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Puisque certaines caractéristiques de la personnalité telles qu'une autono­

mie grandissante, une curiosité éveillée, une persévérance dans l'activité, une imagination riche, etc. sont en relation avec le plaisir de lire, il serait intéressant de chercher à les développer en interaction avec un milieu sti­

mulant. Nous insistons donc sur:

L'importance d'apprendre à faire ses propres choix et rarticulièrement d;cins le domaine de la lecture : pouvoir choisir ses livres.

La nécessité de trouver du plaisir dans ses lectures pour ainsi ré-alimenter le goût de lire.

Une valorisation de la lecture, des livres, par son milieu.

Une connaissance du monde des livres et des possibilités d'accès à celui-ci.

Des antécédents favorables dans la petite enfance:

familiarisation avec les livres.

Un bon apprentissage scolaire de la lecture.

Une influence possible des mass-médias.

Pour cela, voici quelques propositions plus concrètes qui permettraient de créer un environnement stimulant pour la lecture où un enfant aurait ainsi plus de chances de découvrir et d'entretenir un plaisir de lire personnel.

Le milieu familial semble jouer un rôle essentiel dans l'éveil à la lecture et dans son développement ultérieur. Nous rappelons que ce n'est pas le revenu financier de la famille qui est important mais son niveau culturel.

Toute famille peut ainsi créer un climat de confiance dans lequel le livre aura une place reconnue, où l'imprimé fera partie de la vie quotidienne. Jean Foucamert écrivait : « L'usage familial de la lecture détermine la valeur sociale et la valeur de communication que l'enfant accorde à la lecture>l (J.

Foucambert, 1978, p. 64).

Les questions d'un enfant pourraient, par exemple, être prétexte à chercher avec lui la réponse ûans un û iciionnaire JJOur l ' l 1abi iuer tt questionner l'écrit.

Nous pensons que le milieu familial devrait favoriser les échanges sur la lec­

ture, s'intéresser aux lectures des enfants (lire avec eux parfois, consacrer du temps à la découverte commune d'une histoire) et même lire leurs livres.

Il ne devrait pas présenter la lecture comme un passe-temps facile car cela pourrait être source de désillusion (la lecture a ses exigences) mais valoriser dès le début cette activité: la présenter comme désirable et source de satis­

faction malgré l'effort.

Nous avons déjà parlé des antécédents dans la petite enfance 2n ce qui concerne la découverte du plaisir de lire. Dans ce domaine, la famille a une grande responsabilité de familiarisation précoce de ses enfants avec les livres. Elle peut apprendre très tôt («Avant d'apprendre à lire, l'enfant doit

lire ... » (Wehrheim, 1 976, p. 58) le respect et la manipulation des livres. Elle peut, parce q u'elle connaît bien l'enfant, partir d'un intérêt de celui-ci (par exemple l'automobile, les poissons ... ) et le prolonger en offrant un l ivre e n rapport avec c e sujet. E l l e peut aussi lui confier des tâches adaptées à ses capacités où il a ura à utiliser ses compétences en lecture : par exemple, chercher un numéro de téléphone dans l'annuaire, confection ner un gâteau à l'a ide d ' u ne recette, ou lui permettre de choisir et d'acheter un livre lui­

même.

Ces diverses propositions sont faites dans u n esprit de revalorisation des non-professionnels du livre que sont les parents, grands-parents, fréres et sœurs aînés qui tous peuvent jouer un rôle conscient ou inconscient de motivation à la lecture.

Le second milieu capable d'une gra nde influence est le m ilieu scolaire. Nous insistons sur la nécessité de créer u n «milieu lecture» qui i ntègre celle-ci au monde quotidien de l'enfant, afin de lui donner u n sens. C'est ainsi que l'on supprimera les « ma nuels de lecture» et que l 'o n se concentrera sur un apprentissage partant du langage même de l'enfant. De même qu'à l'ora l on

«n'apprend pas à u n enfant à parler» mais on « parle», on « n 'a pprendra pas à l ire» mais on « lira» (20). Ainsi l a lecture sera une expérience toujou rs inté­

grée à la vie quotidienne et donc i ntéressante parce qu'ayant un lien avec les émotions, les échanges et les expériences de l'enfant.

Pour cela, le rôle du maître sera de créer et d'exploiter des situations péd a ­ gogiq ues qui rendent nécessaire le recours à l'écrit. C'est l'abandon du rôle du m aître q u i sait tout et c'est au contrai re l'habitude de chercher des réponses dans des livres divers, de confronter des réponses divergentes, de les éval uer, etc. Il faudra aussi songer à prévoir du temps pour laisser les enfants l ire. L'école ne devrait pas non plus négliger les d ifférents types d'écrits : les journaux, les rapports d 'enquêtes, les affiches, les chansons, la correspondance, les pièces de théâtre, etc., susceptibles d ' intéresser les enfants.

