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7. FACTEURS RELATIFS AU RISQUE DU MARCHÉ

7.2 Rendement des portefeuilles

Lorsque les scénarios économiques ont été élaborés, ils seraient convertis en rendement du portefeuille d’actif supportant le passif.

Ces prévisions tiendraient compte de la stratégie d’investissement de la société, y compris la composition de l’actif selon la catégorie de crédit et l’échéance. Ces hypothèses seraient élaborées en collaboration avec le personnel de la société qui est

chargé des placements et de la gestion de l’appariement. Il convient de noter que ce processus peut être répétitif dans la mesure où les flux monétaires d’une police peuvent dépendre de la conjoncture économique.

Lorsque les scénarios économiques sont établis et que les hypothèses de la stratégie d’investissement sont élaborées, les prévisions du portefeuille d’actif peuvent être établies. Ce processus comprend la prévision et les flux monétaires de l’actif et des polices, les placements et retraits futurs, de même que les transferts aux fonds propres. Il est habituellement prudent d’appliquer cette procédure pour chaque segment de l’actif.

Par exemple, la plupart des sociétés tiennent des comptes distincts pour les fonds propres et le passif des polices. Parmi les autres points importants, mentionnons :

• les produits qui doivent être considérés peuvent faire l’objet d’interfinancement.

Par exemple, une société qui propose des rentes et de l’assurance-vie peut être en mesure d’investir de façon différente que si elle n’offrait que l’un ou l’autre de ces produits;

• les activités d’investissement réelles ne sont peut-être pas aussi précises qu’on pourrait le croire. Bien que la politique énoncée par une société puisse consister à investir pour faire correspondre parfaitement ses flux monétaires, il existe toujours des éléments de non-appariement. Par conséquent, les modèles tiendraient compte de ces imperfections, et des approximations de l’approche peuvent être acceptables si elles ne faussent pas les résultats;

• le rendement porté au crédit des produits serait conforme au processus de répartition de la société.

7.3 Impact des stratégies d’appariement de la société

Les stratégies d’appariement d’une société peuvent influer sensiblement sur le profil de risque du produit. Cet élément serait considéré dans l’exercice d’établissement des coûts.

Si les pratiques de la société consistent à maintenir le taux d’intérêt à un niveau seuil par concordance des flux monétaires ou au moyen d’autres mécanismes, le rendement d’investissement est effectivement immobilisé au taux précisé dans la courbe des contrats à terme au moment où la division des placements rééquilibre le portefeuille. Il en découle que les répercussions de la sensibilité des taux d’intérêt sur le produit seraient modérées.

Par ailleurs, si une société n’applique pas un profil d’appariement rigoureux, la rentabilité future du produit devient très sensible aux mouvements des taux d’intérêt.

7.4 Stratégies d’établissement des taux crédités à revenu fixe

Les stratégies d’établissement de taux d’intérêt crédité sont habituellement classées dans deux grandes catégories :

• des stratégies de crédit en argent neuf;

• des stratégies de crédit fondées sur la moyenne du portefeuille.

Stratégies de crédit en argent neuf

Les stratégies de crédit en argent neuf établissent le taux crédité par rapport aux taux d’intérêt en vigueur. Les CPG et les portefeuilles de rente reposent habituellement sur cette stratégie.

Les taux de crédit à l’égard des produits en argent neuf peuvent habituellement être établis directement à partir de scénarios économiques. Ces taux refléteraient les stratégies énoncées, de même que l’inefficience du processus, notamment les délais dans la modification des taux.

Stratégies de crédit de la moyenne du portefeuille

Les stratégies de crédit de la moyenne du portefeuille établissent le taux crédité par rapport au rendement du portefeuille d’actif qui adosse le produit. Ces stratégies sont le plus souvent adjointes à des produits avec participation.

