• Aucun résultat trouvé

T LD : Transformation de Laplace Directe

9 Transformations de Laplace

9.1 T LD : Transformation de Laplace Directe

On appelle Transformation de Laplace Directe (T LD) l’applicationlin´eaire: L : h7→eh

qui fait correspondre `a un signal h lafonction oudistribution eh175 com-plexe, de la variable complexe p=σ+i ω, dite variable de Laplace176, telle que :

eh(p),R

−∞h(t)e−p tdt ; p ∈ RDC deeh.

On a donceh,Lh et on note parfoiseh,L[h(t)] .

158. §240 pp. 886-891 et Table 12 pp. 1764-1766 159. §8.3 Analyse symbolique pp. 510-559 160. pp. 238-267

161. pp. 395-420 162. pp. 573-627 163. Ch. 11 pp.219-240

164. Ch. 5 et 6 pp. 115-147 et pp. 147-161 165. pp. 1032-1034

166. 5. S. Seely. pp. 331-386 167. Ch. 15 pp. 905-981

168. Laplace transform24 pages 169. section H pp. 886-887

170. p. 18

171. Ch. 9 pp. 573-627 172. pp. 886-891 173. pp. 1032-1034 174. pp. 395-420 175. notation de [32]

R´egion De Convergence (RDC) [24]177 :

C’est la r´egion du plan complexe dans laquelle l’int´egrale pr´ec´edente converge absolument ; elle poss`ede les propri´et´es suivantes.

P1 La RDC de eh consiste en une bande parall`ele `a l’axe imaginaire [24]178.

P2 Pour des fonctions eh rationnelles la RDC de H ne contient aucun pˆole.

P3 Pour un signal h `a support born´e et s’il y a au moins une valeur p0 pour laquelle l’int´egrale eh(p0) converge absolument alors la RDC de eh est

´

egale `a C.

P4Si le signalhest tel que h(t) = 0 pourt < t0 et si la droiteσ =σ0 est dans la RDC deeh alors toutes les valeurs de p telles que σ > σ0 sont dans la RDC deeh. En particulier le signal h estcausal sit0 = 0 et la fonction eh est holomorphe dans un domaine tel que σ > −α; α > 0 qui contient l’axe imaginaire.

P5Si le signalhest tel que h(t) = 0 pourt > t0 et si la droiteσ =σ0 est dans la RDC deehalors toutes les valeurs de ptelles queσ < σ0 sont dans la RDC de eh. En particulier le signal h est anticausal si t0 = 0 et la fonction eh est holomorphe dans un domaine tel que σ < α; α > 0 qui contient l’axe imaginaire.

P6Pour un signalhquelconque si la droiteσ =σ0 est dans laRDC deeh alors cette RDC est une bande du plan complexe parall`ele `a l’axe imaginaire qui contient la droite pr´ec´edente.

P7Pour des signaux h exponentiellement born´es i.e. tels que :

∃α, α >0 et ∃K, K >0 tels que : |h(t)|< K e−α|t|, ∀t, l’axe imaginaire appartient `a la RDC deeh.

Remarque :eh n’existe pas toujours. Par exemple on ne peut pas calculer sgn car saf RDC est vide.

Attention : des signaux h diff´erents peuvent avoir pour T LD la mˆeme fonctionehmais alors lesRDC deseh sont diff´erentes ; comme le montrent les exemples suivants.

177. §9.2 pp. 579-587

178. pp. 579-580 ; les auteurs parlent de bandes, mais il doit y avoir une erreur

Exemple a

h(t) = (e−t−e−3t)υ(t) alors eh(p) = (p+1) (p+3)2

et la RDC deeh est d´efinie par σ >−1.

Exemple b

h(t) = (−e−t+e−3t)υ(−t) alorseh(p) = (p+1) (p+3)2

et la RDC deeh est d´efinie par σ <−3.

Exemple c

h(t) = [−e−tυ(−t)−e−3tυ(t)] alorseh(p) = (p+1) (p+3)2

et la RDC deeh est d´efinie par −3< σ <−1.

