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Dans le document car tout est m1nut1euse revu dans (Page 22-27)

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*

Poge 101

l'intérêt augmente constamment.

et qui facilite les travaux du bri-coleur.

li est possible, . sans. doute, d'effectuer la preparauon, le façonnage, et l'assemblage des panneaux utilisés, en se servant d'une table quelconque suffisam-ment robuste et de dimensions suf-fisantes. Mais il e t bien préférable moins encombrants que les établis professionnels.

L'établi d'atelier est constitué par un plateau d'orme ou de hêtre su pportè par 4 pieds trés robustes.

L'établi professionnel mesure 2,50 m de long sur 0,60 m de large et l'épaisseur du plateau est de 0,10 m.

L "établi comporte au coin gauche une griffe ou plaque métal-lique dentelée réglable en hauteur, contre laquelle vient buter la pièce celui indiqué précédemment.

En dessous, il suffit d'un évi-demment de la taille de l'opérateur, car le travail doit être exécuté avec

hôri-maintien. zontaux, supérieur et inférieur,

Il y a, enfin, sur le côté gauche réunis par une tr_averse verticale bricoleurs comportent cependant de pièces à assembler. Le système une presse et des trous pour le est composé d·un morceau de passage du valet, et sont très sou- bois, avec, à une extrémité, une vent munis à l'arrière d'un râtelier vis à bois, et de l'autre côté, une permettant de ranger des petits petite console, dont la position peut outils ou des accessoires. varier le long d'une pièce de bois. établi spécial simplifié. d'adapter.

tout au moins. un meuble, qui n'est pas prévu à cet effet, mais peut. être modifié facilement.

On peut choisir. par exemple, d'un panneau en bois latté,

d'épais-Page 102 • N• 1 234 est possible, un ruban métallique ou une régie analogue, qui permettra, les indications nécessaire~ au façonnage à exécuter, tel que les peut remplacer généralement cet outil pour les amateurs "(Fig. 6 et 7).

Il suffit de disposer trois bran-ches du mètre en bois, de façon que la premiérc branche soit main tenue à angle droit par rapport à la troisième à la mesure nécessaire.

L'opérateur maintient en place avec la main gauche les deux branches obliques bien réglées, et fait glisser la troisième le long du bord de la planche, tandis qu'avec un crayon, tepu par la main droite. et a ppli-qué contre l'extrémité du mètre.

il peut tracer le trait utile. · Les assemblages sont générale-ment effectués à angle droit, il faut donc avoir à sa disposition une équerre. Les modèles profession-nels sont en bois ou en lame d'acier. On peut se contenter d'une équerre plus simple, mais de préfé-rence entièrement métallique et plus robuste, comportant un talon en bois. Les modèles les meilleurs sont encore à talon. permettant le tracé d'un angle à 45 degrés (Fig. 8).

Les compas serv'ent, évidem-ment. pour le tracé des cercles.

et il faut utiliser des modèles à pointe sèche ou avec porte-crayon.

en bois ou en fer. Les compas de

.

menu1s1er de grandes dimensions sont en bois; ix>ur tracer les grandes circonfèrènces, on utilise le compas dit à verge, composé d'une règle de section carrée, avec deux curseurs réglables coulis-sants, l'un avec pointe d'acier, l'autre avec porte-crayon (Fig. 9).

On peut employer, cependant, des compas improvisés. Le compas à pointe sèche peut ainsi être al-lèles au bord d'une planche s'effec-tue à l'aide d'un trusquin, mais, extré-mité coupée avec précision p erpen-diculairement à l'axe. On y plante maintenue perpendiculairement au panneau (Fig. II).

toujours dans les foyers, est le marteau. o·une m:rnière générale.

pour l'usage domestique. il est bon d'avoir à sa disposition. un marteau léger. de 50 à 100 g pour les petits travaux, et de l'ordre de 200 g pour les travaux plus

Prenons. les précautions néces-saires, car le danger est réel. Si sauter dangereusement assez loin et d'atteindre un carreau ou un assurer une adaptation normale.

