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CHAPITRE 2. Taine historien, les premières années, 1870-

B. R eption de l’Ancien Régime

Si Taine désire placer ce premier tome des Origines en dehors des a tio s politi ie es, il se oud ait t e à l a i des a tio s pide i ues de ses o te po ai s, ai si u il l e p i e da s u e lett e à Al e t Collig o , di e teu de La vie

littéraire et que celui-ci publiera dans sa revue : « Dans un écrivain, il y a deux hommes : le

p e ie ui s ad esse à ses o te po ai s, flatte leu s goûts, de plus en plus a un rôle, un étalage, une coterie, un succès ; le se o d ui s ad esse au aut es g atio s et se p se te u da s l a e i a e ses seuls li es ; je préfère le second ; e ui est esse tiel, est la position durable. »317 Ambitio i e se, fi ale e t alis e, ais ui ite a pas les pol i ues ultiples sus it es pa so œu e ta t de so i a t ue lo gte ps ap s sa mort.

La so tie de l A ie régime coïncide avec une période politique instable caractérisée par une poussée républicaine de plus nette. Les élections sénatoriales de janvier 1876 destinées à compléter les 75 sénateurs inamovibles nommés par la Chambre, donnent un équilibre entre monarchistes et républicains ; 151 pour les premiers, 149 pour les seconds. Puis, le scrutin uninominal à deux tours pour élire les députés en février-mars 1876 consacre la victoire des républicains. Avec 350 élus, ils battent largement la droite conservatrice composée de 25 légitimistes, 55 orléanistes, 75 bonapartistes. Si les monarchistes sont anéantis, la droite libérale et parlementaire perd une bataille décisive dont elle ne se relèvera pas.

Jules “i o o au e pla e e t de l ph e Fau e se situe à la fois trop à gauche pour Mac-Mahon et trop à droite pour Gambetta. Cette situation o fusio elle a pe du e jus u au ai ua d Ma -Mahon adresse une lettre à J. Simon lui reprochant son silence à la Chambre devant les attaques de Gambetta : « Le l i alis e, oilà l e e i ! » Après la démission rendue inévitable de J. Simon, la mise en minorité de son remplaçant de Broglie entraîne la dissolution de la Chambre en juin et de

ou elles le tio s. O sait e u il e ad ie d a, u e la ge i toi e des pu li ai s a e élus contre 208 conservateurs confirmée plus tard par des élections municipales qui aboutiront à un changement radical de la physionomie politique du sénat en janvier 1878.

Cette période de deux ans va perturber Taine. Sa correspondance en atteste. Sachant que la République est en marche et inévitable, y voyant le résultat de la suprématie du suffrage universel, il espère au moins que Gambetta, une fois aux affaires se o t e a plus aliste et espo sa le ue da s l oppositio . Il este pe suad ue la France va voir son prestige et son rôle international diminuer encore un peu plus : « Elles (les bêtes !) Au pou oi , ous au o s u e F a e i f ieu e e Italie et à peu p s au i eau de l Espag e ; mais nous ne pouvons pas avoir mieux. »318 Dans une lettre du 22 mai à Boutmy, il présage ie de l olutio de la situatio : « Que dites-vous de notre coup de théâtre politique ? Je comprends que M. Gambetta même sucré par J. Simon ait paru amer au Maréchal, et que, se ta t l a e à t a e s le su e, il ait craché le tout. Cela le conduit à donner lui-même sa démission dans quatre mois. » Il y reprend sa critique acerbe du suffrage universel : « Même avec des préfets nouveaux, on ne manie pas aisément le suffrage universel ; est u o e animal préso ptueu , ope, et ui a epte a pas le o t i la ide ; d auta t plus ue depuis si a s, il s est gu i, il a eau oup a g , il est plus at i effa ou h o e e 1870. »319 Cet épisode le renforce, si besoin est, dans son opposition absolue au suffrage u i e sel. “i pou lui l i sti t galitai e d o ati ue e t aî e toujou s le peuple à adi alise so suff age, il a o de pas plus de satisfe it à l a isto atie ui, da s la situatio a tuelle, fait preuve de cécité politique et de démission intellectuelle. Il faut ajouter que pendant cette période indécise sur le plan politique, Taine travaille sur la Révolution et que les évènements u il it e di e t e peu e t ue e fo e ses o i tio s p i iti es. ‘e a pa tage so inquiétude avant le ote du o to e et lui it le u il : « oit des uages s a u ule contre eux, la presse nous attaquera, soit comme cléricaux, soit comme radicaux. La pente où

