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Modélisation de la diversité des activités agricoles et de

leurs évolutions au sein de territoires à enjeux sur la

ressource en eau Modélisation des impacts de l’agriculture sur la qualité

des ressources en eau Simulation de réorganisations spatiales au sein

de territoires Méthodes typologiques à partir

d’enquêtes ou de bases de données statistiques

Méthodes de fouille de données spatio-temporelles

SIG, analyse spatiale

Suivi de sources et de parcelles (par bougies poreuses)

Test de modèles (STICS, Agriflux) Contribution à des chaînes de

modélisation (couplage de modèles) Méthodes de prospective Modélisation statistique GSR : Groupe Stratégique de Recherche AQR : Assurance Qualité dans la Recherche MOO : Main d’Oeuvre Accasionnelle IR : Ingénieur de Recherche TR : Technicien de Recherche EC : Enseignant Chercheur

IE : Ingénieur d’étude AJT : Adjoin Technique CPA : Cessation Progressive d’Activité

DR : Directeur de Recherche AGT : Agent Technique CRAL : Chambre Régionale d’Agriculture de Lorraine

Figure n°1 : L’organisation de la recherche au sein de la station - Source : Mignolet, 2006 Mirecourt_présentation_14_02_2006.ppt

À noter également que depuis le 1er juillet 2006, l’INRA héberge le siège de la maison d’édition Quae, constituée sous la forme d’un groupement d’intérêt économique. Elle produit et diffuse les titres issus des recherches de l’INRA, du CIRAD, du CEMAGREF et de l’Ifremer. Elle compte un millier de titres à son catalogue.

B – Présentation de la station de Mirecourt.

La station de Recherche de Mirecourt (Annexe 3), qui dépend du centre de Nancy est composée de deux unités :

Une Unité propre de Recherche ;

Une installation Expérimentale, qui appartient au Département Sciences pour l’Action et le Développement.

1 – L’organisation au sein de la station.

Celle-ci est présentée en contre page avec la Figure n°1. 2 – Les enjeux du projet scientifique.

Ces enjeux sont inscrits dans les réflexions menées dans le Département de Recherche SAD pour analyser et favoriser l’innovation technique dans des systèmes de production durables au sein de territoires ruraux.

Mission : développer des outils et démarches pour accompagner les transformations de l’agriculture vers une meilleure durabilité environnementale, à différents niveaux de gestion agricole.

Pour résumer, le projet est un dispositif qui articule (i) la conception de systèmes de production innovants répondant à des objectifs de préservation des ressources naturelles, et (ii) l’exploration de la diversité des dynamiques agricoles et leur organisation spatiale à l’échelle de territoires à enjeux environnementaux.

3 – La structuration du projet scientifique. Les objets d’étude :

Les systèmes techniques agricoles ; Les exploitations agricoles ;

Les territoires. Axes :

Axe 1 : Conception de systèmes techniques agricoles innovants en région de polyculture élevage ;

Axe 2 : Dynamiques de l’organisation spatiale des activités agricoles dans des territoires à enjeux environnementaux.

Le stage que j’ai réalisé à la station de Mirecourt durant six mois (du 5 février au 5 août) s’inscrit dans l’Axe 2 de recherche de la station, présenté en contre page, Figure n°2.

Résumé du projet : Conception d’Observatoires de Pratiques Territorialisés

Piloté par Marc Benoît (INRA/SAD/Mirecourt) assisté par Michel Passouant (CIRAD/TERA/UMR Tetis)

Très peu de travaux prennent en charge une réflexion sur une construction de dispositifs d’observation des pratiques agricoles replacées au niveau du territoire. Les dispositifs actuels sont soit une entrée thématique, donc partielle, appliquée à de vastes territoires1, soit des pratiques temporaires d’observation liées à des programmes de recherche-intervention1.

L’originalité principale du projet vient de sa vision intégrative du concept d’observatoire en prenant en compte :

1. Les attentes et les besoins des acteurs, dans une démarche de construction sociale de l’observatoire : compréhension de la perception, représentation formelle de cette perception, validation de la représentation.