D'autre part la lecture devrait avoir un but et ne pas rester un simple méca­

nisme scolaire. Elle pourrait permettre des échanges épistolaires avec d'autres classes (im portance des traces écrites).

La lecture a pporte aussi une plus grande indépendance par rapport au dis­

cours des autres en permettant la référence à l'écrit (importance d'un coin bibliothèque). Pour cela, l'école devrait s'appliquer aussi à respecter le choix des e nfants e n matière de lecture et ne pas «obliger» toute une classe à lire un même livre, sinon peut-être dans un but bien précis d'exploitation de cette tâche. Attention a u danger de récupération du livre à des fins d'ensei­

gnement qui ôte à cel ui-ci tout attrait et le réduit à une fonction scolaire et didactique! Même dans le milieu scolaire, le plaisir de l i re devrait être

tou-jours présent si l'on désire que beaucoup le découvrent (sans toutefois en masquer les difficultés). « ... le bonheur de l'enfant mérite infiniment plus de considération que l'orthographe» (Wadier, 1978, p. 34). De plus, il est regret­

table qu'un enseignant qui désire voir se développer le goût de la lecture chez ses élèves ne leur présente jamais de «modèle» concret. Ne serait-il pas bon que les élèves voient parfois leur maître lire par plaisir?

Et puis, l'école, en développant une habitude d'écoute et d'échange, favori­

serait aussi la découverte de la lecture qui, nous i' avons déjà dit, est elle­

même une rencontre.

Le troisième point sur lequel nous désirons nous arrêter est celui du milieu social. Notre souhait est que se développent les structures d'accueil desti­

nées aux lecteurs:

Des bibliothèques accueillantes et bien pourvues, avec entre autres des ouvrages pour tous les âges mais aussi pour les enfants d'immigrés bilingues. Nous citons à ce propos l'expérience d'une bibliothèque pari­

sienne (Bibliothèque de Clamart - La Joie par les livres) qui, chaque année, embauche une bibliothécaire étrangère chargée de constituer un fonds de bibliothèque d'ouvrages de son propre pays.

Des bibliothèques qui se décloisonnent, qui se démarquent de l'institu­

tion. Nous citons l'expérience des «Home-librairies» qui encourage des particuliers (mère de familles, retraités ... } à ouvrir des mini-bibliothèques à domicile pour y recevoir des enfants du quartier ou de l'immeuble dans une ambiance familiale.

Des librairies adoptant une politique efficace et active en faveur d'une littérature de qualité destinée aux jeunes et possédant par exemple un coin destiné aux tout-petits ainsi que du personnel qualifié dans la litté­

rature enfantine.

D'autre part, l'intérêt des enfants pour le monde du livre pourrait être concrètement stimulé par la visite d'usine de fabrication du papier, d'impri­

meries, ainsi que par la rencontre d'écrivains.

Un autre aspect négligé est celui des rapports entre télévision ou radio et livres. Nous nous sommes intéressées aux émissions se rapportant de près ou de loin à la lecture et avons obtenu des réponses assez décevantes et aucune réponse des trois chaînes de télévision française. Le silence de la presse, de la radio et de la télévision sur la littérature et spécialement sur la littérature enfantine nous paraît regrettable car ces mass- midias auraient les moyens d'éveiller un désir que le livre pourrait ensuite c,, , , , hler. Nous souhaitons voir se développer une politique d'ouverture à la le-:ture dans ces divers secteurs d'information du grand public ainsi que des colloques ayant trait à la lecture, des festivals du livre (21 ), etc.

Le dernier point pour lequel nous aimerions faire quelques propos1t1ons concerne l'objet-livre. Celui-ci est plus qu'un objet neutre transmettant des idées. Il est en lui-même une création, un chef-d'œuvre qui doit s'adresser à l'ensemble de la personnalité (intelligence, affectivité, sens ... ). Les enfants sont sensibles à l'aspect des livres. Ceux-ci doivent donc être soignés, réflé­

chis, de qualité. La littérature enfantine ne doit pas devenir une littérature de

«bas étaae».

Nous attirons l'attention sur la nécessité de varier les styles, les genres, les présentations, de songer que les enfants s'intéressent déjà à des domaines comme le théâtre ou la politique par exemple. D'autre part, l'enfant évolue en fonction de la nourriture qu'on lui propose. Ainsi, un enfant qui ne lit que la B.D. ne connaîtra pas d'évolution. De même, la découverte du genre poé­

tique se prépare avec les berceuses et les comptines, les jeux de mots, les assonances et toutes sortes de jeux sur la langue écrite.

