,
delongueurs variables entre 10 etaomètres,pourfairecroiserles jointsàpeuprèsrégulièrement, etde55millimètrescfépaisseur cha-cune.Ces' feuillessontbituméessur touteslesfaces etposée* à plat l’une sur l’autre:laflexibilitédueà leurpeud’épaisseurpermet deleur faireprendre, aveclaplusgrandefacilité, lacourbure déterminéepar des solives poséesentraverssurlesfermesdel’échafaud, suivantles ordonnéesdel'épure, etilsuffitalorsdelesfixerdedistanceeudistance avecde grandsclous d’épingles;ellessont ensuite serréesfortementpar desboulonsquilestraversenttoutes etqui serrent sur des platinesen fer.Lapressionfaitrefluerlebitume danstouslesvides,ensorte qu’ilyaadhérencecomplètedesfeuillesentreelles.Chaquejoint ver-ticalde réunion de deuxplanches placées bout' àboutpour former unfeuilletgénéral n’étantjamaisquelaneuvièmepartiedeI’épaissenr entière,lesarcsainsiformés ont au moinsautantdeforcequ’unarcen boisde
mêmes
dimensionset quiseraitd'une seule pièce.Au
moins est-ilcertainqueleur résistanceestplusuniformeetplus égale qu’ellene pourraitl’êtredansunepièceunique; eneffet,en supposant, contre toute vraisemblance,quel’ontrouve unepiècedebois suffisantepour faireunarcd’une seule pièce,on nepourrait jamaisluifaireprendre une courburerégulièrequ’avecdetrèsgrandseffortseten s'exposant àlarompre,etquandbienmême
on yparviendrait,sesfibres étant tendues irrégulièrement, cette pièce tendrait toujoursàsc déformer.En
outre,lespiècesdeboisde grandes dimensions renfermenttoujours desnœudsetdes vicesoudes partiesfaiblesqu’onne peutvoir, tan-disque dansdes arcscomposés defeuillesmincessuperposées,onest certaindelaqualitédubois,lescourbes s’exécutent avec la plusgrande facilité,etcomme
touteslesfibresontâ trèspeuprèslamôme
tension,
iln'yaaucuneffortquitende à ladéformation(i).
(*)M.tecoloneldugénieEmy,1reshabiteconstructeur afaitexécuter de grandes ferme»
en charpentepourdesmanèges,avec des arcs formé» enfeuillets.Je ne connaissais nullement cestravaux,lorsquejem'occupai,sen1830, d’une étude de ponts encharpentecompoeésd'arcs
l'unté
«lecesâmes
34 DESCRIPTION.
On
eûtpu formerlesâmes enboisavecdesfeuillesverticales,maisilauraitfallulesdécouperettrancherles filspourleurdonnerla Courburedel'arc;d’ailleurscesâmessont destinéesprincipalement à fortifier lesarcsdanslesens transversal,etilsontbien plusde puis-sancepourcegenrederésistancequandlesfeuillessont à plat,que quandellessont placéesdechamp.
Cesgrandsarcsen charpenteprésentaient,malgréleur faible épais-seur,unetelleapparence deforce,queplusieursingénieurs expérimen-tésm’ontdit, enlesvoyant,qu'ilsétaientpersuadés,
comme
jel'étais moi-même, que,convenablementmoisés etreliésentre eux,ils suffi-raient seulspourporterleplancher etlachausséedupont.Ilyadonclà uneforceréelleetfortimportante,ajoutéeàlaforcepropredes fontes,dontcesarcsontensuite été revêtus.
Cesâmes enboisontrenduplusieurs services différentsqueje vais
expliquer. » •, ...