2. Les pratiques agricoles en les resituant au sein d’un territoire et en relation avec les enjeux et les rôles des acteurs.

3. L’opérationnalisation de l’observatoire avec d’une part son institutionnalisation (qui le gère, qui l’anime, qui y accède, etc.) et son instrumentation sous forme d’une application informatique configurée à la suite du processus de co-construction, avec un système de collecte, de construction et de diffusion d’information.

4. Le recours à un formalisme unifié pour exprimer les représentations produites à chaque étape et pour assurer la continuité du processus de conception et de mise en place.

5. L’ouverture vers des échanges entre les observatoires et vers le changement de niveau d’organisation des pratiques agricoles.

Trois questions essentielles seront traitées dans ce projet :

- Comment concevoir un observatoire, pour qui, pourquoi et comment ? - Quels sont les domaines d’intérêt pour une telle mise en observation ? - Comment l’organiser pour la rendre opérationnelle ?

Pour aborder ces questions, cinq domaines d’investigation constituent le cœur de notre projet :

- Comment caractériser les pratiques au sein de la diversité des systèmes de production constitutifs du tissu des exploitations d’un territoire déterminé ?

- Quelle analyse des besoins des acteurs gérant les enjeux de ce territoire, quelle structuration de l’observatoire ? Et donc, quel type d’information recueillir et avec quelle procédure de traitement et de mise en circulation entre les acteurs ?

- Quels enjeux privilégier (environnement, emploi, bien-être animal…et humain, qualité des produits)…maintenant en s’assurant d’une certaine robustesse des dispositifs d’acquisition des informations (« résister aux modes ») ?

- Quels choix des niveaux d’observations et quelles relations entre les niveaux (sémantiques et géographiques) construire au sein du système d’information?

- Quelles insertions dans les organisations et leurs conséquences sur les processus de négociation ? Nous développerons nos réflexions sur des territoires, du Nord comme du Sud, où ces enjeux mobilisent des partenaires du Développement. Ces partenaires sont, pour la plupart, associés dans un programme retenu par l’ADAR : « Observatoire territorial des pratiques agricoles et des systèmes de production » animé par Jean-Marie Vinatier (CRA Rhône-Alpes). Dans le cadre de ce projet ADAR, concevoir un observatoire revient à se positionner dans une « recherche vers l’action » et implique de construire des partenariats et les conditions de leur pérennité, mais aussi à définir les objectifs et conditions d’usage des informations.

Ce projet regroupe un noyau d’agronomes et de chercheurs en systèmes de l’information appuyé sur des compétences thématiques d’économistes, de psychologues-cogniticiens, d’écologues, de géographes, et d’informaticiens.

Pour nous, sa justification passe essentiellement par une capitalisation scientifique innovante entre 10 organismes de recherche et d’enseignement supérieur (Cemagref, CNRS, CIRAD, INRA, INRIA, IRD, Universités de Nancy et Rennes, ENGREF et ENGEES) et par une définition de 5 parcours post-doctoraux cruciaux pour l’avenir des recherches sur le développement durable.

Source : Programme Fédérateur « Agriculture et Développement Durable » - Appel à propositions de recherche 2005 – Projet complet version 2

II– Contexte et problématique du stage. A – Contexte du stage.

1 – Structures et projets impliqués.

Le stage, présenté à travers ce rapport s’inscrit dans un projet de recherche mené par l’INRA, intitulé Conception d’Observatoires de Pratiques Territorialisées (cf résumé en contre page). Evalué et financé par l’Agence Nationale de la Recherche (ANR), COPT s’insère dans un de ses programmes de recherche, intitulé Agriculture et Développement Durable (ADD). En terme d’objectif, COPT s’attache à étudier les relations entre territoire et pratiques agricoles et vise à comprendre comment les observatoires existants ont été mis en place, pourquoi et comment ils travaillent.

COPT s’appuie également sur le projet APCA-ICTA, nommé Observatoires des Territoires et des Pratiques Agricoles (OTPA), projet mené par les chambres d’Agricultures et soutenu par l’ADAR.

