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3. Matériel et méthodes

3.2. Méthodes

3.2.4. Analyse statistique des données

En fonction du caractère des données qui sont collectées au cours de cette étude, les techniques d’analyse ont plus porté sur une approche qualitative, les quelques données quantitatives recueillies ont été enregistrées avec Excel version 2007. Il est aussi utilisé pour réaliser les graphes présentés dans le document. L’analyse des données quantitatives a été faite à l’aide du logiciel EXCEL afin de déterminer la moyenne et de réaliser les graphiques présentés dans le mémoire.

CHAPITRE IV : RESULTATS ET DISCUSSION 4. Résultats et discussion

4.1. Résultats

4.1.1. Caractéristiques des établissements de vente des denrées alimentaires importées Quand bien même la législation définit les conditions de création et d’exploitation d’un établissement commercial (décret n° 85-233 du 10 juin 1985 relatif aux déclarations et aux autorisations préalables de production et de commercialisation des denrées alimentaires), cela n’est pas respecté. Selon les données prises au niveau du SCDA Glazoué, 189 établissements de vente de divers et produits congelés existent dans la commune et près de la moitié au centre ville. 36% des établissements de vente de produits congelés sont autorisés et 35% des établissements de vente de produits divers sont autorisés (figures 1 et 2). Aucun établissement n’a son certificat médical à jour. Les établissements ne respectent pas souvent les règles et conditions d’aération et d’hygiène. Les articles sont disposés pêle-mêle et ne garantissent toujours pas une bonne conservation.

Photo 1: Mauvaise conservation des denrées alimentaires dans les établissements de vente

Tableau 2 : Inventaire des établissements de vente des denrées alimentaires Villages Nombre d’établissements de vente de denrées alimentaires importées

Congelées Autorisés Non Autorisés

Divers Autorisés Non Autorisés

Gomé 3 1 2 10 2 8

Sokponta 1 0 1 5 1 4

Sowé 0 0 0 8 0 8

Glazoué 12 7 5 68 33 35

Ouèdèmè 3 0 3 16 5 11

Thio 1 0 1 5 1 4

Aklampa 1 0 1 42 15 27

Sowiandji 1 0 1 4 0 4

Assanté 0 0 0 6 2 4

Magoumi 0 0 0 3 0 3

Total 22 8 14 167 59 108

Source : SCDA Glazoué, 2014

Figure 2 : Proportion d’établissements de vente de produits congelés

Figure 3 : Proportion d’établissements de vente de produits divers

4.1.2 Perception de la qualité par les services de contrôle et gestion des denrées serait spécifique à chaque produit et se traduit par des signes qui sont polysémiques (naturel, authentique) et fortement chargés de dimensions symboliques qui se différencient des produits similaires par ses caractéristiques. Le produit a une identité qui fait sa qualité. Le sens de la qualité change aussi parce que la qualité se réfère désormais à une grande diversité dans l'appréhension des produits par le consommateur ou l'usager.

Quant à la gestion des denrées de mauvaise qualité, l’assemblé nationale révolutionnaire a délibéré et a adopté en sa séance du 17 février 1984 la loi n°84-009 du 15 mars 1984 portant sur le contrôle des denrées alimentaires. La présente loi et les règlements qui en découlent sont relatifs aux denrées alimentaires et s’appliquent à tous les producteurs importateurs, exportateurs, transporteurs, vendeurs des dites denrées ainsi qu’aux annonceurs faisant une publicité pour ces denrées y compris les sociétés privées et les organismes autorités visées peuvent aux heures pendant lesquelles l’établissement visité exerce son activité pénétrer dans les locaux professionnels où sont produites, commercialisées ou fournies les denrées alimentaires ainsi que les véhicules, entrepôt, abattoirs, ou marchés et d’une manière générale en tout lieu où sont manipulées des denrées alimentaires. Elles peuvent librement effectuer toutes opérations de contrôle permettant d’assurer l’application de la présente loi et des règlements pris pour son application. Elles sont en outre habilitées à opérer des prélèvements d’échantillons, à bloquer provisoirement une denrée suspecte ou non conforme aux normes, à ordonner sa mise en conformité ou un changement de destination, à saisir ou à détruire cette denrée.

