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Formation: études pédagogiques et après j’ai voulu compléter ma formation avec l’ancienne formation, donc pas la LME, l’ancienne, que j’ai presque terminée, c’est-à-dire que j’ai fait presque tous les cours que je devais avoir, sauf le mémoire.

Années d’expérience: C’est ma dix-septième année.

Degré dans lequel la personne enseigne en ce moment: Nous on est une école qui est classée dans la plus basse catégorie socioculturelle, mais il y a encore pire que nous. Ils font toujours des pourcentages par rapport au métier des parents et par rapport à la langue d’origine parlée. Il y a pire que nous, mais on nous propose de devenir REP l’année prochaine, on est dans le fond du panier déjà.

Type d’école: 1E toujours travaillé dans le degré élémentaire

Comment est-ce que tu définis l’échec scolaire: Alors l’échec scolaire, en général, c’est des enfants qui ne réussissent pas à obtenir des résultats satisfaisants. Ça ne veux pas toujours dire qu’ils n’ont pas les capacités, mais ils rament du matin au soir pour différentes raisons:

familiales, psychologiques et d’autres qu’on ignore complètement. Moi par exemple, j’avais G l’année passée, moi je ne comprenais pas d’où venait son problème. J’ai imaginé plein de choses qui devaient se passer à la maison sans être vraiment sûre. Ils ont parfois d’autres formes d’intelligence, mais qui ne correspondent pas à ce qu’on attend d’eux à l’école.

Est-ce que le comportement d’un élève ça peut aussi être un échec scolaire?

Être un échec?

Être un échec ou participer à un échec?

Il y a des comportements qui peuvent participer à l’échec, ça c’est sûr. Maintenant, il y a des élèves qui ont un comportement insupportable en classe, qui ne correspond pas aux attentes de l’école, malgré tout, ils ne sont pas en échec scolaire du tout, ils peuvent même être très bons. Mais c’est des enfants à qui on doit tout le temps faire des remarques, on doit régulièrement punir, parce qu’ils arrivent pas à se conformer aux règles de l’école. Du fait qu’ils sont dans une classe et que par le nombre on est obligé de respecter les règles sinon ça devient l’enfer pour tout le monde, mais ils peuvent avoir de très bons résultats. C’est clair que si ce comportement il perdure, c’est une sorte d’échec mais pas vraiment scolaire plutôt social je dirais.

Mais ça peut pousser un enseignant à le mettre en spécialisé?

Non, …ah…non, s’il obtient de bons résultats non. Bien sûr que si ça l’empêche d’apprendre parce qu’il n’arrive pas à se concentrer, parce qu’il n’arrive pas à fournir des efforts à s’appliquer et tout. Je pense qu’il y a des enfants qui sont dans le spécialisé un peu pour ce genre de raisons, j’entend des hyperactifs ou des gosses qui ne sont pas centrés, qui sont un peu diffus, qui vont dans tous les sens. Et du coup, ils ne peuvent pas mettre leur énergie dans le travail scolaire.

Est-ce qu’un enseignant peut se comporter de manière différente avec ses différents élèves par rapport à leurs résultats scolaires? Est-ce que, par exemple, avec un élève qui est très doué, tu pourras te comporter de manière très différente qu’avec un élève qui serait en difficulté?

Je ne sais pas si c’est seulement la réussite de l’élève qui compte. Je pense que c’est aussi son attitude en général, que ce soit par rapport à l’école ou certains enfants qui recherchent plus un contact que d’autres, ou qui recherchent plus un appui que d’autres. Eux-mêmes sont très différents vis-à-vis de nous, alors forcément, on est différent en réponse à ce qu’ils nous amènent. Bon, moi j’essaye d’être assez équitable et puis de ne pas donner tout mon temps à l’un et puis d’abandonner l’autre, mais en même temps les enfants qui sont assez distants, dans ma classe, je respecte cette distance qu’ils mettent. M, l’année dernière, c’était pas une enfant qui venait me raconter sa vie, elle était excellente scolairement, mais on n’a jamais eu un contact privilégié. C’était bonjour, au revoir, tu me donnes tes devoirs, je te donne ton évaluation qui a été corrigée, c’était très « professionnel ». Avec d’autres, c’est beaucoup plus