Pour résumer et simplifier le contexte, il faut simplement comprendre que l’INRA et les Chambres d’Agriculture travaillent en partenariat sur la thématique des pratiques agricoles et qu’ils associent leurs projets respectifs, à savoir COPT et OTPA.

Ainsi, les collectifs des deux projets se retrouvent régulièrement pour échanger leurs expériences respectives et leurs interrogations.

2 – Missions sur le terrain.

Concrètement, la mission consiste à expérimenter la construction

d’observatoires de pratiques agricoles sur des territoires définis et particuliers. Ainsi à travers les projets OTPA et COPT différents chantiers ont été réalisés. Les chantiers en relation avec OTPA sont appelés chantiers A, tandis que ceux qui appartiennent au projet COPT sont appelés chantiers B.

Par conséquent, avec l’expérience acquise depuis plusieurs années, les différents experts (INRA, CNRS, IRD, CIRAD, Chambres d’Agricultures, Universités…), impliqués par les deux projets, ont essayé de modéliser la conception d’observatoires des pratiques agricoles. Ils sont ainsi parvenus à mettre au point une spirale qui résument les grandes étapes de conception d’un observatoire (Figure n°3).

Equipe

Correspondant principal

Titre ou grade / discipline

Etablissement/département/ unité Directeur d’unité

2 Michel

PASSOUANT

CIRAD-Chercheur

informatique Cemagref-CIRAD-engref/ UMR tetis

Pascal KOSUTH

3 Claudine THENAIL CR / agronomie INRA/SAD/Armorique Jacques BAUDRY

4 Laurence

HUBERT-MOY MdeC/ géographie

Université Rennes 2 / UMR CNRS 6554 / LETG

Vincent DUBREUIL

5 Pierre DUPRAZ CR/ économie INRA/ SAE²/ ESR Rennes Frédéric CHANTREUIL

6 Christian BRASSAC MdeC/ Psychologie Université Nancy 2/ LabPsyLor/équipe CODISANT

André FLIELLER

7 Florence LE BER E-C/ informatique ENGEES / CEVH Michèle TREMOLIERES

8 Jean-François

MARI Pr / informatique INRIA/ LORIA/UMR-CNRS 7503

Hélène KIRCHNER 9 Christian BOCKSTALLER IR / agronomie INRA/Environnement et Agronomie / UMR INPL-ENSAIA-INRA Sylvain PLANTUREUX

10 Olivier BARRIERE CR/ juriste et anthropologue IRD/ Milieux et Environnement/ US 166-coordination Roselt

Jean-Marc D’HERBES

11 Dominique KING DR/ science du sol INRA/Environnement et Agronomie/ UR Science du sol

Guy RICHARD

12 Christine LE BAS IR/ science du sol INRA/ Environnement et Agronomie/ Infosol

Dominique ARROUAYS

13 Pierre RUELLE IGREF Cemagref/UMR G-Eau Patrice GARIN

Tableau n°1 : Présentation des treize équipes du projet COPT.

Source : Programme Fédérateur « Agriculture et Développement Durable » - Appel à propositions de recherche 2005 – Projet complet version 2

L’objectif de cette modélisation est de pouvoir décrire la marche à suivre en matière d’observatoire des pratiques agricoles pour aider les groupes d’acteurs qui voudraient construire de telles structures dans l’avenir.

A titre d’exemple et suite à la réunion des 28 et 29 mars 2006 qui rassemblait les différentes équipes des projets, une stagiaire a été engagée dans le but de réaliser une typologie des observatoires. Travail dont s’est acquittée Emilie DUBOIS, étudiante à l’Université de Metz.

3 – Avancements du projet COPT.

Le projet COPT n’en est actuellement qu’à son commencement. D’autres étapes sont nécessaires pour finaliser le projet et aboutir à une méthode issue de l’expérience des observatoires existants. Ces étapes sont les suivantes :

WP 1 : Identification des réussites, échecs récents et des lacunes dans les observatoires de pratiques ;

WP 2 : Conception d’un schéma type d’observatoire et utilisation du langage UML ;

WP 3 : Mettre en œuvre le schéma type aux observatoires, et analyse du contenu des observatoires sur les chantiers A (chantiers du projet ADAR) ; WP 4 : Elaboration de la méthode de conception d’observatoire et validation sur les chantiers B ;

WP 5 : Finaliser la proposition méthodologique de COPT et la diffuser aux plans nationaux et internationaux.