Les contrôles officiels des produits importés comprennent au moins un contrôle documentaire systématique, un contrôle d’identité par sondage et le cas échant un contrôle

physique des produits. Néanmoins malgré ces dispositions légales il se fait que le contrôle n’est pas effectif. Il est réparti entre plusieurs structures qui doivent se réunir comme le stipule les textes ce qui n’est pas facile et donc le travail ne se fait pas comme cela se doit parce qu’il est difficile aux structures devant faire le contrôle d’harmoniser leur agenda afin de dégager des jours probables de descente sur le terrain. Aussi la résistance des distributeurs pour l’enlèvement des produits de qualité douteuse et le pouvoir de l’argent fragilisent les actions. L’insuffisance de personnel de contrôle et le manque d’appui des forces de sécurité en raison de personnel insuffisant peuvent contribuer à l’inorganisation des contrôles.

Photo 2 : Destruction de denrées alimentaires de mauvaise qualité saisies

4.1.3 Perception de la qualité par les consommateurs

La qualité apparaît pour le consommateur comme un élément capital dans le choix de son aliment mais il ne connait pas forcément le sens de cette qualité. Comme cela a été

précédemment défini, la notion de qualité n’est pas facile. Il est parfois plus facile de définir la mauvaise qualité et d’identifier les critères que les consommateurs vont rejeter à priori dans l’acte d’achat. Par exemple à la question de savoir : Qu'est-ce qu'un produit alimentaire de mauvaise qualité ?

Lorsque nous posons la question « Qu’est-ce qu’un produit alimentaire de mauvaise qualité ? « 92,50 % des consommateurs pensent que : la mauvaise qualité rime avant tout avec risqué », dont on doute de la sécurité alimentaire ou de la fraîcheur. L’éventualité d’un risque est un frein à l’achat. En corollaire, la garantie de la sécurité est un gage de qualité important de la sphère individuelle. Dans ce contexte, les consommateurs sont méfiants et de plus en plus exigeants, ils cherchent à éviter le risque par une meilleure maîtrise de l’information.

La mauvaise apparence est un autre critère de mauvaise qualité évoqué par les consommateurs. Le prix en est autre. Dans le secteur alimentaire et plus que dans d’autres secteurs, comme cela avait été montré en 2000 (Brousseau et al, 2013), 59,50% de notre échantillon pense qu’une apparence peu attirante peut susciter des doutes sur la qualité du produit. L’emballage attrayant est ainsi davantage apprécié. Le critère peu pratique de la sphère des motivations stratégiques n’arrive qu’en cinquième position. On notera que « absence de marque » vient en dernière position. Seuls 21.5% des enquêtés pensent que la marque n’affecte pas trop la qualité des produits.

Figure 4 : Qu’est ce qu’une denrée alimentaire de mauvaise qualité ? Source : Enquête terrain 2015

4.1.4 Perception de la qualité par les distributeurs

Il s’agit ici d’une question d’intégrité des distributeurs vis-à-vis des consommateurs.

Les distributeurs restent perplexes sur la notion de qualité et ne renseignent jamais sur la vraie qualité de leurs produits, ni le mécanisme d’approvisionnement et de distribution de ses produits de peur de faire de mauvais chiffre d’affaire. Les commerçants grossistes assurent leurs transactions sur la base de règles de mesures communes largement partagées. Dans notre échantillon de commerçants enquêtés (11), la moitié d'entre eux indiquent qu'ils n'ont pas toujours de fournisseurs réguliers. Une autre caractéristique des grossistes est la commercialisation de plusieurs produits. Ils sont donc capables de vendre des produits avariés ou falsifiés aux consommateurs comme l’illustre bien les images ci-après, que nous avons pu prendre lors de la collecte de données. Il s’agit bien des produits altérés, des boites de conserves falsifiés, des emballages non étiquetés et pleins d’autres produits d’origine douteuse impropre à la consommations et qui sont soigneusement mise en vente.

Photo 3 : Denrées alimentaires sans étiquettes

Photo 4 : Stock de riz dont la date de péremption est dépassée

Photo 5 : Produits halieutiques mal conservés et avariés

Photo 6 : Conserve de tomate périmée et falsifiée

4.1.5 Perception de la qualité par les agents de santé

Le consommateur agent de santé, décrit quatre composantes de la qualité alimentaire.

Il s’agit des : composantes hygiénique, nutritionnelle, organoleptique et d'usage, ce qui signifie Sécurité, Santé, Saveur et Service les quatre 4"S".

