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Sur l’invitation de la section de Béziers, la réunion annuelle de n o tre groupe régional s’est tenue à Pézenas e t Béziers le dim anche 20 ju in dernier. De nom breux collègues avaient répondu à l’invitation. E taien t présents :

- d ’Alès : Mrs et Mmes R ap o u tet, DayroUes, Ebrard.

- de Béziers ; Mrs e t Mmes Clair, G ouzy, L am adon, Mas, V asseur, Vidal. - de M eude : Mr e t Mme M inet.

- de M ontpelier : Mrs et Mmes D esperrier, Decelle, T apié, Artigues, Oger, R eix, Requier, Ruy.

- de N îm es : Mrs et Mmes de la F ouchardière, M onteil, G uiraudon, Jans, R om anet, N orbert.

- de Perpignan : Mrs e t Mmes B onnet, Maso, M aury, Saint-Germes. - de Prades : Mrs et Mmes Rouzot, Barthel, Dumas.

soit au to tal, avec les enfants, une centaine de personnes. La jo u rn ée a été favorisée p a r un tem ps m agnifique.

Le rassem blem ent avait été prévu à Pézenas, sous les om brages de la prom enade des Près, p o u r la visite de la vieille ville, ancienne résidence des gourverneurs du Languedoc, lieu de réunion des E tats généraux de la m êm e région, et célébré p o u r les séjours q u ’y fit Molière e t p o u r les représentations q u ’il y d onna devant la co u r du prince de C o n té de 1653 à 1657.

Sous la co nduite de guides du syndicat d ’initiatives, nous parcourons les rue de la vieille ville, exam inant la façade des vieux hôtels souvent ornée de balcons en fer forgé,,,, p é n étran t dans les cours p o u r adm irer les vieux escaliers ; nous visitons l’h ô tel de L acoste, ancienne m aison consulaire, où se ten aien t les séances des E tats généraux du Languedoc e t d ’où p a rtit la révolte de H enri II de M ontm orency co n tre l’au to rité royale en 1632, l’h ô tel d ’Alfonce, avec sa façade intérieure garnie de deux etages de loggias e t qui servit de th éâtre à M olière, etc. Après la visite, fo rt intéressante, les d ifférents groupes se retro u v en t à l’ancienne m aison consulaire, où nous a tte n t un ap éritif avec dégustation des spécialités de Pézenas.

A m idi, nous q u itto n s Pézenas en caravane p o u r Lignon sur Orle, village voisin de Béziers, où u n m échoui m onstre a été préparé dans le parc d ’un vieux ch âteau , là, à l’om ­ bre de platanes centenaires, nous dégustons les m oules de Mèze, cuites sur le gril, la pizza, le m o u to n rô ti, la m acédoine de légumes, la salade, les from ages et les pâtisseries, le to u t préparé e t servi p ar les cam arades de Béziers, e t arrosé d ’excellents vins blancs e t rouges du pays. E nsuite, sieste, bavardages, prom enades dans le parc, jeu x de boules, etc, nous perm i­ re n t d ’a tten d re agréablem ent la fraîch eu r du soir p o u r prendre la ro u te du retour.

Un grand m erci à nos cam arades de Béziers p o u r la parfaite organisation de cette réunion et à to u s les cam arades qui, p ar leur présence, en o n t assuré le succès. N ous souhai­ tons les revoir aussi nom breux l’an prochain à Prades, où se tiendra la réunion.

BIBLIOGRAPHIE

Ce q u e p u b l i e n t n o s c a m a r a d e s

Cours d ’électronique. T om e II. C om posants électroniques, par F. MILSANT.

Eyrolles éditeur. Paris.

C ette nouvelle édition a été co m p lètem en t refondue po u r ten ir com pte de l’évolution des techniques. En effet, elle consacre la disparition totale cornm e arnplificateurs des tu b es à vide et à gaz qui, en raison de leur m auvai­ se fiabilité, sont définitivem ent rem placés par les transistors (unipolaires ou bipolaires) et par les thyristors. T outefois, po u r ne pas élim iner to ta le m en t de ren seig n em en t ces c o m p o s a n t qui en raison de certaines analogies conservent un in té rêt pédagogique et qui so n t utilisés dans des dom aines com m e la télévi­ sion et l’éclairage, une étu d e très som m aire en a été faite en appendice.