Le premiera étédefaciliterbeaucouplapose des fontes. Cetavantage est résultédecequelesaxes desâmesétantexactementles
mêmes
que ceux des arcsenfonte, et leur calibre extérieur étant à très-peu près égalaucalibre intérieurdes demi-cylindresdontsecomposentleurs subdivisions,ilasuffi,pourlesposer,d'appliquer cesdemi-cylindres depart et d'autredesâmes enbois, etdelesréunirpar desboulons traversant leurs collets supérieurs et inférieurs.Ce revêtementterminé,lesâmes ont rendu un secondserviceen supportant elles-mêmes parfaitementlesarcsdefonte, indépendam-mentdeséchafauds,en sorteques’ilétaitarrivéquelqueaccident à cesderniers,rienn’eût étécompromis.Ilfautremarquer enoutreque ce servicenes’estpasbornéau temps délapose,carlesâmes ont con-tinuéet.continuentencore àfairefonctiond’échafauds intérieurs
per-qui étaient formés defeuilletasuperposé*,relié*etfortifiéspar des armaturesdeferdisposées en triangle*,quienaugmententlarigiditéclqui permettraient defairede*arches d’une
très-grande ouverture. ‘.* ',
' -. ' .
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DESCRIPTION.
*5 malienu
et invisibles,ensortequesi,après l’enlèvement des écha-faudsdepose,pendantdesépreuves,oudepuis,ils'étaitmanifesté quelque rupture danslesvoussoirs,onauraitpu,comme
onlepourra toujours parla suite,y remédierailesremplacersanséchafauds, et avec laplusgrandefacilité.Je dois ajouterqueceslsurtout cette garantiesi précieusequim’adonnélaconfiance d’exécuterdeprime-abord, sur uneaussigrandeéchelle, cenouveau système dansdes conditions aussirigoureuses.
...
,J'aiparlétout à l’heuredelarésistancedes arcsenbois,maisil fautremarquerquelaforcederésistanceadditionnellequ'ilsprocurent auxarcsenfonte,estsupérieure à leur forcepropre; eneffet lesvides qui restent entrelesfaces intérieuresdesvoussoirs etlesboisétant rempliscomplètement enhitumecoulé àchaud,ilyaadhérencede tonslespointsdes surfaces extérieuresdesbois etdes surfaces inté-rieuresdes fontes:or cetteadhérenceajoutebeaucoupàla
somme
des résistances particulièresdubois et des fontesrenduspar leur jonc-tiontoutàfaitsolidaires.Larésistancetotaledesdeuxpiècesunies s’accroîtsurtoutparladifférencequi existedanslamanièredontles fontes etlesbois secomportentsousleschargesousousleschocsqui tendent àlesrompre.On
saitquelespiècesdefonte se divisent,après nuelégère ilexion;pardesimples sectionsbrusques et transversales peuécartéesdupointdeflexion; tandisquelesbois, et particulière-mentlesbois résineux,liepeuvent,àraisondeleurélasticité^se romprequ’aprèsavoir prisune courburebeaucoup pluspronoucée,et queleurrupturesefaitpararrachementirrégulierdes fibres,surune assezgraudelongueur. Sidonc on chargeà l’excèsuncylindrecreux eu fonte,rempliexactementparuncylindreenbols plein,lafontene pourraprendrelaflexionquiprécèdeimmédiatementsarupture, sans faire fléchirlebois intérieur-delamême
manière; maiscelui-ci, opposantsaforce élastique etderessortàlapression qu’il reçoitde lafoutedanssou milieu,résisteàlaflexiondu métal,et parlàarrête et i-etarde sa rupture.D’unautre côté,lafonte,fortifiéepar la résistance nerveusedubois,estmoius prompteà céder.Au
moins,est-ilcertain3« DESCRIPTION.
