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Durant une période d’inactivité professionnelle certains chômeurs peuvent décider de se porter bénévoles dans une association pour occuper leur temps et rester en contact avec des gens, maintenir une routine qu’ils ont perdus (à l’image de certains retraités). Comme les étudiants certains espèrent se servir de leur expérience associative comme d’un plus sur leur CV le jour d’un entretien d’embauche. Certains espèrent même se former à une autre activité par le biais de leur travail dans l’association. Enfin la possibilité à terme de devenir salarié de l’association peut sembler alléchante à certains, notamment aux chômeurs de longue durée ayant du mal à se réinsérer sur le marché du travail. Dans la plupart des cas de figure le bénévolat est vu comme une forme de tremplin par les chômeurs. Leur engagement pourra durer jusqu’à ce qu’ils retrouvent une activité professionnelle correspondant à leurs attentes voire même après. Ils sont un public intéressant pour les associations car ils sont susceptibles d’apporter des compétences réelles et viennent par intérêt fort et non en dilettante.

16 | P a g e 5. Ceux directement touchés par une cause :

Cette catégorie regroupe tous les individus qui se battent pour l’amélioration de leur propre sort ou celui de leurs proches. Ils n’ont en principe pas trouvé de solution à leur problème et décident de s’unir pour se faire entendre, bien souvent auprès des pouvoirs publics. On pense ici à des gens atteints d’un cancer, d’une maladie rare mais aussi à des victimes d’une catastrophe naturelle par exemple. Les motivations sont plus l’entraide et la volonté de s’en sortir. Leur engagement peut donc être fort et inscrit dans la durée.

6. Les actifs :

Groupe sans doute le plus hétérogène dans notre typologie, les actifs font également dans le bénévolat durant leur temps libre mais leurs motivations diffèrent. Pour simplifier considérons les actifs satisfaits de leur carrière et ceux insatisfaits. Les premiers estiment gagner suffisamment d’argent, avoir une bonne stabilité et un statut social qui leur convient. Ils s’engagent donc par conviction et altruisme ou encore une fois par goût pour une activité déterminée (un sport par exemple). Tant qu’ils seront satisfaits de leur rôle dans l’association ils continueront probablement à s’investir. Le temps qu’ils peuvent consacrer est logiquement moindre que celui des retraités et des étudiants par exemple mais ils peuvent à contrario apporter des compétences intéressantes et des relations utiles à l’association.

Les actifs insatisfaits de leur carrière peuvent choisir de devenir bénévole pour combler un manque ressenti dans l’exercice de leur profession ou plus simplement pour trouver une porte de sortie (par exemple dans l’espoir de devenir à terme salarié de l’association). Leur engagement peut donc également s’inscrire dans la durée. La recherche de reconnaissance et de pouvoir/responsabilités peuvent de même constituer des motivations valides.

Ne perdons pas de vue que ce don de temps (que l’on pourrait considérer comme une monnaie alternative à l’argent) suppose pour chaque catégorie un ‘retour sur investissement personnel’. Pour certaines catégories évoquées (type les actifs) il est même parfois question de développement personnel. Dans un français plus clair et toutes choses égales par ailleurs l’exercice du bénévolat pourrait donc être perçu comme un luxe occasionnel que certains peuvent s’octroyer et améliorer ainsi leur estime de soi, leur conscience.

Nous arrêterons ici notre typologie certes un peu caricaturale et non exhaustive (certains bénévoles pouvant en effet se retrouver dans deux catégories alors que d’autres ne se sentirons appartenir à aucune). Notre but n’est pas de créer un outil d’analyse universel mais simplement de décrypter et mieux comprendre des tendances au sein du public de bénévoles on l’a dit très divers. Nous essayons simplement de mettre en place une démarche qu’un dirigeant d’association pourra lui aussi utiliser.

La première étape avant de se demander comment manager le plus efficacement possible ses bénévoles est donc de bien les connaître et cerner leurs parcours. Vient ensuite le temps de

17 | P a g e s’interroger sur leurs motivations ; comme nous l’avons vu en établissant notre typologie les motivations à l’intérieur peuvent être variées.

