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MASSIF CENTRAL

Dans le document RA CE (Page 45-52)

L'hydraulicité de l'année 1943 met en relief les deux régimes auxquels sont soumis les cours d'eau originaires du Massif Central. Alors que la Loire, l'Allier, le Tarn, qui subissent l'influence méditerranéenne, ont, en dépit d'un étiage très accusé, un module voisin ou même supérieur au module moyen de la période de référence 1920-1943, les autres cours d'eau sou-mis au régime océanique présentent un déficit annuel variant de 28

o/

0 pour la Cère à 47 °;~

pour la Creuse. Seule la Truyère, qui participe aux deux régimes à la fois, a un module voisin de la normale ( - 10

%)

grâce à d'abondantes pluies d'automne.

L'étude ci-après des débits mensuels précisera ce point.

Le mois de janvier fut très pluvieux dans sa première quinzaine et les débits moyens mensuels supérieurs à la moyenne de ceux de la période de référence 1920-1943 sauf pour la Dore à Giroux et le Viaur à Thuriès qui lui furent inférieurs de 25

Mais février fut absolument sec; à part quelques faibles chutes de neige à haute altitude et les débits furent partout inférieurs à la normale, excepté ceux du Tarn à Pont-de-Montvert.

L'absence presque corn piète de précipitations, que ne corn pensa pas fa fusion rapide d'un stock de neige presque inexistant amena une baisse générale des débits au mois de mars alors qu'ils eussent dû normalement monter.

Cette baisse se poursuivit au mois d'avril où le déficit dépassa 80

%

pour la Dore, la Truyère, la Dordogne. Le Tarn conserva seul un débit voisin de la normale. Dans· le bassin

supérieur de l'Allier, à la station de Châteauneuf-de-Randon (1.280 m.), il ne tomba pendant les 3 mois. de février, mars, avril, que 25 mm de pluie contre 200 mm habituellement. De même à Saint-Chély (987 m) on trouve le chiffre de 28 mm pour ces mêmes trois mois, au lieu de 198 mm.

Une légère amélioration se produisit en mai où les précipitations furent normales, mais le sol desséché les ayant rapidement absorbées, les débits restèrent tous inférieurs à la moitié de la normale, sauf toujours pour le Tarn où le déficit ne fut que de 10

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0 à Pont-de-Montvert, de ~O

o/

0 à Pinet.

- 38

-Au mois de juin les précipitations furent infimes, même nulles en certains endroits,

l'hy-drau licité relative atteignit son minimum (85

%

de déficit pour la Sioule) et ce fut le début de l'étiage même pour le Tarn.

Quelques pluies orageuses en juillet permirent au débit mensuel de la Dordogne de remon-ter légèrement jusqu'à 50

%

de la moyenne.

L'étiage se prolongea jusqu'à la mi-septembre en général (jusqu'à la fin d'octobre pour la Creuse, le Viaur et !'Agout). Il fut particulièrement accusé pour la Cère et le Viaur dont les débits furent au mois d'août inférieurs de 80 et de 90 ~~à la moyen ne. De fortes pluies tombèrent dans la seconde quinzaine de septembre et améliorèrent l'hydraulicité de la Truyère et des cours d'eau soumis à l'influence méditerranéenne qui, à l'exception du Tarn, dépassèrent largement la normale. Mais la Sioule, la Creuse, la Maronne, l'Agout et le bassin de la Dor-dogne furent encore très mal alimentés.

L'amélioration se poursuivit en octobre où une crue générale se produisit vers le 25. Le débit n1oyen mensuel de l'Allier fut triplé; ceux de la Loire, du Tarn, de la Dore et de la Truyère plus que doublés. Toutefois, la crue fut à peine ressentie par la Creuse et l'Agout dont les débits n'atteignirent encore pas la moitié de la normale.

Les débits de novembre furent moyens dans l'ensemble; pour le Taurion, la Creuse et le bassin de la Dordogne, la pénurie se poursuivit ( - 55

%

à Éguzon), tandis que des averses méditerranéennes firent remonter les débits de l'Allier, du Viaur, du Lot et de la Truyère.

Et cette situation persista en décembre où les coùrs d'eau issus du versant méridional du Massif Central furent très largement excédentaires mais où le Taurion, la Creuse, la Maronne, etc .... présentent un déficit allant jusqu'à 45

%

(Taurion à Pontarion).