que,pourproduire ceteffet, ilfautunepuissanceplusgrandeque cellequiseraitnécessairepourcasseren deux seulementle
même
cylindredefonteisoléet vide.J'aifaitquelques expériencespAtrreconnaître lamanièredese comporter dedivers bois etdes fontessous deschargesaugmentées pro-gressivement jusqu alarupture,ainsique pour
me
rendrecomptedes effetsqueje viensdechercher à expliquer.On
en trouveraladescription danslanoteE,àlasuitedecemémoire.Jen'aipuréaliserquesur des tubesdopetitedimensionlesexpériences relativesauxcylindres remplisdebois,etces épreuvesontététroppeu nombreuses pour permettred’endéduire desdonnéesexactessurlesrapports des résis-tances;cependantellesontsuflipourme
convaincrequel'alliancedu feretduboisainsiemployés,produitune augmentation deforee très-réelle.On
comprendd’ailleursfacilementqu’indépendamment de larésistance additionnelle des bois insérésdansles-cylindresdefonte,du moment
quelefer etlafontesontliés,aumoyen du
bitume, partous lespoints des surfaces contiguës,lebois, qui,desanature,esttrop flexible,setrouvefortifiéparlarigiditédelafonte, et qu'enmême
temps,sonélasticitévientausecoursdu métalqui n’en apoint assez, et ,remédiea sasécheresseet à safragilité. 11està désirerquel’onpuisse faireunesérie d’expériencesengrand,pourconstaterlesrapports des accroissementsderésistancequel'onpeutobtenirparl’alliance dt^bois avec des piècesdefontede formesdiverses etde dimensions variées,enlesrendantparfaitementsolidaires.Acesmotifs, déjà suffisantspour
me
faireadopterl'alliancedubois etdes fontes, alliancequeje considèrecomme
fécondepourlesarts, ilfautenajouterunqui a contribué aussipuissammentàm’y déter-miner:c’estqu’ilimportaitbeaucoup pourdes arcs en fonted’une aussigrande dimension,dediminuerleplus possible leurs vibrations.
Orilestbienconnu quedes cylindres pleinsontplus'destabilitéet vibrentmoinsquedes cylindres creux:je devaisdoncchercher à rem-plir lesvidesdemesarcsenfonte, etilestévidentqu’ilvalaitmieux lesremplir avec des bois àlafoislégers,nerveux,et propres à ajou- •
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DESCRIPTION. ' .
’
37 tr'
1er àlaforcedes fontes età adoucir leurs vibrations, sansaugmenter tropsensiblement
A
charge,qu’avec des matières inertes et plus lourdes, sansélasticitéetsans résistancepropre,tellesquedusable,dumortier, duplâtre,oudubéton.
Je suisfermementpersuadéquelesecoursdes arcsenboisn'est 'nullement nécessairepourlaconservation des arcs
du
pont du Car-rousel,quelesfontes seules suffisentpourrésisteràtouteslesépreuves,
etque,seules,ellesont encoreuneforcebien supérieureaux condi-tionsdestabilité;maisiln’enestpasmoinsvraique,pourlesarches de grandeouverture, ifestconvenable de mettredesâmesen boisdans lesarcs,poursemettre plussûrementau-dessusdetoutes leschances, et surtoutpour permettred’éviterlanécessité d’écliafauder,sil’on avait, après l’exécution,besoinde changer quelquepièceimportante.
On
peutse dispenserdesâmes enboispourlespetitsponts,cependant cetteéconomieétantdepeud’importance,ilvautmieux, puis-qu’ilfauttoujoursremplirlesarcs,lesgarnirenboisqu’en toute autre matière.
Quelquespersonnes, toutenreconnaissantl’utilitédesâmesen.bois en premièreexécution,ont étnis fopinionquelesavantages qu’elles procurentnepeuventêtrequetemporaires.etdepeu dedurée, parce quelles pensentquelesboisainsienveloppésde bitume,doivent -être attaquésparlafermentation causéeparréchauffementdes fontes en été, etpromptement consommés.Cetteopinion serait bien fondéesi lesboisemployésétaienthumides ouencore pénétrésdesève,oubien silesvidesentrelesbois etlesfontes n’étaient pas bien remplis;mais lesboisayantétéemployéssecs etleremplissageenbitumeayant étéfait avec soin etcomplètement,ilne peutpas resterd’airnid’eau inter-posés;oriln’y a pasdefermentation sansairet sans humidité, etil
ne peut yavoirdécomposition sans fermentationousansaction chi-mique(i).,
(I)Aumomentde publier ceMémoire,j’aipense que, quelle que fûtmaconfiancedansla conservation des bois, et quelque plausibles que fussentlesmollisqoej’aidonnés pour
lex-Krhabud' volant».
3* DESCRIPTION.