affectif, parce que c’est eux qui recherchent ça. Mais je pense que si j’essayais d’être plus affective avec des enfant qui n’en recherche pas ça serait aussi un peu intrusif ça les dérangerait. Mais en fonction de leur réussite, c’est clair qu’il faut beaucoup réguler avec un enfant qui dysfonction ne, donc il faut essayer de trouver des solutions. Il faut lui dire de venir un peu à côté de moi travailler à mon bureau, il faut aller nous à côté du sien, faut lui accorder des petits moments de relance. Forcément qu’on a plus d’interaction avec ces enfants-là, mais c’est parce que c’est nécessaire, c’est pas parce qu’on le choisi nous. C’est notre travail d’apporter des pistes pour y arriver par eux-mêmes.

Donc là, c’est des choses tout à fait nécessaires, mais est-ce que tu penses que, pas pour des raisons telles qu’un enfant qui nécessite plus d’aide, mais pour d’autres raisons. il peut arriver qu’un enseignant mettre un peu au ban certains élèves ou que certains élèves se sentent transparent.

Alors moi, je ne fonctionne pas du tout comme ça, genre c’est le boucémissaire, alors si je veux plus en entendre parler, il moisit un peu au fond de la classe ça m’arrangera bien. Moi je ne fonctionne pas comme ça. Par contre, ça pourrait m’arriver que, par exemple, pour les enfants qui n’avancent jamais, c’est épuisant de tout le temps aller vers eux. C’est vrai qu’il y à des moments où l’on peut aussi se dire que, pendant une période, je ne m’occupe pas de lui.

Tant pis s’il n’a rien fait, moi j’ai besoin de ne pas m’occuper de lui pour ne pas péter les plombs et lui il a besoin qu’on soit pas sur son dos un moment. Parce que c’est finalement aussi épuisant pour lui d’avoir toujours sur son dos l’adulte qui vient: « mais avance, tu as toujours pas fait deux lignes…gnagnagnagna… » et puis ça devient du harcèlement. Il y a des moments où volontairement on va le lâcher, mais pas dans le sens « celui-ci je ne m’investi`s pas pour lui, poubelle en gros ».

Est-ce que ça existe, est -ce que tu as entendu des témoignages d’enseignants qui dissent que pour x élève, ils ne vont pas trop se fatiguer car ça n’en vaut pas la peine?

Oui, moi je pense que ça existe. Oui, et puis encore c’est le moins pire des cas, tu as aussi des enfants qui sont même dénigrés et ça c’est encore pire. C’est même pas dans le « je l’oublie », c’est « toute façon tu y arriveras jamais… » ça, je suis sûre que ça existe, que ça existe encore. Est-ce que ça durera dans les années? Moi, ce que j’ai vécu, c’est avec des enseignants qui n’enseignent plus maintenant ou qui sont sur la fin de l’enseignement.

C’est plutôt « les vieux »?

