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Inventaire des parasites : tableaux récapitulatifs

CHAPITRE 4 : RESULTATS

4.1. Etude descriptive, identification et inventaire des parasites

4.1.3. Inventaire des parasites : tableaux récapitulatifs

Les tableaux II et III présentent respectivement l’inventaire des arthropodes et nématodes avec les diverses localisations.

Tableau II : Localisation par espèces des acariens Espèces d'arthropodes Localisations

Sarcoptes scabiei var suis Corps, tête, pattes Demodex phylloides Corps, tête, cuisses

Tableau III : Inventaire des nématodes rencontrés

Ordre Famille Espèce de nématodes Localisation

Spirurida Spiruridae 4.2. Taux d’infestation des espèces parasitaires

4.2.1. Infestation dues aux arthropodes

Sur 169 animaux examinés, 92 cas étaient porteurs de lésions croûteuses soit un taux

Pp = partie postérieure

4.2.1.1. Variation du taux d’infestation aux acariens en fonction des départements Le tableau IV montre la distribution des taux d’infestation aux acariens en fonction du département

Tableau IV : Taux d’infestation aux acariens en fonction des départements Départements Nombre de sujets

IC : Intervalle de confiance ; les taux d'infestations suivies des lettres différentes sont significativement différents au seuil de 5%.

La comparaison faite entre les taux d’infestations du département de l’Atlantique et de l’Ouémé montre qu’il n’existe pas de différence significative en ce qui concerne les départements au seuil de 5%.

4.2.1.2. Variation du taux d’infestation aux acariens en fonction de la localité et du sexe.

Le tableau V présente la distribution des taux d’infestation aux acariens en fonction de la localité et du sexe.

Tableau V : Taux d’infestation aux acariens en fonction de la localité et du sexe.

Localité Animaux examinés Animaux parasités Taux d'infestation % Mâle Femelle Mâle Femelle Mâle ± IC Femelle ± IC

IC : Intervalle de confiance ; les taux d'infestations de la même colonne suivis des lettres différentes sont significativement différents au seuil de 5%.

De l’analyse du tableau V, il ressort que la localité et le sexe n’ont pas d’influence sur le taux de parasitisme par les acariens au seuil de 5%. Ces taux sont toutes similaires (54,84 contre 53,95 ; p>0,05).

4.2.1.3. Variation du taux d’infestation aux acariens en fonction des tranches d’âge

La figure 10 présente la variation du taux d’infestation en fonction des tranches d’âge.

Figure 10 : Taux d’infestation aux acariens en fonction des tranches d’âge.

La comparaison faite entre les taux d’infestations des animaux de 2 à 8 mois et ceux de plus de 8 mois, montre qu’il n’existe pas de différence significative en ce qui concerne l’âge au seuil de 5%.

4.2.1.4. Taux d’infestation aux diverses espèces d’acariens La figure 11 montre les divers taux d’infestation.

57,46 a

L’analyse des croûtes de gale prélevées sur les animaux afin d’identifier les acariens a montré que plus de trois quarts des animaux (81,25%) étaient parasité par Sarcoptes scabiei contre 18,75% pour Demodex phylloides avec une différence significative au seuil de 5%.

4.2.2. Taux d’infestation aux nématodes

Sur 17 tractus digestifs de porcs examinés, 15 tractus étaient porteurs de nématodes, soit un taux d’infestation de 88,24%. Les vers ont été observés uniquement dans l’estomac et dans le gros intestin.

4.2.2.1. Taux d’infestation des compartiments gastro-intestinaux

Le taux d’infestation des différents compartiments gastro-intestinaux est présenté dans le tableau VI.

Tableau VI : Taux d’infestation des compartiments gastro-intestinaux

Portion du tube digestif Nombre de tractus parasités Taux d’infestation % ± IC

Estomac 4 23,53 ± 20,16 a

Intestin grêle 0 0 ± 0 a

Gros intestin 11 64,71 ± 22,72 b

Nombre de tractus examinés : 17

IC : Intervalle de confiance ; les taux d'infestations suivies des lettres différentes sont significativement différents au seuil de 5%.

Par ordre d’importance d’infestation, on constate que les nématodes envahissent plus le gros intestin (64,71%) et l’estomac (23,53%) que l’intestin grêle (0%) avec une différence significative au seuil de 5%.

4.2.2.2. Taux d’infestation des diverses espèces de nématodes

Le tableau VII présente les taux d’infestation des diverses espèces de nématodes

Tableau VII : Taux d’infestation des diverses espèces de nématodes.

Espèce parasitaire Nombre de tractus porteurs Taux d'infestation % ± IC

Ascarops strongylina 3 20 ± 19,01 a

Physocephalus sexalatus 1 6,67 ± 11,86 a

Oesophagostomum dentatum 6 40 ± 23,29 a

Trichuris suis 5 33,33 ± 22,41 a

Nombre de tractus parasités : 15

IC : Intervalle de confiance ; les taux d'infestations suivies des lettres différentes sont significativement différents au seuil de 5%.

