sais pas pourquoi, chez nous, en Algérie, aucune mayonnaise ne prend.

Dans ce passage choisi comme ouverture du spectacle, Fellag s’interroge sur la situation dans laquelle se trouve son pays où : « aucune mayonnaise ne prend. »

Dans l’énoncé nié « Je ne sais pas pourquoi », nous pouvons repérer les deux points de vue suivants :

Pdv1 : Je sais pourquoi, chez nous, en Algérie, aucune mayonnaise ne prend.

Ce point de vue est supposé être celui qui a poussé le locuteur à tenir les propos de l’énoncé nié. En d’autres termes, Fellag a produit son énoncé comme réaction et comme réponse au Pdv1.

Pdv2 : Je ne sais pas pourquoi, chez nous, en Algérie, aucune mayonnaise ne prend.

Ce point de vue est extrait directement du passage à analyser.

L’analyse de la structure polyphonique de ce passage se centre sur l’élément de la polyphonie linguistique, la négation.

Après avoir extrait les deux points de vue véhiculés par la structure polyphonique, nous passons à la configuration polyphonique –second élément de l’analyse polyphonique - où il s’agit d’attribuer les liens de responsabilité aux différentes images du locuteur.

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En effet, les deux points de vue repérés sont marqués par la négation « ne…pas », trace de leur présence. La structure polyphonique de cet énoncé comporte le pronom de la première personne « Je » qui renvoie au locuteur responsable du Pdv2, Fellag. Celui-ci s’interroge en assumant la totale responsabilité du fait qu’il ignore la cause de la situation préoccupante de son pays, alors que le Pdv1 n’est pas le sien. C’est à l’analyse de la configuration que revient la tâche de lier ce point de vue à un être discursif.

Maintenant qu’on a déterminé le point de vue dont Fellag est responsable, il faut, pour arriver au bout de l’interprétation de l’énoncé, chercher la source du Pdv1. Autrement dit, on doit se poser la question « Qui en est responsable ? »

La structure du Pdv nous fournit une instruction concernant le lien à établir entre l’être discursif que nous cherchons à identifier et le Pdv1. Cet être discursif est représenté linguistiquement par le pronom « Nous ». Ce dernier représente l’ensemble des Algériens y compris le locuteur Fellag car celui-ci s’implique avec le choix du « Nous » au lieu de se distancier avec un « Ils ». Donc, l’être discursif responsable du premier point de vue est marqué dans la signification par un élément lexical.

2. On n’avait pas l’habitude.

Dans l’énoncé nié ci-dessus, deux points de vue ressortent clairement :

Pdv1 : On avait l’habitude.

Ce point de vue est celui qui a donné naissance à l’énoncé nié et a poussé Fellag à nier ces propos en donnant le point de vue adverse.

Pdv2 : On n’avait pas l’habitude.

Le Pdv2 est celui prononcé explicitement dans l’énoncé, c’est les propos fellaguiens.

En quête d’êtres discursifs responsables de ces deux point de vue, on constate que pour dans le Pdv2, l’emploi de « on » recouvre une dimension polyphonique du fait qu’il réfère à l’ensemble des Algériens qui ont eu leur indépendance. Ce « on » établit une certaine co-référentialitè avec « les vrais Algériens », « les militants », « tous ceux qui aspiraient à l’indépendance », « tous ceux qui profitent de l’indépendance ». Par l’usage du « on », Fellag s’implique. Ce qui reflète son nationalisme et sa soif de liberté et d’indépendance. Pdv1 émane des Algériens qui se leurrent en tentant de s’adapter à

l’indépendance comme si cette dernière n’était qu’un retour à un état primaire –avant colonial-, refusent d’avouer leur désarroi qui a mené à un déséquilibre dans tous les secteurs, et ont honte d’avouer qu’ils sont les responsables de cette situation.

3. Ça faisait trois mille ans qu’on était colonisés. Tout d’un coup, on a eu l’indépendance, mais on n’avait pas le mode d’emploi qui allait avec !