9.1.1 Cas particulier d’un signal en temps discret Soit he un signal en temps discret; alors :

hee(p) = P

k=−∞hke−kp ; p ∈ RDC dehee . D´emonstration

Elle se calque sur celle de laT F Dd’un signal entemps discretquelconque.

On en d´eduit quehee(p±2n π i ) = hee(p) et donc quehee, consid´er´ee comme fonction de ω, est p´eriodique de p´eriode 2π ; il suffit, par exemple, d’´etudier hee sur la bande fondamentale du plan complexe telle que ω∈]− π π] :

Remarque :hee n’existe pas toujours. Par exemple on ne peut pas calculer pf car sa RDC est vide.

9.1.2 Lien ´eventuel entreheeetehsihecorrespond `a l’´echantillonnage de h queconque

Dans le cas g´en´eral d’un signal h en temps continu quelconque il n’y a aucun lien entre hee eteh.

Par contre ssi hk = 12[h(k∆−0) +h(k∆ + 0)] ; ∀k ∈ Z (ce qui est le cas si h est continu en k∆, ∀k ∈ Z et, en particulier, si h est continu sur ]− ∞ ∞[) on a :

hee(p) = 1 P

n=−∞eh(p− 2n π i ) . D´emonstration

Elle se calque sur celle qui ´etablit le lien ´eventuel entre hbe et bh dans le cas d’un signal hquelconque.

9.1.3 Lien avec la T F D On constate que :

eh(2π i ν) =bh(ν). De plus : eh(σ+ 2π i ν) =R

−∞[h(t)e−σ t]e−2π i ν tdt = (F[h(t)e−σ t])(ν).

9.1.4 Exemples de T LD

i) Exemples de T LD de signaux en temps continu Exemple 1 :eh(p) = a22−pa2 ; pour −a < σ < a.

Exemple 5 :eh(p) = p22−ap2 ; pour −a < σ < a.

ii) Exemples de T LD de signaux en temps discret T LD d’une impulsion de Dirac

t0(p) =R

−∞δt0(t)e−p tdt =e−t0p (care−p t est un signal entemps continu qui est continu) ; ∀σ.

En particulier, en faisantt0 = 0, δe0(p) = 1 ; ∀σ.

Exemple 1e :hee(p) = 1−2qcosh(∆1−q2 p)+q2 (avecq=e−a) ; pour −a < σ < a.

9.1.5 Formule de Parseval-Plancherel pour la T LD

Supposons que l’axe imaginaire appartient auxRDC deeh et ex et soit le produit scalaire dans le plan de Laplace :

<eh, x >e , 21π i Ri

−ieh(p)ex(p)dp. Alors :

< h, x >=<eh, x >e et en particulier sih=x :

||h||,√

< h, h >=||eh||, q

<eh, eh >.

D´emonstration

Elle se calque sur celle de la formule de Parseval-Plancherel pour laT F D.

On peut calculer l’ int´egrale pr´ec´edente dans le plan complexe le long d’un contour ferm´e incluant l’axe imaginaire et se refermant, `a l’infini, `a droite ou

`

a gauche en utilisant le th´eor`eme des r´esidus.

Cas particulier [20]

Sih(t)∈R etx(t)∈Ralors x =x(t)∈Retxe(p) =x(pe ) =x(σe −i ω).

Donc si σ = 0 (i.e. si p = i ω) on a ex(p) = ex(−p) et la formule de Parseval-Plancherel devient :

R

−∞h(t)x(t)dt= 21π i Ri

−ieh(p)ex(−p)dp, et en particulier sih=x :

||h||,q R

−∞h2(t)dt=||eh||, q 1

2π i

Ri

−ieh(p)eh(−p)dp.