* * *

L'étude des dates et des aspects des crues accentue, bien entendu, le contraste entre les deux régimes. Pour les rivières soumises au régime océanique trois crues importantes seulement, dont la première amène les 13 et 14 janvier les débits maxima de l'année (excepté pour la Dore, la Truyère, le Viaur et !'Agout). Ensuite, aucune montée notable ne se produisit jusqu'au 25 octobre. Enfin, la dernière crue eut lieu le 25 novembre. Ces crues furent brusques et de

courte durée.

Les rivières soumises au régime méditerranéen ont aussi une crue en janvier (les 22 et 23) mais elle est beaucoup moins prononcée que les suivantes. Du 23 au 26 mars les débits de l'Allier passent de 10,6 m 3/s à 335 m3/s; ceux du Tarn au Pont-de-Montvert de 0,96 m3/s à 29,86 m3 /s; la Loire monte aussi, mais dans de moindres proportions. Des montées en flèche moins importantes se produisent le 26 rnars sur l'Allier et le Tarn, mais la crue la plus consi-dérable a lieu le 25 octobre où le Tarn passe de 35 m3/s le 23 à 912 m 3/s le 25; l'Allier de 13,5 à 750 m3/s; la Loire de 20 m 3/s à 973 m3/s, tous débits maxima de l'année. Enfin, une dernière crue très importante aussi eut lieu le 7 décembre. Cette dernière fut ressentie également par la Truyère qui atteignit ce jour son plus fort débit de l'année. (D'ailleurs, en examinant attenti-vement le graphique des débits de la Truyère on peut remarquer que cette rivière a été sensible à toutes les crues de l'un et l'autre régimes.)

En résumé, sauf pour les rivières soumises au régime méditerranéen, la sécheresse qui avait débuté en 1941 et que l'abondance du mois de janvier avait interrompue a repris dès mars avec

plus d'intensité que jamais et s'est prolongée, pour la plupart des cours d'eau du Massif Central, jusqu'en fin octobre où, fort heureusement, les très fortes pluies automnales alimentèrent abondamment les cours d'eau.

PYRÉNÉES

De même qu'en 1942, la région des Pyrénées est, au cours de l'année 1943, favorisée par rapport au reste de la France quant à l'hydraulicité. Celle-ci ne fut en effet, pour l'ensemble de la région, que de 5

%

inférieur,e à la moyenne. La plupart des cours d'eau ont des modules voisins de la normale; la Nive est largement excédentaire (

+

30 %>·Seul l'Adour à Asté pré-sente un déficit de 38

Pourtant, l'étude des débits révèle une grande irrégularité des valeurs relatives de l'hy-draulicité mensuelle.

Une température anormalement élevée et des précipitations abondantes caractérisent le mois dejanvier; aussi tous les débits sont-ils importants (celui de la Nive est presque doublé) sauf, bien entendu, ceux des stations élevées (La Pique, les Nestes) et ceux des fleuves côtiers méditerranéens (Tech et Aude) où la sécheresse persiste depuis juillet 1942.

Le mois de février, quoique plus froid, présente un aspect analogue de l'hydraulicité, mais le mois de mars voit la situation se retourner. Pénurie de précipitations, température élevée amènent la fonte précoce des neiges, les débits des Gaves et de la Nive baissent, ceux de la Pique et des Nestes montent de même que ceux du Tech et de l'Aude (

+

14

%)

de la normale.

Le mois d'avril fut très chaud, la neige fondit, la pluviosité atteignit la moitié de la normale, tous les débits s'amé'liorèrent, dépassant même parfois largement la normale, à l'exception de ceux de l'Adour et des cours d'eaux issus du versant méditerranéen exceptionnellement sec (un seul jour de pluie à Velmanya dans les Pyrénées-Orientales).

'

En mai, la pluviosité fut médiocre à l'ouest, presque nulle à l'est, seules la Nive et les Nestes eurent des débits normaux; tous les autres cours d'eau furent en déficit, déficit qui atteignit 42

%

pour le Tech et l'Aude, la Garonne et le Salat.