Le travail du WP1, auquel participe mon stage, est couvert par plusieurs équipes : l’INRA-SAD Mirecourt, l’UMR TETIS (Cemagref, CIRAD, Engref), l’INRA-SAD Armorique, l’US IRD 166 « Désertification », l’UR E&A Science du Sol Orléans et l’US E&A InfoSol UMR G-EAU.

Pour réaliser ces différentes étapes, treize équipes aux approches très diversifiées ont été réunies, la première étant celle de l’INRA de Mirecourt. Ces treize équipes sont présentées en contre page, Tableau n°1.

Ce collectif diversifié contribue à donner une approche très complète de la problématique du projet. Il est en effet très rare qu’autant de chercheurs de centres institutionnels et d’horizons si divers se retrouvent à travailler ensemble sur un projet commun.

Cela a sans aucun doute contribué au succès du projet lors de son montage financier.

4 – Le budget du projet COPT.

Le projet COPT bénéficie d’un financement important de l’Agence Nationale de la Recherche. Celui-ci s’élève en effet à presque 600 000 € HT.

Pourquoi ce projet là est-il aussi bien financé ? Parce qu’il s’agit d’un projet novateur par son approche des pratiques sous l’entrée « observatoires », et parce qu’il fédère des chercheurs d’horizons très divers. Il a donc l’approche transversale que recherchait l’ANR, bien différente des approches thématiques habituelles des autres projets.

C’est pourquoi le projet a obtenu une évaluation de l’ANR aussi positive. Le projet a même bénéficié d’un supplément – non indiqué ici – pour organiser les rencontres entre les chercheurs du projet COPT et les développeurs du projet OTPA.

Les personnels temporaires indiqués dans le tableau en contre page sont des post-doctorants et des stagiaires, dont des stagiaires chargés d’enquêter les acteurs du Développement et des agriculteurs sur les chantiers de recherche.

B – Objectifs et problématique du stage. 1 – Objectifs du stage.

Les objectifs du stage étaient doubles. Ainsi, dans un premier temps, la tâche consistait à réaliser une synthèse des opérations Ferti-Mieux et de la proposer aux membres du Corpen (service de l’ancien MEDD). En effet ces derniers, souhaiteraient réactualiser le catalogue des bonnes pratiques agricoles en s’appuyant sur cette synthèse. Une restitution est prévue devant les membres du Corpen en octobre 2008.

Ensuite le second objectif, lié au projet COPT, était de lancer la création d’un observatoire sur le bassin versant du Madon (cours d’eau qui traverse la ville et le finage de Mirecourt) où il est prévu également la création d’une opération Agri-Mieux (opération de conseil auprès des agriculteurs). Cependant, suite à une réunion rassemblant l’INRA (Marc BENOIT et Jean-Patrick VERRON), la chambre d’agriculture de Meurthe-et-Moselle (Dominique LABAYE) et la chambre d’agriculture des Vosges (Annie KUNG-BENOIT) ce projet a finalement évolué. Ainsi au lieu d’envisager la création d’un observatoire sur la future opération Agri-Mieux du Madon, il est paru plus intéressant, après concertation de créer un observatoire des opérations Agri-Mieux de Lorraine. Par conséquent, au final, l’objectif du stage était de commencer à étudier la possibilité de créer l’observatoire Agri-Mieux de Lorraine et d’envisager l’élaboration de son cahier des charges.

2 – Problématique du stage.

La problématique du stage découle des objectifs définis au départ et qui sont rappelons le :

1) Faire la synthèse des anciennes opérations Ferti-Mieux ;

2) Lancer le projet de création de l’observatoire des opérations Agri-Mieux de Lorraine.

Même si les deux objectifs découlent de projets différents à savoir un projet mené par le Corpen pour l’objectif 1) et le projet COPT mené par l’INRA pour l’objectif 2), une problématique commune a été développée. En effet le projet COPT pourrait trouver des avantages dans la synthèse des opérations Ferti-Mieux et s’y appuyer pour mener à bien le projet sur l’observatoire Agri-Mieux.

