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2. Méthodes existantes d’évaluation de la performance de responsabilité sociétale

2.4. Méthodes d’évaluation niveau projet

2.4.1. Méthodes classiques d’analyse économique

Les analyses économiques de projets consistent à en quantifier les béné

associés, en les exprimant dans une unité monétaire. Les coûts sont définis comme des «

d’argent versées en contreparties de biens ou de services utilisés en vue de réaliser un projet qui rapportera des bénéfices » (Derome 1997).

découlant de la réalisation d’un projet

(Derome 1997) identifie différents types de coûts pouvant être pris en compte dans les analyses économiques de projets :

Figure 30 - Typologie des coûts pouvant être pris en compte dans les analyses économiques de projets

Les coûts différentiels sont des coûts générés à la mise en œuvre du projet. Autrement dit, ces coûts seront évités si le projet n’est pas mis en œuvre. Les

sont pas générés par la mise en œuvre du projet. Ces coûts ne varient pas d’un projet à l’autre, et ne sont donc pas pertinents lorsque l’on cherche à comparer deux projets

Les coûts passés correspondent aux coûts déjà support

futurs correspondent aux estimations de coûts que l’entreprise prévoit de supporter. Par définition, l’évaluation d’action a priori repose sur des estimations de coûts différentiels futurs, ces estimations pouvant être réalisées à partir d’une analyse des coûts

versement d’un prix minimal au producteur en vue de soutenir les petits paysans

. En contrepartie, ceux-ci s’engagent à assurer un fonctionnement démocratique et non discriminatoire pour que chaque membre de l’organisation de producteurs puisse participer aux prises de décision, à respecter les droits des travailleurs (en assurant un salaire décent, en assurant le respect des droits et libertés syndicales et d’association), à

ques de culture respectueuses de l’environnement… (Pesqueux 2009)

Méthodes d’évaluation niveau projet

Méthodes classiques d’analyse économique

Les analyses économiques de projets consistent à en quantifier les béné

associés, en les exprimant dans une unité monétaire. Les coûts sont définis comme des «

d’argent versées en contreparties de biens ou de services utilisés en vue de réaliser un projet qui rapportera des . Les bénéfices peuvent être définis comme «

découlant de la réalisation d’un projet » (Derome 1997).

identifie différents types de coûts pouvant être pris en compte dans les analyses

Typologie des coûts pouvant être pris en compte dans les analyses économiques de projets 1997)

sont des coûts générés à la mise en œuvre du projet. Autrement dit, ces coûts seront évités si le projet n’est pas mis en œuvre. Les coûts stables

se en œuvre du projet. Ces coûts ne varient pas d’un projet à l’autre, et ne sont donc pas pertinents lorsque l’on cherche à comparer deux projets

correspondent aux coûts déjà supportés par l’entreprise alors que les correspondent aux estimations de coûts que l’entreprise prévoit de supporter. Par définition, l’évaluation d’action a priori repose sur des estimations de coûts différentiels futurs, ces estimations pouvant être réalisées à partir d’une analyse des coûts passés

versement d’un prix minimal au producteur en vue de soutenir les petits paysans (PESQUEUX

ci s’engagent à assurer un fonctionnement démocratique et non- embre de l’organisation de producteurs puisse participer aux prises de décision, à respecter les droits des travailleurs (en assurant un salaire décent, en à mettre en place des (Pesqueux 2009).

Les analyses économiques de projets consistent à en quantifier les bénéfices et les coûts associés, en les exprimant dans une unité monétaire. Les coûts sont définis comme des « sommes d’argent versées en contreparties de biens ou de services utilisés en vue de réaliser un projet qui rapportera des Les bénéfices peuvent être définis comme « l’avantage pécuniaire

identifie différents types de coûts pouvant être pris en compte dans les analyses

Typologie des coûts pouvant être pris en compte dans les analyses économiques de projets (Derome

sont des coûts générés à la mise en œuvre du projet. Autrement dit, ces coûts stables sont des coûts qui ne se en œuvre du projet. Ces coûts ne varient pas d’un projet à l’autre, et ne sont donc pas pertinents lorsque l’on cherche à comparer deux projets (Derome 1997).

