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Résultats des paramètres physico-chimiques

2.5 RESULTAT ET DISCUSSION

2.4.2 Méthodes

2.5.1.2 Résultats des paramètres physico-chimiques

Le pH

Figure 4 : Valeur du pH des différents échantillons d’eau prélevée Source : Résultat des travaux, 2015

La figure 4 ci-dessus montre que toutes les valeurs de pH ne sont pas conformes à la norme pour l’eau de boisson qui se situe 6,5 et 8,5.

Température

Figure 5 : Température des eaux prélevées dans les puits Source : Résultat des travaux, 2015

La figure 5 ci-dessus montre que les températures de l’eau prélevée dans les quatre (4) localités respectent les normes recommandées par l’OMS.

Conductivité

Figure 6 : Conductivité des eaux prélevées au niveau des puits Source : Résultats des travaux, 2015

L’analyse de ce graphe (6) montre que 100% des eaux prélevées dans les différentes localités respectent la norme recommandée par l’OMS qui est de 2000 µs/cm. Les valeurs se situent entre 117 et 597µs/cm.

TDS

Figure 7 : TDS des eaux prélevées au niveau des puits Source : Résultat des travaux, 2015

La figure 7 présente les valeurs de TDS des eaux prélevées au niveau des puits. Elles varient de 117 à 597.

Couleur

Figure 8: Couleur des eaux de puits prélevées Source : Résultats des travaux, 2015

La figure 8 ci-dessus montre la variation de la couleur au niveau des échantillons. Les valeurs obtenues au niveau des puits sont conformes à la norme qui est 15 UC.

0

Chlorures

Figure 9: Taux de chlorure dans les eaux analysées Source : résultat des travaux, 2015

Les taux de chlorures obtenus dans les eaux prélevées au niveau des localités varient entre 18,3 mg/L et 54,9 mg/L. Ces valeurs obtenues étant inférieures à 250 mg/L respectent donc la norme recommandée par l’OMS. (Figure 9).

Bicarbonates

Figure 10: Concentration en bicarbonates des eaux prélevées Source : Résultat des travaux, 2015

La figure 10 ci-dessus traduit le taux de bicarbonate contenu dans les échantillons d’eau

Calcium

Figure 11: Taux de calcium dans les eaux prélevées Source : Résultat des travaux, 2015

La figure 11 présente les concentrations de l’eau en calcium dans les différentes localités. Elles oscillent entre 8,01 mg/L et 36,87 mg/L. Ces valeurs respectent la norme requise par l’OMS qui est 100 mg/L.

Magnésium

Figure 12: Concentration en magnésium des eaux prélevées

Source : Résultats des travaux, 2015

La figure 12 illustre le taux de magnésium contenu dans les eaux prélevées dans les localités. Elle varie de 2,90 à 7,78 mg /L. La norme admise par l’OSM étant de 50 mg/L, ces valeurs obtenues sont donc inférieures à la norme prescrite par l’OMS.

0

Ammonium

Figure 13: Concentration en Ammonium des échantillons prélevés Source : Résultat des travaux, 2015

La figure 13 ci-dessus montre les concentrations en ammonium des eaux des différentes localités. Ces eaux ont une concentration en ammonium en-dessous de la norme recommandée par l’OMS qui est 0,5 mg/l. Les concentrations varient de 00 à 0,0258 mg/l.

Nitrates

Figure 14: Concentration en nitrates des eaux prélevées Source : Résultat des travaux, 2015

La figure 14 ci-dessus montre le taux de nitrate contenu dans les eaux analysées. Elles se situent entre 40,92 mg/L et 198 mg/L. Toutes les valeurs sont supérieures à la norme prescrite par l’OMS qui est 50 mg/L sauf celle de l’eau prélevée à Kpota Hounyèmè qui est égale à 40,92 mg/L.

Figure 15: Variation de la concentration en nitrites des «échantillons d’eaux analysés Source : Résultat des travaux, 2015

Les différentes concentrations en nitrite des échantillons d’eaux analysés sont représentées par la figure 15 ci-dessus. Les valeurs obtenues sont inférieures à la norme fixée par l’OMS qui est 0,1 mg/L.

Fer total

Figure 16: Concentration en Fer des eaux prélevées Source : Résultats des travaux 2015

La figure 16 illustre la concentration en fer des eaux prélevées. Toutes les valeurs obtenues excepté celle de Kpota Lossouhoué (0,36 mg/L) sont inférieures à la norme recommandée par l’OMS qui est 0,3 mg/L.

Iodure

Figure 17: Concentration en iodure des eaux prélevées Source : Résultat des travaux, 2015

La figure 17 montre les valeurs d’iodures obtenues dans les échantillons d’eau de puits.

Elles varient entre 0,05 mg/L et 0,07 mg/L.

