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Les circonstances de découverte

MATERIEL ET METHODE MATERIEL ET METHODE

II- ETUDE CLINIQUE 1-Le délaidiagnosti

II. 2 Les circonstances de découverte

Le motif de consultation pour la majorité des patientes était: la douleur abdominale ou pelvienne ou l’association des deux. Le diagramme 4 illustre les signes cliniques d’appel chez les patientes :

Diagramme 4 : Les signes cliniques d’appel de

l’ovaire et le nombre de malades correspondants

Les signes cliniques d’appel étaient pour la majorité des patientes : la douleur abdominale ou pelvienne.

Sur les 7 patientes étudiées, le signe d’appel le plus fréquent était la douleur abdominale isolée que l’on retrouve chez 4patientes.

On retrouve également la douleur pelvienne isolée chez 1 patiente. L’association de la douleur abdominale et pelvienne a

chez 1 patiente.

15% 14%

14%

~ 34 ~ II. 2 Les circonstances de découverte

Le motif de consultation pour la majorité des patientes était: la douleur abdominale ou pelvienne ou l’association des deux. Le diagramme 4 illustre

s d’appel chez les patientes :

Les signes cliniques d’appel des kystes dermoides de l’ovaire et le nombre de malades correspondants

Les signes cliniques d’appel étaient pour la majorité des patientes : la douleur abdominale ou pelvienne.

Sur les 7 patientes étudiées, le signe d’appel le plus fréquent était la douleur abdominale isolée que l’on retrouve chez 4patientes.

On retrouve également la douleur pelvienne isolée chez 1 patiente.

L’association de la douleur abdominale et pelvienne a été retrouvée

57% 14%

douleurs abdominale isoléee douleurs pelevienne association des deux

fortuite

Le motif de consultation pour la majorité des patientes était: la douleur abdominale ou pelvienne ou l’association des deux. Le diagramme 4 illustre

kystes dermoides de

Les signes cliniques d’appel étaient pour la majorité des patientes : la

Sur les 7 patientes étudiées, le signe d’appel le plus fréquent était la

On retrouve également la douleur pelvienne isolée chez 1 patiente. été retrouvée

douleurs abdominale isoléee douleurs pelevienne association des deux

~ 35 ~ II-2- Les signes accompagnateurs

a. Digestifs:

Les signes digestifs étaient les signes accompagnateurs les plus fréquents retrouvés chez 4 patientes soit 57,1%. Il s’agissait de

Vomissements ou de troubles du transit notamment une constipation ou

une association des deux.

b. Gynécologiques:

Les signes gynécologiques ont été retrouvés chez 1 patiente soit 14,28 %, il s’agissait de dysménorrhée.

c. Généraux:

Les signes généraux ont été retrouvés chez 1 patiente soit 14,28 %, il s’agissait d’une altération de l’état général à type d’anorexie et d’amaigrissement non chiffré.

II-3- Examen clinique

Nous avons constaté que la masse abdominale est le signe le plus retrouvé lors de l’examen clinique de nos patientes. Il est noté chez 4 patientes. Cette masse est hypogastrique, de grosse taille, ferme, douloureuse ou insensible et mobile par rapport aux deux plans.

L’examen abdominal révèle une sensibilité isolée chez 1 patiente. Par ailleurs, l’altération de l’état général a été constatée chez 1 patiente (cas N°4).

III-ETUDEPARACLINIQUE

Le diagnostic des kystes dermoides de l’ovaire était basé sur un faisceau d’arguments radiologiques, biologiques à savoir les marqueurs biologiques (Alfa FP et BHCG) et histologiques.

~ 36 ~ III-1-Bilan radiologique :

a-L’échographie abdomino-pelvienne :

Elle a été pratiquée systématiquement chez toutes les patientes. L’échographie a permis l’analyse de la masse : - Son origineovarienne.

-Sa structure kystique

- L’aspect typique de kyste dermoide à savoir l’association de:

• Une formationhétérogène

Une forte composantekystique Zoneshyperéchogènes

• Un nodulecharnu

Figure 6:Echographie montrant un processus lésionnel abdomino

Figure 7:Echographie montrant une masse pelvienne 105 mm, latéro gauche hétérogène, à forte composante kystique, avec des zones hyperéchogénes. Aspect en faveur D’un kyste dermoide de l’ovaire gauche.

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Figure 6:Echographie montrant un processus lésionnel abdomino hétérogène hyper vascularisé

Figure 7:Echographie montrant une masse pelvienne 105 mm, latéro gauche hétérogène, à forte composante kystique, avec des zones hyperéchogénes. Aspect en faveur D’un kyste dermoide de l’ovaire gauche.