Le stock de neige étant complètement épuisé et les précipitations m1t:11mes, les débits, qui devaient normalement présenter leur maximum au mois de juin, sont en très forte dimi-nution sur ceux du mois de mai et l'hydraulicité relative est partout .en déficit ( - 64 % environ pour la Pique, l'Adour, le Gave d'Oloron).

L'étiage précoce et très accusé apparaît dès juillet où de fortes pluies d'orages sont tota-lement absorbées par la terre desséchée (la température moyenne du mois est supérieure de à la normale). Le déficit atteint son maximum - 75

%

pour le Gave de Brousset; de 40 à 65

%

pour les autres cours d'eau).

L'étiage se poursuit en août et prend fln en septetnbre où les pluies d'automne font leur apparition, très abondantes. On en registre partout de forts excédents de débit. Seu 1 1 'Adour reste, à Asté, inférieur de 42

%

à la moyenne.

Octobre et nov'embre sont également très humides, la Nive voit son débit doublé.

Mais décembre est sec (pluviosité 1 /2) dans la partie océanique des Pyrénées où tous les débits diminuent alors que les fleuves côtiers méditerranéens enregistrent leurs débits mensuels maxima en excédent de 126

%

pour le Tech et de 63

%

pour l'Aude.

Les crues furent nombreuses au cours de l'année. Chaque mois, sauf bien entendu pendant l'étiage, les eaux montèrent au moins une fois avec une très grande brusquerie pour retomber presque aussi rapidement. Les plus forts débits se produisirent vers la mi-février et la fin

novembre sans prendre jamais un caractère grave.

- 40

-En résumé, Pallure générale de l'hydraulicité dans les Pyrénées fut très irrégulière. La

température très douce de l'hiver et l'enneigement très médiocre firent que le maximum de printemps se produisit dès le mois de mai; l'étiage apparut dès juin et les glaciers subirent un fort destockage. Les pluies d'automne furent très abondantes heureusement et les cours d'eau largement alimentés, mais décembre fut anormalement sec.

·

-ALPES

Dans les Alpes, l'année 1943 est encore une année très sèche. Légèrement moins toutefois que l'année 1942; tous les modules des cours d'eau étudiés sont inférieurs à la moyenne de la période de référence 1920-1943 de quantités variant de 10

%,

pour la Romanche e_t le Doron de Bozel, à 40

%

pour' le Doubs, le Rhône au Teil, le Fier et le Guil, les bassins de basse alti-tude ayant été les moins bien alimentés.

En janvier, les précipitations furent superieures à la normale. Les débits de l'Ain, de l'Isère, de la Durance et de la Drôme dépassèrent de 10 à 15

%

la moyenne des 24 dernières années. Ceux des autres cours d'eau lui furent inférieurs de 5 ~la (Rhône et Verdon) à 56

o/

0

(Ubaye).

Février fut très sec, mais les débits se maintinrent sensiblement aux mêmes niveaux, grâce à la fusion de la neige tombée en janvier .

.J.V!ars fut encore moins humide, la neige continua à fondre et disparut même complètement dans les Basses-Alpes. Seuls les hauts bassins furent correctement alimentés. Le débit de l'Ain ne fut que de 36 ~~de sa valeur moyenne en ce mois; celui du Rhône dans son cours inférieur de 42

% ;

celui de la Drôme de 52

o/o·

Avril n'est guère plus arrosé. Les débits dans le Jura et les Préalpes restent faibles ainsi que ceux du Rhône; le Fier atteint son débit moyen mensuel maximum de l'année avec une valeur inférieure de 33

%

à sa valeur moyenne de la période de référence. En haute montagne, les débits sont normaux ou même excédentaires (Romanche au Chambon.

+

58

%,

Tinée au

Bancairon

+

42

%).

Le mois de mai est pluvieux dans toutes les Alpes. Le stock de neige achève de fondre.