A mon avis, c’est pas forcément lié à l’âge, quoique ça donne cette impression-là, mais c’est lié à l’ouverture d’esprit, comment on appréhende les enfants en difficulté. Est-ce qu’on a encore l’énergie pour leur accorder du temps, pour essayer de les aider. Moi, je suis sûre qu’il y a des gens qui ne peuvent plus. A la limite, c’est même pas de leur faute. Mais après tant et tant d’années où tu as l’impression que tu tournes en rond et qu’il y en a forcément toujours qui n’y arriveront pas, des fois c’est un peu décourageant, c’est clair. On se bat chaque année avec les même moulins à vent. Je veux dire: contre celui qui n’écoute pas, contre celui qui ne comprend rien, contre celle qui bavarde tout le temps. C’est l’éternel recommencement, sauf qu’il y a d’autres visages, que les problématiques sont toujours un petit peu différentes, mais j’imagine qu’il y a des gens qui sont démotivés, qui n’attendent que la retraite ou un événement qui doit arriver dans leur vie et qui désinvestissent. Même si je pense que c’est exceptionnel, ça je pense que ça doit arriver. Il y a quand même des enfants qui sont malheureux à l’école. Moi, j’ai beaucoup d’enfants qui me fatiguent énormément, mais je suis toujours inquiète quand les parents viennent me dire qu’il n’a plus envie de venir. Je pense, que peut-être même il y a certains enseignants à qui les parents n’osent pas le dire, j’en sais rien, c’est comme ça que je sens encore les choses. Dernièrement, dans l’école, il y a des parents qui ont été jusqu’à l’inspecteur parce que la petite ne mangeait plus, elle ne voulait plus venir à l’école et pourtant elle est en cinquième primaire. Donc, il y a quand même des problèmes très sérieux encore dans les classes et que les enseignants ne sont peut-être pas toujours à l’écoute vis-à-vis de leurs élèves.

Et qu’est-ce qui fait que certains enseignants ne soient pas très à l’écoute de leurs élèves?

Ben il y a des personnalités différentes.

Est-ce que c’est tous les élèves, est-ce que c’est certains plus que d’autres?

Il y a des élèves qui sont plus sensibles que d’autres à l’attitude que peut avoir le prof envers eux. Il y en a, tu peux faire la grosse voix, il te rigolent au nez et d’autres tu leur fais à peine une petite remarque et ça les touche d’avantage. Mais il y a quand même des personnalités d’enseignants qui sont plus blessantes que d’autres.

Des mots plus durs par exemple?

Oui des mots, ou justement des pas mots, peut être qui n’expriment pas ce qu’ils souhaitent expliquer aux enfants et il y a de l’incompréhension qui s’installe de part et d’autre. A la limite, l’enseignant ne comprend pas son élève et l’élève ne comprend pas l’enseignant, comme deux personnes peuvent ne pas s’entendre. Mais logiquement, l’enseignant il devrait avoir cette ouverture d’esprit de voir un petit peu ce qui se passe chez ses élèves. Moi par exemple, cette année, j’ai le petit D qui était le dernier à partir. C’est un gosse qui vit plein de problèmes, de choses difficiles, je sais que parfois, je suis dure avec lui, mais il y a aussi plein de moments où je suis à l’écoute de ce qu’il vit, de se qu’il fait. J’essaye de pouvoir lui apporter ce qu’il trouve pas ailleurs.

Et puis, à l’inverse, est-ce que les chouchous ça existe?

Alors de nouveau, moi, je ne fonctionne pas comme ça du tout. Je déteste d’ailleurs, mais peut-être, s’il y a des boucémissaires, il y a peut-être des chouchous.

Lors de mon entretien, on m’avait dit que dans cette école, il y avait une enseignante qui avait des chouchous et qu’elle le montrait aussi bien aux autres enseignants qu’aux autres élèves de la classe. Ça doit créer une dynamique assez particulière quand même.

Ce qui me frappe le plus, c’est les enfants qu’on rabroue tout le temps. Je pense qu’il y en a plus que des chouchous à qui on passe tout… S’il y a des chouchous, j’imagine que c’est des enfants qui respectent les règles, qui ont toutes les raisons qu’on les apprécie je veux dire.

Maintenant, ça me fait plus de souci qu’il y ait le gamin qui se fait toujours gronder, que toutes les bêtises retombent sur lui, qu’on regarde même plus, qu’on salue peut-être pas ou je sais pas. Ça ça me choque d’avantage, mais je pense que s’il y a dans le négatif, il y a dans le positif forcément. Moi, je ne fonctionne pas comme ça. Moi, j’ai une petite, tu as vu, elle vient toujours me serrer dans les bras, alors les autres ils veulent aussi. A elle je lui ai pas refusé, parce qu’elle est très en demande de tout ça avec sa maman qui va avoir un bébé et puis c’est dans son caractère et bien je le fais aussi avec les autres. Mais c’est pas moi qui vais vers eux, c’est eux qui viennent. Ceux qui réclament pas et bien ils réclament pas. Au début, il y avait qu’elle et puis maintenant il y en a deux, trois, quatre… puis voilà quoi.