S1- Sécurité = qualité hygiénique : On veut des dangers en moins. On ne veut pas que l'aliment apporte "du mauvais", nous rendant malade. Ce sont quelques propos recueillis auprès des agents de santé sur cette première composante de la qualité. Ensuite lorsqu’on leur pose la question de savoir : Qu’est-ce qui peut rendre malade dans un aliment ? Il pense aux microbes (ex.: salmonelles, virus hépatite) ou leur toxine, les produits toxiques (ex.: métaux lourds, pesticides), les composants normaux en excès (ex.: sel, lipides), composants normaux inadaptés à un consommateur particulier (ex. Intolérant au lactose, allergique aux arachides) peuvent être à l’ origine des maladies.

S2- Santé = qualité nutritionnelle. Les consommateurs veulent des atouts en plus en terme de qualité nutritionnelle. Ils veulent que l'aliment apporte "du bon", qu'il soit diététique, qu'il maintienne et améliore leur santé. Il s'agit d'abord des nutriments majeurs (lipides, glucides, protides) et mineurs (vitamines & minéraux). Des demandes nouvelles surgissent concernant les fibres alimentaires, , les pré-biotiques, probiotiques, les aliments "fonctionnels" etc. En fait l'équilibre nutritionnel vient du régime, donc de tous les aliments consommés sur une longue période. La qualité nutritionnelle d'un seul aliment ne veut donc pas dire grande chose. Il n'y a pas d'aliment idéal, l'idéal étant un régime équilibré.

Les deux premières composantes de la qualité (sécurité et santé) sont invisibles. Le consommateur doit "faire confiance" au vendeur, et le vendeur lui-même faire confiance au producteur: c'est pourquoi il faut imposer aux distributeurs des normes de qualité sanitaire et que la loi intervienne pour assurer la protection des consommateurs.

S3- Saveur = qualité organoleptique ou hédonique. Cela sous-entend : On veut "se faire plaisir". On veut satisfaire ses cinq sens (et pas seulement le goût !). Cette qualité conditionne souvent les deux premières: les consommateurs (agents de santé) pensent qu’on s'intoxique parfois parce qu'on aime (ex. Alcool,); on déséquilibre sa ration par excès ou manque de goût (ex.: excès de lipides, carences chez les vieillards). La qualité organoleptique a une composante sensorielle majeure, mesurable par l'analyse sensorielle (objectivée par le sujet), mais a aussi une composante psychologique et sociale (ex.: emballage "flatteur", repas de fête).

S4- Service = qualité d'usage. On veut que ce soit commode. Un aliment sain, complet et délicieux ne sera pas vendu s'il est trop cher, introuvable, difficile à préparer et impossible à conserver (ex. certains fruits exotiques). On veut donc des aliments qui présentent les caractéristiques suivantes :

- se conservent longtemps avant la vente, après achat, après ouverture (ex.: lait UHT) - soient faciles à utiliser: stockage, ouverture/fermeture, préparation

- soient abordables: à la fois pas trop chers et disponibles, vendus "partout".

Le prix est aussi un facteur de choix déterminant pour certaines personnes de petits revenus, mais donne aussi une image de la qualité. Il y a confusion entre "C'est mieux, donc normal que ce soit plus cher", et "c'est plus cher donc sûrement meilleur". Les consommateurs se réfèrent souvent au rapport qualité/prix.

4.1.6. Sécurité sanitaire et risque alimentaire

La consommation d’un aliment ne devrait pas entraîner des complications pour les ménages.

Cependant, il est fréquent d’observer de nombreuses victimes de toxi-infections alimentaires (TIA) et ce, de façon chronique. Les TIA, maladies d’origine alimentaire, sont non seulement une conséquence de la consommation d’aliments de mauvaise qualité microbiologique, mais également une cause de la pauvreté extrême du fait de l’ingestion d’aliments malsains. Cette alimentation serait la cause de près de 45% des maladies enregistrées dans les formations sanitaires de la commune de Glazoué.

En effet, les TIA sont causées aussi bien par la consommation d’aliments malsains, mais sont principalement dus au manque d’hygiène et aux mauvaises conditions de conservation. Le manque d’hygiène des aliments peut toucher les générations dans le sens où les mères peuvent donner naissance à des enfants souffrant de malformation (toxoplasmose), des avortements, prématurés ou mort-nés (Listériose). Les gens mangent trop de tout, consomment plus de calories qu’ils n’en dépensent. La floraison des cas de surcharge pondérale en témoigne. Les troubles sérieux favorisant le développement de plusieurs maladies insidieuses et graves, l’obésité est devenue monnaie courante. De même que le développement inquiétant de certaines pathologies jusqu’ici rares ou exceptionnelles, telles que le diabète, les maladies cardiovasculaires et certains cancers.