ous so es depuis lo gte ps tait fatale, ais le ai e a dou l l i li atio . »320

Ce est pas le essage o te u da s l Ancien régime qui va entraîner des réactions enflammées des uns ou des autres, plus préoccupés par la situation politique indécise que par une thèse originale sur les origines de la Révolution française. Si le livre expose des thèses originales (esprit classique, philosophie du XVIIIe siècle, conditions de vie des a pag es , il ep e d aussi des id es d jà d fe dues hez To ue ille et ui o t ie

318 Taine (H.), « Lettre à A. Denuelle le 21 mai 1877 », Vie et correspondance, op. cit., t. IV, p. 22. 319

Taine (H.), op. cit., t. IV, p. 26.

de polémique. Victor Giraud qui voit dans l’A ien régime le chef-d œu e de Tai e, pa le de « sérénité » de l auteu fa e à « cette société frivole mais régulière, et qui présentait au moins les apparences de la santé et de la raison. »321 Dans son Essai sur Taine, sans doute le livre le plus érudit paru da s les a es ui sui e t la o t de Tai e et ui a l a al de la fa ille, V. Gi aud et e e e gue l i flue e de To ue ille su la pe s e de elui-ci. « Il faudrait sans doute de lo gues pages pou d le a e l e a titude et la p isio d si a les tout e u il a pu puise d i fo atio s, d i di atio s f o des, de ues d e se le et de d tail da s les ouvrages de Tocqueville. »322 Co e ous l a o s dit, Tai e lui-même revendique cette filiation.

La préface de l’A ie gi e est aussi celle des Origines de la France

contemporaine. Ce te te su e l a itio histo i ue de Taine et illustre son style. Tout est

dit dans ces huit pages, son humilité feinte devant les idées politiques, sa conception d te i iste de l histoi e, « d a a e la atu e et l histoi e o t hoisi pou ous ; est à ous à

ous a o ode à elles, a il est sû u elles e s a o ode o t pas à ous. »323

En disant u e , il a ait au u e o i tio politi ue, il ep e d là u e d la atio u il faisait à Prévost-Pa adol du te ps de l E ole o ale : « Je suis majeur depuis huit jours, et je ne vote pas, uoi ue je le puisse. Je e t ou e i apa le, et oi i pou uoi : Je ai ue deu opinions fermes en politique : la première est que le droit de propriété est a solu… ue la p op i t est u d oit a t ieu à l Etat, o e la li e t i di iduelle…La se o de est ue tous les droits politiques des citoyens se réduisent à un seul, qui est celui de consentir à la forme de gouvernement existante, soit explicitement, soit tacitement ; que, par conséquent, toutes les fo es de gou e e e t so t diff e tes e soi, et e p u te t leu l giti it ue de l a eptatio de la atio . »324

Ces lignes constituent à elles seules une réponse à ceux qui ne veulent voir une évolutio o se at i e hez Tai e u ap s . Celui ui it la p fa e de l’A ie gi e est pas diff e t de elui ui i ait à so a i i gt a s plus tôt… Pou se faire une idée de ce qui est souhaitable en politique, il faut donc étudier le « caractère et le passé » du peuple. « “i j e t ep e ais u jou de he he u e opi io politi ue, e e se ait u ap s a oi tudi la F a e. » C est l tude de so o ga isatio a tuelle do t l o igi e