Pour remplacec un manche

Pour effectuer rationnellement ce travail. serrons la tête du

pourrons dcgager les morceaux du manche cassé a, cc un burin. diamètre. Nous effectuerons plu sieurs ouvertures autour du coin

certaine profondeur en diagonale dont la longueur dépend de l'épais-seur de la tête du marteau. Cette

ne pas abîmer notre scie, lorsqu'elle risque de frotte1 contre l'acier du marteau.

::,1 notre manche n'est pas en bois. mais métallique. nous pou vons l'emmancher bien perpendi-culairement. en frappant à massif ne peut produir.: ln pression nécessaire que dans sa partie ne maintient pas la tête du marteau.

suffisamment et risque d'être pro-jeté rapidement en dehors de son vigoureusement à plusic:urs re prises le manche contre le sol. de

rutiliser convenablement, de taçon à ne: pas le dètériore1 rapidement.

Ainsi. n·arrachons pas un clou sans précaution avec des tenailles.

Dégageons d'abord sutnsammc:nt la tête du clou au moyen d'une lame de ciseau. de couteau. ou de tournevis. de façon à pouvoi1 introduire suffisamment les mâ-choires de la tenaille entre la tête du clou et le bois.

Serrons la tena.ille et inclinons-la de côté. en prenant appui sur le utile. deviendrait alors trop courte.

et routil serait mal équilibré.

Une fois cette.-opération dlec tuée, il nous reste à réaliser au bout du manche une entaille d'une

poscrons cc dernier bien d'aplomb.

et nous l'introduirons ainsi aussi loin que possible. de façon à exercer la pression utile.

Enfin. pou, tcrmine1. quand l'enfoncement est complet. nous scierons le morceau qui dépasse encore. en prenant bien soin de

Gardons-nous bien, surtout en tout cas, d'essayer de couper

mâ-cheires, et de rendre rapidement

!"outil in utilisable.

LES SClES ET LEURS EMPLOIS A près les tenailles, il y a les scies. Il en existe de nombreux types, destinés plus particulière-ment à chaque catégorie de tra-vaux. et c·est surtout la scie égoïne qui permet le travail du bois. Elle comporte une poignée

a

la partie la plus large de la lame, et est flexible. n'étant pas tertue à ses deux extrémités (Fig. 1'5 A).

La scie à refendre sert surcout à débiter le bois, et le montage de sa lame. permet de modifier son orientation ; c'est ce modèle de scie bien connu. sous une forme plus ou moins encombrante. qui est ulili èc également pour débiter les bûches de bois se, vant au chauffage.

li existe des modèles de scies universelles, permettant de scier non seulement le bois dur ou tendre, mais l'acier et les métaux.

le caoutchouc et les m acières plasciques ; ils comportent une lame se terminant en pointe pour

!/

vira à débiter le bois. et. en outre.

une ou deux scie à cadni;, une scie à tenon. dont la lame e t assez large. et non orientable, qui est uilli~e pom t~re ,~ œoon. et une grille à araser. à lame plus étroite. avec denture fine. utilisée pour araser le tenons pc1 pendi-culairement au ens du bois. Ce sont des outils pratiques à lames orientables.

Il v a. enfin. des scies à 'talon à den,ture très fine. qui permettent des petits travaux de précision et sont facile.s à utiliser.

Povr tr.1Yavx covr;,nf/

FIG. 17

l 1 ®

Povr

tr,11141'/ intenJil

et

prùis

Elle comporte un coi ps. une tion de torets de diltérents dia LES OUTILS A PERCER poignée. el une manivelle mettant mètres. <;0rrespondant à celui des

ET LEUR EMPLOI en rotation un mand1in pa, lïnte,- trous à percer.

mé-diaire d'un jeu d'engrenages. L'nvant trou. destiné à la pose Il Y fi égalemcm à considéi c, Les mâl:hoires du mandrin ·ont des vis. peut êt1 e etlectué avec les outils à percer et à creuser. ré;;lables. ce qui permet l"utili5a une pointe carrée simplement dans -La vrille est utilisée chaque fois ~ - - - --que ron pose une vis dans un

bois dur. et u, tout, s'il s'agit d"une grosse vis, même dans un bois tendre.

