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IV. Analyse sur les sorties des souffrances de la vie humaine

4. Sorties des souffrances de la vie humaine

4.2.2. Égoïsme, Méchanceté

Comme déjà vu dans la partie précédente, l’égoïsme de l’homme est son caractère orignal, révélé souvent par une guerre éternelle entre les individus. Il provient de l’affirmation de la volonté de vivre, disons de la volonté affamée de l’homme.

Cet égoïsme éternel fait de la méchanceté comme caractère de l’homme.

Elle est une conséquence de l’égoïsme si fort.

Nous pourrions donc trouver de tels caractères pour presque tous les hommes dans ce monde de l’homme contemporain malsain ; il s’agirait alors de la mauvaise orientation de la capacité cognitive de l’homme, et finalement de la source principale des souffrances de la vie humaine.

Il est aussi vrai que l’égoïsme se trouve chez tous les animaux, puisque les volontés des animaux sont aussi affamées que celles de l’homme, et qu’ils font donc mal aux volontés d’autrui. Toutefois, cet égoïsme animalier est un caractère naturel. C’est-à-dire qu’il se passe dans le monde de la nature sous la Loi de la nature. Alors, il s’y limite toujours.

Les animaux envahissent ainsi les volontés d’autrui uniquement lorsqu’ils en ont besoin.

C’est au moment où ils cherchent leurs nourritures ou lors de l’accouplement que l’on pourra observer une guerre entre les animaux.

Par contre, l’homme ayant des connaissances abstraites montre son égoïsme varié et complexe, parallèlement à son raisonnement aussi varié et complexe à cause de ses connaissances abstraites ; le raisonnement de l’homme à partir de ces connaissances est donc en perpétuelles et complexes variations.

L’homme ayant le caractère d’égoïsme ou de méchanceté en vient donc à faire pleinement le mal à l’encontre d’autrui.

Nous savons déjà que ces connaissances abstraites représentent en réalité la capacité cognitive d’un homme qui déciderait de l’importante conduite humaine; en effet, les conduites humaines fonctionnent à partir des trois composants : capacité cognitive, motifs et caractère personnel (intelligible).

Et il est vrai que « les conduites d’un homme représentent son caractère (empirique) ; inversement parlant, le caractère d’un homme se voit par l’accumulation de ses conduites ».

De plus, différemment du monde de la nature, le monde de l’homme est séparé par les deux pôles extrêmes, comme nous le savons déjà.

La raison de l’homme produit des connaissances abstraites à partir de connaissances intuitives ; mais dans les deux sens ; l’un où les conduites et les pensées humaines sont erronées, mauvais appréhension des connaissances intuitives, et ne s’accordent pas avec la Loi de l’homme (la Loi de la nature) ; l’autre sens où les conduites et les pensées humaines s’accordent bien avec la Loi de l’homme, et est le sens du bon chemin qui mènera l’homme au monde comme volonté.

Alors, il est vrai que dans le monde de l’homme, on observe partout des conduites et des pensées humaines contre la Loi de la nature.

Donc, nous pourrions dire que l’égoïsme et la méchanceté en tant que caractère d’un homme sont le résultat de ses connaissances abstraites, enfin de sa capacité cognitive mal développée et dans la mauvaise direction ; c’est en effet par l’affirmation de la volonté de vivre, ceci si forte jusqu’au détriment de celles d’autrui, donc en mauvaise direction de la capacité cognitive par rapport à sa bonne direction bien développée vers le monde comme volonté.

Comme cela, c’est dans le monde de l’homme que l’égoïsme se développe pleinement, ceci à cause des connaissances abstraites si diverses et fortes, mais mal comprises les connaissances intuitives ; la volonté de l’homme s’affirme trop au lieu de se nier, à tel point qu’elle envahit celles d’autrui.

Ainsi, de tels caractères en viennent à symboliser le mal dans notre monde de l’homme sous la Loi de l’homme. Et ces caractères seraient finalement une grande source de souffrances humaines.