321 Giraud (V.), Essai sur Taine, Paris, Hachette, 1902, p. 97. 322 Giraud (V.), op. cit., p. 154.

323

Taine (H.), l’Ancien régime, Paris, Hachette, 15e édition, 1887, p. III.

remonte à l a ie gi e et à la ‘ olutio ui doit apporter la compréhension de ses p o l es. Pou ela, il e pose sa thode fo d e su la olle te des do u e ts u il se p opose d app he de e « naturaliste » et dit son éblouissement de côtoyer les figures du pass . E e eille e t de l histo ie ophyte aux Archives qui nous livre sa conception de l e ploitatio des do u e ts. Le p o l e, et ses d t a teu s e a ue o t pas de lui ep o he , est u il e e et ja ais e ause la a it des t oig ages, l ho tet d u appo t, l i pa tialit de mémoires. Certes, il en donne scrupuleusement les références, et nul ne peut mettre en doute son travail ni sa probité, mais cette position laisse perplexe. Ses ennemis parleront au mieux de naïveté, au pire de manipulation, ses admirateurs préfèreront mettre en avant sa droiture et sa hauteur de vue. Il faut bien reconnaître, et ses notes de travail en attestent, il cherche toujours, dans le choix de ses documents, à conforter ses idées, à étayer son raisonnement. Certes, il se défend de toutes « arrière-pensées » et si elle est « dégagée de tout parti pris, la curiosité devient scientifique », il e de eu e pas oi s que cette préface apporte un éclairage capital sur ce que sont les Origines.

Le livre est avant tout la condamnation de l a solutis e o a hi ue dans lequel il décèle la préfiguration du régime centralisé codifié plus tard par Napoléon. Il est pas i dulge t pou Louis XVI, e o e oi s pou la o lesse, e faisa t u disti guo entre la haute aristocratie et la petite noblesse de province. Les nobles privilégiés ne rendent plus, o t ai e e t à eu d Alle ag e ou d A glete e, les de oi s et les se i es ue la so i t f odale leu i posait. Les i stitutio s so t i apa les de po d e au atte tes d u e société transformée par la philosophie des Lumières, alors que chez nos voisins, le régime féodal conservé et transformé est capable de produire une société vivante. La deuxième atta ue o e e l Eglise do t la i hesse lui pa aît a usi e, tout e faisa t u e diff e e, comme pour la noblesse, entre le haut et le bas clergé. Le curé de campagne au plus près de ses fidèles lui apparaît, malgré un certain obscurantisme lié à son genre de vie et à son recrutement parmi les basses couches de la société, le plus proche de son idéal du clergyman anglais. « Ce u il app ou e da s le h istia is e, e est pas sa pa t de it , e est ue sa part de bienfaisance sociale. »325 Pour assumer la contradiction entre son anticléricalisme et son traditionalisme, Taine a recours à une distinction entre science et raison. De toute façon, à cette époque, Taine est encore mal perçu par les catholiques, le pamphlet écrit par Mgr

Dupa loup et so le tio at e à l A ad ie de e so t les p eu es, et so li e e a pas les surprendre. Au o t ai e, le to ua et le ôle ajeu de L Eglise e o u pa Tai e ne peuvent que leur plaire. Il souligne son importance historique capitale tout en ne reniant pas ses idées : A ti l i al, il o da e l i g e e de l Eglise da s les affai es pu liques, libéral, il est oppos à elle de l Etat da s les affai es eligieuses.