En soumettant ce passage à l’analyse de la structure polyphonique, on arrive à identifier les points de vue 1 et 2 :

Pdv1 : Ça faisait trois mille ans qu’on était colonisés. Tout d’un coup, on a eu l’indépendance, mais on avait le mode d’emploi qui allait avec.

Pdv2 : Ça faisait trois mille ans qu’on était colonisés. Tout d’un coup, on a eu l’indépendance, mais on n’avait pas le mode d’emploi qui allait avec.

En contextualisant l’énoncé en question lors de la configuration polyphonique, on arrive à détecter les instances responsables de chaque point de vue. Pour le Pdv2, les responsables de ce jugement sont Fellag et l’ensemble des Algériens. Ils pensent ainsi que la mauvaise gestion a engendré les problèmes que connait le pays. Quant au Pdv1, il appartient à ceux qui estiment que l’Algérie avait connu l’indépendance et la liberté avant le colonialisme. Donc on sait très bien comment vivre libre et comment gérer notre pays indépendant. L’être discursif responsable de ce point de vue peut être aussi les Algériens qui ont vécu avant le colonialisme donc ils savant très bien que l’indépendance ne peut pas poser problème comme étant un état nouveau et étranger aux Algériens.

4. Comme disait Ibn Khaldoun, le grand historien et sociologue du Moyen Âge

maghrébin : « Les Arabes se sont entendus pour ne pas s’entendre. »

Les propos d’Ibn Khaldoun contiennent un énoncé nié qui véhicule des points de vue :

Pdv1 : Les Arabes se sont entendu pour s’entendre.

Ce point de vue est présupposé, il constitue l’idée qui suscite le point de vue du locuteur de l’énoncé.

Le second point de vue est celui qui est présent clairement dans l’énoncé.

Si l’émetteur s’est servi de la négation, c’est parce que quelqu’un pense ou aurait pu penser que les Arabes ont un commun accord de s’entendre sur tout et c’est généralement l’image qui devrait les unir sous le nom de l’Islam et aussi de la même patrie –l’Algérie - Donc, c’est les islamistes et les nationalistes qui construisent l’être discursif responsable du Pdv1 qui est contraire à l’opinion de Ibn Khaldoun ou Pdv2. À travers la ponctuation ( : « … »), l’attribution de la responsabilité du Pdv2 à Ibn Khaldoun va de soi. Quant à Fellag, émetteur du passage contenant l’énoncé, il ne s’implique pas dans l’opinion de Ibn Khaldoun, ni dans le point de vue opposé.

5. Nous, nous, jusque-là, jusqu’en 1926, tant qu’on ne s’entendait pas, on s’entendait très, très bien !

Cet énoncé est porteur de deux points de vue :

Pdv1 : Tant qu’on s’entendait, on s’entendait très, très bien !

Pdv2 : Tant qu’on ne s’entendait pas, on s’entendait très, très bien !

L’étape suivante est celle de l’identification des êtres discursifs responsables de ces points de vue ainsi que l’établissement des liens de responsabilité qui les lient.

Par l’emploi du pronom « on », Fellag attribue le Pdv2 à un « on » polyphonique hétérogène qui est collectif. Les membres de ce « on » collectif se distinguent en tant qu’individus susceptibles de prendre la parole. Le « on » renvoie aussi bien à Fellag qu’aux Algériens qui ont le même point de vue que lui concernant l’entente en Algérie. L’auteur du sketch s’associe ainsi à l’être discursif collectif de ce point de vue.

Le Pdv1 présupposé peut avoir comme source un être abstrait ou un être qui veut faire part d’une fausse image de la situation de l’Algérie et des relations entre les Algériens. Il affirme ainsi que depuis 1926 les Algériens s’entendent très, très bien. 6. Dès qu’on a voulu s’organiser pour s’entendre…on ne s’entendait plus !