C’est ainsi que non seulement au niveau matériel ou physique, mais aussi au niveau spirituel, l’homme affirme toute sa volonté de vivre. Un tel égoïsme, développé grâce à la capacité cognitive humaine, est en réalité un égoïsme du plus intense et du plus violent, puisque la capacité cognitive humaine est supérieure sans aucun rival dans le monde de la nature ; il en résulte un égoïsme sans équivoque. Schopenhauer le confirme dans le chapitre 61124 ; « Quant la conscience atteint à son plus haut degré, c’est-à-dire chez l’homme, la douleur et la joie, par conséquent l’égoïsme, doivent, comme l’intelligence, s’élever à leur suprême intensité, et nulle part n’aura éclaté plus violemment le combat des individus, l’égoïsme en étant la cause. »

124 : Ibid., p. 419

De cette façon, par exemple, l’homme occupe dans un premier temps une place de pouvoir dans un organisme social au détriment des autres. Il les contrôle, les commande, et s’en sert de façon variée.

Il en était ainsi que les grands tyrans à l’époque n’opprimaient le peuple que pour satisfaire leurs petits désirs et faisaient éclater de grandes guerres sans merci. Puis, ces derniers s’en servaient pour faire des choses incroyables ; les prisonniers deviennent des esclaves et des domestiques pour construire de grands palais au détriment de leur vie ou pour servir au moment du dîner ou du bain de leur maître qui les privent de leur vie et les ridiculisent.

Sur cet égoïsme, dans le même chapitre, Schopenhauer continue125 : « C’est le spectacle que nous avons sous les yeux, en grand et en petit ; il a son côté effroyable ; c’est la vie des grands tyrans, des grands scélérats, ce sont les guerres qui ravagent un monde ; et son côté risible : c’est celui-ci que considère la comédie, et il a pour traits essentiels cette vanité et cette présomption si incomparablement décrites, expliqués in abstracto par La Rochefoucauld. »

Toutefois, écarté des connaissances intuitives, l’homme ayant un tel égoïsme se trouve alors contre la Loi de la nature dans le monde de la nature et de l’homme. Il a donc du mal à y exister en tant que composant de la nature, sous la Loi de la nature ; tout ceci parallèlement à ses grands désirs éternels qui ne seront jamais comblés ; d’où une grande souffrance éternelle.

Nous constatons déjà des phénomènes anormaux très fortement écartés de la Loi de la nature, dans les conduites et les pensées des tyrans. Leurs connaissances abstraites ne trouvent pas du tout comme origine les connaissances intuitives. On ne retrouve jamais dans leurs grandes guerres des causes issues de connaissances intuitives quelconques ; on y trouve plutôt des connaissances abstraites sans origine naturelle.

Leurs connaissances abstraites sont donc faites de façon purement humaine, probablement à partir de la vanité, de la présomption, du complexe de supériorité, etc. Ainsi, on devrait trouver les causes des grandes guerres dans des notions abstraites sans source, dont les contenus auraient dû être empruntés à l’intuition.

Les tyrans, ayant des notions abstraites sans fondement intuitif, ne trouveront donc jamais les choses qui correspondent aux intérêts en contrepartie de la guerre, de façon logique, c’est-à-dire, de façon intuitive.

125 : Id.

Le monde de la nature où la Loi de la nature domine de façon intuitive fait que jamais les êtres morts de la guerre n’obtiendront d’excuses.

Alors, il est probable que les tyrans n’ont même pas imaginé les résultats de cette guerre. Ils ont donc pensé au jeu de la guerre sans aucun sens de la réalité. La notion abstraite de la guerre leur est certainement purement abstraite, disons imaginaire. C’est donc comme s’ils faisaient la guerre dans un rêve ; le monde réel n’existe pas et il n’y a que le monde imaginaire sans l’espace d’intuition.