Cet ouvrage qui s’intéresse principalem ent à l’étu d e générale des com po­ sants électroniques d onne tou tefo is un aperçu de leurs applications afin d ’en ju stifier l’in té rê t, l’étude approfondie des applications é ta n t reportée dans les ouvrages suivants (tom es III et IV). Le livre co m p o rte deux parties principales : — la prem ière traite des généralités sur la co n stitu tio n de la m atière, sur la création et le m ouvem ent des p o rteurs de charges dans les différents milieux (m étaux, sem i-conducteurs et vide).

- la deuxièm e beaucoup plus im p o rta n te que la p récédente, intéresse les diodes et les transistors. Elle co m p o rte trois chapitres généraux qui étu d ien t la diode a jo n c tio n , le transistor unipolaire et le transistor bipolaire. Elle se term ine par deux autres chapitres, l’un qui traite les fonctions fondam entales des transistors (am plification et c o m m u ta tio n ), l’autre qui fait l’étu d e des autres com posants avec une m en tio n spéciale p o u r le thyristor.

^ De nom breux problèm es traités dans les différents chapitres ou proposés a la fin de ces chapitres m e tte n t clairem ent en évidence les deux m éthodes Utilisées en électronique :

d ’une p art, le m isonnem ent sur les caractéristiques, q uand le systèm e n ’est pas linéaire, ce qui a bien lieu po u r les signaux continus (grandeur de repos) ou p o u r les signaux de grande am plitude.

d au tre part, le raisonnem ent sur les circuits équivalents quand le systèm e est ineaire, ce qui se p roduit po u r les signaux de p etite am plitude (signaux taibles). C ’est po u r c e tte deuxièm e partie de l’étude que l’on peu utiliser les théorèm es généraux du prem ier tom e (Thévenin, N orton) po u r construire les circuits équivalents.

Problèmes d ’électrotechnique avec leur solutions, par M. BORNAND. Eyrolles éditeur, Paris.

L ’au teu r se propose d ’aider le fu tu r ingénieur spécialisé en élec tro tec h n i­ que et su rto u t le fu tu r ingénieur spécialisé dans une branche autre, à m ieux com prendre :

les lois fondam entales des m ilieux ferrom agnétiques ; les m oteurs e t leurs caractéristiques ;

le redressem ent du co u ra n t a lte rn a tif et le co n trô le par thyristors ;

les asservissements qui m e tte n t en je u les m oteurs et les dynam os à co u ra n t continu.

Les problèm es q u ’il propose dans ce recueil sont to ujours gradués en difficulté et co n stitu e n t un enseignem ent progressif. Il ne se c o n ten te pas de d o n n er “ sèch em en t” la solution mais ajoute soit u n com m entaire critique de l’énoncé, soit une m éthode po u r ab o rd er le problèm e avec des indications ta n tô t brèves, ta n tô t très développées, soit encore des com plém ents que l’énoncé suggérait seulem ent. A ux problèm es rédigés par l’au teu r s’a jo u ten t des problèm es d ’exam ens. Enfin, chaque chapitre com prend quelques pro b lè­ mes à résoudre q u ’un é tu d ian t qui a bien com pris les solutions exposées d o it pouvoir faire sans difficulté.

S olu tio n s de p roblèm es sur les asservissements linéaires, par L. BALM ER et C.P. LEWIS, trad u it de l ’anglais par S. TH ELLIEZ. Eyrolles éditeur, Paris.

La collection E.E.A. (E lectronique, électrotechnique, au to m atiq u e), dirigée par F. M ilsant, vient de s’enrichir d ’un nouvel ouvrage qui donne les solutions détaillées de n om breux problèm es proposés à différentes Universi­ tés anglaises con cern an t les asservissements linéaires. Ces problèm es sont classés par affinités, ce qui perm et de les rattach er, sans difficultés, aux parties co rrespondantes du cours contenues dans les deux livres “ A nalyse” e t “ S yn­ th è se ” rédigées par F. M ilsant, dans c e tte m êm e collection.

Les problèm es traités p o rte n t sur les sujets suivants : fon ctio n de tran sfert, schémas-blocs, stabilité des systèm es, lieux des racines, diagram m e de Bode et Black.

THE NEW let s talk business ! m éthode audio-orale d ’anglais com m ercial par J . CURIN, L. FED IG AN e t A. G R A N G ER ; H atier éditeur, v o l.l, 19 x 24,

160 pp. 28,50 F t.t .c . 1976.