Fluorures

Figure 18: Concentration en ions fluorures Source : Résultat des travaux, 2015

Les eaux prélevées sont pauvres en fluor. Les concentrations en fluorures varient de 0,01 mg/L à 0,10 mg/L. Elles sont donc inférieures à la norme permise par l’OMS qui est 1,5 mg/L. (Figure 18).

Figure 19: Concentration en ions sulfates Source : Résultat des travaux ; 2015

La figure 19 montre le taux de sulfate dans les différents échantillons d’eau prélevés.

Il varie de 0 mg/L à 48 mg/L. Ces valeurs sont inférieures à la norme recommandée par l’OMS qui est 400 mg/L.

Phosphates

Figure 20: Concentration en ions phosphates dans les eaux Source : Résultat des travaux, 2015

La figure 20 montre les valeurs de phosphate des différents échantillons d’eau. Elles varient de 0,32 mg/L à 0,72 mg/L. Aucune norme n’a été recommandée par l’OMS.

2.5.1.3 Résultat des analyses bactériologiques

Coliformes totaux

Figure 21: Taux de coliforme totaux dans les échantillons d’eau Source : Résultat des travaux, 2015

La figure 21 ci-dessus présente le nombre de coliformes totaux obtenus dans les échantillons d’eau prélevés dans les différentes localités. Toutes les eaux sont contaminées par les coliformes totaux. Il varie entre 556 UFC et 1720 UFC. Ces valeurs sont en-dessus de la norme requise par l’OMS qui est 10/100 ml. Ce qui prouve que ces eaux contiennent donc des germes d’origine fécale.

Coliformes fécaux

Figure 22 : Taux de coliformes fécaux dans les eaux prélevées Source : Résultat des travaux, 2015

La figure 22 montre le nombre de coliformes fécaux dans les échantillons. La plus forte valeur est enregistrée à Dodomè Fléssa (16 UFC) et la plus faible est enregistrée à Kpota

0

Lossouhoué (640 UFC). Aucune de ces valeurs ne respectent la norme recommandée par l’OMS. Ces eaux sont contaminées par des matières fécales.

Streptocoques fécaux

Figure 23: Taux de coliformes totaux dans les eaux échantillonnées Source : Résultat des travaux, 2015

Les valeurs de streptocoques fécaux sont supérieures à la norme recommandée par l’OMS qui est 0/100 ml. Elles se situent entre 144 UFC et 640 UFC. Les eaux de puits de ces localités sont contaminées par des streptocoques fécaux. (Figure 23).

2.5.2 DISCUSSION

Il ressort des résultats des enquêtes que la majorité des ménages sont conscients que l’eau de puits peut contenir des microbes qui peuvent les rendre malade. Sachant les risques liés à la consommation d’une telle eau, ces populations n’ont le choix que de la consommer car l’eau de puits est celle dont elles disposent sans le moindre coût, la plus proche et accessible car les forages sont à une longue distance des ménages. La population affirme que l’eau de la SONEB est très couteuse et qu’elle ne dispose pas de moyens pour s’en approvisionner. On constate aussi que les puits ne sont pas couverts et que des germes pathogènes peuvent y pénétrer facilement. L’hygiène autour de ces puits n’est pas bonne, on note l’absence d’un assainissement adéquat et la majorité des ménages ne traite pas l’eau de puits avant son utilisation. La population est donc confrontée à de nombreuses maladies.

Les analyses physico-chimiques montrent que la valeur du pH varie de 5,514 à 6,270.

Le pH (potentiel hydrogène) représente l’équilibre entre acidité et alcalinité sur une échelle de 0 à 14, la valeur 7 étant celle d’un pH neutre. Les valeurs trouvées sont inférieures à la norme

1000

recommandée par l’OMS qui est comprise entre 6,5 et 8,5. L’eau de ces puits est donc acide.

Les valeurs observées sont donc similaires à celles obtenues par TADJOU (2010) dans la commune de Kétou qui se situe entre 5,5 et 6,7 et sont proche de celle d’OUNIRY qui a trouvé en 2007 au Mali un pH qui varie de 4,59 à 7,02.

La conductivité et la couleur sont considérées comme étant des paramètres importants de la qualité de l’eau. Les échantillons d’eau prélevés présentent une coloration normale qui respecte la norme requise par l’OMS qui est de 15 UC. Pour la conductivité les valeurs varient de 117 et 597 µs/cm, donc sont inférieures à la valeur recommandée par l’OMS qui est de 2000 UC. La température est normale pour les différents échantillons prélevés, elle varie de 25 à 25,1°C.