Ce passage qui aborde la même idée que le précédent comporte des points de vue différents :

Présupposé être dit par une source définie ou non, il suscite comme point de vue contradictoire le Pdv3. Autrement dit, il constitue le point de départ de ce dernier.

Pdv2 : Tant qu’on ne s’entendait pas, on s’entendait très, très bien !

Pdv3 : Dès qu’on a voulu s’organiser pour s’entendre…on ne s’entendait plus.

En cherchant les différentes sources de ces points de vue, on constate que cet énoncé est complexe de par le fait qu’il nie deux énoncés antérieurs, Pdv1 et Pdv2. Le Pdv1, c’est le « peut être dit » par une instance quelconque. Dans le contexte discursif de notre corpus, ce sont les Algériens de la période postcoloniale qui ont bâti et instauré les lois régissant la nouvelle Algérie, l’Algérie libre. C’est à eux que revient la décision de se mettre d’accord pour s’entendre dans le but d’unifier l’opinion publique algérienne.

L’être discursif responsable du Pdv2 a été identifié dans l’analyse de l’énoncé 8. Quant au Pdv3, il est prononcé par le locuteur dans le but de nier les deux qui le précèdent. En effet, Fellag s’associe par le « on » avec la catégorie des Algériens conscients de la réalité de leur pays et surtout ceux qui s’auto-accusent de l’état dans lequel se trouve l’Algérie. Pour les êtres responsables de ce point de vue, cette mésentente qui règne en Algérie est due à la non-tenue de la promesse que se sont fait les Algériens pour s’entendre.

7. Mais bien avant les dinosaures, et bien avant Adam et Eve, remontons aux tout

débuts, commençons depuis le commencement, bien avant la vie, avant le temps et avant l’espace. Comme vous le savez, il n’y avait rien. C’était le néant, c’était le grand walou!

Le passage ci-dessus est porteur de la négation « ne…rien » qui véhicule deux points de vue opposés :

Pdv1 : Comme vous le savez, il y avait tout.

Pdv2 : Comme vous le savez, il n’y avait rien. C’était le néant, c’était le grand walou ! L’analyse de la configuration polyphonique de l’énoncé révèle un processus de dérivation où le pdv1 n’a pas lieu d’être, il s’efface complètement. Le seul point de vue restant est le Pdv2. Il s’agit dans ce cas d’une négation descriptive puisqu’en interpellant son public l’auteur fait part d’une vérité générale sur laquelle tout le monde

est d’accord. L’énoncé en question comporte des éléments linguistiques qui apportent des précisions concernant le lien de responsabilité ainsi que l’être discursif responsable de ce point de vue. Le « vous » implique le public de Fellag, son allocutaire, dans la responsabilité de ses propos car, par l’expression « comme vous le savez », il attribue à ses propos un caractère conventionnel. En effet, le fait qu’il n’y avait rien à une certaine période de l’existence est un fait indiscutable selon Fellag, son public et tous ceux qui y adhèrent vu que c’est un point de vue descriptif.

8. On raconte qu’un jour, ils se bouchaient les oreilles pour ne pas entendre le chant ensorceleur et magique des sirènes qui essayaient de les attirer dans leurs grottes.

La négation employée dans ce passage nous fait part de deux points de vue totalement contradictoires:

Pdv1 : Ils ne se bouchaient pas les oreilles pour entendre le chant ensorceleur et

magique des sirènes.

Ce point de vue est celui de l’auteur de la fausse version de l’histoire d’Ulysse. Dans cette version, les faits de la version originale dans laquelle Ulysse et les marins se sont laissé emporter par les sirènes sont totalement déformés.

Pdv2 : Ils se bouchaient les oreilles pour ne pas entendre le chant ensorceleur et

magique des sirènes.