Le taux d’infestation par Oesophagostomum dentatum et par Trichuris suis sont similaires (40% Vs 33,33%), mais plus élevé que celui engendré par Ascarops strongylina (20%) et Physocephalus sexalatus (6,67%). Ces dernières espèces ayant des taux d’infestation similaires.

4.2.2.3. Données cliniques

Dans l’ensemble, les animaux examinés avant leur abattage étaient apparemment sains.

Toutefois, des cas d’amaigrissement et de cachexie ont été observés. Les autopsies helminthologiques ont révélé une inflammation catarrhale de la muqueuse intestinale.

L’élément le plus constamment observé est la présence des vers dans les portions du tractus digestif notamment le gros intestin. Aussi, notons la présence de nodules d’Oesophagostomum principalement au niveau caecal. Ces nodules parfois volumineux sont de taille et de consistance variée. Quelquefois, ces nodules siègent dans les ganglions mésentériques, nodules au contenu de coloration verdâtre signalant l’abondance de polynucléaires éosinophiles. Au total, 7 gros intestins ont porté des nodules d’oesophagotomose, soit 41,18% des animaux examinés.

4.3. Charge parasitaire

Les arthropodes

Pour ce qui concerne les acariens, nous avons constaté que Sarcoptes scabiei var

Les nématodes

En ce qui concerne la charge parasitaire nous avons remarqué que Trichuris suis et Oesophagostomum dentatum détiennent les plus fortes densités. Ainsi, à l’ouverture du gros intestin, il a été noté un nombre moyen de Trichuris suis variant de 10 à 50, et un nombre moyen d’Oesophagostomum dentatum variant de 10 à 30. Par contre, au niveau de l’intestin grêle aucune charge parasitaire n’a été enregistrée.

CHAPITRE 5 : DISCUSSION 5.1. Spectre parasitaire

Au terme de cette étude, 02 espèces d’acariens et 04 espèces de nématodes ont été recensées. Il s’agit, en ce qui concerne les acariens de : Sarcoptes scabiei var suis et Demodex phylloides ; et de : Oesophagostomum dentatum, Trichuris suis, Ascarops strongylina et Physocephalus sexalatus, pour ce qui concerne les nématodes.

En ce qui concerne les acariens, les travaux de Zinsou (2008) et Bossa (2009) n’ont pas fait état de la présence de Demodex phylloides chez le porc. Par contre, ces auteurs ont pu noter la présence des autres acariens identifiés au cours de notre travail. Le genre Demodex observé enrichi plus cette étude par rapport à celle de Zinsou (2008) et de Bossa (2009).

Par rapport aux insectes, nous n’avons pas pu identifier ces parasites au cours de nos investigations, contrairement aux travaux antérieurs. La non identification de ces arthropodes dans cette étude pourrait se justifier par des interventions de déparasitage opérés par certains éleveurs avant notre passage.

La présence des parasites gastro-intestinaux dans les tractus de porcs échantillonnés révèle une prévalence élevée dans les zones d'étude. Cela pourrait être attribué au système de gestion étendu largement pratiqué dans les zones d'étude et aussi au manque de services vétérinaires à proximité dans certaines localités. Sowemimo (2014) et Akanni et al (2017) ont également signalé une prévalence élevée de parasites gastro-intestinaux chez les porcs au Nigeria.

Les diverses espèces de nématodes rencontrées sont superposables à celles décrites chez les porcs locaux dans l’Ouémé par Glodjinon (1997), Zinsou (2008) et par Bossa (2009) dans l’Ouémé et le Mono. La présence de Trichuris suis n’a pas encore été signalée auparavant par Glodjinon (1997) ; de même que celle de Ascarops strongylina et Physocephalus sexalatus par Zinsou (2008) chez le porc. Par contre ces auteurs ont pu noter la présence d’Ascaris suum au niveau de l’intestin grêle.

Dans l’ensemble ce spectre parasitaire faible pourrait être lié à la repopulation des cheptels après la réapparition de la peste porcine africaine dans l’Ouémé 2017-2018.

La sous-alimentation, couplée à la présence de parasites dans l’organisme peuvent être

gastrite catarrhale peut être liée à l’action de certains spirures comme Ascarops et Physocephalus.

La présence de nodules au niveau intestinal est en rapport avec l’état d’hypobiose des larves d’Oesophagostomum dentatum.

5.2. Taux globaux des infestations

Les résultats généraux montrent que le taux global d’infestation des animaux par les arthropodes est de 54,44%. Ce taux de parasitisme est éloigné de celui observé par Zinsou (2008) et Bossa (2009), qui ont respectivement enregistré un taux d’infestation de 25,75% dans l’Ouémé et 12,62% dans l’Ouémé-Mono.