Les analyses physico-chimiques révèlent également que toutes les concentrations obtenues pour le nitrate contenu dans les eaux prélevées dans les différentes localités à l’exception de celle de Kpota Hounyèmè (40,92 mg/L) sont supérieures à la norme requise par l’OMS qui est 50 mg/L. La plus forte valeur est obtenue à Dodomè Tota (198 mg/L). Ces valeurs obtenues sont légèrement supérieures à celles obtenues par DOVONOU (2001) et qui est comprise entre 23,76 et 139,04 mg/L dans la commune de Malanville et celles de CHOUTI (2007) qui varient entre 34 et 129 mg/L dans la commune de Porto-Novo. Les nitrates sont apportés de manière synthétique par les engrais (Chapman et al, 1996). Ils sont l’une des causes de la dégradation de l'eau. La présence de nitrates dans l’eau de consommation est principalement attribuable aux activités humaines ou industrielles. La teneur en nitrates et nitrites des puits, les plus élevées se retrouvent généralement dans les régions où les activités agricoles sont plus intenses. Les nitrates sont très solubles dans l’eau;

ils migrent donc aisément dans les eaux souterraines. (Santé CANADA, 1992).

Il ressort aussi que les concentrations en nitrite des échantillons d’eaux analysés sont inférieures à la norme fixée par l’OMS (0,1 mg/L) avec une moyenne de -0,0132 mg/L largement inférieure à celle trouvée par HOUENOU en 2011 (0,036 mg/L). Les nitrites dans l'organisme se fixent sur l'hémoglobine à la place de l’oxygène pour former la

"méthémoglobine" et provoquer un mauvais transfert de l'oxygène vers les cellules. Cette pathologie peut affecter les nourrissons de moins de 6 mois. (GHAZALI D, 2013).

Les teneurs en magnésium, calcium et ammonium sont comprises entre 2,91mg/L et 15,56 mg/L pour le chlorure ; 8,01 mg/L et 36,87 mg/L pour le calcium ; 0 mg/L et 0,025 mg/L pour l’ammonium. Ces valeurs sont supérieures aux résultats trouvés par BLALOGOE

en 2002 dans la commune de Glazoué. Toutes ces valeurs sont conformes aux normes pour une eau de consommation.

Les teneurs en chlorures varient de 30,17 mg/L à 71 mg/L et sont légèrement inférieures à celles obtenues par BLALOGOE en 2002 dans la commune de Glazoué. Elles respectent la norme recommandée par l’OMS qui est 100mg/L.

Les teneurs en fluorure ; en iodure ; en sulfate et en phosphate dans les différents échantillons d’eau ont des valeurs qui varient de 0,01 mg/L à 0,1 mg/L pour le fluorure ; de 0,05 mg/L à 0,07 mg/L pour l’iodure ; de 0 à 48 mg/L pour le sulfate et de 0,32 à 0.72 mg/L pour le phosphate. Ces valeurs respectent les normes fixées par l’OMS qui sont de 1,5 mg/L pour le fluorure ; de 400 mg/L pour le sulfate. L’iodure n’a pas une valeur requise par l’OMS.

Toutes les valeurs obtenues, excepté celle de Kpota Lossouhoué (0,36 mg/L) sont inférieures à la norme recommandée par l’OMS qui est 0,3 mg/L pour la teneur en fer total.

Les résultats des analyses bactériologiques révèlent que toutes les eaux de puits prélevées sont contaminées. Les résultats montrent clairement la présence des germes nuisibles à la santé dans les eaux de puits consommées dans les différentes localités. Les normes de qualité pour les eaux de consommation humaine prescrite par l’OMS requièrent 0/100 ml d’eau pour les coliformes fécaux, les streptocoques fécaux et de 10/100 ml pour les coliformes totaux.

L’analyse microbiologique de l’eau des puits a montré que tous les puits ont des teneurs en coliformes totaux comprises entre 556/100 ml d’eau et 1720/100 ml d’eau. La présence de ces coliformes totaux dans les eaux des puits signifierait une dégradation de la qualité bactérienne de l’eau et une vulnérabilité des puits à l’intrusion de matières extérieures. Au regard de ces observations, cette contamination de l’eau des puits pourrait être due soit à l’absence de couvercles ou la présence de couvercles rudimentaires. L’analyse a aussi révélé que tous les puits ont des teneurs en coliformes fécaux comprises entre 16/100 ml d’eau et 640/100 ml d’eau. Enfin, l’analyse a révélé que tous les puits ont des teneurs en streptocoques fécaux comprises entre 144/100 ml d’eau et 600/100 ml d’eau. Ces valeurs sont similaires à celles de SOSSAH en 2011 qui a analysé les eaux de consommation des ménages de Tanghuin.

L’origine possible de ces forts taux de streptocoques fécaux, coliformes totaux et coliformes fécaux peut s’expliquer par la présence de déchets ménagers au voisinage des puits. Ces eaux de puits sont contaminées par des matières fécales.