Peut-on toutefois parler de bons ou mauvais livres? Il n'est pas aisé de répondre à une telle question. Chaque individu connaît son propre chemine­

ment de lecture. Toutefois il nous semble important de réfléchir à l'aspect des livres proposés aux enfants (lisibilité des caractères, adaptation à la capacité du lecteur en syntaxe et vocabulaire, illustrations, résumé, etc.) et au contenu de ceux-ci si l'on désire voir les enfants se passionner pour la lecture. Les livres que l'on proposera à l'enfant devront être affectivement et intellectuellement riches, susceptibles de l'émouvoir, n'excluant pas le sérieux et l'effort de compréhension, mais ayant un lien avec sa vie. Pour cela, le livre doit s'enraciner dans le vécu du lecteur. Il existe malheureuse­

ment trop de décalage entre la réalité quotidienne et le monde que décri­

vent les livres, ce qui empêche l'identification du lecteur et risque de tuer petit à petit tout intérêt pour la lecture, celle-ci n'ayant plus aucune réso­

nance. Au niveau du livre d'action par exemple, il est tentant d'inscrire une histoire dans une ville propre, ou à la campagne plutôt que dans une H LM sale, bruyante où règne l'insécurité d'une ville anonyme et hostile, cadre de vie de bien des enfants aujourd'hui. De même, au niveau des personnages, les livres présentent souvent une famille unie, stéréotypée, sans conflits ni disputes, sans amis, sans soucis d'argent, de chômage, etc. Comment les enfants qui vivent des drames familiaux quotidiens pourraient-ils se sentii"

concernés? Les livres au contraire devraient aborder leurs problèmes, leurs craintes de la mort, leurs sentiments ambivalents de tendresse et de jalousie lors de la naissance du petit frère par exemple, en apportant non pas la solu­

tion ma is des solutions et en offrant ainsi un contenu émotionnel riche qui aura un écho sur leur propre sensibilité. De plus, les livres ne devraient pas omettre de présenter parfois des personnages en situation de lecture et y trouvant du plaisir!

En résumé nous rappelons l'importance d'un milieu ouvert et stimulant, faci­

litant l'accés au monde des livres, accompagnant l'enfant dans ses choix mais l'aidant à devenir autonome et à former ses propres goûts et la néces­

sité d'ouvrages de qualité nombreux et variés.

NOTES

1. Centre «La Joie par les Livres» estime à 4.500 le nombre de titres nouveaux lancés annuel lement sur le marché français de la littérature enfantine.

2. Le choix de cette tranche d'âge sera davantage explicité dans le chapitre « Procédure de la recherche».

3. Si le milieu familial ne l'a pas fait auparavant, l'école se charge de mettre les onfonts en contact avec la lecture.

4. Nous citons pour exemple le Colloque international qui s'est tenu à Genéve les 9 et 1 0 février 1 984 sur l e théme « Livres-Lectures e t Enfants», regroupant de nombreux « pra­

ticiens» du l ivre. et dont l'objectif était de promouvoir la lecture. Un compte rendu du colloque a été publié par la Fondation Simon 1. Patina de Genéve (cf. bibliogra phie).

5. Le livre lui-même a connu une évolution au niveau du matériau utilisé : papyrus, bois, toile, terre cuite, soie, cire, peau, marbre, pierre, métal, papier, et peut-être autre chose dans un futur proche.

6. Une ancienne méthode, appelée << Quipus», était utilisée par les I ncas. Elle consistait à nouer de différentes man ières des cordelettes colorèes dont les nœuds, couleurs, franges ètaient un véritable langage symbolique.

7. John Newberry ouvre à Londres en 1 748 la première bibliothèque pour enfants, à l'enseigne «The Bible and Sun»_

8. Média au sens de support de diffusion d'informations.

9. Pierre Gama rra, à ce sujet, fait remarquer que cette civilisation audio-visuelle ne fait que multiplier les effets des moyens primitifs de communication propres à l'être humain : la radio correspondant à l 'ancienne culture orale et la télévision correspon­

dant aux contes et aux fresques anciennes.

1 0. En 1 958, l'UN ESCO avait choisi la définition su ivante adoptée en France, notamment par le rapport O heix : «Est illettrée, toute personne incapable de lire en le comprenant un exposé simple et bref de faits en rapport avec sa vie quotidienne.»