Les taux de crédit des produits fondés sur la moyenne des portefeuilles sont influencés par les flux monétaires de tous les autres produits du portefeuille, y compris les flux monétaires des nouvelles polices futures. L’interfinancement entre les générations est possible, car les investissements effectués par le passé influent sur les taux crédités à l’égard des ventes futures. En période d’augmentation des taux, les titulaires de police sont habituellement subventionnés à l’aide des nouvelles ventes. Cependant, ces nouvelles ventes peuvent diminuer à mesure que les taux crédités de la société perdent de leur compétitivité en raison des répercussions de l’actif existant du portefeuille. En outre, la société peut être confrontée à un risque de désintermédiation dans la mesure où les titulaires de police sont incités à ne pas renouveler leurs polices pour acheter de nouvelles polices comportant des taux crédités supérieurs. Le contraire s’applique en période de diminution des taux.

Lorsqu’il procède à la modélisation des produits fondés sur la moyenne du portefeuille, l’actuaire tiendrait compte des éléments suivants :

• les répercussions de l’évolution de la courbe de rendement sur le rendement du portefeuille sont contrées par l’existence de polices en vigueur au sein du portefeuille;

• les mouvements des taux crédités sont également contrés, ce qui pourrait faire en sorte que les taux crédités soient sensiblement disproportionnés par rapport aux taux de l’argent neuf offerts sur le marché;

• l’écart entre les taux crédités peut influer sensiblement sur le comportement des titulaires de police. La société peut être obligée de modifier sa stratégie de crédit;

• l’intégration de nouvelles polices dans un portefeuille peut avoir d’importantes répercussions sur les polices en vigueur. Par exemple, si les taux courants sont inférieurs au taux de portefeuille, ce dernier diminuera, faisant éventuellement intervenir les taux d’intérêt au seuil garanti. Ainsi, l’instauration d’un nouveau segment d’actif pourrait être justifié;

• le rendement de l’investissement porté au crédit du produit doit être conforme à la politique d’affectation des revenus de placement de la société;

• la politique comptable peut favoriser la déclaration de l’actif et du rendement à la valeur marchande. L’actuaire déterminerait dans quelle mesure la structure des polices s’en trouve modifiée.

7.5 Placements en actions

Bon nombre de polices d’assurance créditent les titulaires de police du rendement en actions. Ces rendements peuvent découler du rendement réel d’un portefeuille sous-jacent d’actif (par exemple, des fonds distincts et des comptes distincts) ou être liés au rendement d’un indice externe.

L’actuaire tiendrait compte des éléments suivants :

• les répercussions de la gestion active sur les portefeuilles gérés activement;

• la nature des actifs sous-jacents (y compris les positions de trésorerie aux fins de liquidité) et leurs répercussions sur les rendements futurs;

• la volatilité du rendement des actions et ses répercussions sur la police. Par exemple, les polices d’assurance-vie universelle indexées sur actions sont assujetties à une certaine forme d’étalement négatif du coût, car davantage d’unités sont vendues pour acquitter les frais lorsque les marchés sont à la baisse;

• pour les produits indiciels, les répercussions des pratiques réelles de la société pour l’appariement de l’actif et du passif;

• les écarts permanents ou temporaires des dates de placement en actions aux fins de l’impôt.

7.6 Garanties

Sauf dans des situations extrêmes, toutes les fois où une police d’assurance renferme une garantie, elle s’accompagne d’un coût. En voici certains exemples :

• les seuils de taux d’intérêt au titre des comptes de titulaire de police;

• les garanties appliquées à la valeur de rachat d’un portefeuille de placement à l’échéance, au décès ou au versement de la rente;

• les garanties sur le niveau de versement des rentes futures;

• l’indexation des prestations par rapport à une source extérieure, notamment l’IPC;

• les garanties selon lesquelles les primes/charges ne changeront pas, ou que seul un montant prédéterminé variera.

Il conviendrait de noter que certaines garanties ne sont pas expressément apparentes. Un produit à prime nivelée exige l’investissement des flux monétaires positifs aux premières périodes pour couvrir les flux suivants. Si les taux de prime sont garantis, le taux d’actualisation intégré au calcul des primes est effectivement garanti. En outre, en raison de la nature à long terme d’un bon nombre de produits, les garanties perçues comme étant assurément non effective à l’heure actuelle pourraient devenir significatives avec le temps.