C’est pourquoi la problématique du stage, qui m’a servi de fil conducteur, était

de savoir si, l’expérience accumulée par les anciennes opérations Ferti-Mieux,

pouvait être utile à la construction d’un observatoire des nouvelles opérations Agri-Mieux conduites en Lorraine ?

3 – Méthodes de travail.

a – Synthèse des opérations Ferti-Mieux.

Pour effectuer la synthèse sur les opérations Ferti-Mieux, deux phases ont été nécessaires. Dans un premier temps, une étude bibliographique (environ deux mois) a été réalisée afin de réunir toute l’information pertinente sur Ferti-Mieux.

Ensuite l’information a été rassemblée sous forme d’un tableau très complet, autrement dit, nous avons construit une base de données Excel à partir de laquelle nous pouvions faire une synthèse. Pour alimenter le tableau, nous avons privilégié plusieurs sources d’informations :

Internet ;

Fiches d’évaluation des opérations Ferti-Mieux ;

Rapports divers de l’ANDA et des chambres d’agriculture ; Synthèse de Michel Sebillotte.

Dans un second temps et parallèlement à la recherche bibliographique, nous avons aussi recherché de l’information auprès des anciens animateurs Ferti-Mieux, information très importante puisqu’elle découle du vécu des animateurs et de leur expérience du terrain. Pour ce faire il a fallu réactualiser les coordonnées des anciens animateurs Ferti-Mieux qui ont été soigneusement conservées. Ceci a nécessité plus d’une trentaine d’appels téléphoniques auprès des Chambres d’Agriculture de France.

Une fois ces coordonnées remises à jour, nous avons pu envoyer un petit questionnaire et un tableau relatif à l’opération Ferti-Mieux correspondante, à tous les animateurs encore en action, ou par défaut aux chambres d’agricultures. Environ 50 mails ont été envoyés, à travers lesquels plusieurs questions été posées. Ces questions portaient sur la naissance de l’opération, les dates de labellisations, les indicateurs et méthodes employées et enfin les résultats obtenus. En résumé cette cinquantaine de mails envoyés dans la première quinzaine du mois d’avril, constitue en réalité le premier jet de questionnaires transmis aux animateurs. Pour ce premier jet, le questionnaire sera considéré comme étant le questionnaire A (Annexe 6).

Sur les cinquante mails envoyés, seuls 19 questionnaires A ont été retournés à ce jour. Ces réponses ont permis de compléter une première fois la synthèse sur les

opérations Ferti-Mieux et également de connaître les 1ers éléments de réussite et

d’échecs pour quelques opérations.

Le 2 mai, lors d’une réunion du CORPEN, à l’ancien Ministère de l’Ecologie et du Développement Durable, j’ai présenté un diaporama sur les opérations Ferti-Mieux que j’ai construit grâce aux réponses récoltées par le premier questionnaire. Suite à cet exposé, les experts du CORPEN, m’ont demandé de nouvelles précisions et de nouvelles informations. Par conséquent questionnaire B plus complet et plus exigeant (Annexe 7) a été construit. Ce dernier a été envoyé à tous les anciens animateurs de Ferti-Mieux. Cela a représenté un envoi de 58 nouveaux mails entre fin mai et début juin. A ce jour, 22 questionnaires B ont été retournés et ont permit d’élargir les champs de la synthèse.

Les résultats concernant la création du tableau et de l’élaboration de la synthèse seront traités et présentés plus en détail dans le second chapitre.

b – Observatoire des opérations Agri-Mieux.

En ce qui concerne le projet d’observatoire, nous avons procédé de façon progressive comme dans tout projet novateur. Ainsi nous avons dans un premier temps tenter de réaliser un prototype d’observatoire des opérations Agri-Mieux de Lorraine, puis dans un second temps nous avons présenter le projet aux professionnels concernés afin d’en connaître leur sentiments et leur recommandations. Les premières conclusions sur ce projet seront traitées dans le troisième et dernier chapitre.

CHAPITRE 2 :

Les opérations Ferti-Mieux :

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