4.2 Discussion

Pervertie, avec des produits importés et de qualité douteuse, notre alimentation constitue, en fin de compte, un danger pour notre santé.

La sécurité sanitaire des aliments est un problème essentiel de santé publique pour tous les pays. Les maladies d’origine alimentaire dues aux agents pathogènes microbiens, aux bio-toxines et aux polluants chimiques présents dans les aliments représentent de graves menaces pour la santé de milliards de personnes. De graves épidémies de maladies d’origine alimentaire ont été inventoriées sur tous les continents au cours des décennies passées, faisant apparaître leur importance tant pour la santé publique que du point de vue social. Partout dans le monde, les consommateurs sont de plus en plus préoccupés par la qualité sans le savoir. Les maladies d’origine alimentaire affectent non seulement la santé et le bien-être de la population, mais comportent des répercussions économiques pour les individus, les familles, les communautés, les entreprises et les pays. Ces maladies imposent un lourd fardeau au

système de santé et réduisent notablement la productivité économique (Mialet, 2010). Du fait des pertes de revenus qu’elles entraînent, elles perpétuent le cycle de la pauvreté dans lequel se trouvent les personnes les plus démunies qui vivent généralement au jour le jour. Les consommateurs, en particulier ceux des pays en développement, sont souvent exposés à une falsification délibérée de leur nourriture; or, cette pratique peut comporter des risques sanitaires et des pertes financières pour le consommateur. Ainsi, la falsification des conserves, des boissons, des épices, des huiles alimentaires, et l’emploi de colorants pour masquer la qualité des produits sont des pratiques courantes telles que observées lors de cette étude. Bien qu’elle n’entraîne généralement que des risques limités, la falsification des aliments suscite l’indignation et la colère du public dans la mesure où elle trouble sa confiance dans l’intégrité des produits alimentaires mis sur le marché.

Il est aussi important de savoir que les services de contrôle alimentaire s’avèrent inadéquats, en raison de la limitation des ressources disponibles, des carences de gestion souvent observées et du manque d’analyse de laboratoires pour attester la qualité des produits.

Ces carences sont aggravées lorsque le contrôle alimentaire implique le concours de plusieurs structures.

Enfin, les systèmes de contrôle alimentaire risquent de souffrir de l’insuffisance ou de l’inadéquation des mesures d’application adoptées. Les systèmes modernes de contrôle alimentaire reposent nécessairement sur des processus décisionnels scientifiques et transparents et exigent par conséquent la disponibilité de personnes dûment qualifiées et formées dans des disciplines clés telles que les sciences et les technologies alimentaires, la chimie, la biochimie, la microbiologie, les sciences vétérinaires, la médecine, l’épidémiologie, l’agronomie, l’assurance qualité, la vérification alimentaire. Les autorités chargées du contrôle alimentaire doivent mieux apprécier le rôle de la science dans le cadre de l’approche axée sur les risques et mettre à profit les moyens scientifiques disponibles au sein de la communauté internationale.

CONCLUSION ET SUGGESTIONS

Dans la plupart des pays africains, la connaissance des styles alimentaires des populations urbaines défavorisées et de leurs conditions d'accès à l'alimentation reste insuffisante. Nous retenons donc de cette étude que la sécurité sanitaire n’est pas garantie dans la commune de Glazoué et qu’il va falloir revoir la mise en pratique de la règlementation sur les conditions d’importation de denrées, sur le contrôle de denrées et le renforcement des pouvoirs des associations de consommateurs et enfin encourager la consommation locale sans compter avec ses corollaires. Une telle connaissance est pourtant nécessaire pour orienter et évaluer l'effet de programmes d'actions par rapport à l'objectif d'amélioration de la sécurité alimentaire de ces populations. On connaît ainsi encore mal comment se traduisent des actions tels que la réorganisation de marchés de gros, la réglementation du commerce ou de la qualité, l'aménagement de lieux de vente.

Voici quelques suggestions faites à l’endroit de l’Etat pour renforcer le système de contrôle

 Aide à l’élaboration d’une législation alimentaire et des règlements connexes visant à concentrer les contrôles de denrées alimentaires au sein d’une institution unique;

 Aide à la constitution ou au renforcement des capacités d’analyse des aliments ;

 Renforcement de capacités des formateurs sur les systèmes de l’analyse des risques - point critique pour leur maîtrise.