J'aidit à l’artide précédent,enparlantdes échafauds,queje pen-saisqu'enadoptantlesâmesouarcsenbois,onptfcrrait,danscertains cas,secontenter d’échafauds volants. Je vaismaintenantexpliquer cette opinion.
U
me
semble que,pourdespontsdedimensionsmodérées,on pour-rait,enprenantdes pointsd’appui surlesculées et surlespiles, établir,pliqucr,ilaéraitbeaucoupmieux encore de pouvoir citerunfaitpositifà l'appui de ccttc opi-nion.Dansce but,j’aifaitfaire, le10décembre1830,unesondedans1atncCn boisdela fermede rived'amont de l’arche droite qui s’élèveau- desaftiduport Saint- Nicolas,cette ferme étantunedecellesqui reçoiventleplus longtemps l’actiondusoleil etquebaignentle*
grandeseaux
-*Cette sonde«été pratiquéeaumoyend'unemèched’acier'd’nn centimètrede diamètre, introduitedans l’intervalle qui existe entrelesdeux collets et qui a servi à coulerlebitume Après avoir traversélebitume qui remplitle*collets et celuiqui recouvre l'âme,lamèchea percélesdeuxtiersde son épaisseur etaramenédescopeaux parfaitement sains. Ces copeaux, nonseulementne présentent paslamoindre apparence d’altération,maismêmeilsont con-servélafraîcheur et l’odeur d'un bois toutàfaitneuf.S'ily avait danslesarcsune causeréelle de fermentation,elleauraitdéjàdûcommencerà agirpendantlesquatreannées écoulées depuis l'achèvementdupont, et àsemanifesterparuncommencementd’alterationdansles bois.Maintenant,qu’ilestconstatéquele*échaulfcments très-prononcésquetesfontesd'un arc de rive ont éprouvés pendant quatre étés successifs, n’ont produitaucuncilet,onestfondé à penserqueleshoiscontinueront,ainsique jel’avaisespéré,àseconservercommetousles corps placés àl’abrides agentsde destruction.
L'intérêtde cefaitneconcerne pas seulementlespontsen métal,mais aussi et plu» utile-mentencorelespontsen charpente,carilprouvequel'onpeut augmenter considérablement leurduréeeurevêtant de bitume touteslessurfacesde leurs bois, avant et après leurs assem-blages.J’aidéjàfaitl'épreuvedecc procédé surlepont de hallage del'éclusede Saint-Ouen quej’ai faitexécuteren
1828-Les-arc*dece pont,qui sontensapinetquioui été courbés au feu,ont été recouverts au pinceaud’unecouche de bitume gras, qui n'avait pasune demi-ligne d'épaisseur, cl qui a été blanchiepourempêcherlecoulageetl'absorptionpar l’actiondusoleil.Ces bois ont été très-bien conservés,el lacouche bitumineuse existe encore quoiquelebitumefûtimparfait etquè l’application n’enaitpas été bienfaite.J'ai lacùnliancequ'aumoyeude procédé* perfectionné»
etd’une applicationdebitume bienfaite,onpourraitquadruplerladurée des ponts en char-pente.Ceprocédé présente encoreunautre avantage,c’estquilpermettra d’employer,pource genre de ponts, des bois de-pinduNordetmêmelesapincommunaussi bien quelechêne. tfûf àfaireemployerleboi* durpourlespièces découpéescommele*moïses et à saboterles péné-trationsdesabouts,préalablement bitumé», de» grandes pièces quiseconlre-buttent,mais en généralilvaut bien mieuxformerlescintresenfeuille»superposées et boulonnées,commele*
(
arcsdupontdoCarrousel,
quedelescomposer de grosses pièces buttante* paè leurs extrémités.