La réception de L’a ie gi e respecte donc les réactions propres à chaque sensibilité politique. Les légitimistes sont mécontents, les catholiques sont circonspects, à la fois satisfaits de la place reconnue par Taine à la religion et peu ravis par son loge de Voltai e…Les pe seu s o t e- olutio ai es app ie t pas sa d o st atio ui se app o he des th ses de B. Co sta t su l a solutis e d u seul homme. Ils recherchent en vain des références à de Maistre ou à Bonald. Mais ces réactions sont conformes aux jugements que les légitimistes et les catholiques pensaient du Taine libéral. Les républicains attendent la suite et restent prudents tout en se félicitant des positions antimonarchistes exposées dans le livre. Son livre V sur le peuple est bien accueilli et ses pages sur la pauvreté de la population rurale particulièrement appréciées par ses admirateurs habituels. Le Taine de l Ancien régime est o fo e e tout poi t à l auteu des Notes su l’A glete e, et ne déroge pas à sa ligne politique supposée. Seule sa théorie sur « l esp it lassi ue » su p e d ais est pas à l o igi e de a tio s politi ues pide i ues.

La correspondance que Taine reçoit, après la publication du livre, reflète bien le consensus plus ou moins général de ses amis. Le premier témoignage vient de Alfred Maury, évidemment flatté des remerciements que Taine lui fait publiquement dans la préface de L’a ien régime : « J ai eçu a e e o aissa e l i t essa t et pi ua t ou age ue ous a ez eu l a a ilit de e fai e ad esse et je ous e e ie à dou le tit e, d a o d d a oi bien voulu consigner mon nom dans votre préface en termes flatteurs, ensuite du plaisir que

ous allez e p o u e . J ai t ou le tale t et l o igi alit . »326

F. Le Play lui écrit dés le 12 décembre : « J ai eçu hie ot e eau li e et je e p esse de ous ad esse es f li itatio s et es e e ie e ts. J ai lu sans tarder le passage ue ous a ez p is la pei e de e sig ale …Je ois des diff e es da s l e utio de la méthode, dans le choix des faits observés, dans les époques auxquelles les faits sociaux

se rapportent, dans les lecteurs qui lisent vos écrits, surtout enfin entre ma lourde prose et votre charmant et poétique langage. »327 Quelques jours plus tard, il ajoute : « Malgré le au ais tat de es eu , je ai pu a te ap s a oi lu le passage i di u pa ous : j ai lu jus u à la fi ; puis je suis e e u pa le o e e e t jus u au poi t de d pa t…J p ou e le esoi de ous e e ie de ou eau pou l e seig e e t ue ous e do ez. Je e o ais pas ui, da s l tat p se t des e eu s de ot e a e, puisse ieu

o t i ue à l œu e du salut. »328

Cette correspondance montre la profonde admiration que se portaient réciproquement les deux hommes. Dans une lettre adressée à Alexis Delaire, disciple de Le Play et directeur de la Réforme sociale, Taine lui rend hommage : « Plus j tudie, plus j app ie l app o atio de ot e ole, a je ifie, pa es p op es e he hes, la justesse et la po t e de ses a i es. Esti e les p i ipes a st aits d ap s leu appli atio et leu œu e effe ti e, tâ he de oi l i di idu o po el et i ant à son métier, dans sa famille et da s sa aiso , s effo e de d le ses se ti e ts els, ha ituels et do i a ts ; bref, fai e des o og aphies, oilà les e seig e e ts de M. Le Pla , et d i sti t, je les ai toujou s suivis en histoire. »329

Maxime Du Camp lui écrit en février 1876 : « Mo he a i, je ai pas esoi de ous di e ue j ai lu ot e li e et ue l a a t lu, j e suis e eill . Le olu e est bourré de faits, à en crever, comme dirait Flaubert. »330 Il lui propose ses services pour des e seig e e ts ui pou aie t lui t e utiles pou la suite de ses e he hes. C est d ailleu s une constante chez beaucoup des correspondants de Taine qui lui proposent de lui fournir des sources inédites, des ouvrages intéressants, des mé oi es ou li es…Ai si u e tai Jules Guille i , de la “o i t d histoi e et d a h ologie de Chalo su “aô e, lui it ap s a oi sui i ses o f e es à Ge e pou le f li ite et lui p opose de l aide da s ses e he hes. Son ami Amédée Roux le félicite : « J a h e à l i sta t de li e ot e ad i a le olu e su l a ie gi e et o e j ai toujou s eu pou sp ialit d e fo e les po tes ou e tes et d appo te de l eau à la i i e, je e suis is e t te de ous fou i des e seig e e ts ue

ous e e de a dez pas… »331

Dans ce même courrier, il reproche amicalement à Taine de ett e u e ajus ule à la pa ti ule d u o le et il est ai ue da s les otes de as de