és par l’entreprise alors que les coûts correspondent aux estimations de coûts que l’entreprise prévoit de supporter. Par définition, l’évaluation d’action a priori repose sur des estimations de coûts différentiels futurs,

Les coûts engagés correspondent aux décaissements supportés par l’entreprise qui met en œuvre le projet. Par ailleurs, lorsqu’un projet est choisi au détriment d’un autre, l’entreprise saisit (ou perd) une occasion. Ces coûts d’opportunité correspondent à la différence des coûts et bénéfices entre le projet retenu et le projet écarté (Derome 1997).

Or les coûts générés par un projet dépendent de facteurs qui doivent être pris en compte dans l’analyse économique. Parmi ces facteurs, le volume d’activité est celui qui a le plus d’influence sur les estimations de coûts d’un projet. Selon cette influence, deux types de coûts peuvent être distingués :

- Les coûts variables correspondent aux coûts qui varient en fonction du volume d’activité. Il s’agit par exemple des coûts de la main d’œuvre qui varient en fonction du nombre d’heures travaillées, ou encore des coûts de carburant qui varient en fonction des distances parcourues.

- Les coûts fixes sont des coûts qui ne varient pas sur des plages de volumes d’activité données. Il s’agit par exemple des coûts de locations immobilières ou encore de l’amortissement des équipements de production (Derome 1997).

Il existe deux méthodes pour estimer les coûts et les bénéfices : la méthode du flux monétaire et la méthode comptable.

Dans la méthode du flux monétaire, également appelée méthode des Cash Flow (Derome 1997), les coûts et les bénéfices d’un projet sont évalués à partir des entrées et sorties d’argent engendrés par la mise en œuvre du projet. Selon l’étape de mise en œuvre du projet, plusieurs types de flux sont distingués (Derome 1997) :

- Les débours d’investissement nécessaires au démarrage du projet.

- Les recettes et les débours annuels occasionnés par l’exploitation et l’entretien sur l’ensemble de la durée de vie du projet.

- Les recettes liées à la cession d’actifs en fin de projet.

La méthode comptable consiste à évaluer les coûts et les bénéfices d’un projet à partir des dépenses et des revenus qu’il génère. Dans cette approche, les revenus et les dépenses ne correspondent pas uniquement aux rentrées et sorties d’argent. Ils reflètent également les transferts de marchandises, les services rendus ou encore les variations de valeurs des actifs (Derome 1997).

Les méthodes d’analyses économiques de projet consistent à évaluer leur rentabilité en analysant leurs coûts et leurs bénéfices.

Taux de rendement interne (Tri)

Cette méthode consiste à estimer « le pourcentage gagné sur le montant de capital investi, pour chacune des années de la durée du projet, après avoir tenu compte du remboursement du montant investi au départ »

(Derome 1997). La rentabilité d’un projet est évaluée en comparant le Tri au taux de rendement minimal (Trm) exigé par les dirigeants. Seuls les projets dont le Tri est supérieur au Trm sont considérés comme des projets rentables.

Valeur Actuelle Nette (VAN)

Cette méthode consiste à estimer la valeur totale du projet en monnaie d’aujourd’hui. Elle correspond à la valeur des recettes à laquelle est retirée la valeur des dépenses, actualisées avec un taux d’actualisation déterminé (Derome 1997). Les projets rentables sont ceux pour lesquels la VAN est positive, c’est-à-dire, ceux pour lesquels la valeur actuelle des recettes est supérieure à la valeur actuelle des dépenses.

L’indice de rentabilité, correspondant au rapport entre la VAN et les dépenses d’investissements, peut être utilisé pour comparer plusieurs projets.

Méthode des coûts annuels équivalents

Les coûts annuels équivalents correspondent à la somme des coûts annuels sur la durée de vie du projet, convertis en valeur actuelle. La valeur actuelle des coûts annuels prend en compte les dépenses d’investissement, la valeur actuelle résiduelle, ainsi que les coûts annuels d’entretien et d’exploitation (Derome 1997).

La méthode des coûts annuels équivalents peut être utilisée pour classer et comparer les coûts annuels de différents projets. Une des limites de la méthode apparait lorsque les projets à comparer n’ont pas la même durée de vie. Cette difficulté peut être levée en supposant que les projets sont menés de façon répétée dans le temps (Derome 1997).

