histochimie et de biologie moléculaire (HC II et PCR)
B. Etapes de la technique a) Préparation des réactifs :
I. 6 . L’âge de mariage
En ce qui concerne l’âge de mariage de nos patientes, seulement 123 cas leur âge de mariage a été mentionné dans les dossiers médicaux.
Parmi les facteurs de risque les plus plausibles ont été signalisés, la précocité de
l’activité sexuelle et l’âge du premier enfant conçu avant la vingtaine. Le mariage
avant l'âge de 21 ans était noté dans 113 cas (soit 91,86% des cas), parmi eux 21,95% ont été mariées entre 12 et 15 ans, 25,20% entre 18 et 21 ans et le plus
Nombre de cas
Fig. 27: Répartition des patientes selon la situation matrimoniale
0 20 40 60 80 100 120 140 160 180 200 Mariée 185 88,09% Situation matrimoniale Nombre de cas (%)
Etude expérimentale Chapitre IV : Résultats et discussion
73
I. 5. Situation matrimoniale
Concernant la situation matrimoniale des patientes atteintes du cancer
cervical, c’est le statut marital qui prédomine avec une fréquence de 88% des cas
de notre série, suivi par la catégorie des veuves avec 8,09 % des cas. Les divorcées représentent 2,38% des cas et le taux le plus faible est celui des célibataires avec 1,43% des cas (Figure 27).
I. 6. L’âge de mariage
En ce qui concerne l’âge de mariage de nos patientes, seulement 123 cas leur âge de mariage a été mentionné dans les dossiers médicaux.
Parmi les facteurs de risque les plus plausibles ont été signalisés, la précocité de
l’activité sexuelle et l’âge du premier enfant conçu avant la vingtaine. Le mariage
avant l'âge de 21 ans était noté dans 113 cas (soit 91,86% des cas), parmi eux 21,95% ont été mariées entre 12 et 15 ans, 25,20% entre 18 et 21 ans et le plus
Nombre de cas
Fig. 27: Répartition des patientes selon la situation matrimoniale
Mariée Cilibataire Divorcé Veuve
185 88,09% 3 1,43% 5 2,38% 17 8,09% Situation matrimoniale Nombre de cas (%)
Etude expérimentale Chapitre IV : Résultats et discussion
73
I. 5. Situation matrimoniale
Concernant la situation matrimoniale des patientes atteintes du cancer
cervical, c’est le statut marital qui prédomine avec une fréquence de 88% des cas
de notre série, suivi par la catégorie des veuves avec 8,09 % des cas. Les divorcées représentent 2,38% des cas et le taux le plus faible est celui des célibataires avec 1,43% des cas (Figure 27).
I. 6. L’âge de mariage
En ce qui concerne l’âge de mariage de nos patientes, seulement 123 cas leur âge de mariage a été mentionné dans les dossiers médicaux.
Parmi les facteurs de risque les plus plausibles ont été signalisés, la précocité de
l’activité sexuelle et l’âge du premier enfant conçu avant la vingtaine. Le mariage
avant l'âge de 21 ans était noté dans 113 cas (soit 91,86% des cas), parmi eux 21,95% ont été mariées entre 12 et 15 ans, 25,20% entre 18 et 21 ans et le plus
Nombre de cas
Fig. 27: Répartition des patientes selon la situation matrimoniale
Veuve 17 8,09% Situation matrimoniale Nombre de cas (%)
Etude expérimentale Chapitre IV : Résultats et discussion
grand pourcentage concerne les patientes mariées entre 15 et 18 ans (44,71%) (figure 28).
ND : Non Déterminé.
I. 7. La parité
Le fait de donner naissance à un bébé, peut aussi accroître le risque que
l’infection au VPH et évoluer en cancer du col de l’utérus. C’est parce que les taux d’hormones sexuelles sont élevés lors de la grossesse et le traumatisme provoqué
par l’accouchement qui sont incriminés.
Les résultats de notre étude montrent que la parité des femmes dans notre série varie de 0 à 8. Plus que la moitié (125 femmes) sont de grandes multipares avec 60 % des cas, 68 sont des paucipares soit 32% des cas, 6 cas de primipares et 11 cas
Fig. 28: Répartition des patientes selon l’âge de mariage
5 (4,42) 5 (4,42) 0 20 ]12,15] ]15,18] ]18,21] ]21,24] ]24,27] ND
Tranches d’âge (ans)
Etude expérimentale Chapitre IV : Résultats et discussion
grand pourcentage concerne les patientes mariées entre 15 et 18 ans (44,71%) (figure 28).
ND : Non Déterminé.
I. 7. La parité
Le fait de donner naissance à un bébé, peut aussi accroître le risque que
l’infection au VPH et évoluer en cancer du col de l’utérus. C’est parce que les taux d’hormones sexuelles sont élevés lors de la grossesse et le traumatisme provoqué
par l’accouchement qui sont incriminés.