La Durance et les rivières des Basses-Alpes sont assez bien alimentées et présentent précocement leurs débits mensuels maxima. Mais le Fier et le Doubs sont en déficit de 45

Juin voit les débits baisser considérablement partout, sauf dans les hauts bassins dont les cours d'eau présentent normalement leurs débits maxima, mais avec un déficit assez consi-dérable. Le Jura seul est excédentaire mais les rivières des Basses-Alpes sont dans une pénurie extrême. La Drôme n'écoule que 17,5 % de son débit normal, le Guil, qui devrait être à son apogée, écoule 32

%,

le Verdon 35

%,

la Durance et la Tinée 50

La baisse des hydraulicités absolues et relatives se poursuivit en juillet et août; la Drôme

atteignit son plus bas débit avec un déficit de 84

%,

le Verdon et la Tinée avec 54

Seuls

les bassins de haute montagne, approvisionnés par la fusion !es glaciers, eurent des débits normaux. Cette fusion fut si intense que le Doron de Bozel eut son débit moyen mensuel maxi·

mum en août au lieu de juin avec un excédent de 23

%

sur sc;>n débit normal en ce mois.

- 41

-Les pluies de septembre furent très abondantes et tous les cours d'eau furent en général argement alimentés (Drac

+

71

% ;

Romanche

+

56

% ;

Durance+ 29

% ·;

Ubaye

+

75

% ;

Drôme

+

68 ~'6). L'Ain et le Doubs restèrent déficitaires.

Octobre fut très sec; la pluviosité fut même nulle en certains points, dans les Basses-Alpes en particulier. Les débits retombèrent à des valeurs très médiocres, surtout dans le Jura et les Préalpes. Seule la Durance eut un débit normal.

Novembre fut froid et humide, les débits remontèrent dans le Jura et les Préalpes, bais-sèrent en haute montagne, tendant vers l'étiage d'hiver. La Durance et les cours d'eau des Basses-Alpes furent en fort déficit (50 à 65

%>·

Sauf dans le Jura où ce mois fut un des plus secs depuis de nombreuses années, décembre

fut doux et assez humide; la neige tombée en novembre fondit et les débits remontèrent, excepté, bien entendu, dans les stations à haute altitude où débuta l'étiage. De fortes pluies locales amenèrent des crues sur la Drôme et sur le Verdon qui furent en excédent de 88 et de 78 °fo et présentèrent leurs débits moyens mensuels maxima de l'année de manière tout à fait insolite.

Aucune crue importante n'est à signaler dans la région des Alpes jusqu'à la seconde quinzaine de septembre. A ce moment, tous les cours d'eau enregistrèrent une forte montée des débits qui n'eut toutefois nullement un caractère ex.ceptionnel. En certains points, une recrudescence se produisit quelques jours plus tard. C'est ainsi qu'à Dingy le Fier passa de 2m3/s le 20 septembre à 21 m 3/s le 22, puis, après une décrue, remonta jusqu'à 76 m3/s le 26.

A Gavet la Romanche passa de 50 m3/s le 13 à 169 m3/s le 15, puis 219 le 23. Dans le Jura, les plus forts débits se présentèrent le 29 novembre. Cette çrue fut également ressentie dans les autres bassins de basse altitude. Enfln, nous avons signalé plus haut les crues qui affectèrent la Drôme et le Verdon vers le milieu du mois de décembre et qui.amenèrent les seuls forts débits de l'année pour ces deux rivières.

En résumé, après un mois de janvier et un mois de février assez bien alimentés, le prin-temps fut sec, les cours d'eau étant approvisionnés uniquement par la fonte des neiges dont le stock, inférieur à la m'oitié de la normale, fut rapidement épuisé. Dès juin, les hautes eaux prennent fin pour la plupart des rivières étudiées et les débits retombent vers un étiage très accusé jusqu'au moment des grandes pluies de septembre. Octobre et novembre jusqu'en ces derniers jours sont à nouveau très secs.· Décembre est presque normal, marqué seulement par l'abondance de la Drôme et du Verdon.

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Mars Avrtl Mat Juin Jut!let Aout Septembre Octobre Novembee Oecembre

- 4 3 -

Station N° 1

Située en Suisse

LE RHIN A RHEINFELDEN

·Surface du bassin versant : 34.550 km2

Altitude du zéro de l'échelle : 256,74 Station en service depuis 1901

JANV. Fi!VR. MARS AVR. MAI JUIN JUIL. AOUT SEPT. OCT. NOV. D~C.

1 430. 540. 575. 743 1 884 1 948. 1210 1 912 1 590 1 848 1 490 1 630 1 2 448 1 630 1 587 1 1092. 831 1 987. 1175 1 915 1 587 1 848 1 490 1 549.