1 1 . Les nombreux ouvrages se rapportant à la lecture abordent les questions «Comment lire?» ou « Quand lire?»_ Il est beaucoup plus rare que l'on s'intéresse au «Pourquoi lire?».

1 2. Nous serons conduites souvent à aborder le sujet en traitant des apports du livre lui­

même.

1 3. L'expression est d'André Mareuil ( 1 973, p. 1 02).

1 4. L'OCDL estime q ue, pour être compris, un texte ne doit pas prés e n < er plus de 20%

d'informations nouvelles pour le lecteur (Collectif : OCDL, 1 982, p. 32)

1 5, Jean-Jacques Rousseau proclamait : «Je hais les livres.» Célestin Freinet, quant à lui, professait une certaine méfiance à l'égard des livres ( Mareuil A., 1 971 , p. 266).

1 6. Pou r qui donc est alors le texte qu'on y trouve parfois?

1 7 . Le terme est du sociologue canadien Marshall Mac Luhan.

1 8. C'est en 1 930 que fut créé le terme de motivation - dérivé de motif (latin : motivus, relatif au mouvement) - dont deux publicistes, E. D ichter et L. Cheskin, se disputent la paternité ( M ucch ielli A., 1 981 , p. 29).

1 9. Une recherche menée par André Mareuil est relatée dans son ouvrage (( Littérature et Jeunesse d'aujourd'hui» ( 1 97 1 ) ; une autre, conduite par Catherine Tourrette, maître­

assistant à l'Un iversité de Paris X I I , est décrite dans la revue (( B ulletin de psychologie 81 -82» (cf. bibliographie).

20. Nous rappelons le danger d ' u ne oral isation forcée qui risque de bloquer un enfant.

Lire est d'a bord une activité si lencieuse

21. Le premier festival du l ivre enfants-jeu nes s'est ouvert à Paris en décembre 1 983 seu­

lement!

ANNEXES

Q U E S T I O N N A I R E

� : P RE ND�, : C L A S S E :

µ o u r cha oue p ropo s i t i o n , m e t s une c ro i x dans l a c a s e de ton cho i x

! . QU ' A S - T U L ' HA B I T U D E D E ç A I R E O U A N D T U N ' E S T P A S A L ' E C O L E ?

J am a i s Rarement P a r f o i s Sou v e n t T rès s o u v e n t

� J oe j o u e n v ec mes ami s J e r egRrdE la t e l e v i sion J e l i s

J e p r � t i q u e u n sport J e m ' amuse t o u t s c:ul A ut r e chose ( Q uo i ? : . • . . •

2 . " Hi E R P I S T � F'' C : V U I R L E S C A D c A U X S U I V A 1' 1 S :

P R s d u tout T r � s p eu tl n p e u B eaucoup E n o r m � m e n t lln j e u � l ec tr o n i o � F

Un p et i t 2ni mal Une mon t r e Une c a ss et t e Un l i v r e

l l n e p a i r e d e s k i s

3 . OU ' fl-5-TU L ' H A B I T UDE DE I I R E ?

J am a i s � a r em � n t P a r f � i s 5 :: � v e n t l r�s s � u v E n t O G � b a n des o P s s i n e es

Des enc y c l o p 6 d i e s

�Des h i s t o i r e s

-Des poemes

. . .

" · m· [ S T - C E 01 1 1:. TU T R2' V E S L E S L I V R E S gu � TU L I S ?

- A l a m a i son

- A la b i b l iothèque de la c l a s s e

�� l a b i b l i o theque mun i c ipa l e

l\lll e u rs l uu . . . .

J am a i s � a r ement P a r f o i s S o uv &r, t T r i s sou v �:nt

. . . · • · t .

ANNEX.E A

5 , E S T - C E Qll ' I L E S T U T I L E DE SAV[J l R L I R E •

J a m a i s R 8 r ement P a r fo i s S o u v e n t T r è s s o u v e n t -Pour r e c rvu 1 r d e s

nouve l l es dP- ses ami s -Pour s e dét en d r e

-Pour app r �n d r e un m e l i er -P o u r f n i r e c e s c o mn,i s s i o n �

u t i l e u t i l e u t i l e u ti l e ut i l e

6 . E S T - C E QUE L A L E CTURE E S T QU E LQU E C H O S E D l : T re s

e n n u y e u x P a s U n p e u P n s s i o n n 21 n t

i n t é r es s a n t i n t é r es s a n t

7 . C [l �18 I l " 0[ L ] V Ri: S E. ST - C E. ü C [ T l! A 5 L U S UEPU 1 S L E I e r r1 A il S ?

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