Exemple 1 : h(t) = e−a|t| eteh(p) = a22−pa2 et on v´erifie bien que :

||h||,q R

−∞e−2a|t|dt =||eh||, q 1

2π i

Ri

−i(a22−pa2)2dp= 1a. D´emonstrations

•En effet le calcul de la premi`ere int´egrale est trivial grˆace `a la primitive de l’int´egrande QED.

• Et le calcul de la seconde int´egrale s’effectue grˆace au th´eor`eme des residus :

(a22−pa2)2 = 1a(p+a1 + a

(p+a)2p−a1 +(p−a)a 2).

Donc R´es [(a22−pa2)2,−a] = 1a

Et H

γ(a22−pa2)2dp = 2π iR´es [(a22−pa2)2,−a] = 2π ia , o`u le contour γ est constitu´e de l’axe imaginaire et d’un demi-cercle de rayon infini se refermant

`

a gauche du plan complexe et dans la mesure o`u le pˆole p = −a est le seul pˆole simple strictement `a l’int´erieur de ce contour.

Etant donn´´ e que l’int´egrale sur le demi-cercle est nulle, car|p|y est infini, on a bien :

q 1 2π i

Ri

−i(a22−pa2)2dp= 1a QED.

9.1.6 T LD d’une convolution lin´eaire de signaux i) Signaux en temps continu

Soit s=h∗x; alors : es=h]∗x=ehx.e D´emonstration

Elle se calque sur celle de la T F D d’une convolution lin´eaire de signaux en temps continu.

Remarque :

Sih repr´esente la r´eponse impulsionnelle d’un syst´eme lin´eaire invariant et si x repr´esente l’entr´ee de ce syst´eme alors la sortie de ce syst`eme est donn´ee par la convolution lin´eaire h∗x.

eh la T LD de h est appel´ee fonction de transfert du syst`eme lin´eaire in-variant et la T LD de la sortie est le produitehexde la fonction de transfert eh et de la T LD xede l’entr´ee :

ii) Signaux en temps discret Soit ue=he∗xe; alors : uee=h^e∗xe=heexee. D´emonstration

Elle se calque sur celle de la T F D d’une convolution lin´eaire de signaux en temps discret.

9.1.7 T LD d’un produit de signaux i) Signaux en temps continu

Soit z =h x; alors : eh∗ex=h xf =ez D´emonstration

Elle se calque sur celle de la T F D d’un produit de signaux en temps continu.

Exemple : soient les signaux h(t) = e−2|t| (cf. Exemple 1 ; avec a = 2) (non causal) et x(t) = (e−t−e−3t)υ(t) (cf. Exemple a) (causal). Alors on a vu que :

eh(p) = 4−p42 ; pour −2< σ <2 et x(p) =e (p+1) (p+3)2 ; pour −1< σ.

On en d´eduit que h(t)x(t) = (e−3t−e−5t)υ(t) et on trouve que : h x(p) =f p+31p+51 = (p+3) (p+5)2 ; pour −3< σ. Par cons´equent :

(eh∗ex)(p) = (p+3) (p+5)2 ; pour−3< σ. C’est bien ce que nous avions trouv´e dans la partie Convolutions .

ii) Signaux en temps discret Soit ze =hexe; alors : hee∗xee =h]exe =zee D´emonstration

Elle se calque sur celle de la T F D d’un produit de signaux en temps discret.

9.1.8 Dualit´e

es=h]∗x=ehxeet uee=h^e∗xe=heexee ez =h xf =eh∗ex etzee =h]exe =hee∗xee. 9.1.9 Translation temporelle

Soit h0(t) =h(t−t0) ; alors : he0(p) = e−t0peh(p).

D´emonstration

Elle se calque sur celle de laT F D d’une translation temporelle.

Remarque : dans le cas o`u le signalhest causal il est n´ecessaire que06t0 pour que le signal h(t−t0) soit ´egalement causal et la relation pr´ec´edente prend le nom de th´eor`eme du retard.