Avant de po~er une vis, pré-parons, en efTct. son emplacement dans le bois, pour que les filets puissent mordre : la vrille permet de percer un avant trou d'un

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permettre le travail dans les angles (Fig. 15 B).

Cette lame d'une longueur de l'ordre de 40 cm. est en acier au tungstène spécialement trempé, et le plus · souvent les lames sont interchangeables. Sur certains modèles, l'angle entre la lame et la poignée est réglable, ce qui . permet d'obtenir un maintien et une prise sati t'ai ants pendant le travail.

Les types de cie varient ainsi suivant leurs montures et leurs dentures. Normalement, l'amateur bricoleur. se contente d'une scie égoïne â poignée. à 3 lames inter-changeable . de dentures diffé-rentes. La grosse denture permet d'efTectuer les travaux grossiers.

la deuxième trés étroite permet le sciage en sui, ant une courbe.

et en remplaçant ainsi la scie à chantourner de professionnel, dont la lame trés étroite est orientable.

comme celle de la scie â refendre.

-Suivant les découpages

a

effectuer.

on emploie des lames de 6 à 15 cm de large : enfin. une lame à denture fine permet les travaux plus fins.

Si nou · envisageons des travaux divers et assez nombreux. choisis-sons une scie égoïne à lame l!!.rge.

et

a

grosse denture. qui nous

ser-mètre inférieur à celui de la vis, et qui facilite l'enfoncement et la pose de celle-ci. en assurant un assemblage solide et durable (Fig. 16 A).

Si la vis doit être placée près du bord de la planche. prenons

• bien garde de faire éclater le bois ; il vaut mieux utilise, une perceuse.

La vrille agit. en effet, en compri-mant le bois. à l'aide de sa tige mètallique,

a

pointe

a

vis en

spi-rale. que l'on fait tourner en agi~-sruit 'directement sur le manche.

Mais le bois e t ainsi comprimé et n ·est pas éliminé à ! 'extérieur.

sous forme de copeaux ou de pous-sière. comme cela a lieu. lor. -qu·on emploie une perceuse (Fig. 17 B).

La vrille est. d'ailleurs. un outil destiné exclusivement au boi.. et ravant-trou que nous y percerons.

doit être un peu moins prorond que la vis utilisée. Pour obtenir un enlbneement facile de la v1 illc avec un bon tournevis, prenons la précaution de la graisser légè-rement.

La perceuse, ou chignole, consti-tue nous le savon , un outil extrê-mement utile. qui pc, met également de perforer de nombreux maté, iaux avec des fo,ets ~péciaux.

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le bois tendre, et dans le bois dur, les dimensions correspondent au type de la vis. Il est donc faut choisir exactement le tournevis nécessaire; si la lame est trop qui peuvent rester" apparentes.

et améliorer l'aspect esthétique. l'extrémité qui risquerait d'en-dommager les têtes de vis. d'assemblage satisfaisant et qui pern,et, s'il y a lieu. le démo n-tage et le rcmonrnge facile~ : mais

!"amateur utilise, bien souvent, des assemblages collés et cloués ou simplement collés.

Nous avons déjà indiqué plus haut les types de marteaux à utiliser et la nécessité d'une paire de te nailles pour retirer les pointes tordues. ou enlever celles qui sont mises tem porairemcnt en place pour maintenir en bonne position deux piéces assemblées pendant le collage.

Malgré les apparences. certains débutants ne savent pas utiliser rationnellement un marteau. Te-nons-le par rextrémitê- du manche marteau, en posant la tête d'aplomb sur l'établi. Cette précaution est élec-troniques n ·envisage norm::tlement que des travaux de menuiserie et d'ébénisterie très simples et. plus spécialement, d"assemblage. Parmi les outils de façonnage. il n ·a ainsi.

la plupart du temps, à employer q uc des scies sur lesquelles nous avons déjà donné précédemment des indications complètes. Pour certains travaux particuliers. ce pendant. ïl peut être au moins

Le rabot, comme la varlope. est, en fait. un outil à corroyer compor-- compor-- compor-- compor-- compor-- compor-- compor-- compor--- - - -- - -- - - -- - - , tant un Ier et un contre-fer, dont

En général, il faut donc trois tournevis de tailles difTérentes.