En ce qui concerne les nématodes, le taux global d’infestation des animaux est de 88,24%. Ce taux de parasitisme est supérieur à celui observé dans l’Ouémé par Glodjinon (1997) et Bossa (2009) dans l’Ouémé-Mono. En effet, ces auteurs ont respectivement enregistré un taux d’infestation de 68,59% et de 55,53%.

Ces divers taux peuvent être corrigés à la hausse car, pour ce qui concerne les nématodes, les tamis que nous avons utilisés (ceux du commerce) pour la récolte des vers ne sont pas homologués, ce qui pourrait laisser échapper certains vers très petits comme les Hyostrongylus, les Trichostrongylus. Aussi, il se pourrait que les animaux dont les examens se sont révélés négatifs hébergent des larves effectuant des migrations dans l’organisme.

Toutefois, la disparité dans les prévalences obtenues par ces auteurs pourrait aussi être dues à l’échantillonnage. En effet nos échantillons avaient une taille moins élevée que les leurs.

5.3. Incidence du sexe

Le sexe n’a aucune influence sur le parasitisme des animaux. Il n’y avait aucun tropisme des parasites aux animaux en fonction du sexe. Les mêmes observations ont été faites par Zinsou (2008) et Bossa (2009).

5.4. Incidence de l’âge

L’infestation des porcs est intervenue dans toutes les tranches d’âge. Ceci pourrait s’expliquer par la divagation des animaux dans le système traditionnel et également au manque de suivi sanitaire rigoureux sur certaines fermes d’élevage. Notons que la divagation est l’un des facteurs qui favorise les infestations et la dissémination des parasites dans le milieu naturel.

En ce qui concerne les acariens, les taux d’infestations élevés observés chez les jeunes porcs de 2 à 8 mois pourrait s’expliquer par le nombre plus élevé d'échantillons collectés dans cette tranche d’âge et par l’immaturité immunologique de certains animaux. Par contre, les animaux de plus de 8 mois, ayant été déjà en contact avec ces parasites, se trouveraient dans un état de prémunition. C’est ce qui justifierait le taux de parasitisme moins élevé à leur niveau.

5.5. Fréquences relatives des espèces de parasite

Les prévalences se présentent par ordre de grandeur décroissante : - Pour les arthropodes : Sarcoptes scabiei ; Demodex phylloides

La prévalence générale des ectoparasites enquêtés dans les différentes fermes, a montré que Sarcoptes scabiei est le plus répandu dans les régions. Ceci, confirme les résultats de Cozma et al (1997) qui concluent que 70% des porcs échantillonnés en Roumanie étaient infesté de Sarcoptes scabiei. Il a maintenu que l’agent responsable de la gale Sarcoptes scabiei est dans le monde entier, un problème particulier pour toutes les installations de production gérées de manière intensive.

- Pour les nématodes : Trichuris suis, Oesophagostomum dentatum; Ascarops strongylina; Physocephalus sexalatus. Ces espèces ont également été rencontrées par Glodjinon (1997) dans l’Ouémé et Bossa (2009) dans l’Ouémé-Mono

CONCLUSION & SUGGESTIONS

Pour contribuer à l’amélioration de l’élevage porcin, nous avons consacré notre travail à l’étude des ectoparasites et des nématodes du tube digestif du porc dans le sud-Bénin.

De notre étude, il ressort que les porcs font face à une diversification parasitaire que ce soit par rapport aux acariens ou aux nématodes. Au total deux espèces d’arthropodes acariens Sarcoptes scabiei var suis (81,25%), Demodex phylloides (18,75%) et quatre espèces de nématodes à savoir : Ascarops strongylina (20%), Physocephalus sexalatus (6,67%), Oesophagostomum dentatum (40%) et Trichuris suis (33,33%) ; ont été identifiées.

De l’observation des résultats obtenus, il ressort que les porcs présentent un polyparasitisme que ce soit du côté des nématodes et des ectoparasites. Ce qui nous permet de prendre au sérieux le problème de parasitisme des porcs qui doit être considéré comme l’une des priorités permettant d’améliorer le rendement et le format des porcs.

Compte tenu du rôle et de l’importance de cette spéculation animale dans l’alimentation de l’homme, il est nécessaire d’y accorder une attention particulière. C’est la raison pour laquelle l’acte vétérinaire curatif doit être renforcé et soutenu par les autorités administratives compétentes.

Pour ce faire, des dispositions doivent être prises pour une large sensibilisation des producteurs sur la conduite des animaux pour éviter la divagation et les infestations répétées, sur l’alimentation équilibrée et les soins surtout le déparasitage interne et externe des animaux.

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