9.1.10 T LD d’un signal causal i) Signal en temps continu

Soit h un signal entemps continu causal, alors : eh(p),R

0 h(t)e−p tdt ; p ∈ RDC deeh et on parle deT LD unilat`ere.

ii) Signal en temps discret

Soit he un signal entemps discret causal ; par cons´equent, d’apr`es ce qui pr´ec`ede :

hee(ν) = P

k=0hke−kp ; p ∈ RDC de hee .

iii) Lien ´eventuel entre hee et eh si he correspond `a l’´echantillonnage de h causal.

Dans le cas g´en´eral d’un signal h en temps continu causal il n’y a aucun lien entre hee et eh.

Par contre ssi hk = 12 [h(k∆−0) +h(k∆ + 0)] ; ∀k ∈Z+∗ (ce qui est le cas si h est continu enk∆, ∀k ∈Z+∗ et, en particulier, sih est continu sur ]0 ∞[) on a :

hee(p) = 1 P

n=−∞eh(p− 2n π i ) +h0h(0+0)2 . D´emonstration

Elle se calque sur celle qui ´etablit le lien ´eventuel entre hbe et bh dans le cas d’un signal hcausal.

iv) Exemples

a) Exemples de T LD de signaux en temps continu Exemple 0 : eυ(p) = 1p; pour 0< σ.

Exemple 6 :eh(p) = p+a1 ; pour −a < σ.

Remarque : en faisant tendre a vers 0 on retrouve l’exemple 0.

b) Exemples de T LD de signaux en temps discret Exemple 0e : υee(p) = 12 coth(∆p2 ) ; pour 0< σ.

Remarque : ´etant donn´e que υ est continu sur ]0 ∞[ et que υ(p) =e 1p on a, d’apr`es ce qui pr´ec`ede :

υee(p) = 1 P n=−∞

1 p−2n π i

(car υ0υ(0+0)2 = 0) ; pour 0< σ..

Exemple 6e : hee(p) = 12 coth[∆ (p+a)2 ] ; pour −a < σ.

Remarque : ´etant donn´e que h est continu sur ]0 ∞[ et que eh(p) = p+a1 on a, d’apr`es ce qui pr´ec`ede :

hee(p) = 1 P n=−∞

1

p+a−2n π i (car h0h(0+0)2 = 0) ; pour−a < σ.

9.1.11 T LD d’un signal causal `a support born´e i) Signal en temps continu

Soit h un signal entemps continu causal `a support born´e [0 T[, alors : eh(p),RT

0 h(t)e−p tdt ; p ∈ RDC deeh. ii) Signal en temps discret

Soitheun signal entemps discret causal `a support born´e{0, . . . , N−1}; par cons´equent, d’apr`es ce qui pr´ec`ede :

hee(p) = PN−1

k=0 hke−k∆p ; p ∈ RDC dehee .

iii) Lien ´eventuel entre hee et eh si he correspond `a l’´echantillonnage de h causal `a support born´e.

Dans le cas g´en´eral d’un signalhentemps continu causal `a support born´e [0 T[ il n’y aaucun lien entre hee eteh.

Par contre ssihk = 12[h(k∆−0) +h(k∆ + 0)] ;k = 1, . . . , N−1 (ce qui est le cas si h est continu en k∆ ;k = 1, . . . , N −1 et, en particulier, si h est continu sur ]0 T[) on a :

hee(p) = 1 P

n=−∞eh(p− 2n π i ) +h0h(0+0)2h(T2−0)e−T p . D´emonstration

Elle se calque sur celle qui ´etablit le lien ´eventuel entre hbe et bh dans le cas d’un signal hcausal `a support born´e [0 T[.

iv) Exemples

a) Exemples de T LD de signaux en temps continu

Exemple 2 : χ(p) =e 1−ep−T p [et, par continuit´e χ(0) =e T] ;∀σ.

Exemple 3 :eh(p) = 1−(1+T p)T p2e−T p [et, par continuit´e eh(0) = T2] ;∀σ.