Un gros aura une lame <l'une permet facilement un lissage 1égu-lier. Pour modifier l'épaisseur des cop.:aux enlevés à chaque opé ration. il n·y a plus besoin de faire varier le 1égl:lgc de l'outil : il suffit de modifier l'angle d"attaque : plus l'angle est ouvert et plus le tranchant. Les lar!!eurs v1rient di: 5 mm à 5 cm environ, et 1·outil ngit par cisaillement sur le bois (Fig. 18 8).

Pou1 l'usage cournnt. deux mo-dèles nous sulliront. avec des lames de 12 cm de long. de 6 et 20 mm procédés de finition destinés à don-ne, au montage un aspect tra-vaux <le finition p1 éliminaires, avant l"utilisation des moyens assurant une surface plus fine, telle que le plane et l"aut1 c semi-cylindrique.

L.:s sui faces râpeuses de l'outil présentent des grains plus ou moins accentués ; la taille peut êt1 e fine.

moyenne ou grossière. Elles ne peu-vent d'ailleurs être réaffûtées après usage. C-est pourquoi. il faut pren-dr.: bien soin de n·u1iliscr une râpe que sur du bois ou un mérnJ très mou. en brossant soigneusement de temps en temps les sui faces enc1 as écs pour éliminer les co peaux ou sciures.

Nous a\'ons ainsi donné des pré-cisions sur J"outillage nécessaire à l'amateur de travaux de menuiserie ou d"ébénisterie. pour les travaux d'électronique, mais n·oublions pas que l'outillage doit être entretenu crochets pour les suspendre.

A. S.

Amplificateur Hi-Fi CR 2-25

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L

AMPLLFlCATEUR CR2.25

a été conçu pour répondre à la demande d'une clientèle avisée exigeant d'un amplificateur, les plus hautes performances. Ces performances sont obtenues grâce à l'emploi de transistors au sili-cium de haute qualité.

Dans un amplificateur de ce type, sans transformateur. il est nécessaire que les transistors aient une fréquence de coupure plus les fréquences harmoniques résul-tant des diflërentes distorsions afin de les corriger.

De plus, cet amplificateur comporte presque uniquement des liaisons directes, ce qui permet une excellente réponse dans les fré-quences basses.

L'amplificateur, alimenté sur secteur 110 à 240 V, est présenté canal en régime permanent.

Bande passante : 30 à 30 000 Hz

Protection électronique contre les courts-circuits.

Prise monitoring pour magné-tophone à trois têtes : 22 K. ohms, entrées en stéréophonie; 3-4 inver-sion des entrées en monophonie.

Correcteurs variables : Aigües + 16-l7 dB à 15 000 Hz; graves

Fletcher : Correction ph ysiolo-gique.

- Un circuit préamplificateur PT2S comprenant 2 transistors par canal ;

- Deux circuits correcteurs variables de tonalité et filtres de coupure CT I S comprenant res-pectivement 2 transistors ;

- Deux circuits amplificateurs de puissance AT 120 comprenant 2

x

6 transistors. ·

Nous ne commenterons pas les schémas de principe de ces circuits qui ont déjà été décrits dans notre numéro 1194, préférant insister sur le montage et le câblage.

MONTAGE ET CABLAGE DU KIT CR2.25 Lorsque l'amplificateur CR2.25 est fourni en kit, avec cofTret, châssis, composants électroniques, fils, etc., le contacteur « sélecteur • suivant rigoureusement les conseils et la marche à suivre qui vous sont proposés.

CABLAGE (I" partie)

• li est recommandé de souder préalablement tous les fils sur les circuits imprimés, les contacteurs, potentiomètres, relais, etc.

DECRIT Cl.CONTRE

Dans le document car tout est m1nut1euse revu dans (Page 22-27)

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