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Création de la carte du relief (ombrage)

Modèle Numérique

III.2.2.5. Création de la carte du relief (ombrage)

L’extension Ombrage dans les Outil_Spatial_Analyst, nous permet de créer la carte du relief (d’ombrage) à partir d’un MNT. « Un ombrage est une représentation 3D en nuances de gris de la surface, avec prise en compte de la position relative du soleil pour l'ombrage de l'image. Cette fonction utilise les propriétés d'altitude et d'azimut pour spécifier la position du soleil ». (http://desktop.arcgis.com/fr). (Figure 30 et 31).

Figure 30. Modèle de création de la carte d’Ombrage (Hillshide).

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III.2.2. 6. Création de la carte hydrographique.

A partir toujours du MNT et grâce aux outils de l’extension

Hydrologie dans Spatial Analyst de Arctoolbox. On peut afficher la

direction l’accumulation des flux sur une surface d'altitude, créer des réseaux hydrographiques, déterminer les bassins de drainage, etc. (Figure 32 et 33).

Figure 32. Modèle de création de la carte hydrographique.

102 III.2. 1. Création de la carte Géologique.

Concernant la création de ce type de carte sous ArcGis 10.3.1, on commence d’abord par géoréférencer la carte géologique de l’Algérie (2e édition) à l’échelle (1/500 000), puis mettre à jour le géoréférencement. (Figure 34).

Figure 34 : Géoréférencement de la carte géologique.

Ensuite, on extrait les cellules du raster correspondant à la zone définie par un masque. Pour cela on utilise l’extension Extraction de l’Outil_Spatial_Analyst d’ArcToolbox, puis on choisit Extraction par

masque. « Les outils d'extraction permettent d'extraire un sous-ensemble de

cellules dans un raster à partir des attributs des cellules ou de leur emplacement spatial ». (http://desktop.arcgis.com/fr). (Figure 35).

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Figure 35. Création de la carte géologique : Extraction par masque. III.2. 2. Création de la carte des sols.

Selon le dictionnaire Larousse, le sol est une partie de la terre aménagée ou non. « Le sol est une des composantes essentielles de la «terre» et des «écosystèmes» qui sont tous deux des concepts plus larges englobant la végétation, l'eau et le climat dans le cas des terres, et en plus de ces trois aspects, des considérations sociales et économiques dans le cas des écosystèmes. » (www.fao.org/soils-portal/about/definitions/fr/).

Ce type de carte nous permet d’avoir une connaissance du sol et du sous-sol de la zone d’étude, afin de compléter les mesures nécessaires d’amélioration des parcelles. Malheureusement, nous n’avons pas pu obtenir une carte du sol plus récente, c’est pourquoi, nous avons utilisé la carte la plus disponible qui est celle des sols de l’Algérie du Nord de 1951. La même chose que la carte précédente, on passe par les mêmes étapes : géoréférencement, puis digitalisation des couches. (Figure 36 et 37).

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Figure 36 : Entité d’effacement pour créer la carte des sols.

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III.2. 3. Création de la carte d’occupation du sol.

L’information sur l’occupation du sol est importante dans la mesure où elle nous permet d’approcher la réalité du terrain et appréhender les enjeux du développement. Nous avons travaillé la carte d’occupation du sol avec une méthode simple, qui consiste à délimiter la zone d’étude sur l’image satellite Landsat 2015 de Google Earth Pro. (Figure 38)

Figure 38. Création du calque d’occupation du sol.

Ces fichiers de type Kmz. seront transformés en fichier Shp. dans

Global Mapper pour être travaillé par la suite dans ArcGis 10.3.1. Global

Mapper est beaucoup plus considéré comme un convertisseur de données, car il peut lire un grand nombre de formats Vecteur ou Raster et même Web, par contre, il n'a pas de module de mise en page pour faire des cartographies comme ArcGis. (Figure 39).

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Figure 39. Calcul des superficies de chaque couche. III.2. 4. Création des cartes démographiques.

Les cartes de la population nous permettent de comprendre les évolutions démographiques et ladensité de nous permet de mesurer l'importance de l'occupation du sol au kilomètre carré par les habitants. De ce fait, sous ArcGis 10.3.1, nous avons travaillé trois cartes, celle de la population en 2010, la densité de la population et l’évolution de la population depuis les (RGPH) de 1966 jusqu’à 2008.

Pour créer ces cartes, il faut aller à table attributaire, ajouter un

champ (population, densité, Pop. 1966, Pop. 1977, Pop.1987, Pop. 1998,

Pop. 2008 et taux de croissance pour chaque période), puis calculer le

champ. Ensuite aller à Propriétés de la couche, à Symbologie, définir la

catégorie, les quantités et le type de diagramme. (Figure 40).

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Figure 40. Création de la carte de densité par points III.2.7. Création des cartes foncières.

La carte foncière permet d’avoir une représentation graphique des parcelles d’où du type de propriété foncière. Concernant la carte foncière conçue par AMIRÈCHE H. & KHARFOUSHI MS., (1980), elle fut scannée, puis géoréférencée pour pouvoir l’utiliser comme fond de carte ; ensuite nous l’avons digitalisé pour créer une nouvelle carte numérique. (Figure 41 et 42).

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Figure 42. Digitalisation de la carte foncière de 1979.

Pour la carte foncière de 2010, elle a été conçu à partir d’une base de données cadastrale, la première étape consiste à créer les groupes de couches et les sous-groupes, que nous avons nommé à l’appellation de chaque commune : Oued Zénati, Bordj Sabath, Ain Regada et Ras el Agba. Par la suite, procéder à l’unification des entités en une seule couche pour chaque type recherché, pour cela aller à outils d’analyse, superposition puis Union. (Figure 43).

109 III.2.8. Croisement des cartes thématiques.

La superposition ou le croisement de couches d’informations nous permet d’obtenir des cartes thématiques selon les objectifs tracés au préalable.