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conversion (49, 50), complications et pertes sanguines :

1. Complications :

Dans la littérature les complications de la cœlioscopie varient selon les études.

H.ROSENBERG dans une étude portant sur 30 néphrectomies réalisées par laparoscopie, n’a pas trouvé de complication post et per-opératoire (48).

Cependant, P. SEBE dans une série de 88 néphrectomies réalisées par cœlioscopie entre 1995 et 2002, à mis en évidence la présence des complications suivantes : 2 hématomes, un abcès de la loge de néphrectomie, 3 thromboses post-opératoire, et une fistule artério-veineuse chez 3 patients (5).

L’étude de l’urologie A, portant sur 15 néphrectomies faites par voie laparoscopique, ils ont trouvés deux complications post opératoire la première pour un choc hémorragique, et la deuxième à cause d’un choc septique.

Dans notre série on a noté une seule complication post opératoire, chez une patiente opéré pour un syndrome de jonction pyélo-urétérale et qui a présenté une péritonite urineuse ayant nécessité la reprise chirurgicale. Ce taux de complication est faible par rapport à l’étude réalisée par P. SEBE et l’urologie A (Tableau n°1).

En chirurgie ouverte les complications les plus fréquemment retrouvées sont l'hémorragie, l'infection de paroi et les éventrations sur lombotomie.

2. Conversion :

Dans la série de H. ROSENBERG, il y a eu 04 conversions pour des problèmes techniques, avec un taux de conversion 13,3% (48).

P. SEBE dans son étude à noter 03 cas de conversions dont deux pour la présence des adhérences, et une pour impossibilité d’extraction. Voir un taux de conversion de 3,4% (5).Il semble également que l'obésité est un facteur prédictif de conversion. (51, 52)

Cependant, dans l’étude menée par le service d’urologie A, il y a eu 3 cas de conversion pour des problèmes techniques, voir un taux de conversion de 20%.

Dans notre service on a eu 02conversion soit un taux de conversion de 18,2%. Dans le premier cas, la conversion a été faite vue le gène provoqué par la distension du grêle l'existence d'une une hypercapnie à 52mmHg. Dans le deuxième cas la conversion a été nécessaire devant un saignement ayant gêné la vision (Tableau n°1).

Notre taux de conversion est équivalent à celui des autres séries. 3. Les pertes sanguines :

Dans notre série, les pertes sanguines ont été modérées à 100ml en moyenne. Dans sa série de 30 néphrectomies réalisées par voie laparoscopique transpéritonèale H.ROSENBERG rapporte une perte sanguine moyenne de 120ml (48).

Cependant l’expérience du service d’urologie A rapporte une perte sanguine moyenne de 98ml (Tableau n°1).

Nos résultats sont équivalent ceux trouvées dans les autres séries. Lorsqu'on compare les pertes sanguine lors d'une nephrectomie coeliscopique et une néphrectomie par lombotomie on constate que la coelioscopie « saigne » moins. Cela est probablement du a un biais de sélection, en effet, toutes les chirurgies réputées difficiles (pyonephrose, tuberculose...) sont faite pas lombotomie.

Rosenberg Sebe Etude de

l’urologie A Notre étude Nombre de complications 0 9 2 1 Taux de conversion 13,3% 4,3% 20% 18,2% Pertes sanguines 120ml --- 98ml 100ml

Tableau N°1 : comparaison du taux de complications, de conversions et les pertes sanguines entre notre série et les autres séries :

4. Suites opératoires :

a. La durée d’hospitalisation :

La durée moyenne d’hospitalisation est assez courte 4,2 jours. ROSENBERG à rapporté dans son expérience de 30 opérations un séjour hospitalier moyen de 6,3 jours (48).