Le hasard, dieu m alin et qui fait souvent bien les choses, ap porte sur ma table cet ouvrage de nos cam arades A. G ranger (EF 35-37) e t G. C urin (E F 53- 56) au m om ent m êm e où les échos pédagogiques résonnaient du b ru it de la suppression des sections littéraires à l’E.N .S.E.T.

N otre Bulletin des Anciens Elèves a souligné en son tem ps les qualités d ’au th en ticité et d ’aim able dynam ism e qui caractérisaient déjà la prem ière édition en 1970. La nouvelle edition est une éd itio n entièrem en t rem aniée ; elle s adresse toujours à ceux que l’anglais des affaires intéresse : élèves, é tu ­ diants, grand public ; elle tie n t com pte aussi, inutile de la souligner, des besoins des candidats aux différents exam ens com m erciaux et contribuera, éventuellem ent a 1 info rm atio n des exam inateurs. L ’ossature en dem eure, ainsi q u ’il convient, le te x te des dialogues enregistrés précédem m ent au livret d ’accom pagnem ent p e rm e tta n t ainsi la pratiq u e, en classe ou isolém ent, d ’une gam me d ’exercices audio-oraux indispensables po u r une exploitation fructueuse des docum ents sonores qui nous so n t offerts.

Un schem a détaillé, faisant suite sur deux pages à une courte préface, précise p o u r l’in stru ctio n de tous la m arche à suivre p o u r l’utilisation de ces enregistrem ents éprouvés. L ’élève qui n ’a pas le livret d ’accom pagnem ent est ainsi clairem ent inform é des étapes prévues po u r une utilisation optim ale de la m éthode : il ne risque pas de perdre pied s’il se trouve n ’avoir pas été entrainé à la pratique de ce genre d ’exercices.

Chacun de ces quinze dialogues initiaux sert d ’ouverture à chacune des quinze prem ières rubriques ; un exercice de thèm e, ou p lu tô t de réem ploi “ How they p u t it in English” , en prise directe sur le dialogue, perm et à l’élève d élucider po u r son com pte certains passages de ce dialogue c o n trib u an t à leur assim ilation globale dans un prem ier effo rt de m ém orisation et de recherche.

Ce prelude est suivi de textes e t d ocum ents em pruntés à la presse écrite e t renouvelés dans un souci d ’actualisation : les réalités économ iques, est-il besoin de le rappeler, ne se conjuguent pas au passé.

Grâce à un form at légèrem ent supérieur à l’ancien, l’ouvrage de nos collègues ja lo n n e la nouvelle p résen tatio n de notes marginales co m p o rta n t et des com m entaires éclairés aboutissant a la trad u c tio n appropriée de term es spécifiques, e t des “ Talking p o in ts” ou des essais. Ces notes rem placent avanta­ geusem ent les rajouts que les utilisateurs plus ou m oins experts cra y o n n en t sur leurs livres de langues vivantes e t qui co m p o rte n t parfois de surprenants coq à l’âne.

Chacune des quinze rubriques présente p o u r conclure deux rédactions com m erciales, presque to ujours des le ttres com plétées, elles aussi, par des notes de vocabulaire et par de nécessaires rappels gram m aticaux ainsi que par des exercices de su b stitu tio n , de réem ploi et de mise au p o in t, b re f to u t un appareil pédagogique varié, utile e t utilisable.

Les rem aniem ents effectués o n t perm is d ’ajo u ter trois dossiers supplé­ m entaires p o rta n t sur des sujets d ’in té rê t co n stan t (le com m erce de détail, les secrétaires, po u rq u o i apprendre l’anglais) illustrés p ar une variété d ’ex traits de presse anglo-saxonne.

Un dernier dossier, to u t en tier consacré aux ex traits de presse française offre une série de thèm es d ’actualité et de bo n aloi sur lesquels les candidats à certains B.T.S. p o u rro n t u tilem e n t s’en tra în er.

Signalons à ce propos le m orceau de bravoure que co n stitu e la tra d u c ­ tion proposée po u r le passage in titu le : “ M anchester : le vent en p o u p e ” em prunté au “ M onde” . O ù donc ai-je lu que l’anglais technique ne posait pas de problèm es p o u r qui se c o n stitu e un rapide lexique des m ots utiles dans la fonction ? l’anglais sur le tas en som m e. Ce procédé, si l’on en cro it certains esprits chagrins, serait g énérateur de com m odes certitu d es tro p facilem ent acquises ; les vocabulaires techniques n ’éch ap p en t pas aux avatars du vocabu­ laire général e t requièrent le loisir de revoir et rem ettre en question les solu­ tions suggérées par des circonstances superficiellem ent appréciées, ainsi la com pétence du chercheur, sans cesse remise en cause à la lum ière de l’expérien­ ce quo tid ien n e p e u t s’affirm er en replaçant les term es dans le cadre approprié. C ette o p tique, opposée à la facilité, suppose un désir de rester intelligem m ent intelligible et de conserver à n o tre langue m aternelle une place que lui dispu­ te n t les em piètem ents du franglais, recours com m ode de ceux qui ignorent l’une et l’autre langue.