Parmi les autres facteurs touchant les garanties, mentionnons qu’il n’existe aucune diversification du risque que l’on trouve habituellement dans la plupart des polices d’assurance. L’assurance repose sur la loi des grands nombres (c.-à-d. que si vous disposez d’un groupe suffisamment grand de polices, les variations statistiques s’annulent). Cependant, dans le cas des garanties économiques, le principe est défavorable, car les polices sont fortement liées les unes aux autres. De vastes analyses de sensibilité seraient exécutées pour tester la gamme de résultats. Selon le niveau d’optionalité et la probabilité qu’une garantie soit effective, il conviendrait de recourir à des techniques plus complexes, notamment la modélisation stochastique.

7.7 Autres points importants

L’actuaire tiendrait également compte des éléments suivants lorsqu’il envisage les facteurs économiques :

• les hypothèses d’inflation tiendraient compte du niveau des taux d’intérêt;

• l’inflation peut varier pour diverses facettes d’un produit. Par exemple, l’inflation portant sur le coût des soins de santé est généralement plus élevée que l’IPC;

• la tarification et les hypothèses économiques d’évaluation seraient uniformes;

• puisque les hypothèses économiques peuvent varier assez rapidement, il est recommandé de bien en comprendre les répercussions et de les examiner périodiquement.

8. COMPORTEMENT DU TITULAIRE DE POLICE ET CARACTÉRISTIQUES DES PRODUITS

Un exercice d’établissement des prix tiendrait compte de toutes les caractéristiques offertes par le produit évalué, notamment une analyse des garanties intégrées proposées au titulaire de police. Le but et l’utilisation prévue de chacune de ces caractéristiques seraient bien compris et considéré.

Afin d’assurer une saine évaluation de l’établissement des coûts, le contrat et les attentes raisonnables du titulaire de police seraient dûment représentés dans le modèle de tarification.

8.1 Garanties contractuelles

Bon nombre de produits sont assortis de garanties minimales qui rassurent le titulaire de police au sujet des coûts futurs et des taux crédités. Bien que ces garanties puissent être

« non effective » au moment de la conception et de la vente du produit, même la plus faible des garanties comporte un coût qui doit être considéré dans l’exercice. L’actuaire examinerait les résultats disponibles pour déterminer la façon dont la garantie influera sur le comportement du titulaire et sur la rentabilité future du produit, L’exercice d’établissement des coûts comprendrait le coût prévu de la garantie. Ce coût peut être calculé à l’aide d’un scénario déterministe et de la probabilité d’occurrence. Pour les garanties plus complexes et(ou) importantes, la modélisation stochastique serait justifiée.

Par exemple, dans le cas de garanties à taux d’intérêt minimales, une analyse stochastique peut permettre à l’actuaire chargé de la tarification de mieux comprendre le profil de

risque. En outre, elle peut fournir une estimation du coût à long terme qui serait prise en compte dans les charges liés aux garanties.

Parmi les exemples de garantie contractuelle, mentionnons :

• les garanties de fonds distincts;

• les garanties de taux d’intérêt minimales;

• les garanties de charges maximales;

• les garanties de non-déchéance d’assurance-vie universelle;

• les primes et charges garanties.

8.2 Pénalités et bonifications

L’existence de pénalités et de bonifications peut influer sur le comportement du titulaire de police, de même que sur les hypothèses de base. Il conviendrait d’en tenir compte lorsque l’on utilise les résultats antérieurs à titre de guide pour les hypothèses, notamment les taux de déchéance. Par exemple, des écarts au titre de la structure des frais de rachat entre les produits peuvent influer sur le comportement des titulaires de police. L’actuaire examinerait les résultats et modifierait les hypothèses en conséquence pour tenir compte de la forme que pourraient prendre les résultats futurs.