IIl
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DESCRIPTION. 3» avec des poutrelles horizontales
AA
(PI.V),des échafaudssimples et légers quiseraientsupportéspardes câblesBBB
(en chanvreouen filsdefer),passaulsurdesappuisCC DD
placéssurlespilesetsurles culées etfixéscomme
ceuxdesponts suspendus;on yajouteraitdes haubanssupérieursEE
etdes câblesderevers inférieursFF,enbonnes cordes.Pour diminuerleplus possiblelamobilité etlesoscillations decesdivers câbles,ousubdiviseleursportées etonlesrend soli-dairesenlesreliantentreeux,aumoyen
des piècesdeboisGG
placéesdam
ladirectiondesrayonsdelacourbure del'arc:erspièces dou-bles etdisposéesenmoisesembrassentlescâbles qui passentdansdes canneluresménagées dansleur épaisseur, etysont serréesfortement aumoyen
desboulonsd’assemblage.Des bourreletsformésavecdela cordeoudufilde1er,enroulés surlescâblesdechaquecôté des moises, préviennenttoutdérangement depositiondes assemblages.Parces dispositions,lescâblesreliésentreeuxparlesmoïsespendantesetrendus parlàsolidaires,formententreeuxetaveccesmoisesunesériede triangles invariables quidonnent àTensemhle beaucoup deforce etdestabilité. •
'
On
pose ensuite, suivant lacourburedes arcs à établir,lespoutrellesAA
quiembrassentlesmoisespendantesets'assemblentavecellesà mi-bois:c'estsur ces poutrellesdoublesetmoisantes,quel'on place leplancherdeservice etlesarcsou âmes enbois.Cesâmes,unefoisétablies,deviennent elles-mêmeslesvéritables échafaudsdeposepourlesfontes;mais
,pouréviterlesirrégularités de courburequi résulteraient des inégalitésdecharge,ilfaut veiller à cequelesfontes soient toujours apportées et placées régulièrement et symétriquementde chaquecôté.
Ce systèmed'échafauds,quipeuts'appliquer àlaconstructionde laplupart despontsenfonte etencharpente,est facile à'exécuter et trèséconomique
,parcequelesassemblages se font tous par embras-sementetserrementdes câblesdansdeschapesoudes cannelures, et quepar cette raisonlescâblés etlescordes,neprouvant aucune altéra-tionenaucunpoint,peuventservir successivementpourun grand
40 DESCRIPTION.
nombre deponts:pourcela,ilsuffitde changerlasituationdes moises etdeleursboulons,suivantl’ouverturede chaquepont.
Ce genred'échafaud adeplus l'avantage précieuxdelaisser le ser-vicedelanavigationentièrement libre, etde pouvoirêtre établi et % conservé sansdanger entoute saison,parcequ’iln'a rienàredouter des crues, ni des débâcles.
Je m'étaisengagéenverslaCompagniequi a fournilesfondspour lepontduCarrouselen1833,à l'exécuterendouzemois, ce qui n’avaitjamais étéfaitpour aucundespontsdeParis.Pour y parve-nir,ilfallait qu’iln’yeûtaucunretarddanslamarchedes travaux
,
c’est-à-dire qu’il étaitnécessairequeleséchafaudsdepose fussent prêts àplaceraussitôtquelesmaçonneriesseraient élevées au-dessus des appuis des arcs,quelesâmes enpindu Nordpussent êtremontées sur ces échafaudsimmédiatementaprès lenrachèvement,etqueles fontes fussentprêtes à poser aussitôt après surlesâmesen bois.
Poursatisfaireà cestroisconditions,ilétaitnécessairequecestrois genresd’ouvrages s’exécutassenten
même
temps.Des différencesderapport entrelespartiescomposantesde l'en-sembleauraientpu nepas être sansremède, maisellesauraient tou-joursdéterminédes retards et desaugmentationsdedépenses, et ce qui eût été plus fâcheux encore, des imperfectionsdansles assem-blageset parconséquentdel'affaiblissementdanslesrésistances;il importaitdoncessentiellement d’assurerlaplusgrande concordance possibledans touteslespartiesqui s'exécutaientsimultanémentsur des chantiersdivers et fort éloignés.
Pour yparvenir,j’aifaitfaireunerègledemesureétalon,exactement égaleen longueuràlacordedel'undes arcsenfonte, et diviséeen
Pour yparvenir,j’aifaitfaireunerègledemesureétalon,exactement égaleen longueuràlacordedel'undes arcsenfonte, et diviséeen