Méthode du délai de recouvrement (Dr payback)

La méthode du délai de recouvrement (Dr) repose sur une évaluation des coûts selon la méthode du flux monétaire. Elle consiste à estimer le temps nécessaire pour que le cumul des recettes annuelles nettes, définies comme la différence entre les recettes annuelles et les dépenses annuelles, atteigne le montant investi (Derome 1997).

Le Dr peut être utilisé pour comparer plusieurs projets sous les conditions suivantes (Derome 1997) :

- Si les projets ont la même durée et s’ils ont un modèle de flux monétaires semblable. - Ou, si cette méthode peut être couplée avec une méthode d’actualisation pour prendre

en compte l’évolution de la valeur de l’argent dans le temps.

Les Dr de différents projets peuvent alors être comparés entre eux ou à un délai maximal fixé par les dirigeants de l’entreprise.

Méthode du taux de rendement comptable

La méthode du taux de rendement comptable (Trc) repose sur une évaluation des coûts selon la méthode comptable. Le Trc peut être calculé de deux manières :

- Soit comme le rapport entre les revenus annuels nets moyens et les dépenses initiales d’investissement.

- Soit comme le rapport entre les revenus annuels nets moyens et les dépenses moyennes d’investissement.

Le projet est rentable si le Trc est supérieur à un taux de rendement minimal (Trm) fixé par les dirigeants. Cependant le Trc, à la différence du Trm, ne tient pas compte de l’évolution de la valeur de l’argent dans le temps. De plus, il ne permet pas de comparer des projets ayant des durées de vie différentes.

Analyse du coût global sur le cycle de vie (ACCV)

L’analyse des coûts du cycle de vie (ACCV) a été développée par l’armée américaine dans les années 1960 à partir du constat que le prix d’achat des produits ne représentait qu’une partie des coûts réels générés (Programme des Nations Unies pour l'Environnement (PNUE) et al. 2009). Les ACCV consistent à évaluer a priori l’ensemble des coûts qui seront engendrés tout au long du cycle de vie d’un bien depuis sa conception, jusqu’à sa mise au rancart, en passant par leur production ou encore leur utilisation. Le coût global prend donc en compte les éléments suivants (Derome 1997) :

- Les coûts d’investissement.

- Les coûts d’entretien et d’exploitation.

- Les coûts de remplacement des composantes. - La valeur résiduelle.

La norme ISO 15686-5:2008 propose par exemple des lignes directrices pour calculer le coût global de bâtiments et de biens immobiliers. La norme distingue deux types de coûts selon le périmètre pris en compte (MEDDAT et al. 2009) :

- Le coût global, également appelé Life Cycle Cost (LCC), intègre l’ensemble des coûts et bénéfices technico-économiques supportés par le maître d’ouvrage et l’utilisateur, à savoir, les coûts de conception, de construction, d’exploitation, de maintenance et de déconstruction.

- Le coût global étendu intègre des coûts et bénéfices plus larges, et notamment : o Les coûts et bénéfices technico-économiques correspondant à ceux de

l’approche coût global mais intégrant, en plus, les coûts liés aux modalités de financement et à la fiscalité.

o Les coûts et bénéfices intangibles du projet, qui peuvent être, par exemple liés aux impacts du projet sur l’image de l’organisation…

o Les coûts et des bénéfices

projet. Ces coûts et bénéfices sont appelés externalités négatives et positives.

Figure 31 - Périmètres du Coût Global Etendu et du Coût Global, définis selon la norme ISO 1568

Pour mener une analyse du coût global, il est nécessaire de prendre en compte - Les conditions d’exploitation.

- Le taux d’utilisation.

- Le taux d’actualisation utilisé par les dirigeants. - La durée d’étude.

- La durée de vie.

