La description d’ensemble de la céramique du néolithique ancien de la culture valdayskaya (sites

Le territoire principal de la diffusion des sites de ce type est Haute Volga bassin – le système de lac, ou la riviere Volga prend source. Les sites sont disposés sur les elevations, dans côte des lacs (Гу- рина, 1958).

À l'avis de N.N. Gurina et V.I. Timofeev, les ensembles néolithiques les plus anciennes sont présentés dans les couches des sites Kottchische I et Kottchische II, Zales'e I, la céramiques des sites Schepochnik et Zales'e II est plus recent. Aux derniers on observe les éléments de l'étape le plus an- cienne moins distinctement, et l'influence de la culture verkhnevolzhskaya est plus visible (Тимофеев, 1997, c. 120). Il y a quelques evidences de ceci - l'ornementation par peigne fin et les entailles. La céramique decorée dans une maniere tracée, et par impressions triangulaires/ovales, analogue à la céramique ancienne de site Kotschische II, était trouvée aussi dans le site Zabel’e (Урбан, 1996), La- nino I (Синицына, 1997), Nizhnie Koticy 5 (Верещагина, 1997), Dubovec (Peno 3) (Шумкин, 1997), île Koshelev, Zehnovo III, Zehnovo IV, Devichie, Zabolotie II (chantier IV) (Гурина, 1997, с. 224).

Il est nécessaire de marquer que sur une série des sites il y a les ensembles mélangés avec la céramique de différentes étapes de néolithique ancien et recent. A la suite de V.I.Timofeev (1997) et N.N.Gurina (1958, 1973, 1975) on analysait les ensembles de la poterie, qui peuvent être attribuer par typologie vers les premières étapes de néolithique ancien dans cette region (Мазуркевич и др., 2013), trouvées dans les sites Kottchische I, Kottchische II, Zales'e I, Schepotchnik. On examinait au total 194 fragments des récipients, mis en relief des collections distingués par analyse typologique.

Le groupe des récipients (le type 1 (fig. 131, 1–8), le type 1.1 (fig. 131, 9–11), le type 1.2 (fig. 131, 12–24) se distngue, fabriqué par le colombins mis en anneau, avec N-jonction. Les récipients sont faits de pâte sableu, bien remué, certains – degraissé par une grande quantité de sable a gros grains et le gravier (le type 1.1), les récipients de type 1.2 sont fabriqué de pâte plus gras (le type 1.2). La surface est bien lissée, la surface extérieure pouvait être polit, on fixe les traces lineaires laissés pendant lis- sage (le type 1.2). L'épaisseur des murs est 0.7–0.8 cm, il y a le fragment de récipient aux parois fines avec l'épaisseur 0.4–0.5 cm. Les bords des récipients non-decorées sont droites et plats. Les récipients decorés ont C-type de bords, qui se passent des récipients fermés ou les bols. Les récipients sont soit non-decorés, soit couverts par les séries horizontales des entailles ou les impressions triangulaires (symbol de symmetrie а:b). Un fragment est decoré par les impressions ronds dentés, mis aux obliques (symbol de symmetrie а:b vertical), un est couvert par le filet des lignes tracées, il y a aussi le frag- ment, decoré par les entailles dans une maniere reculant (s. de s. а:b). Les récipients de type 1 sont pré- sentés sur les sites Zales'e I, II, Schepotchnik et Kottchische II; type 1.1 – sur le site Zales'e II; de type 1.2. – sur le site Zales'e II, Schepotchnik et Kottchische II. À ce type se rapporte le fond arrondi. Au total il y a 49 fragments se passant de 28 récipients.

La catégorie des récipients la plus nombreuse est présentée par le type 2, ils sont trouvés sur sites Kottchische II, Zales'e I, II et Schepotchnik (fig. 131, 25–34; 32). Il inclut au total — 132 fragments de 40–45 récipients approximative et nombreux fragments se passant d'un récipient reconstitué (fig. 132, 1). Les récipients sont fait de pâte gras, grumeleux, degraissés par chamotte (peut-être, les fragments de la céramique concassés). Ces récipients était fabriqués par colombins (fig. 130, 2) et plaques mis en blocs, aussi on marque l'addition des plaques (fig. 130, 1b, 3a, 4a). Les colombins, en général, se lient à recouvrement, la hauteur des colombins de 1.5–1.7 cm, plus rare – bout à bout, la hauteur de co- lombins dans ce cas 1–1.2 cm. A ce moyen du modelage les colombins, en général, s'etirées allongent, il y a un tout à fait nouvel accueil – “le bord de colombin enveloppé”, qui est marqué par partie cassée arrondie (fig. 130, 3a, 4b, 1d). Cet accueil peut être interprété comme l'accueil de l'alignement – les parties d'hauteur different pouvaient se former à un niveau, car ils se fabriqué par les colombins cours/plaques successivement mis. En outre on observe les remplissage fréquents des colombins du côté intérieur (fig. 130, 4). Les récipients se désagrègent sur les morceaux amorphes à la différence de 1 type, où les récipients se rompent nettement selon les colombins. La surface extérieure des récipients est polit, on fixe en plusieurs cas les traces de polissage par le galet (fig. 130, 5). Sur le côté intérieur on fixe aussi les traces de polissage par le galet ou les traces lineaires laissés par quelque outil. Le bord a souvent les traces du traitement et le modelage par le galet. Le bord est fabriqué par les colombins mis selon le bord, c’est pourquoi ils se désagrègent sur les fragments menus répétant la forme du co- lombin. Souvent le colombin était enveloppaient a l'interieure, grâce à quoi les affluences sur les bords