Ils sont donc dans un monde de connaissances abstraites sans aucune connaissance intuitive. Ils sont si loin du monde de la nature, et de la Loi de la nature.

Voilà le résultat de l’histoire des tyrans ; on y constate le mal, un très grand nombre de morts après chaque guerre, y compris les tyrans eux-mêmes ; les phénomènes naturels ne peuvent plus continuer à exister, écartés si loin de la Loi de la nature.

Il est ainsi possible que les graves incidents, grands problèmes et événements se produisent facilement dans notre vie quotidienne.

Ce sont donc des phénomènes résultant du fait que l’homme est fortement écarté du monde de la nature, contre la Loi de la nature, par son égoïsme très intense et violent

Cet égoïsme est produit en effet par le dysfonctionnement entre « la représentation intuitive, immédiate, qui se garantit elle-même, et la réflexion, les notions abstraites et discursives de la raison, dont tout le contenu est emprunté à l’intuition et qui n’ont de sens que par rapport à elle » 126 L’égoïsme humain et la méchanceté à partir de dysfonctionnements provoquent donc des soucis, des anxiétés, des maux, et enfin des souffrances.

Il faut alors à l’homme en sortir. Toutefois, nous savons maintenant qu’il est difficile pour l’homme souffrant d’égoïsme d’en sortir. C’est parce qu’il n’en est pas capable et qu’il le mérite justement à cause de son caractère. Il n’a d’autres choix que d’accepter de souffrir à cause de lui-même. Il se trouve pleinement devant ses souffrances. Il a donc beau essayer d’en sortir, il reste dans un cycle vicieux.

126 : Ibid., p. 64

A vrai dire, c’est comme cela que l’homme est entré dans cet engrenage depuis le début de l’histoire de l’humanité, à cause de sa capacité d’intelligence exceptionnelle, essayant toutefois de trouver le moyen d’en sortir.

Cela serait donc une autre partie des gens, une minorité de gens non égoïstes, qui doivent s’en charger, ceci pour la pérennité de l’ensemble des êtres humains.

Alors, ce sont les hommes dont les connaissances abstraites vont dans une bonne direction qui voient leur bonne capacité cognitive bien se développer.

Ce sont en effet les hommes qui ont les caractères comme la Justice, la Bonté et la Vertu (nous préciserons dans la partie suivante).

Les hommes ayant ces caractères ont d’abord pour mission de chasser les maux contre la pérennité de l’humanité, produits par les gens égoïstes. Ils sont donc « les plus grands esprits de tous les temps qui ont eu à soutenir une lutte inégale contre un tel ennemi ». Schopenhauer s’explique à ce propos, comme déjà vu auparavant ; « Mais avec la pensée abstraite, avec la raison, s’introduisent dans la spéculation le doute et l’erreur, dans la pratique l’anxiété et le regret. Si, dans la représentation intuitive, l’apparence peut un instant déformer la réalité, dans le domaine de la représentation abstraite l’erreur peut régner pendant des siècles, étendre sur des peuples entiers son joug de fer, étouffer les plus nobles aspirations de l’humanité, et faire charger de chaînes par ses dupes et ses esclaves celui-là même qu’elle n’a pu abuser. Elle est l’ennemi contre lequel les plus grands esprits de tous les temps ont eu à soutenir une lutte inégale, et les conquêtes qu’ils ont pu faire sur cet ennemi sont les seuls trésors du genre humain. »

Ainsi, l’égoïsme et la méchanceté ont été considérés comme le mal de l’humanité qui est d’ailleurs la source fondamentale des souffrances humaines. Donc, la guerre éternelle entre les deux parties des hommes continue depuis toujours et continuera toujours. C’est effectivement la guerre entre le mal, symbolisé par les caractères de l’Égoïsme et de la Méchanceté, et le bien, symbolisé par les caractères de la Justice, de la Bonté et de la Vertu.