Un exercice utile qui permettrait de bien comprendre un changement d’attitude de la part du titulaire de police consiste à examiner le rendement de l’investissement du titulaire aux termes de diverses solutions de rechange. Grâce à des caractéristiques des produits tels le rendement sur les avenants relatifs aux primes et les valeurs de rachat étagées, le titulaire de police peut obtenir un rendement intéressant en versant une autre prime et en maintenant sa police en vigueur pendant une période supplémentaire. Dans ce cas, l’actuaire en tiendrait compte lorsqu’il établit les hypothèses.

Voici quelques exemples de caractéristiques pertinentes des polices :

• les frais de rachat;

• les dates d’échéance des prestations;

• le remboursement des primes;

• les taux d’intérêt et autres bonifications.

8.3 Modifications apportées au régime

La capacité du titulaire de police de modifier son régime peut être considérée comme une option intégrée, dont le coût serait établi. Ces options peuvent être à même le contrat ou elles peuvent être offertes par la société d’assurance à l’extérieur du contrat.

Parmi les options actuellement offertes sur le marché, mentionnons :

• la capacité de transformation dans un type de régime différent (c.-à-d. assurance temporaire à assurance-vie entière);

• la capacité de passer à un type d’assurance différent (p. ex., maladie grave à soins de longue durée);

• la capacité, en vertu d’une police d’assurance-vie universelle, de passer à un modèle de prime de risque différent (p. ex., assurance à coût nivelé par rapport à temporaire renouvelable annuellement (TRA)) ou un autre profil de risque (p. ex.

régime à Protection nivelée ou à MNAR nivelé);

• le choix d’options de participations différentes;

• le choix d’une vaste gamme d’options de placement.

À l’instar des « garanties » antérieures, l’établissement du coût de ces options peut s’effectuer par des moyens déterministes ou stochastiques. Des projections déterministes pourraient être suffisantes pour évaluer les options simples à l’égard desquels le coût ne devrait pas varier sensiblement pour chaque titulaire de police. Cependant, le coût d’options plus complexes et offrant une plus vaste gamme de choix (par exemple, la sélection de placement) pourrait être établi à l’aide de moyens stochastiques pour déterminer les polices touchées et(ou) le montant ou la nature du changement.

Définitions dans le contrat

Les définitions contenues dans le contrat déterminent les prestations à verser. Lorsqu’il conçoit la police, l’actuaire veillerait à ce que le libellé utilisé soit conforme à l’objet de la garantie et qu’il soit considéré dans le coût. Toute ambigüité ou erreur possible d’interprétation qui peut être anticipée serait analysée et corrigée pour empêcher le versement des prestations imprévues. En outre, l’actuaire envisagerait les définitions dans le contexte de l’industrie et prévoir l’éventualité d’antisélection.

Par exemple, si vos exigences de souscription diffèrent de celles du reste de l’industrie, l’actuaire supposerait que le marché en prendra connaissance et réagira en conséquence, ce qui pourrait entraîner un profil de catégorie de risque sensiblement différent de ce que l’actuaire avait prévu.

Il conviendrait de tenir compte d’un autre risque : l’évolution future de l’interprétation d’un contrat. Par exemple, grâce aux progrès de la médecine, la détection de certains malaises pourrait être accélérée, ce qui pourrait influer sur l’incidence future des demandes de règlement pour maladie grave. Bien que l’actuaire ne puisse prédire l’évolution de la technologie dans le domaine médical, il tenterait de fournir les définitions les plus précises possibles dans les contrats pour minimiser le risque, ou le coût du risque accru.

8.4 Comportement – Titulaire de police, distribution, souscription

Dans le cadre d’un exercice d’établissement des coûts, les résultats antérieurs et les meilleures estimations seraient appliqués aux hypothèses qui tiennent compte du comportement du titulaire de police. Dans bien des cas, le comportement en matière de modélisation tiendrait également compte de la possibilité que les intéressés se dissocient de la société (c’est-à-dire qu’ils se limitent à leurs propres intérêts). Les titulaires de police et leurs conseillers agissent d’une manière rationnelle et tirent raisonnablement avantage des caractéristiques mises à leur disposition.