Le point de vue que présente Fellag dans son spectacle est inspiré d’une partie de l’histoire d’Ulysse et les marins dans laquelle Ulysse ouvre ses oreilles à la raison en donnant comme instruction aux marins qui l’accompagnent de fermer les oreilles pour éviter l’ensorcellement des sirènes. Donc, c’est l’auteur de la fausse histoire d’Ulysse, Sébastien Ferran, qui est le responsable de ce point de vue.

9. Les Romains sont venus…Les Romains, on les a rendus fous ! Habalnahoum ghir bessmata ! Ils sont restés six cents ans chez nous, et ils n’ont pas pu s’implanter !

L’énoncé nié de ce passage laisse apparaitre les points de vue opposés suivants :

Pdv1 : Ils ont pu s’implanter.

Ce point de vue est celui d’une instance inconnue qui aurait pu dire que les Romains se sont implantés en Algérie.

À travers cet énoncé, notre auteur s’approprie le pdv2 et s’y implique avec le « chez nous » qui renvoie à l’Algérie. Le second indice linguistique « on », est un ON collectif qui désigne Fellag et l’ensemble du peuple algérien. Le locuteur ainsi que l’allocutaire – les immigrés algériens de son public et les Algériens - forment l’instance responsable du pdv2. Dans ce point de vue, l’humoriste insiste sur le courage et les faits d’armes de son peuple qui a pu vaincre tous les empires y compris l’empire romain qui avait la moitié du monde sous son aille.

10. Les guerriers berbères, que des armes écologiques…les tire-boulettes, ils jetaient de l’huile kabyle, zit lakvayel sur les routes et les Romains, ils glissaient, ils n’arrivaient plus à avancer.

Dans ce passage, Fellag compare les armes romaines aux armes algériennes lors des confrontations et des attaques. Il use d’une négation de forme « ne…plus ». L’énoncé contenant cette dernière est porteur des points de vue suivants :

Pdv1 : Ils arrivaient à avancer.

Pdv1 est le point de vue présupposé qui stipule que les Romains, malgré l’huile jetée sur eux, peuvent avancer. Le point de vue suivant nie et s’oppose au pdv1.

Pdv2 : Ils n’arrivaient plus à avancer.

L’humoriste algérien est l’être discursif responsable de ce point de vue. Il contredit et s’oppose au premier point de vue dont l’instance responsable est représentée par les Romains. Ces derniers sont responsables du point de vue qui incarne leur conception et leur façon de voir la route huilée car ce lien de responsabilité est indiqué implicitement dans le second point de vue. En effet, vu qu’ils ont pris le risque de marcher sur ces routes, ils ont eu comme point de vue l’idée qu’ils pouvaient avancer normalement.

Quant à Fellag, il prend en charge le second point de vue en affirmant et en décrivant l’échec des Romain à marcher et à avancer en mettant la lumière sur la ruse et la capacité des soldats berbères à user d’armes aussi simples qu’écologiques et à vaincre l’armement romain.

11. Les Berbères, l’anarchie totale : « En avant ! À l’attaque ! » Ils parlaient déjà français ! Avant les Français ! Je n’ai rien compris.

Dans cet énoncé décrivant comment les Berbères entamaient les batailles avec anarchie, Fellag avance un énoncé nié à la fin de sa description. Ce dernier comporte dans ses entrailles les points de vue suivants, un présupposé suscitant le second :

Pdv1 : Les Berbères, l’anarchie totale : « En avant ! À l’attaque ! » Ils parlaient déjà français ! Avant les Français ! J’ai compris.

Ce point de vue est présupposé et sous- jacent. Il est réfuté par le pdv2 qui est explicite dans l’énoncé.

Pdv2 : Les Berbères, l’anarchie totale : « En avant ! À l’attaque ! » Ils parlaient déjà français ! Avant les Français ! Je n’ai rien compris.