Les résultats de notre étude montrent que la parité des femmes dans notre série varie de 0 à 8. Plus que la moitié (125 femmes) sont de grandes multipares avec 60 % des cas, 68 sont des paucipares soit 32% des cas, 6 cas de primipares et 11 cas
Fig. 28: Répartition des patientes selon l’âge de mariage 27(21,95) 55(44,71%) 31(25,20%) 5 (4,42) 5 (4,42) 87 20 40 60 80 100 Nombre de cas (%)
Tranches d’âge (ans)
Etude expérimentale Chapitre IV : Résultats et discussion
grand pourcentage concerne les patientes mariées entre 15 et 18 ans (44,71%) (figure 28).
ND : Non Déterminé.
I. 7. La parité
Le fait de donner naissance à un bébé, peut aussi accroître le risque que
l’infection au VPH et évoluer en cancer du col de l’utérus. C’est parce que les taux d’hormones sexuelles sont élevés lors de la grossesse et le traumatisme provoqué
par l’accouchement qui sont incriminés.
Les résultats de notre étude montrent que la parité des femmes dans notre série varie de 0 à 8. Plus que la moitié (125 femmes) sont de grandes multipares avec 60 % des cas, 68 sont des paucipares soit 32% des cas, 6 cas de primipares et 11 cas
Fig. 28: Répartition des patientes selon l’âge de mariage
Nombre de cas (%)
Etude expérimentale Chapitre IV : Résultats et discussion
75
I. 8. La prise de contraception hormonale
Certains auteurs pensent que l’utilisation à long terme de contraceptifs
oraux pourrait être associée à un risque légèrement accru du cancer du col et le risque serait de 100% pour une utilisation de 10 ans et plus (Smith et al., 2003). Notre étude indique que la prise de contraception hormonale a été positive dans plus de deux tiers des cas, (144 patientes) soit 69% des cas (figure 30).
Fig. 29: Répartition des patientes selon la parité
Primipare
Etude expérimentale Chapitre IV : Résultats et discussion
75
I. 8. La prise de contraception hormonale
Certains auteurs pensent que l’utilisation à long terme de contraceptifs
oraux pourrait être associée à un risque légèrement accru du cancer du col et le risque serait de 100% pour une utilisation de 10 ans et plus (Smith et al., 2003). Notre étude indique que la prise de contraception hormonale a été positive dans plus de deux tiers des cas, (144 patientes) soit 69% des cas (figure 30).
Fig. 29: Répartition des patientes selon la parité
3%
32%
60%
5%
Primipare Paucipare Multipare Nulipare
Etude expérimentale Chapitre IV : Résultats et discussion
75
I. 8. La prise de contraception hormonale
Certains auteurs pensent que l’utilisation à long terme de contraceptifs
oraux pourrait être associée à un risque légèrement accru du cancer du col et le risque serait de 100% pour une utilisation de 10 ans et plus (Smith et al., 2003). Notre étude indique que la prise de contraception hormonale a été positive dans plus de deux tiers des cas, (144 patientes) soit 69% des cas (figure 30).
Etude expérimentale Chapitre IV : Résultats et discussion
I. 9. Les antécédents médicaux (ATCM)
Jusqu'à présent, aucune étude n’a établi une relation entre le cancer cervical et l’apparition d’autres pathologies tels que l’hypertension artérielle (HTA), diabète, maladies cardiaques… .
Les résultats de notre étude montrent que l’apparition de certaines pathologies associées les plus incriminés et sont principalement l’HTA avec 29 cas (13,81%), 11 cas de diabète (5.24%), 5 cas (2.38%) avec antécédents d’infections sexuellement transmises de type fongique. Il faut noter que 22 cas (10,47%) signalent la présence d’autres maladies comme : le goitre, les Kystes, les maladies cardiaques, la lithiase vésiculaire, la lithiase rénale, le fibrome utérin, la tumeur ovarienne, la néoplasie du sein, et la leucémie aigue … (figure 31).
31%
Fig. 30: Répartition des cas selon la prise de contraceptifs oraux
Etude expérimentale Chapitre IV : Résultats et discussion
I. 9. Les antécédents médicaux (ATCM)
Jusqu'à présent, aucune étude n’a établi une relation entre le cancer cervical et l’apparition d’autres pathologies tels que l’hypertension artérielle (HTA), diabète, maladies cardiaques… .
Les résultats de notre étude montrent que l’apparition de certaines pathologies associées les plus incriminés et sont principalement l’HTA avec 29 cas (13,81%), 11 cas de diabète (5.24%), 5 cas (2.38%) avec antécédents d’infections sexuellement transmises de type fongique. Il faut noter que 22 cas (10,47%) signalent la présence d’autres maladies comme : le goitre, les Kystes, les maladies cardiaques, la lithiase vésiculaire, la lithiase rénale, le fibrome utérin, la tumeur ovarienne, la néoplasie du sein, et la leucémie aigue … (figure 31).
31%
69%
Fig. 30: Répartition des cas selon la prise de contraceptifs oraux
Etude expérimentale Chapitre IV : Résultats et discussion
I. 9. Les antécédents médicaux (ATCM)
Jusqu'à présent, aucune étude n’a établi une relation entre le cancer cervical et l’apparition d’autres pathologies tels que l’hypertension artérielle (HTA), diabète, maladies cardiaques… .