Justification de l’achat

Les ventes de type conceptuel sont de plus en plus importantes sur le marché. L’actuaire de tarification serait au courant de la commercialisation et de la distribution du produit soumis à l’exercice d’établissement des coûts, et il apporterait les modifications qui s’imposent aux hypothèses pertinentes. Il tiendrait entre autres compte de l’évolution continue des « concepts de commercialisation » et de ses répercussions sur la conception et le coût d’un produit ou la caractéristique d’un produit.

Par exemple, si un titulaire de police achète un contrat de rente pour financer les primes à l’égard d’une police d’assurance-vie, on s’attendrait à ce que les taux de déchéance liés à la mortalité et à l’assurance soient inférieurs à ce que l’on pourrait normalement supposer dans le cadre d’une vente indépendante.

En outre, l’actuaire tiendrait compte de l’incidence possible de l’instauration de nouveaux concepts ou du retrait de concepts existants sur les hypothèses de l’actuaire. Par exemple, l’instauration d’un marché des règlements d’assurance-vie (règlements viatiques) au Canada pourrait se traduire par d’importants changements au chapitre des taux de déchéance des polices. De même, les changements futurs apportés aux lois fiscales pourraient modifier la viabilité de certains concepts de vente et entraîner des changements importants au plan du comportement des titulaires de police.

8.5 Souplesse des primes, des dépôts et des versements

La souplesse croissante des nouvelles options de dépôt et de versement permet aux détenteurs de police de gérer plus facilement leurs flux monétaires avec l’assureur.

Un exercice d’établissement des coûts comprendrait des hypothèses qui tiennent compte des options offertes aux titulaires de police. La conception du régime, la commercialisation et les résultats peuvent servir à fournir les meilleures estimations de comportement anticipé.

Les choix qui s’offrent aux titulaires de police comprennent :

• la persistance des primes (par exemple, des dépôts par montant forfaitaire, des primes annuelles ou mensuelles, des arrêts de versement de prime);

• la gestion des valeurs du compte au moyen de retraits ou de prêts sur police;

• le choix d’une prestation au décès ou à l’invalidité.

L’actuaire ferait preuve de prudence lorsqu’il élabore ses hypothèses. Lorsqu’il simplifie des hypothèses pour grouper des données, il veillerait à ce que les résultats demeurent représentatifs de ce qu’ils auraient été si des données dossier par dossier avaient été utilisées. Par exemple, la supposition selon laquelle les titulaires réduiraient leurs primes de 5 % au cours d’une année pourrait entraîner un résultat sensiblement différent que si l’on supposait que 5 % des titulaires de police cesseront de verser des primes.

8.6 Comportement des conseillers

Les conseillers sont généralement bien au courant des choix offerts et sont bien informés quant aux caractéristiques des polices. Les possibilités de maximiser la rémunération et d’exploiter des écarts de souscription constitueraient un facteur important à considérer dans le cadre des exercices de conception des produits et d’établissement des coûts.

Les répercussions de la rémunération sur le comportement des conseillers seraient prises en compte dans la détermination des hypothèses de base et de la composition des produits utilisés dans le cadre de l’exercice d’établissement des coûts.

Quelques éléments de rémunération peuvent influer sur les hypothèses, notamment :

• les niveaux de provisionnement des polices;

• la transformation des polices;

• le remplacement des polices;

• la sélection du régime.

Les critères de souscription de la société par rapport à ceux de ses principaux concurrents influent également sur le comportement du personnel chargé de la distribution. Si une société applique des exigences de souscription plus libérales, elle prévoirait un niveau d’antisélection, au moment où l’on s’apercevra de la possibilité de placer plus facilement

Les critères de souscription de la société par rapport à ceux de ses principaux concurrents influent également sur le comportement du personnel chargé de la distribution. Si une société applique des exigences de souscription plus libérales, elle prévoirait un niveau d’antisélection, au moment où l’on s’apercevra de la possibilité de placer plus facilement

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