Notons que le choix du niveau du taux d’actualisation utilisé dans de tels calculs est un élément critique. En effet, ce taux permet de ramener sur une base compara et les bénéfices qui sont échelonnés sur plusieurs années. Un taux trop élevé valoriser les gains réalisés dans

2.4.2. Méthodes d’évaluation des impacts de responsabilité sociétale Méthode d’analyse «

La méthode d’analyse SROI repose sur une évaluation des coûts et des bénéfices tenant des impacts sociaux et environnementaux associés à la mise en œuvre d’un projet

al. 2009). Comme les méthodes d’analyse économique classiques, le SROI permet de calculer des ratios, à partir des flux financiers sur une période de temps déterminée.

calcul intègre les coûts et bénéfices suppor

environnementaux au niveau des parties prenantes

Relativement récente, cette méthode a jusqu’à présent été principalement utilisée dans le secteur es coûts et des bénéfices supportés par d’autres parties prenantes externes au projet. Ces coûts et bénéfices sont appelés externalités négatives et positives.

Périmètres du Coût Global Etendu et du Coût Global, définis selon la norme ISO 1568 2009)

Pour mener une analyse du coût global, il est nécessaire de prendre en compte es conditions d’exploitation.

e taux d’utilisation.

d’actualisation utilisé par les dirigeants.

Notons que le choix du niveau du taux d’actualisation utilisé dans de tels calculs est un élément critique. En effet, ce taux permet de ramener sur une base compara et les bénéfices qui sont échelonnés sur plusieurs années. Un taux trop élevé

les gains réalisés dans le présent au détriment de ceux effectués dans le

Méthodes d’évaluation des impacts de responsabilité sociétale Méthode d’analyse « Social Return on Investment » (SROI)

La méthode d’analyse SROI repose sur une évaluation des coûts et des bénéfices tenant des impacts sociaux et environnementaux associés à la mise en œuvre d’un projet

. Comme les méthodes d’analyse économique classiques, le SROI permet de calculer des ratios, à partir des flux financiers sur une période de temps déterminée.

calcul intègre les coûts et bénéfices supportés par l’entreprise ainsi que les impa

environnementaux au niveau des parties prenantes (également appelés externalités) Relativement récente, cette méthode a jusqu’à présent été principalement utilisée dans le secteur

supportés par d’autres parties prenantes externes au projet. Ces coûts et bénéfices sont appelés externalités négatives et positives.

Périmètres du Coût Global Etendu et du Coût Global, définis selon la norme ISO 15686-5 (MEDDAT et al.

Pour mener une analyse du coût global, il est nécessaire de prendre en compte (Derome 1997) :

Notons que le choix du niveau du taux d’actualisation utilisé dans de tels calculs économiques est un élément critique. En effet, ce taux permet de ramener sur une base comparable les coûts et les bénéfices qui sont échelonnés sur plusieurs années. Un taux trop élevé conduira à

e ceux effectués dans le futur. Méthodes d’évaluation des impacts de responsabilité sociétale

» (SROI)

La méthode d’analyse SROI repose sur une évaluation des coûts et des bénéfices tenant compte des impacts sociaux et environnementaux associés à la mise en œuvre d’un projet (Nicholls et . Comme les méthodes d’analyse économique classiques, le SROI permet de calculer des ratios, à partir des flux financiers sur une période de temps déterminée. La méthode de tés par l’entreprise ainsi que les impacts sociaux et (également appelés externalités). Relativement récente, cette méthode a jusqu’à présent été principalement utilisée dans le secteur

tertiaire pour démontrer les impacts des activités d’entreprises à caractère social (services à la personne, les services aux plus démunis…) sur la société (Arvidon et al. 2010).

Une analyse SROI repose tout d’abord sur l’identification des intrants, des extrants, des résultats et des impacts, positifs comme négatifs, générés ou ressentis par les parties prenantes du projet. Il s’agit ensuite d’attribuer une valeur monétaire aux bénéfices et aux coûts associés aux impacts identifiés. Cette étape de monétarisation des impacts peut s’avérer délicate, et il existe plusieurs méthodes pour mener cette évaluation. (Chevassus-au-Louis 2009) distingue ainsi les méthodes :

- Selon qu’elles relèvent des préférences révélées (basées sur des comportements observables) ou des préférences déclarées par les agents lors d’enquêtes par questionnaires.