327

Lettre de F. Le Play à Taine, 12 décembre 1875, B.N.F., naf, 28420. 328 Lettre de F. Le Play à Taine, 21 décembre 1875, B.N.F., naf 28420. 329 « Lettre de Taine à A. Delaire », La réforme sociale, 1er avril 1885. 330

Lettre de M. Du Camp à Taine le 15 février 1876, B.N.F. naf 28420. 331 Lettre de A. Roux à Taine le 15 mars 1876, B.N.F., carton 17.

pages, on lit par exemple : De Beze al ou De Lu es…Le e, ap s lui a oi proposé des e seig e e ts u il e solli itait pas, lui it : « Je ne saurais donc trop vous engager à vous te i e ga de o t e d i o a les do u e ts u o e a ue a pas de ous off i lorsque vous aurez à traiter de la France contemporaine. »332 Il est à remarquer que ces lettres se et ou e t pa i les otes de t a ail de Tai e et u elles jalo e t toutes les tapes de l itu e des Origines.

Gabriel Monod, avant de publier sa critique dans la Revue historique, lui écrit dés la parution du livre : « Cher Monsieur, je viens de lire votre volume, il a répondu parfaitement et au-delà de tout e ue je e p o ettais d ap s os le tu es à l E ole de “ ie es politi ues. Je ai ie lu de si i st u tif et de si e t aî ant tout à la fois sur le XVIIIe si le. C est u e e eille d a oi su g oupe , oo do e ette ultitude de faits e ta leau ui este t g a s da s l esp it et ui po te t e eu la o i tio et l ide e…A o a is, il a ue To ue ille et ous ui a ez jus u i i pa l de e sujet d u e a i e ai e t historique. » Ap s es f li itatio s, G. Mo od lui ad esse u ep o he u il ep e d a plus tard et qui saute aux yeux aux lecteurs : « Je e ous ad esse u u e iti ue de fo e : La bourgeoisie qui doit tenir tant de place dans la Révolution disparaît presque dans votre livre. Vous en parlez à diverses reprises, montrant comment par les emprunts elle arrive à la vie politique, mais elle est un élément assez important de la vie publique pour mériter un plan mieux marqué ; d auta t plus ue ses d fauts et ses e tus o t t e g a de pa tie ause des excès de la Révolution et aussi du relèvement de la France qui a retrouvé en elle un sol plat mais résistant. »333

Ernest Lavisse lui transmet un courrier de félicitations du Prince Impérial dont il a été le maître, sans toutefois lui donner son avis personnel ni sembler donner à cette lettre une signification particulière : « Il a sa s di e ue e est poi t u e d a he politi ue que je fais aup s de ous. Je ai au u e ualit pou ela… Il a lu ot e de ie li e a e u e so te de passio et le su u il e a fait pou lui- e a p ou ue pe so e e ous avait mieux compris que lui. »334 La lettre du Prince est en effet élogieuse : « On ne peut e pose d u e a i e plus s duisa te le sultat de plusieu s a es de e he hes

332 Lettre de A. Roux à Taine le 2 février 1877, B.N.F., carton 17. 333

Lettre de G. Monod à Taine le 8 décembre 1875, B.N.F., naf 28420. 334 Lettre de E. Lavisse à Taine le 16 octobre 1877, B.N.F., naf 28420.

laborieuses et de méditations profondes. Non seulement votre livre est venu répondre à un esoi de o esp it, ais il a do u e ita le satisfa tio de œu . »335

Flatté, Taine

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