du côté intérieur présentent largement ici. L'épaisseur des murs est 0.4 cm, 0.7–0.8 cm, parfois jusqu'à 0.9 cm. Il y a deux formes de la partie supérieure des récipients – cylindrique, plus souvent – en forme du cône divergent et convergent, i.e. les récipients ouverts ou fermés, il y a aussi petite “assiette”. Les bords sont pour l'essentiel verticals et plats, il y a aussi le bord arrondi. On peut porter un fond pointu vers ce type, qui est fabriqué selon la technologie caractéristique de la zone forêt, par les colombins mis en anneau, le fond "était fermé" par une petite colombin. La partie majeure des récipients n'est pas decorée. À ce type se rapporte une petite quantité des récipients ornés par les impressions ovals, mis dans les compositions horizontales (s. de s. a:b), ou – plus complexe, cumulant les compositions hori- zontales et diagonales (s. de s. a:b et a/n). Il y a aussi les vessels decorées par les grandes impressions ovales mis dans une maniere reculant, les petits impressions ronds couvrant aussi la partie haute de bord, par les impressions dentés ovals (s. de s. a:b).

Les récipients du type 3 sont trouvés sur le site Zales'e II. Il inlut quelques fragments de 2–3 ré- cipients (fig. 131, 35–36). Les récipients sont fabriqués du pâte degraissé par organique, le gravier et, probablement, la chamotte. Ils sont fabriqués par les colombins, etirées très forte, avec la S-jonction. L'épaisseur des murs – 0.7 cm. Les récipients sont decorées par les entailles en combinaison avec les impressions du cliché denté, les impressions arrondies mis dans les lignes verticales et les impressions menues triangulaires mis dans les groupes des lignes horizontales (s. de s. a:b-0-a:b).

Les récipients du type 4 sont présentés sur le site Schepotchnik par 3 fragments de 2 récipients (fig. 131, 37). Les récipients sont fabriqués de pâte avec l'addition considérable d'organique, par les colombins mis en anneau, la hauteur des colombins 1–1.5 cm, on fixe la couche du remplissage dans la partie interieure. L'épaisseur des murs 0.9–1 cm. Les récipients sont decorées par les impressions ova- les (s. de s. a:b).

La positions culturelle de la céramique de la culture valdayskaya

La céramique observée inclut les diverses traditions céramiques. Les récipients du type №1, probablement, présentent un des ensembles les plus anciennes, qui peux être correlés avec la céramique ancienne non-decorée et decorée par les lignes tracées et les impressions triangulaires. L'ornementation spécifique en forme du filet tracé (fig. 131, 11) un des fragments (le type №1.1) peux être une indice d'influence possible des porteurs des traditions de la culture elshanskaya. Les récipients des types №1.2, 4 peuvent être consideré comme développement ultérieur de ces traditions.

Une autre tradition céramique est présentée par les récipients du type №2, qui, du point de vue de la technologie et la morphologie, sont proches de la céramique du site Zamost'e 2 (le type №1) et les autres sites de la culture verkhnevolzhskaya, le site Berezovaya slobodka II, III. Cet ensemble pré- sente un tradition considérablement modifiée de la fabrication des récipientes archaïques à fond plat.

Les récipientes du type №3 présentent une tout à fait autre tradition culturelle dans la fabrica- tion de la poterie, decorée par les impressions triangulaires et impressions dentées.

La variété observée des traditions céramiques peut témoigner dans le degré égal de diverses étapes du peuplement de ce territoire dans le sense de culture et chronologie et/ou sur l'existence de quelques groupes culturels sur ce territoire. Comme les chercheurs marquaient, l'ensemble de la céramique du néolithique ancien a une série des traits spécifiques locales et une série des traits com- muns avec la céramique de la culture voisin verkhnevolzhskaya (Тимофеев, 1997, с.118).

Les dates 14C pour les sites de Valday elevation, sont reçues selon le charbon de bois du foyer des couches du site multicouche Lanino 1, chantier VI – 6440370 (Ле-4347). Il est disposé entre les chantier IV et V, à 25–30 m vers l'ouest de chantier V, où on a trouvé la céramique du néolithique an- cien du type Kotschische (Синицына, 1997, с. 17). Les dates 14C plus anciens étaient reçues pour le foyer du site Zales'e I — 653050 (Ле-1144) et Nizhnie Koticy — 6860 100 (Ле-1333) (Синицына, 1997, с. 26). Cependant il est difficile de les lier aux types définis de la céramique, car la céramique proche a la céramique de type Kotschische, était trouvés sur le site Nizhnie Koticy 5, tandis que sur le site Nizhnie Koticy, d'où cette date viens, on a trové les fragments des récipients ornés par “les impres- sions du cliché en peigne” (Верещагина, 1997, с. 74). Sur le site Zales'e I le foyer, de qui il y a une date 14C, est disposé à sq. Г/8, dans les carrés voisins (Д/8-Е/8) les fragments des récipientes du type Kotschiche étaient trouvés, qu'a permis aux chercheurs de supposer le lien de la date et la céramique du néolithique ancien (Тимофеев, 1997, с. 113).