Ce point de vue est le point de vue réel. Il est présent dans le discours Fellaguien. En effet, celui-ci nie et réfute l’idée de compréhension de l’usage de la langue française par les Berbères lors de la conquête romaine. Si le fait de parler français avant les Français pourrait paraitre normal aux yeux d’une autre source - instance quelconque responsable du pdv1 -, pour l’auteur de Djurdjurassique Bled, qui est responsable du point de vue pdv2, il s’agit d’un acte inconcevable qui suscite l’étonnement. Le lien qu’entretien Fellag, locuteur de l’énoncé l0, avec le pdv2 est celui d’une entière responsabilité et cela est marqué par un indice linguistique, le pronom personnel « je », qui n’implique que Fellag.

12. À l’époque, comme vous le savez, toutes les batailles s’arrêtaient au crépuscule et elles reprenaient à l’aube. Dès que la nuit tombait, les deux armées se séparent. Les Romains, ils rentraient chez eux, dans les campements, dans les tentes. Ils vont enfin se reposer. Ils n’en peuvent plus, la chaleur, les mouches, les guerriers berbères.

Dans ce passage, Fellag commence par expliquer à son public une des lois réglementaires de la guerre, celle qui régissait la bataille décrite entre les Berbères et les Romains et selon laquelle les deux armées devaient cesser de se battre au crépuscule.

Le premier point de vue sous-jacent, réfuté par la négation employée dans l’énoncé nié est :

Pdv1 : Les Romains peuvent supporter la chaleur, les mouches et les guerriers berbères Pdv2 : Ils n’en peuvent plus, la chaleur, les mouches, les guerriers berbères.

Arrivé à l’étape de tissage des êtres discursifs responsables des précédents points de vue et des liens énonciatifs les attachant, on se trouve confronté à une déviation descriptive exprimée par les causes d’incapacité des soldats Romains : la chaleur, les mouches, les guerriers berbères. Ces derniers jouent le rôle de déclencheurs de cette déviation qui efface le premier point de vue. Ce dernier, bien quel grammaticalement acceptable, demeure asémantique puisque la nature humaine exige que tout être ne peut supporter de tels circonstances. Dans cet énoncé nié, l’auteur se limite à la description de l’état d’incapacité et physique des soldats extenués.

13. Et juste au moment où ils s’allongent, il y a les guerriers berbères qui reviennent avec les enfants, les chèvres, la smala, les casseroles, les marmites, les… Et ils se mettent sur la colline qui domine le campement des Romains et toute la nuit : « Bla din yemmekoum, vous n’allez pas dormir ! »

Dans ce passage, la négation sous la forme « ne…pas », véhicule deux points de vue contradictoires :

Pdv1 : « Bla din yemmekoum, vous allez dormir ! »

Ce point de vue est celui opposé à celui exprimé dans les paroles rapportées dans le passage.

Pdv2 : « Bla din yemmekoum, vous n’allez pas dormir ! »

Ce point des vue dont les soldats berbères sont les êtres discursifs responsables exprime la rage de ces derniers à travers des menaces qui en s’ajoutant à l’expression « Bla din yemmekoum » se teintent d’une promesse ironique. Le lien de responsabilité est véhiculé par la structure de discours indirect. Quant au premier point de vue pdv1, il émane d’une source inconnue, de part le fait qu’il est impossible d’attribuer de tels propos à des Berbères lors d’une bataille.

14. Les Arabes hchawhana ! Les Arabes, ils nous ont eus… Comme ils ont la même couleur que nous, on ne les a pas vus venir

Dans le passage ci-dessus, Fellag décrit les exploits des Berbères qui ont sorti des pays et des empires qui ont colonisé ou tenté de coloniser l’Algérie. L’humoriste use de la négation restrictive « ne…pas » qui laisse apparaitre les points de vue suivants :

Pdv2 :On ne les a pas vus venir…

L’analyse de la configuration fait ressortir un premier point de vue qui prend pour être discursif les Berbères. Le lien entre le pdv1 et sa source est indiqué par un « on » collectif et hétérogène qui renvoie à l’auteur du spectacle et aux Berbères : ON collectif