Figure 6:Echographie montrant un processus lésionnel abdomino-pelvien

Figure 7:Echographie montrant une masse pelvienne 105 mm, latéro-utérine gauche hétérogène, à forte composante kystique, avec des zones

b-Abdomen sans préparation :

Dans notre série, l’ASP a été réalisé chez 2 patientes montrant soit un refoulement des gaz digestifs , soit un aspect normal.

c-La tomodensitométrie abdomino

Elle a été réalisée chez 7 patientes . Ellea permis la confirmatio

caractéristiques de la tumeur : son origine et sanature.

Figure 8 : (A ; B ; C) TDM montrant une masse abdomino

hétérogène (larges hypodensités, cloisons internes, zones de densité graisseuse, calcifications) refoulant les structures digestives : aspect en faveur d’un kyste

~ 38 ~

sans préparation :

Dans notre série, l’ASP a été réalisé chez 2 patientes montrant soit un refoulement des gaz digestifs , soit un aspect normal.

La tomodensitométrie abdomino-pelvienne :

Elle a été réalisée chez 7 patientes .

Ellea permis la confirmationdu diagnosticainsi que l’étude caractéristiques de la tumeur : son origine et sanature.

Figure 8 : (A ; B ; C) TDM montrant une masse abdomino

hétérogène (larges hypodensités, cloisons internes, zones de densité graisseuse, calcifications) refoulant les structures digestives : aspect en faveur d’un kyste

dermoide ovarien gauche.

Dans notre série, l’ASP a été réalisé chez 2 patientes montrant soit

ndu diagnosticainsi que l’étude des

-pelvienne, hétérogène (larges hypodensités, cloisons internes, zones de densité graisseuse,

d-L’imagerie par résonance magnétique:

Elle a été réalisée chez une patiente (cas N° masse à triple composante :

masse sur l’utérus, l’ovaire gauche et lavessie.

Figure 9:(A ; B ;C) IRM montrant une masse abdomino

bosselés à double composante charnue et kystique multiloculaire refoulant la

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L’imagerie par résonance magnétique:

Elle a été réalisée chez une patiente (cas N°1) objectivant une énorme masse à triple composante : kystique, charnue et graisseuse avec un effet de masse sur l’utérus, l’ovaire gauche et lavessie.

IRM montrant une masse abdomino-pelvienne à contours bosselés à double composante charnue et kystique multiloculaire refoulant la

vessie en bas.

) objectivant une énorme kystique, charnue et graisseuse avec un effet de

pelvienne à contours bosselés à double composante charnue et kystique multiloculaire refoulant la

~ 40 ~ III-2-Bilan biologique:

Le dosage de l’αFP et de la β-HCG chez toutes les patientes était normal.

IV-L’HISTOLOGIE:

L’examen anatomopathologique a été réalisé chez toutes les patientes. Il a objectivé sur le plan macroscopique un kyste ovarien à contenu hétérogène (sébum, cheveux, os).

Sur le plan microscopique, il a permis d’identifier des kystes dermoides avec absence de signes de malignité.

V-LETRAITEMENT

Le traitement était basé sur la chirurgie seule. a- Voies d’abord et exploration :

Voie d’abord Nombre de cas

Pfannenstiel 5 Coelioscopie 1 Laparotomie 1

~ 41 ~

Geste chirurgical Nombre de cas

Annexectomie 5

Ovariectomie 0

Tumorectomie 2

Tableau 4 : Les gestes chirurgicaux réalisés pour l’ablation du kyste dermoide

Chez toutes les patientes une anesthésie générale a été réalisée. Une incision Pfannenstiel a été réalisée chez 5 patientes, un abord coelioscopique chez une patiente et une laparotomie chez une patiente.

Après dissection musculo-aponévrotique, l’exploration a permis de trouver la masse ovarienne.

Une annexectomie a été realisée chez 4 patientes (cas N°2,3,5,6 et 7), et une tumorectomie chez 2 patientes (cas N° 1 et 4).

~ 42 ~ VI-EVOLUTION

L’évolution était bonne pour toutes les patientes.

Les suites opératoires immédiates:

Elles étaient simples pour toutes les patientes.

Les suites opératoires lointaines:

Une bonne évolution a été décrite chez 5 patientes (Cas N°2, 3, 4, 5 et 7) sur une durée de surveillance allant de 1 mois à 6mois.

Une patiente a été perdue de vue (Cas N°1). En revanche, aucune récidive n’a été notée.

ANALYSES

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ANALYSES ET

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