C’est pas donner plus, tout d’un coup à certains, c’est…

Non, c’est eux qui demandent.

Alors dans ta scolarité à toi, ou dans celle de tes enfants, tu as rencontré des enseignants qui pouvaient être blessants, vexants ou l’inverse, est-ce que tu as des souvenirs comme ça?

Moi j’ai eu beaucoup de chance, j’ai jamais eu ça, mais ma fille oui. C’est arrivé que même moi je juge que les punitions du prof étaient exagérées. Alors c’est jamais tombé sur ma gamine parce qu’il se trouve qu’en général elle se débrouille assez bien, elle ne fait pas trop de bêtises et c’est une gamine attentive, donc c’est pas celle qui va se faire chopper parce qu’elle a pas suivi, parce qu’elle a pas poussé sa chaise. Mais elle, c’est arrivé qu’elle revienne me dire des choses aberrantes: par exemple, les enfants n’ont pas réussi à se changer assez vite au vestiaire avant la gym, tous les enfants ont dû faire deux tours de plus, tout le monde est puni. Ça veut dire qu’il y a une punition collective parce que deux gamines ne s’étaient pas changées assez rapidement. Le gamin qui a oublié de pousser sa chaise derrière lui en se levant, il fait le début de la leçon debout pendant je ne sais pas combien de temps, dix minutes, un quart d’heure. Des trucs, dieu sait si dans ma classe des gamins ne poussent pas leur chaise. A la limite, on le lui rappelle, on le lui redit, mais faire la leçon dix minutes debout ça me paraît un petit peu spécial comme… puis il y a eu: « tu as oublié tes devoirs aujourd’hui pour la première fois, alors tu passes ta récréation sur le petit banc dehors de la salle des maître. » Tu vois c’est tac comme ça, et ça les enfants, ils le vivent mal, parce que ça paraît trop fort et ça peut paraître pas en lien avec le problème. La punition n’a peut-être pas

d’impact avec la suite des choses quoi. Oublier une fois ses devoirs, ça peut arriver. Se changer dans les vestiaires, c’est vraie que ça devenait un peut l’armée, pour chaque petit truc il y a une punition, chaque chose a sa punition. Je trouve que ça devient ingérable, même pour l’enseignant, tu passe ta journée à donner des punitions, punition de ci, punition de ça…finalement tu fais plus ça que de l’enseignement. On fait malgré tout avec. Moi j’ai la chance que ma gamine ne se soit pas retrouvée-là dedans, peut être une ou deux fois, mais c’est vrai que si j’avais une gosse qui avait des problèmes scolaires elle serait déjà dégoûtée.

Tu parles de nouveau d’échec scolaire. Pour toi, les raisons qui expliquent l’échec scolaire? Alors il y en a plein, mais si tu devais en donner quelques unes comme ça?