2. Les motivations à l’entrée :

Nous allons à présent nous attacher à définir une deuxième grille de lecture ; celle des motivations individuelles des bénévoles. Nous ne croiserons pas les informations que nous allons mettre en avant avec les catégories définies dans la partie précédente, ce travail n’étant pas très probant. Notre propos n’est bien évidemment pas de mettre les bénévoles dans des cases mais de mettre à disposition de qui le souhaite des grilles de lecture pour mieux comprendre les bénévoles et mieux les manager par la suite. Nous commencerons ainsi de manière logique par les motivations à l’entrée.

Peu d’études ont été faites sur la motivation des bénévoles malgré l’importance du secteur associatif en France. Deux auteurs ont néanmoins repris une étude de l’INSEE faite en 2002 sur la vie associative en France et traitant des motivations des bénévoles11. Les critères de motivation définis par l’INSEE sont les suivants :

1. Pour pratiquer un sport

2. Pour pratiquer une activité culturelle ou artistique 3. Pour défendre une cause

4. Pour faire respecter vos droits ou ceux des autres

5. Pour rencontrer des personnes qui ont les mêmes préoccupations ou les mêmes goûts, pour se faire des amis

6. Pour être utile à la société, pour faire quelque chose pour les autres 7. Pour vous épanouir, pour occuper votre temps libre

8. Pour aider, défendre les intérêts de vos enfants ou d'autres membres de votre entourage

9. Pour avoir accès à des renseignements ou des services 10. Pour une autre raison

11Prouteau L., Wolff F.-C. (2004), Donner son temps : les bénévoles dans la vie associative, Economie et statistique n°372

18 | P a g e Si aucun critère ne correspondait à la motivation d’entrée les propositions suivantes étaient faites aux sondés :

1. Enseigner un sport ou une activité culturelle 2. Défendre une cause

3. Rencontrer des personnes qui ont les mêmes préoccupations ou les mêmes goûts, pour se faire des amis

4. Acquérir ou exercer une compétence

5. Pour être utile à la société, pour faire quelque chose pour les autres 6. Pour vous épanouir, pour occuper votre temps libre

7. Obligatoire, pour bénéficier des activités de l'association 8. Pour une autre raison

Il est ressorti de cette enquête que les sondés expliquent leur engagement par plusieurs raisons plutôt qu’une seule. La première motivation qui ressorte en tête est « être utile à la société, faire quelque chose pour les autres », le bénévolat est donc bien une forme d’altruisme à la base.

Cependant les deux autres raisons arrivant juste derrière sont plus personnelles à savoir :

« rencontrer des personnes qui ont les mêmes préoccupations ou les mêmes goûts, pour se faire des amis » et « s'épanouir, occuper son temps libre », critères de sociabilité et épanouissement donc. Les autres critères semblent plus marginaux. Les auteurs de l’article ont néanmoins mis en lumière des liens et corrélations entre motivations. Ainsi lorsqu’un bénévole s’engage dans une association sportive il y a également la recherche de relations humaines outre la pratique d’une passion. Les auteurs démontrent également que les motivations dépendent du type d’association auquel appartiennent les bénévoles. En quelque sorte les critères dépendent de l’activité preuve que les bénévoles rejoignent une association avec un but précis et se renseignent au préalable. Les étudiants par exemple sont les plus nombreux à devenir bénévoles pour acquérir de nouvelles compétences, point qui corrobore notre typologie. Le profil du bénévole doit donc être mis en relief face au profil de l’association. Un élément important est néanmoins le fait qu’il y a souvent une combinaison de motivations altruistes et égoïstes au moment de l’entrée.

3. L’évolution des motivations à rester :

Les motivations de manière logique évoluent avec le temps et nous ne saurions nous contenter des motivations à l’entrée pour dresser un portrait fidèle. Une étude de France Bénévolat (plus récente cette fois) a ainsi cherché à mettre en lumière les éléments satisfaisants les bénévoles dans leur engament au jour le jour, le tableau des résultats est reproduit ci-après12 :

12 D’après l’enquête la France Bénévole 2009, url :

http://www.francebenevolat.org/uploads/documents/7a1fa4810b6490cc6ac14b0c73656b964a5fd29a.pdf

19 | P a g e Quelles principales satisfactions éprouvez-vous dans votre engagement ?