3 453 1 659 1 599 1 991 1 856 1 995. 1132 1 873. 578 1 800.' 493 1 507.

4 450. 675. 617 1 873. 838. 1054. 1039 1 866. 561 . 796. 485. 482 1 5 461 • 646. 630 1 842. 800. 1136. 1036. 859 1 540. 769. 468 1 464.

6 461 1 611 .

s12:

866. 817 1 1074 1 1010 1 845. 538. 749. 456 1 ' 456 1 7 456 1 569. 646. 866. 838. 1152. 1017. 834. 538. 714. 464. 453.

8 477. 593. 608. 901 . 838. 1179. 1062 1 810. 538 1 701 1 453. 474 1

1 9 480. 608. 620 1 884 1 828. 1183. 1168. 800. 535 1 675. 453. 493 1

10 456 1 608. 620 1 866. 887. 1570. 1210. 772. 535 ~ 1 662 1 442. 474.

Débits 11 461 . 596 1 630 1 884. 934. 1553. 1128 1 766. 530 1 639. 442 1 461 . 12 464. 575. 633 1 870. 908 1 1499. 1124. 772. 532. 636 1 1 432. 435 1

journalie~s 13 480. 633 1 636. 859 1 887 1 1437. 1148. 789. 532 1 620. 445. 438.

14 549. 682. 624. 845. 866 1 1412. 1190 1 769 1 549 1 614 1 488 1 456 1 en 1943 15 620 1 659. 617. 820. 852 1 1499 1 1148 1 736. 558. 602. 453. 448 1 16 575 1 704. 652 1 814. 845. 1545 1 1128. 733. 572 1 611 . 438 1 440 1 17 512. 685. 656 1 817. 870 1 1742. 1101 1 756. 599. 602. 425. 440.

(m3/s) 18 493 1 656 1 652 1 800 1 904 1 1939 1 1062 1 743. 617. 584. 420. 442.

19 482. 639 1 656 1 806 1 912 1 1759. 1054 1 733. 639 1 599. 403 1 435 1 20 471 1 624 1 656 1 870 1 904 1 1645 1 1062 1 733 1 709 .. 596. 418. 445.

21 474. 599. 652 1 958. 894 1 1570 1 1074 1 710. 831 . 587. 398. 510.

22 474 1 614. 678. 944. 884. 1545. 1097 1 694. 766 1 566. ! 396. 496 1

23 474. 627. 685 1 912 1 884 1 1512 1 1101 1 707 1 789. 546. 1 396 1 485 1 24 561 . 627 1 672. 908. 898 1 1461 . 1093. 710. 803 1 538. 1 1 405 1 464 25 608. 611 . 665 1 918. 937 1 1420. 1077. 694 1 766. 532. 440. 422 26 549. 608. 678. 898 1 991 . 1396. 1054 1 682. 824. 543. 474. 410 27 540 1 611 . 694. 922. 1010 1 1367. 1032 1 672 1 1006 1 527. 438. 412.

28 530. 572. 730. 940. 980 1 1331 . 1032 1 649. 904 1 532 1 420. 438.

29 515 1 769 1 926. 940 1 1290. 998 1 636. 876 1 512. 656. 425.

30 507 1 796 1 948. 898 1 1242. 976. 620. 876. 512. 798. 438.

31 512. 743. 908. 948. 614. 502. 410.

1943 498 1 624. 656. 886. 888. 1381 . 1087 1 755. 661 1 631 1 463. 462.

Dltbits

---~-moyens

1808-mensuels 647' 636. 745. 939. 1207 1 1488. 1479 1 1309 1 1091 . 895 1 782 1 711 . 1943 (l)

(m3/s)

1920-1943 727 1 701 . 786 1 972. 1253 1 1507. 1516. 1341 • 1084. 930. 839. 699.

1

1943 749 m3/s, soit 21,7 l/s/km2, soit une lame d'eau de om,684.

Modules 1808-1943 994 m3/s, -·' 28,8 l/s/km2,

- -

om,909.

1920-1943 1.030 m3/s, - 2918 l/s/km2,

- -

om,940.

(1) De 1808 à 1901, station de substitution : Schifflânde (35.929 km2) 1 sur le Rhin.

~ 1 '

Dans le document RA CE (Page 45-52)

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