Il doit y avoir, moi c’est des questions que je me pose depuis pas mal d’années. il doit y avoir une petite part génétique à quelque part, on est pas né tous avec le même bagage au départ. Je pense q’il y a aussi comment on a été stimulé depuis qu’on est petit: notre environnement, comment on nous parle, de quoi on nous parle, est-ce qu’on nous parle…chez certains, on peut se poser la question. Il y a aussi ce qu’on nous fait faire, ce qu’on nous montre, ce qu’on nous explique, ce qu’on nous fait découvrir, les questions qu’on nous pose. Il y a des enfants à qui on ne pose jamais de questions, ils s’en posent jamais non plus eux. Après, je pense qu’il y a les facteurs extraordinaires, traumatisants, un divorce, perdre quelqu’un de proche et même un événement positif comme l’arrivée d’un nouveau bébé dans la famille, tout d’un coup ça peut perturber énormément. Il y a, ça ça fait aussi partie de la génétique, quand il y a les enfants qui sont hyper attentifs, quand ils sont là, il sont vraiment là: ils ouvrent les yeux, ils te regardent, ils écoutent et d’autres ils sont tout le temps, je ne sais pas si ça vient de la génétique ou de la personnalité, ta personnalité elle vient aussi de tes chromosomes , t’as ceux qui sont dans le vague à longueur de journée, qu’il faut rappeler à l’ordre, pas parce qu’il se passe rien dans leur cerveau, mais tu as de la peine à les intéresser à ce que tu aimerais faire là maintenant avec eux. Eux ils sont en trait de flotter dans d’autres réflexions. Moi, j’ai ça dans ma classe, avec un petit très intelligent, il lit déjà, il a déjà compris le système de la lecture en première enfantine, même si il ne connaît pas encore tous les sons. Mais pour l’avoir, au moment précis, quand toi t’en a envie, c’est difficile. Quand tu lui demandes de faire un effort dans un domaine où il a moins de facilité, genre l’écriture, tout ce qui est graphisme, ça l’embête un peu quoi. Alors que logiquement, c’est plus facile pour lui, car il sait déjà faire. C’est comment déjà ta question?

Les raisons de l’échec scolaire?

Il y a aussi les attentes des parents vis-à-vis d’eux. Ça je pense que ça compte aussi. Il y a des parents, ils nous les envoient parce que ça fait garderie, c’est super, ils peuvent aller travailler tranquille et à midi il y a les cuisines et le soir il y a le para, alors on est tranquille jusqu’à dix-huit heures. Ils attendent pas forcément grand chose de leurs enfants. Ils pensent pas à le féliciter, à valoriser ce qu’il a fait, ses résultats et lui dire. « travaille bien aujourd’hui ». Non, ils te l’envoient dans la classe en disant: « va jouer » pour les tous petits, je pense que ça, c’est important. D’ailleurs, avec les histoires de REP, ils essayent de voir qu’est-ce qu’on pourrait faire de plus pour que les enfants réussissent bien. Mais pour moi, tant qu’on aura pas mobilisé les parents dans l’histoire, on arrivera pas à progresser tellement et tellement plus encore. Il faut que les parents s’investissent dans leur rôle de parents et dans leur intérêt vis-à-vis de ce que leur enfant fait, parce que c’est un super moteur pour réussir. Si les parents attendent quelque chose d’eux, ils seront fières de montrer ce qu’ils savent. Forcément, ça va

Il y a aussi les attentes des parents vis-à-vis d’eux. Ça je pense que ça compte aussi. Il y a des parents, ils nous les envoient parce que ça fait garderie, c’est super, ils peuvent aller travailler tranquille et à midi il y a les cuisines et le soir il y a le para, alors on est tranquille jusqu’à dix-huit heures. Ils attendent pas forcément grand chose de leurs enfants. Ils pensent pas à le féliciter, à valoriser ce qu’il a fait, ses résultats et lui dire. « travaille bien aujourd’hui ». Non, ils te l’envoient dans la classe en disant: « va jouer » pour les tous petits, je pense que ça, c’est important. D’ailleurs, avec les histoires de REP, ils essayent de voir qu’est-ce qu’on pourrait faire de plus pour que les enfants réussissent bien. Mais pour moi, tant qu’on aura pas mobilisé les parents dans l’histoire, on arrivera pas à progresser tellement et tellement plus encore. Il faut que les parents s’investissent dans leur rôle de parents et dans leur intérêt vis-à-vis de ce que leur enfant fait, parce que c’est un super moteur pour réussir. Si les parents attendent quelque chose d’eux, ils seront fières de montrer ce qu’ils savent. Forcément, ça va

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