Enfin, un lexique de vocabulaire com m ercial et économ ique agréable­ m en t présenté com plète u tilem e n t le volum e en rassem blant en ordre alp h ab éti­ que des term es spécifiques accom pagnés au besoin de précisions fo rt utiles.

J ’allais oublier de dire avec quel plaisir j ’ai revu la d o cu m en ta tio n illus­ trée où la publicité, d o n t la valeur pédagogique s’affirm e encore une fois, alterne avec les croquis hum oristiques, voilà encore ainsi que les auteurs nous y inv iten t bon nom bre de sujets de com m entaires appropriés. Il reste toujours à chacun loisir et licence d ’étendre et d ’am éliorer, si faire se p eu t, les sugges­ tions soumises.

Souhaitons que les utilisateurs fassent à cet ouvrage spécialisé, particu liè­ rem ent alerte et do cu m en té, le succès que m érite u n appareil pédagogique fourni sans être en co m b ran t, à jo u r sans être superficiel e t solidem ent instruit. A joutons que la p résen tatio n fait h o n n eu r aux éditeurs aux quels il faut bien, à l’occasion, reco n n aître quelque m érite.

H. MARCY E F 25-27

P.S. Un recensem ent des ouvrages “ spécialisés” présentés par nos collègues issus de l’E.N .S.E.T. d o n n era it, je crois, un argum ent de poids aux partisans du m ain tien t de nos sections.

D R O IT COMMERCIAL par Henri E C O FFE T D 29-31 Lycées T echnique — I.U.T. — F o rm a tio n continue E ditions NATHAN TECHNIQUE

M. E C O F FE T qui allie une très grande expérience pédagogique et une forte culture ju rid iq u e poursuit avec b o n h eu r la rédaction de ses ouvrages. Le livre de D R O IT COMMERCIAL qui s’adresse aux élèves des Lycées T echni­ ques, aux étu d ian ts des I.U.T. et aux auditeurs de F o rm atio n continue est à la fois la 4èm e édition e t nouvelle édition 1976. En effet “ c e tte nouvelle édition co m p o rte des adjonctions, n o ta m m e n t au niveau des travaux dirigés’’. Elle “ a été conçue spécialem ent en vue de la prép aratio n d ’exam ens tels que le

B revet Professionnel de com ptable, le C ertificat d ’E tu d e s Juridiques en vue de l’o b te n tio n du D iplôm e d E x p e r t C om ptable, les Brevets de Techniciens

supérieurs”.

Chaque leçon c o n tien t un exposé clair des règles de d ro it replacées dans leur c o n tex te économ ique et social et pren an t appui bien souvent sur des exem ples concrets. Le d ro it n ’a p p a ra ît pas ainsi com m e un énoncé aride de

règles abstraites. ~

C haque leçon s’achève par : “ Ce q u ’il faut reten ir de la leçon’’. Chacune est suivie de “ Travail de réflexion” bien souvent et to ujours de “ Travail dirigé” . L au teu r a choisi ju dicieusem ent les tex tes soumis à la réflexion des élèves, étu d ian ts e t auditeurs. Ce ne so n t pas fo rcém ent les décisions de ju stice qui o n t fixé la jurisp ru d en ce ou qui o n t provoqué un revirem ent, mais celles suscepti­ bles de fournir m atière à reflexion afin de saisir l’essence des phénom ènes juridiques.

Le livre em brasse l’ensem ble du D R O IT COMMERCIAL, q u ’o n en juge par le plan suivi :

In tro d u c tio n : Le D roit com m ercial e t sa form ation Prem ière partie ; Les actes de com m erce et les com m erçants D euxièm e partie ; Le fonds de com m erce et sa p ro tec tio n Troisièm e partie : Les co n tra ts com m erciaux

Q uatrièm e partie : Les effets de com m erce

Cinquièm e partie : Les com ptes en banque — le chèque Sixièm e partie : Les sociétés com m erciales

Septièm e partie : Le règlem ent judiciaire - la liquidation des biens - la faillite personnelle.