Les résultats de notre étude montrent que l’apparition de certaines pathologies associées les plus incriminés et sont principalement l’HTA avec 29 cas (13,81%), 11 cas de diabète (5.24%), 5 cas (2.38%) avec antécédents d’infections sexuellement transmises de type fongique. Il faut noter que 22 cas (10,47%) signalent la présence d’autres maladies comme : le goitre, les Kystes, les maladies cardiaques, la lithiase vésiculaire, la lithiase rénale, le fibrome utérin, la tumeur ovarienne, la néoplasie du sein, et la leucémie aigue … (figure 31).
Oui Non
Etude expérimentale Chapitre IV : Résultats et discussion
77
I. 10. Les facteurs génétiques
Quelques rares auteurs font état de la possibilité d’un facteur familial du
cancer du col utérin (Lemaitre, 1992).
Notre étude a montré qu’il n’y a eu que deux cas (0,85%) qui présentaient un terrain héréditaire (Sœur et mère atteintes d’une néoplasie du col utérin).
D’après certaines études, les femmes dont la mère ou la sœur a été diagnostiquée d’un cancer du col de l’utérus sont plus à risque d’être atteintes de ce cancer que les femmes qui n’ont pas d’antécédents familiaux. D’autres recherches sont nécessaires pour clarifier si la génétique ou les facteurs d’habitudes de vie en sont
la cause. 0 20 40 60 80 100 120 140 160 HTA Diabète 29 13,81% Nombre de cas (%)
Fig. 31 : Répartition des patientes selon les antécédents médicaux
ATCM
Sans particularité
Etude expérimentale Chapitre IV : Résultats et discussion
77
I. 10. Les facteurs génétiques
Quelques rares auteurs font état de la possibilité d’un facteur familial du
cancer du col utérin (Lemaitre, 1992).
Notre étude a montré qu’il n’y a eu que deux cas (0,85%) qui présentaient un terrain héréditaire (Sœur et mère atteintes d’une néoplasie du col utérin).
D’après certaines études, les femmes dont la mère ou la sœur a été diagnostiquée d’un cancer du col de l’utérus sont plus à risque d’être atteintes de ce cancer que les femmes qui n’ont pas d’antécédents familiaux. D’autres recherches sont nécessaires pour clarifier si la génétique ou les facteurs d’habitudes de vie en sont
la cause.
Diabète Infection Autre
malades Ras 11 5,24% 2,38%5 22 10,47% 145 68,09%
Fig. 31 : Répartition des patientes selon les antécédents médicaux
ATCM
Sans particularité
Etude expérimentale Chapitre IV : Résultats et discussion
77
I. 10. Les facteurs génétiques
Quelques rares auteurs font état de la possibilité d’un facteur familial du
cancer du col utérin (Lemaitre, 1992).
Notre étude a montré qu’il n’y a eu que deux cas (0,85%) qui présentaient un terrain héréditaire (Sœur et mère atteintes d’une néoplasie du col utérin).
D’après certaines études, les femmes dont la mère ou la sœur a été diagnostiquée d’un cancer du col de l’utérus sont plus à risque d’être atteintes de ce cancer que les femmes qui n’ont pas d’antécédents familiaux. D’autres recherches sont nécessaires pour clarifier si la génétique ou les facteurs d’habitudes de vie en sont
la cause.
Ras 145
68,09%
Fig. 31 : Répartition des patientes selon les antécédents médicaux
ATCM
Sans particularité
Etude expérimentale Chapitre IV : Résultats et discussion
I. 11. Niveau socio-économique
Notre étude indique que presque la moitié des patientes (49,52%) vit dans des conditions défavorables avec un niveau socioéconomique bas (figure 32). Il faut noter que la profession des patientes et celles de leurs conjoints ont été pris comme paramètres. 0 20 40 60 80 100 120 moyen 97 46,19% (%)
Fig. 32: Répartition des patientes selon le niveau socio-économique
Nombre de patientes
Etude expérimentale Chapitre IV : Résultats et discussion
I. 11. Niveau socio-économique
Notre étude indique que presque la moitié des patientes (49,52%) vit dans des conditions défavorables avec un niveau socioéconomique bas (figure 32). Il faut noter que la profession des patientes et celles de leurs conjoints ont été pris comme paramètres. bas haut 97 46,19% 104 49,52% 9 4,28% niveau socio-économique (%)
Fig. 32: Répartition des patientes selon le niveau socio-économique
Nombre de patientes
Etude expérimentale Chapitre IV : Résultats et discussion
I. 11. Niveau socio-économique
Notre étude indique que presque la moitié des patientes (49,52%) vit dans des conditions défavorables avec un niveau socioéconomique bas (figure 32). Il faut noter que la profession des patientes et celles de leurs conjoints ont été pris comme paramètres.
niveau
socio-économique
Fig. 32: Répartition des patientes selon le niveau socio-économique
Etude expérimentale Chapitre IV : Résultats et discussion
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