Il en est ainsi que l’on trouve toujours dans l’histoire de l’humanité ces deux parties d’hommes en guerre ; l’une, ce sont les méchants et l’autre, ce sont les bons. Et elles sont souvent présentées dans des romans anciens, et même dans des films contemporains ; il est vrai que les méchants sont toujours forts au début et font mal aux bons, mais que ce sont finalement les bons qui gagnent et retrouvent la paix et la justice du monde.

Cette histoire de guerre connue entre les deux côtés démontre en réalité la volonté de l’homme. C’est justement la volonté de l’humanité qui est résolument déterminée à faire en sorte que l’humanité soit pérenne, tout en affirmant sa volonté de vivre, mais celle-ci dans la bonne direction, en la soumettant à la Loi de la nature ; d’où la pérennité de l’humanité sans souffrir de la vie.

Réellement, une telle volonté de l’homme se présente souvent de façon sérieuse, comme le montre l’histoire, un individu qui n’hésite pas à se sacrifier pour les autres, symbolisant la justice, le patriotisme, tout ceci sans même en être conscient.

Par là, il devient même à son insu « le bras de la justice éternelle » pour la pérennité de l’humanité.

Schopenhauer le précise dans le chapitre 64127 : « A mon sens, le principe de l’indignation qui emporte cet homme si loin au-dessus de l’amour de soi, c’est une conscience très profonde qu’il a d’être la Volonté de vivre, en elle-même et dans sa totalité, cette Volonté qui se montre chez tous les êtres, à travers tous les temps ; il sent alors que l’avenir le plus reculé le touche non moins que le présent, et qu’il n’y peut être indifférent. Il affirme cette Volonté, mais toutefois, dans ce spectacle où se manifeste son essence, il ne veut pas que désormais une aussi monstrueuse iniquité reparaisse ; il veut épouvanter les injustes des temps futurs par un châtiment contre lequel il n’y a pas de défense possible, puisque la peur même de la mort n’effraie pas le punisseur. Ainsi la Volonté de vivre, tout en s’affirmant encore ici, ne s’attache plus au phénomène particulier, à l’individu déterminé ; elle embrasse l’Idée même de l’homme en soi, et veut que la manifestation de cette Idée demeure pure, à l’abri d’une iniquité aussi monstrueuse, aussi abominable. C’est là un trait de caractère rare, remarquable, sublime enfin ; là l’individu se sacrifie ; en effet, il s’efforce de devenir le bras de la justice éternelle, dont il méconnaît encore l’essence propre. »

Il en est ainsi vrai que l’homme égoïste a une grande difficulté à sortir seul des souffrances. Il lui faut donc l’aide de quelqu’un d’autre dépourvu d’égoïsme pour en sortir ; les hommes ayant les bons caractères comme la Justice, la Bonté et la Vertu l’aideraient certainement.

En fait, il est impossible pour lui de sortir seul de ses souffrances, tout en conservant son égoïsme et les conduites qui s’en suivent.

C’est justement ces conduites égoïstes qui vont encore lui renvoyer des souffrances typiquement humaines.

127 : Ibid., p. 452

De plus, son égoïsme accélère ses désirs qui sont en fait la source principale de ses souffrances.

Plus son égoïsme est grand, plus ses connaissances abstraites égoïstes deviennent variées et plus fortes sans fondement, par conséquent plus écartés de ses connaissances intuitives, contre la Loi de la nature. Ses désirs à partir de connaissances abstraites deviennent ainsi plus grands, évidemment sans être comblés ; d’où de grandes frustrations. C’est justement ainsi que les souffrances trouvent leur place dans cet égoïsme, et vice versa. Elles s’y installent de façon permanente et y trouvent un foyer pour l’éternité.

Par là, l’homme ayant un tel égoïsme n’arriverait jamais seul à sortir de ses souffrances.