Les candidats aux divers exam ens cités supra ne peuvent que trouver dans l ’ouvrage de M. E C O F FE T un ou til de travail leur p e rm e tta n t d ’affro n ter aussi bien les difficultés de la dissertation ju rid iq u e (cf. D.E.C.S.) que les in te r­ rogations orales (cf. B.T.S.). Ceux qui p réparent des concours de recru tem en t de professeur de C.E.T. et de L.T. en tire ro n t un très grand profit.

D R O IT CIVIL par H enri E C O F FE T D 29-31 Classes de 1ère G l , G 2, G3

E ditions NATHAN TECHNIQUE

Voici la 4è et nouvelle édition 1976 du livre de D R O IT CIVIL de Mr H enri EC O FFET. Fidèle à la m éthode retenue lors des précédentes éditions l’ouvrage, qui s’adresse aux classes de 1ère G l , G 2, G 3, expose les n o tions essentielles de dro it civil d ’une m anière claire et précise. L ’au teu r présente les règles de dro it en p a rta n t bien souvent d ’exem ples qui conduisent l’élève a saisir les raisons de la règle et à en reten ir l’essentiel. De n om breux schémas illustrent les divers chapitres. C haque leçon est suivie de : “ ce q u ’il faut reten ir de la leçon” et de “ term es et expressions ju rid iq u e s” . Les travaux dirigés so n t en com plém ent indispensable. Aussi sont-ils réunis en une p o ch e tte in titu lée :

Travaux dirigés de d ro it civil — classes de 1ère G

L ’ouvrage em brasse l’ensem ble de c e tte m atière fondam entale q u ’est le d ro it civil, sans laquelle on ne saurait étu d ier avec fruit les autres branches du d ro it privé.

Les divisions de l’ouvrage so n t les suivantes :

I In tro d u c tio n (le D roit, les d roits ; les sources du D roit ; les divisions du D roit).

II Les personnes

III Les biens

IV Les obligations (partie la plus im p o rta n te parce que fondam entale) V Les sûretés personnelles — les sûretés réelles

VI E tu d e pratique de c o n tra ts (vente, prêt, dép ô t, m andat, louage de choses).

Puisse ce m anuel co n n a ître le succès m érité des précédentes éditions.

M. RESSAYRE D 56-59

D R O IT COM M ERCIAL par H enri E C O F FE T D 29-31 et Y vonne JE A N EA U D 41-43

Term inales G l , G 2, G3

E ditions NATHAN TECHNIQUE

La 2è et nouvelle édition 1976 de cet ouvrage est l’oeuvre de M. Henri E C O F FE T et de M adame Y vonne JEA N EA U .

Il est conçu de la m êm e m anière que le m anuel de D RO IT CIVIL (1ère G l, G 2, G 3). Les règles de d ro it so n t présentées d ’une m anière claire e t précise. Les exem ples jud icieu sem en t choisis m o n tre n t que c e tte m atière très réglem en­ tée est l’expression ju rid iq u e de phénom ènes économ iques et sociaux. Des

schemas illustrent les points délicats, n o ta m m e n t les effets de com m erce Pour ne pas alourdir certains chapitres, et dans la vue de présenter une étude d ’ensem ble, des points délicats so n t abordés dans des “co m p lém en ts” . La rep artitio n de l’etu d e en 12 leçons correspond au program m e, ce qui perm et de faire la liaison avec les 12 séances de T ravaux pratiques regroupées en une p o ch e tte qui com prend égalem ent les 12 séances de Travaux pratiques de D roit du Travail - Sécurité sociale de Term inale G l, G 2, G3.

L ’ouvrage est une étu d e com plète de l’ensem ble du d ro it com m ercial (interne et terrestre) à l’exclusion des procédures collectives (règlem ent judi­ ciaire et liquidation des biens).

Q u ’on en juge par les divisions retenues : I In tro d u c tio n

II Actes de com m erce et obligations des com m erçants III Le fonds de com m erce

IV Les c o n tra ts (société — vente — nantissem ent — m andat — tran sp o rt et com ptes en banque, com ptes de d ép ô t, effets de com m erce).

M. R E S S A Y R E D 56-59

D R O IT DU TR A V A IL E T D R O IT SOCIAL par H enri EC O FFET D 29-31

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