Exemple 4 :eh(p) = 1−e

2π p

p−i = 1−ep−2−T pπ i T

[et, par continuit´eeh(2Tπ i) =T] ;∀σ.

b) Exemples de T LD de signaux en temps discret

Exemple 2e : χee(p) = 1−e1−e−∆−T pp [et, par continuit´e χee(0) =N] ; ∀σ.

Exemple 3e : hee(p) = e−∆p−N e−Np+(N−1)e−(N+1) ∆p

N(1−e−∆p)2 [et, par continuit´e hee(0) = N−12 ] ; ∀σ.

Exemple 4e : hee(p) = 1−ω1−e−1−T p

N e−∆p [et, par continuit´e hee(2Tπ i) =N] ; ∀σ.

9.1.12 T LD d’un signal p´eriodique

LaT LD d’un signal p´eriodique n’existe pas car sa RDC est vide.

9.1.13 T LD d’un signal causal p´eriodique (pour 06t) C’est un cas particulier de laT LD d’un signal causal.

i) Signal en temps continu

Soit hT le signal en temps continu p´eriodique, de p´eriode T, qui corres-pond `a la p´eriodisation du signal h en temps continu causal `a support born´e [0 T[, alors le signal hT υ est causal et p´eriodique (pour 06t) ; et par cons´equent :

hgT υ(p),R

0 hT(t)e−p tdt = 1−eeh(p)−T p ; 0 < σ. D´emonstration

hgT υ(p) = R

0 hT(t)e−p tdt =P n=0

R(n+1)T

n T hT(t)e−p tdt.

Soit le changement de varaiable τ =t−n T ; alorsdτ =dt et : hgT υ(p) = P

n=0

RT

0 hT(τ +n T)e−p(τ+n T)dτ.

MaishT(τ +n T) = h(τ) carτ ∈[0 T[ et par cons´equent :

hgT υ(p) = [P

n=0e−n T p]RT

0 h(τ)e−p τdτ = 1−eeh(p)−T p; pour 0< σ QED.

ii) Signal en temps discret h]T eυ(p),P

n=0hT ke−k∆p = 1−efhe(p)−T p ; 0< σ . D´emonstration

Elle se calque sur la d´emonstration pr´ec´edente QED.

iii) Exemples

Soient iT+ et iT e+ les exemples qui correspondent respectivement aux fonctions hT υ ethT eυ des exmples iT et iT e.

a) Exemples de T F D de signaux en temps continu

Exemple 2T+. ´Etant donn´e que χT = 1 et donc queχT υ =υ : χgT υ(p) = 1p; pour 0< σ.

Exemple 3T+ : hgT υ(p) = 1−(1+T p)T p2(1−e−T pe−T p) ; pour 0< σ.

Exemple 4T+ : hgT υ(p) = p−12π i T

; pour 0< σ. Soit :

(L[eitυ(t)])(p) = p−i1 (rappel : Ω , 2Tπ) ; pour 0< σ. Donc : (L[e−itυ(t)])(p) = p+i1; pour 0< σ.

Remarque : en faisant ω = 0 on retrouve : eυ(p) = 1p; pour 0< σ. Par cons´equent :

(L[cos(Ωt)υ(t)])(p) = (L[12(eit+e−it)υ(t)])(p) = 12[p−i1 +p+i1]

= p2+Ωp 2 ; pour 0< σ.

De mˆeme :

(L[sin(Ωt)υ(t)])(p) = (L[21i(eit−e−it)υ(t)])(p) = 21i[p−i1p+i1]

= p2+Ω 2 ; pour 0< σ.

b) Exemples de T F D de signaux en temps discret Exemple 2T e+ : χ]T eυ(p) = 1−e1−∆p ; pour 0< σ.

Exemple 3T e+ : h]T eυ(p) = e−∆p−N e−Np+(N−1)e−(N+1) ∆p

N(1−e−∆p)2(1−e−T p) ; pour 0< σ.

Exemple 4T e+ : h]T eυ(p) = 1−ω−11

N e−∆p; pour 0< σ.

Documents relatifs