Il ne pourrait en trouver la sortie ni dans le monde de la nature, ni dans le monde de l’homme ; il ne pourrait pas vivre avec son égoïsme humain, non animal, dans le monde de la nature, contre la Loi de la nature ; il ne pourrait pas vivre non plus dans le monde de l’homme, contre la Loi de l’homme.

Ainsi, ce qui lui reste comme moyen de sortie malgré sa grande difficulté, est donc de faire des efforts, en espérant, priant plutôt une aide de gens de l’autre bord, pour faire en sorte qu’il change de caractère, du mauvais caractère au bon caractère ; il a forcément besoin d’avoir les caractères comme la Justice, la Bonté et la Vertu, en chassant ses caractères d’Egoïsme et de Méchanceté.

Il lui faut donc faire des efforts pour améliorer sa capacité cognitive, en attendant, grâce à des amis ayant de bons caractères, de retrouver ses bonnes connaissances abstraites. Il retrouverait ainsi des bons caractères comme la Justice, la Bonté et la Vertu, en pénétrant le principe d’individuation dont l’ignorance était à l’origine de son égoïsme.

C’est ainsi que tous ses efforts pour s’en sortir, pourraient être heureusement récompensés par la volonté de ses congénères dans le but de pérennité.

4.2.3. Amour (entre les deux sexes)

Strictement parlant, l’amour de l’homme ne peut pas être un des caractères de l’homme, mais fait partie de ses caractéristiques exceptionnelles.

C’est ainsi que l’amour de l’homme se montre remarquable par sa grande différence avec l’animal. C’est en effet la différence entre l’amour né de la fantaisie et celui né de l’instinct.

Comme vu dans la partie précédente, « l'amour entre les deux sexes opposés est une tactique nécessaire dans la guerre entre la volonté de l'espèce humaine et celle de l'individu humain, en vue de la victoire de l'espèce, à l’instar de ce qui se passe pour d'autres animaux. »

Il s’agit en effet de l’égoïsme de l’homme qui ne cédera jamais son intérêt individuel au profit de celui de l’espèce. C’est comme cela que la nature, disons la Volonté, leurre les individus humains pour la pérennité de son espèce, en lui imposant une illusion au moment où ils sont tombés amoureux ; ils croient vraiment que ce qu’ils font au moment de l’acte d’amour est purement pour leurs intérêts individuels, tandis qu’ils sacrifient en réalité leurs intérêts, même leur vie individuelle pour les intérêts de l’espèce, autrement dit pour la pérennité de l’espèce, en faisant la naissance de leurs enfants de deuxième génération.

On trouve ainsi l’amour de l’homme par l’illusion, disons par la fantaisie, différemment de celle d’animal par l’instinct.

Il est donc vrai que l’amour de l’homme est en réalité le résultat direct du travail de la Volonté. Nous pourrions alors dire que l’homme est déjà entré à son insu dans le monde comme volonté au moment où il tombe amoureux.

Toutefois, l’homme éprouvant de l’amour va connaître davantage de souffrances. C’est parce que l’amour par la fantaisie comme résultat de la tricherie par la Volonté, est tout à fait au delà de la réalité, et contre la Loi de la nature. On n’y trouvera jamais aucune connaissance intuitive comme source. L’amour vit donc uniquement dans le rêve de l’individu, à savoir l’illusion.

De ce fait, si l’individu en amour se trouve face aux phénomènes naturels dans le monde de la nature, il ne se comportera pas du tout de façon naturelle, et il ne se soumettra jamais à la Loi de la nature. Il en est ainsi qu’il vit complètement contre la Loi de la nature, finalement contre la Loi

de l’homme, ceci même à son insu. Le mal qu’il subit dépasse donc ce que l’on peut imaginer pour ses autres caractères. Sa vie devient ainsi folie.

C’est justement ce que l’on entend lorsqu’un individu a eu un coup de

C’est justement ce que l’on entend lorsqu’un individu a eu un coup de