Plusieurs choix possibles (en %) Hommes Femmes Ensemble

Plusieurs choix possibles (en%) Hommes Femmes Ensemble

Le contact et les échanges avec

Il est donc intéressant de savoir ce qui plaît aux bénévoles une fois en place. On retrouve en tête des éléments assez proches de l’étude établie par l’INSEE mais sur les motifs d’entrée cette fois.

Encore une fois ces études sont indicatives et ne constituent pas nécessairement des preuves irréfutables et universelles. Deux éléments généraux peuvent néanmoins être dégagés et considérés comme relativement universels : se rendre utile, aider les autres et ce que nous baptiserons ‘le lien social’, autrement dit le plaisir d’être avec des gens partageant un intérêt, une passion et permettant ainsi de se sociabiliser hors des cadres traditionnels que sont le lieu de travail, d’études, les amis de longue date, etc.

De plus ces études peuvent servir de base et aider les dirigeants d’associations à accomplir la deuxième étape : connaître les motivations d’entrée des bénévoles et suivre leurs évolutions. Ce qui importe ici est de réaliser son propre sondage dans l’association. Formaliser les choses et le faire systématiquement avec les nouveaux arrivants peut être une solution (sous la forme d’un ‘entretien d’embauche’ par exemple comme nous l’évoquerons dans la partie des dix commandements). Pour les autres bénévoles plus ‘senior’ leur demander de remplir un questionnaire (anonyme ou non) peut être envisageable. L’idée étant de faire les choses d’une manière organisée, équitable et surtout régulière, les motivations, satisfactions ou démotivations évoluant avec la durée d’engagement rendent nécessaire un état des lieux constant des forces en présence.

20 | P a g e Nous tenterons quoi qu’il en soit dans la dernière partie de ces travaux d’établir un modus operandi des pratique managériales à utiliser vis-à-vis des bénévoles à travers notre liste de commandements.

En effet, et nous reviendrons sur ce point essentiel, un bénévole satisfait constitue le meilleur recruteur pour une association comme le démontre une étude canadienne13. Transformer un bénévole en un futur attracteur de bonnes volontés constitue ainsi un objectif simple et concret justifiant à lui seul une ‘gestion des ressources humaines’ propre que chaque association doit mettre en place quelque soit sa taille et son activité. Comme nous le disions en première partie nombre d’associations françaises ne vivent que par le bénévolat. Il s’agit dès lors d’une question de survie cet argument devant convaincre les plus réfractaires d’investir quelque efforts en la matière.

4. « La reconnaissance » :

Jusqu’à présent nous avons travaillé sur des sources académiques définissant des motivations affichées par les bénévoles et pour la plupart positives, altruistes. Un entretien avec Charles-Edouard Vincent, dirigeant d’Emmaüs nous a fait entrevoir l’opportunité de chercher des motivations moins valorisantes, plus ‘crues’. Ainsi nous ne saurions terminer cette partie sans évoquer des éléments propre à la nature humaine qu’un dirigeant d’association doit néanmoins prendre en compte. Nous avons en effet jusqu’ici dressé un tableau plutôt flatteur du bénévolat et des gens qui s’engagent dans cette voie. Il ne faut pas pour autant négliger le rôle pervers de ‘la reconnaissance’. Ce terme générique nous semble en effet particulièrement approprié car il regroupe de nombreux cas de figure et de réalités humaines au sein du bénévolat. Nous tenterons d’en décrypter quelques uns ce qui nous servira de base pour la dernière partie de nos travaux.