Cependant dans la série de l’urologie A la durée de séjour était de 3,2 jours. Alors que la durée moyenne d'hospitalisation après néphrectomie par lombotomie est de 15j.

b. Les douleurs postopératoires :

Dans notre étude Les douleurs postopératoires on était modérée, la prise d’antalgique était nécessaire chez 03 patients. Pour le service d’urologie A l’algie postopératoire à été minime, la prise d’antalgique a été nécessaire chez 4 patient. Auteurs Nombre de complications Durée opératoire en moyenne (min) taux de conversion(%) Durée moyenne de séjour (jours) ROSENBERG48 O 116 13,3% 6,3 ERAKY (46) 106 186 8% 2,9 SEBE (5) 9 114 3,4% 4,7 Urologie A 2 183 20% 3,2 Notre étude 11 190 18,2% 4,2

Tableau montrant les résultats des principaux sérient comparé à notre étude :

II COMPARAISON ENTRE LA CHIRURGIE A CIEL OUVERT ET

LA CHIRURGIE LAPAROSCOPIQUE :

Type de la chirurgie Durée

d’intervention

Pertes sanguines Durée de séjour

La chirurgie par voie

laparoscopique 190 min 100 ml 4,2 jours

La chirurgie à ciel ouvert

110min 220 ml 15 jours

D’après les donnés de ce tableau on déduit que la chirurgie laparoscopique offre un bénéfique concernant les pertes sanguines et la durée de séjour qui sont réduit par rapport à la chirurgie a ciel ouvert. Cependant la durée d’intervention reste élevée du fait qu’on est en début d’expérience.

III. LES AVANTAGES DE LA COELIOCHIRURGIE :

La néphrectomie laparoscopique est une technique dite minimalement invasive. Ses bénéfices sont maintenant bien connus et ses avantages son multiples par rapport à la chirurgie à ciel ouvert.

Parmi ces avantages on cite :

Le respect pariétal car le chirurgien peut explorer l’abdomen par une petite incision de 10mm alors que la laparotomie nécessite une grande incision.

D'où:

L’avantage cosmétique est évident.

diminution des douleurs postopératoires, ce qui limite la prise d’antalgique.

un lever précoce, ce qui réduit les complications du décubitus (phlébites).

Hospitalisation courte (avantage économique) reprise rapide des activités.

Notre étude a montré que la chirurgie laparoscopique par voie transpéritonèale est une technique fiable, efficace et reproductible, elle souligne la faible morbidité de cette intervention.

Nos résultats sont encourageants compte tenu des suites opératoires favorables, les pertes sanguines minimes avec des douleurs post-opératoires modérées et une durée d’hospitalisation courte.

La chirurgie laparoscopique semble apporter un réel bénéfice par rapport à la chirurgie à ciel ouvert, pour cela l’évolution doit se faire dans le sens d’une simplification de la technique pour améliorer sa fiabilité.

RESUME

Objectif :

Le but de notre étude est d’évaluer la faisabilité de la chirurgie laparoscopique par voie transpéritonèale pour la pathologie du haut appareil urinaire et d’analyser les résultats en termes d’avantages et de morbidité.

Matériels et méthodes :

Il s’agit d’une étude rétrospective s’étendant sur une période de deux ans de septembre 2006 à novembre 2008 portant sur 11 cas.

Il s’agit de O8 cas de rein détruit, 02 cas du kyste du rein et un seul cas de syndrome de jonction pyélo-urétérale.

On a étudié l’âge des patients, le sexe, le coté opéré, les symptômes, les antécédents ainsi que le temps opératoire et les complications per et post opératoires.

Résultats :

Dans notre expérience, nous avons opéré 11 patients par cette technique dont 09 femmes et 02 hommes, âgés de 45ans en moyenne (24à54ans).

Les symptômes étaient représentés par des lombalgies dans tous les cas évoluant depuis 04mois à 06 ans, ces lombalgies sont isolées dans 06 cas (54 ,5%) , et associées à des signes d’ irritations vésicales dans 02cas (18%) , à des épisodes de colique néphrétique dans 01 cas (9%) , à une hématurie terminal dans 01 cas (9%), et à des signes neurosensoriels d’hypertension artérielle dans 01cas (9%).

Les étiologies se répartissent en pyélonéphrite chronique lithiasique dans 06 cas (54,5%), non lithiasique dans 02 cas (18%), un kyste rénal simple dans 02cas (18%), et un syndrome de jonction pyélo urétérale dans 01 cas (9%).

Le bilan pré opératoire comportait dans tous les cas un ASP, une échographie rénale et une urographie intraveineuse ayant permis d’ objectiver un rein muet dans 08 cas, un kyste du rein simple dan 02 cas, et un syndrome de jonction pyélo urétérale dans 01 cas. Une TDM a été réalisée dans 03 cas.