Réalisé par Harmonia AGOSSADOU UAC/EPAC/GEn 40

CONCLUSION ET SUGGESTION

L’eau est une ressource indispensable dont la disponibilité en quantité en qualité et en temps voulu, constitue un problème quotidien pour les populations rurales. La connaissance de la qualité de l’eau est une condition primordiale qui permet l’instauration d’un système de gestion. Ce qui contribuera à garantir l’approvisionnement en eau.

Les résultats des analyses physico-chimiques et bactériologiques confirment l’hypothèse selon laquelle les eaux de puits de la commune de Zogbodomey sont contaminées.

Les résultats des analyses physico-chimiques de l’eau de puits dans la commune de Zogbodomey montrent que ces eaux de puits prélevées sont fortement contaminées par des nitrates. Les valeurs dépassent celle recommandée par l’OMS. Cela pourrait s’expliquer par les déchets ménagers autour de ces puits et de la présence d’usines dans la commune. Le pH des eaux de ces localités est peu acide. Le reste des paramètres physico-chimiques étudiés sont admissibles et ne présente aucune incidence sur la qualité des eaux étudiées.

Les analyses bactériologiques viennent confirmer que toutes les eaux analysées sont contaminées par de forts taux de coliformes totaux, de coliformes fécaux et de streptocoques fécaux qui constituent une menace pour la santé de la population. La présence de bactéries fécales dans les eaux de puits peut s’expliquer par le manque d’hygiène autour de ces puits et aussi par le fait que les puits ne sont pas couverts. Ces germes causent des maladies comme : la fièvre typhoïde, le paludisme, le choléra, les maux de ventre.

La maitrise de la qualité de l’eau étant nécessaire pour la santé humaine, nous recommandons :

 la promotion et la construction de latrines en respectant les normes de l’OMS (puits-latrine 15 m) afin de minimiser la pollution des eaux par les matières fécales ;

 la couverture des puits en empêchant l’intrusion de corps étrangers ;

 la multiplication et le développement des réseaux d’adduction d’eau potable et les bonnes fontaines dans les villages ;

 la destruction des dépotoirs d’ordures ménagers installés autour des puits ;

 l’installation d’un système de collecte, d’évacuation et de traitement des ordures ménagères dans les villages ;

 l’adoption des mesures d’hygiène de l’eau dans les maisons ;

 la mise en place d’un système de traitement, de suivi et de contrôle de la qualité de l’eau au niveau des puits privés avant toute consommation.

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Réalisé par Harmonia AGOSSADOU UAC/EPAC/GEn 42

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WEBOGRAPHIE

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- http:/ wikipedia.org consulté le 20 août 2015.

- www. Mémoire online.com.

Réalisé par Harmonia AGOSSADOU UAC/EPAC/GEn 44

ANNEXES

Annexe 1 : Fiche d’enquête à l’endroit des ménages

Commune :………..

Arrondissement :……….

Villages :……….

Localité :………...

Nom et Prénom………

Age : ………...

Profession : ……….

1- Quel type d’eau consommez- vous ? :

Eau de la SONEB Eau de citerne Eau de puits Eau de fleuve

2- Quel type de traitement appliquez-vous à l’eau avant de la consommer :………..

3- Votre puits est-il couvert ?...

4- L’eau est-elle bien conservée après le traitement ? Oui Non

5- D’après vous, l’eau non potable rend-t-elle malade ?...

6- Quelles sont les raisons qui vous amènent à consommer de l’eau polluée………

………

7- Quelles sont Les maladies que vous constatez après la consommation de l’eau ?………

………..

8- A quelle fin utilisez-vous votre eau ?...

9- Quel est l’état de votre puits pendant la saison sèche………...

Fiche d’enquête à l’endroit des agents de santé

Commune :………..

Arrondissement :………..

Village :………

Centre de santé :………...

Agent de santé: Infirmier major Médecin Médecin-chef 1- Quelles sont les maladies fréquemment soignées dans votre centre ? :

· Intoxication

· Infections Respiratoires

· Maladies diarrhéiques

· Maladies dermatologiques

· Paludismes

· Fièvre typhoïde

· Types d’anémies

2- Quelles sont les autres maladies les plus répandues dans la zone ?...

………..

3- Quelles sont les couches affectées ?

· Enfants moins de 5 ans

· Jeunes moins de 20 ans

· Hommes

· Femmes de 20ans et plus

4- Quelles sont les régions de la localité les plus affectées ?...

………..

5- Quels facteurs incriminez-vous dans la fréquence de ces maladies ?...

………..

6- Quels sont vos conseils à l’endroit des populations qui consomment ces eaux

6- Quels sont vos conseils à l’endroit des populations qui consomment ces eaux

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