Pour préciser notre propos revenons sur le fait que le temps pouvait être considéré comme un don par opposition au don d’argent. Nous avons même été jusqu’à comparer le temps à une forme de monnaie et qui dit monnaie dit échange. Tout altruisme supposerait donc un retour attendu quelconque de la part du bénévole. La reconnaissance peut dès lors être appréhendée sous différentes facettes. Elle implique dans tous les cas une forme de récompense et de mise en valeur du bénévole13. Par soucis de lisibilité nous distinguerons les quatre cas suivants :

1. La reconnaissance en interne :

Il s’agit plus d’une forme de remerciement que de félicitations qui fait sentir aux bénévoles l’utilité de leur action et par conséquent leur propre utilité. Une étude démontre que les remerciements sont plus efficaces en terme de motivation lorsqu’ils émanent d’une personne ayant directement bénéficié de l’action du bénévole13. Un merci de la part d’un Sans Domicile Fixe ayant reçu une soupe des mains du bénévole sera donc beaucoup plus important qu’un remerciement collectif et ponctuel

13 ‘Pourquoi les gens font du bénévolat’ (1992), Centre d'action bénévole Ottawa-Carleton Un rapport à la direction du Soutien aux organismes volontaires Multiculturalisme et Citoyenneté Canada, url :

http://www.bdaa.ca/ftext/heritage/partncomf/pdfdocs/Pourquoi.pdf

21 | P a g e fait par le dirigeant de l’association à l’ensemble des troupes. Ce qui ne signifie pas que le dirigeant doit s’abstenir de tous remerciement bien au contraire ! Nous reviendrons sur ce point et les manières d’optimiser son impact dans la dernière partie. Une bonne exposition aux remerciements du bénéficiaire sous entend une bonne exposition ‘dans le feu de l’action’.

2. La reconnaissance sociale :

La reconnaissance ne s’entend pas uniquement en interne mais il s’agit bien d’une notion sociale. Le bénévole comme un salarié se met donc en valeur par rapport à son activité ou son statut (même si la définition sociale d’un individu se fait généralement principalement par son travail et non son expérience bénévole). Il est par exemple agréable de briller devant ses amis ou sa famille sur son expérience de bénévole qui plus est si l’engagement est à priori parfaitement déconnecté de tout intérêt personnel. L’image de l’association est donc tout aussi importante que le statut de bénévole.

Même si personne ne se vantera dans aucune étude de faire du bénévolat parce que cela ‘est bien vu par son entourage’ cet élément ne peut être qu’un plus motivationnel. Cette ‘reconnaissance sociale’

est implicitement démontrée par l’étude canadienne citée précédemment qui démontre que sur le panel de bénévoles ayant participé à l’enquête 65% se sont engagés soit par demande, incitation ou effet d’exemple de l’entourage13. Le bénévolat donne donc une image, le travail de l’association peut alors être comparé au travail sur l’image de marque et la réputation auquel toute entreprise est confrontée. La communication en externe, l’organisation d’évènements sont autant d’éléments indirects à retombées certes peu quantifiables mais permettant néanmoins de fédérer les troupes sur le long terme. Bien entendu une association parlera plus volontiers de valeurs, de mission que d’image il n’empêche qu’il s’agit d’un investissement, un travail de longue haleine à entreprendre pour pouvoir attirer des bénévoles soucieux d’une forme de reconnaissance sociale. A titre indicatif d’après l’enquête de France Bénévolat et le tableau reproduit en page 18 les hommes sont d’ailleurs plus sensibles à la reconnaissance que les femmes12.

3. La reconnaissance ou les jeux politiques

Par reconnaissance nous entendons également les jeux politiques. De par les statuts d’une association il y a un certain nombre de postes ‘à responsabilité’ tel que secrétaire général, trésorier, membre du comité parfois âprement disputés. Le bénévolat peut alors devenir une affaire d’ego voire de vanités ou de substitut à une carrière peu brillante. Nous pourrions prendre à cet effet l’exemple d’un actif peu satisfait par sa carrière professionnelle mais désireux de se rattraper par son implication associative et les possibilités de promotion qui en découlent comme devenir dirigeant.