 Renforcement des capacités des agents sur les techniques de gestion des systèmes de contrôle alimentaire;

 Appui au renforcement des comités nationaux notamment les associations de consommateurs ;

 Promotion de la consommation des productions locales ;

 Sensibilisation de la population sur la nécessité de l’auto contrôle des aliments.

REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES

1. Algert et al., 2006 ; Disparities inacess to fresh produce in low-income neighborhoods in los Angeles. Am J Prev Med, 30 :365-370

2. Bakeret al., 2006 ; Perception et attitude des consommateurs vis-à-vis des inovations dans le domaine agroalimentaire. P : 10

3. BCEAO, Analyse de l’évolution du commerce extérieur de biens et services de l’uemoa au cours de la période 2000-2011. P : 19-22

4. Brousseau, et al., 2013 ; Genèse et perception de la notion de qualité chez les

8. INSAE, 2009 ; Grands traits du commerce extérieur au Bénin de l’année 2008. P : 11-12

9. ISO 8402, Version 2000 ; relatif aux denrées alimentaires.

10. Koffi-Navry et Gohou, 2012 ; Hygiène des Aliments et Développement Soutenable : Impact du Monde Invisible (microscopique) sur la Réduction de la Pauvreté. P : 4-6 11. Koro et al., 2010 ; Microbial quality of food available to populations of differing

socioeconomic status American journal of preventive Medecine, 38(5) : 478.81

12. MAEP, 2010 ; Rapport, analyse de l’insécurité alimentaire et des inégalités d’accès à l’alimentation au Bénin. P : 4-10

13. Mialet., 2010; Appui aux systèmes d’information sur les mesures sanitaires et phytosanitaires au Benin. Projet STDF. Rapport de mission. P : 17-23

14. PADPAQ, 2009 ; Textes législatifs et règlementaires sur l’assurance qualité des denrées alimentaires et produits d’origine halieutiques au Bénin.

15. PDC Glazoué, 2011 ; Plan de Développement de la Commune de Glazoué. P : 11-16 16. Pothukuchi et al., 2008 ; Explaining disparities in food safety compliance by ood

stores does community matter ? Agric Hum Value : 25 : 319-32

17. Signs et al., 2011; Retail food safety risk for populations of differents races, ethnicities and incom levels journal of food protection. P : 74

ANNEXES Questionnaire pour agents de santé

IDENTIFICATION Nom :

Prénom : Age : Profession : Adresse :

1. Qu’entendez-vous par qualité en tant qu’agent de santé ?

2. Comment reconnaissez-vous les denrées de bonnes qualités ?

3. Quelles denrées qualifiez-vous de mauvaises qualités ?

4. En tant qu’agent de santé consommez-vous les denrées importées ?

OUI NON

5. Quel est votre fréquence de consommation ?

Fréquent rarement jamais

6. Pensez-vous qu’il Ya des risques liés aux consommations de ces produits ?

OUI NON

Si oui précisez

7. Quels sont les maladies liées à la consommation des denrées importés que vous enregistriez souvent?

8. Quelle est la couche de la population la plus exposé aux risques de cette consommation ?

9. Quelles précautions devrait-on prendre pour éviter ces risques ou maladies ?

10. Quelle est votre perception de la qualité des denrées alimentaires importées ?

Questionnaire pour consommateurs IDENTIFICATION

Nom : Prénom : Age : Profession : Adresse :

1. Qu’entendez-vous par qualité ?

2. Que pensez-vous des denrées importés

3. Comment reconnaissez-vous les denrées de bonne qualité ?

4. Quels sont les critères de reconnaissance des denrées de bonne qualité ?

5. Quels genres de denrées qualifiez-vous de mauvaise qualité ?

6. Connaissez-vous l’origine des denrées importés que vous consommiez ?

OUI NON

Si oui précisez

7. Pensez-vous que ces denrées sont bien conditionnées ?

OUI NON

8. Quels sont vos lieux d’approvisionnement ?

9. Vérifiez-vous la date de péremption avant toute consommation ?

OUI NON

10. Aviez-vous une idée des risques liés à la consommation des denrées alimentaires importées ?

OUI NON

Si oui précisez

Questionnaire pour agents de contrôle

Questionnaire pour agents de contrôle

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