- Ou selon qu’elles reposent sur des approches directes (basées sur des informations permettant de déterminer directement une valeur) ou sur des approches indirectes (basées sur des informations corrélées, également appelés proxy-financiers, permettant de déduire une valeur).

Préférences révélées Préférences déclarées

Méthodes directes

- Monétarisation au prix de marchés - Coûts de restauration ou de

remplacement

- Coûts évités, effets de productivité

- Evaluations contingentes Méthodes indirectes - Dépenses de protection et comportements de prévention - Coûts de déplacement - Prix hédonistes - Analyse conjointe - Classement contingent - Comparaison par paires

Figure 32 - Typologie des méthodes d’évaluation des actifs non marchands (Chevassus-au-Louis 2009)

Le ratio SROI est ensuite calculé en ramenant la valeur nette créée par le projet aux investissements réalisés. Par exemple, un ratio de 3:1 signifie que pour chaque euro investi, la valeur sociale et environnementale créée est de 3 euros (Nicholls et al. 2009). L’utilisation de cette analyse peut soulever des questions méthodologiques et techniques, notamment concernant l’identification des impacts d’un projet et leur quantification en termes monétaires. Le guide SROI mentionne ainsi sept principes à prendre en compte lors de la réalisation d’une analyse SROI et de l’utilisation des résultats. Par exemple, contrairement aux analyses économiques classiques, la méthode SROI repose sur la notion d’engagement avec les parties prenantes, et incite l’organisation à communiquer avec ses parties prenantes.

Comment les méthodes d’analyse économique permettent-elles d’évaluer les performances de responsabilité sociétale des actions ? Ces méthodes sont adaptées pour comparer les coûts et bénéfices de plusieurs projets. Elles permettent d’orienter les choix d’action à mettre en œuvre pour réduire les coûts ou augmenter les bénéfices associés à la mise

en œuvre des actions. De plus, elles permettent de tenir compte des objectifs de rentabilité fixés par les dirigeants de l’entreprise, en vue de sélectionner les actions les plus rentables. Cependant, utilisées dans le cadre d’une démarche de responsabilité sociétale, ces méthodes prennent uniquement en compte les impacts quantifiables en termes monétaires. De plus, ces quantifications reposent sur des hypothèses qui peuvent être remises en question par les parties prenantes d’un projet.

Analyse sociale du cycle de vie (ASCV)

En 2009, le PNUE a publié des « Lignes directrices pour l’Analyse Sociale du Cycle de Vie des produits ». Ce guide présente une méthode permettant d’évaluer les impacts sociaux et socio- économiques d’un produit sur l’ensemble de son cycle de vie. Cette méthode est donc complémentaire aux ACV. Elle prend en compte différentes parties prenantes17 pour lesquelles sont identifiées différentes catégories et sous-catégories d’impacts telles que (Programme des Nations Unies pour l'Environnement (PNUE) et al. 2009) :

Catégories de parties

prenantes Sous-catégories

Travailleurs - Liberté d’association et de négociations collectives

- Travail des enfants - Salaires

- Heures de travail - Travail forcé

- Egalité des chances / Discrimination - Santé et sécurité

- Avantages sociaux / Sécurité sociale

Consommateurs - Santé et sécurité

- Mécanismes de rétroaction - Protection de la vie privée - Transparence

- Responsabilité en fin de vie Communautés locales - Accès aux ressources matérielles

- Accès aux ressources immatérielles - Délocalisation et migration - Héritage culturel

- Conditions de vie saines et sûres - Respect des droits autochtones - Engagement communautaire - Emploi local

- Conditions de vie sûres

17 Les catégories de parties prenantes prises en comptes sont : les travailleurs, les communautés locales, la société,

Catégories de parties

prenantes Sous-catégories

Sociétés - Engagement public sur les enjeux du développement

durable

- Contribution au développement économique - Prévention et médiation des conflits armés - Développement technologique

- Corruption Acteurs de la chaîne de

valeurs n’incluant pas les consommateurs

- Saine concurrence

- Promouvoir la responsabilité sociale - Relations avec les fournisseurs

- Respect des droits de propriété intellectuelle

Figure 33 - Catégories de parties prenantes et sous-catégories d'impacts prises en compte dans les Analyses Sociales