Accéder à un poste à responsabilité voire devenir le futur responsable de l’association peut alors devenir un objectif ‘de carrière’. Parler bénévolat c’est également parler pouvoir ; ne perdons pas de vue qu’une association est une structure plus ou moins organisée regroupant des compétences.

Toute organisation suppose une forme de hiérarchie. Les instincts humains étant ce qu’ils sont le thème du pouvoir est sans surprise de la partie. Certains pourraient même considérer que la prise de

22 | P a g e pouvoir dans une association est encore plus disputée que dans une entreprise du fait de l’engagement ‘idéologique’ des bénévoles. Se battre pour imposer ses idées, défendre une cause selon ses vues peut dans certains cas être le départ d’une lutte féroce et d’une course vers la reconnaissance donnée par l’accès à la fonction suprême de l’association. Pour donner un simple chiffre, en se référant au tableau de France Bénévolat reproduit en page 18 nous constatons que 12%

des bénévoles sondés déclarent être satisfaits de leur engagement associatif leur donnant les moyens d’accéder à des responsabilités12. Le chiffre diffère d’ailleurs fortement selon qu’il s’agit d’hommes ou de femmes interrogés (score de 15% pour les hommes contre 8% seulement pour les femmes)12. Responsabilités ou vanités ?

4. La reconnaissance et le lien social

Enfin la reconnaissance peut être comprise comme une tentative d’insertion, de création ou réparation de lien social. Nous considèrerons cette forme de reconnaissance comme une variante extrême du point numéro deux. Une personne isolée socialement peut utiliser son activité dans l’association pour renouer des contacts avec d’autres individus, avec le travail (cas des chômeurs notamment) et avoir ainsi le sentiment d’exister. Cette forme de recherche de reconnaissance peut aller jusqu’à des cas extrêmes et complexes à gérer pour un dirigeant d’association. Lors d’un entretien avec Charles-Edouard Vincent, dirigeant d’Emmaüs Défi, nous avons évoqué le cas d’une bénévole qui n’avait le sentiment d’exister dans la société que par son travail de tri dans l’association.

Ce besoin pouvant être assimilé à une forme de désespoir a eu des conséquences fâcheuses telles une agression physique sur un salarié ou le refus de prendre en compte les directives et demandes du dirigeant. Se séparer du bénévole trop ‘dépendant’ et incontrôlable de l’association est à fortiori une tâche complexe.

Ces motivations plus basses et propres au genre humain doivent donc être prises en compte et font partie de la connaissance de l’individu indispensable pour réussir un bon management et une bonne fidélisation. Le fait qu’il n’y ait pas d’étude spécifique sur ces comportements peu mesurables et peu reluisant implique une finesse relationnelle de la part du dirigeant d’association ou pour certaines structures de taille importante la mise en place d’une structure de gestion des ressources humaines à la manière de ce qui se fait dans le monde de l’entreprise. Nous allons étudier dans la partie suivante les facteurs de démotivation puis établir notre ‘liste de commandements’ pour le bon management des bénévoles.

Conclusion : Cette partie nous a permis de mieux comprendre les raisons affichées (souvent valorisantes) et les raisons sous jacentes (parfois nettement moins valorisantes) de s’engager et de durer dans le bénévolat. Nous avons établi une typologie plus à titre d’exemple que par désir d’établir une liste exhaustive. La démarche d’étude que nous avons suivie va à présent nous servir pour établir nos ‘commandements du management du bénévole’ à travers des thèmes que nous avons défrichés.

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3. Comment manager les bénévoles ?

1 . Comprendre les facteurs de démotivation et leur évolution

Avant d’établir notre liste de commandements et de tous les expliciter un dernier point reste à couvrir pour mieux comprendre l’évolution de l’expérience bénévole : le cas des démotivations et de leur évolution. Dans la partie précédente nous avons terminé par apporter un regard critique sur les

Avant d’établir notre liste de commandements et de tous les expliciter un dernier point reste à couvrir pour mieux comprendre l’évolution de l’expérience bénévole : le cas des démotivations et de leur évolution. Dans la partie précédente nous avons terminé par apporter un regard critique sur les

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