Dans notre étude, on a opéré 06 patients du coté droit et 05 du coté gauche. Parmi les 11 interventions effectuées, il y a eu 02 conversions soit un taux de conversion de (18,2%). Dans le premier cas la conversion a été faite vu la gêne provoquée par la dissection du grêle avec la présence d’un emphysème sous cutané, et d’une hypercapnie à 52 mm Hg. Dans le deuxième cas, la conversion a été nécessaire devant un saignement per opératoire ayant gêné la vision.

On a noté une seule complication post opératoire : chez une patiente opérée pour un syndrome de jonction pyélo urétérale et qui a présenté une péritonite urineuse ayant nécessité la reprise chirurgicale.

Aucune complication spécifique à la laparoscopie n’a été enregistrée. Le reste de nos malades. Soit 08 malades ont eu des suites simples.

La durée opératoire moyenne a été de 190 minutes (110 à 210 minutes).

Les pertes sanguines ont été minimes en moyenne, la douleur post opératoire a été faible par nos patients (échelle visuel analogique 2 à 3 en moyenne), 03 patients seulement ont pris des antalgiques.

Conclusion :

Notre série confirme que la chirurgie laparoscopique par voie transpéritonèale du haut appareil urinaire est une technique fiable, efficace et reproductible, les complications liées au type d’apprentissage sont faibles, le bénéfice pour le patient en terme de morbidité post opératoire est intéressant.

Cette nouvelle technique devrait devenir dans un avenir proche une alternative mini invasive à la chirurgie ouverte du haut appareil urinaire.

SUMMARY

Introduction:

The target of our study is to evaluate the feasibility of the laparoscopic surgery by way transpéritonèale for the pathology of the high urinary tract and to analyze the results in term of advantages and morbidity.

Materials and methods:

It is about a retrospective study carrying on 11 cases operated by laparoscopic way transperitoneal for pathology of the high urinary tract, whose aetiology are divided into destroyed kidney, cyst of the kidney and syndrome of junction pyelo-ureteral. Between September 2006 and November 2008.

One studied the age of the patients, the sex, with dimensions one operated, the symptoms, the antecedents as well as operational time and the complications per and post operational.

Results:

In our experiment, we operated 11 patients by this technique including 09 women and 02 men, 45years old on average (24 à 54ans).

The symptoms were represented by lumbagos in all the cases evolving since 04mois at 06 years, these lumbagos are isolated in 06 cases (54, 5%), and are associated with signs of vesical irritations in 02cas (18%),

With episodes of renal colic in 01 cases (9%), with a hematury in 01 cases (9%), and with neurosensory signs of arterial hypertension in 01cas (9%).

The aetiology are divided into lithiasic chronic pyelonephritis in 06 cases (54, 5%), non lithiasic chronic pyelonephritis in 02 cases (18%), a simple renal cyst in 02cas (18%), and a syndrome of junction pyelo- urethral in 01 cases (9%).

The operational pre assessment practised in all the cases comprised an ASP, a renal echography and UIV, has objectived a dumb kidney in 08 cases, a cyst of kidney simple in 02 cases, and a syndrome of junction pyelo-urethral in 01cases. However the TDM was carried out in 03 cases.

In our study, one operated 06 patients of the right-sided and 05 of the left side.

Among the 11 interventions carried out, there were 02 conversions. In the first case conversion was made considering the embarrassment caused by the dissection of hail with the presence of emphysema under coetaneous, and a hypercapnia to 52mm Hg. In the second case, conversion was necessary in front of an operational bleeding per having obstructed the vision.

Only one operational complication post was noted: in a patient operated for a syndrome of junction pyelo-urethral and which presented a urineuse peritonitis having required the surgical recovery.

No complication specific to the laparoscopy was recorded. The remainder of our patients. That is to say 08 patients had simple effects. The average operational duration was 190 minutes (100 to 210 minutes).

The blood losses were minim, the operational pain post was feeble (analogic visual scale 2-3 on average), and 03 patients only took analgesics.

Conclusion:

Our series confirms that the laparoscopic surgery by way transperitoneal of the high urinary tract is a reliable technique, effective and reproducible, the complications related to the type of training are weak, and the benefit for the patient in operational term of morbidity post is interesting.

This novel method could in the near future become an invasive mini alternative to the surgery open in high urinary tract.

11 8 2006 2008

---11 9 45 4 6 6

6

8

3

11 52 190 4.2

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