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Chapitre 2 : Les graffitis comme moyen d’expression

D. échantillon stratifié

En se basant sur une caractéristique de la population ciblée, on la divise d'abord en strates (sous-groupes de la population) pour ensuite sélectionner de façon aléatoire des membres de chacune des strates en respectant leur proportionnalité dans la population.

I. 5 L’échantillon de notre enquête

Une fois l’objectif du travail est défini, la problématique est posée, les hypothèses énoncées et le choix de l’enquête par questionnaire comme méthode de travail est fait. Il faut s’intéresser maintenant à la population qui sera interrogée. Il est question de choisir un échantillon sur lequel portera notre travail.

Nous semblés intéressant, de le soumettre aux jeunes de la ville de Jijel, nous avons choisi un échantillon d’une cinquante cinq (55) personnes où notre questionnaire a été distribué spontanément aux jeunes, car nous n’avons pas précisé une catégorie spécifique. Les résultats obtenus ne présentent pas de contrastes importants entre eux,

De plus, nous avons choisi de faire, notre enquête par un questionnaire, dans le but de toucher et faire un contact directe et sans condition avec les jeunes jijéliens, au différente culture, aspects scientifiques et surtout artistique, qui sont fréquentaient habituellement les rues où les graffitis sont apposés partout sur les murs, gallérie, poteaux

I.6 Description des enquêtés

Les données d’annexes, permettent à intégrer et recueillir des informations, sur nos enquêtés tel que le nom, le prénom, le sexe et la profession, qui sont très important de les connaitre, où ses corrélations peuvent être faites entre ces données et les discours recueillis.

I .7 Le questionnaire I .7.1 Définition

Nous pouvons définir le questionnaire, comme une série des questions écrites ou orales auxquelles nous sommes soumis et/ou auxquelles nous devons répondre, document manuscrit ou imprimé sur lequel figure la liste des questions posées, ou une suite des questions ou d'interrogations écrites, pour servir de guide et d'orientation dans une enquête.

Partie pratique : Analyse des données du questionnaire

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Le questionnaire, peut être un simple instrument à l'usage propre d'un enquêteur

(Birou1966).1

Les chercheures, élaborent le questionnaire dans le but d’évaluer les données expérimentales, avec la pertinence des questions qu’il se propose de certifier et de confirmer la validité de ses hypothèses, postulées au début de ses recherches. Alors avant de présenter notre questionnaire nous tenons d’abord à énumérer ses différents types :

a. les questions fermées

Les questions fermées, sont les questions qu’ils fixent à l’avance les réponses, donc ici l’enquêté doit donner une seul réponse, .ce genre des questions facilité le dépouillement et permettent de classement rapide.

b. Les questions pré-codées (cafétéria)

Il est proposé une série de réponses, parmi lesquelles l’enquêté choisit celle qui répond ou reflète le mieux à son opinion c’est-à-dire : il s’agit d’une question à choix multiple et à réponse unique.

c. Les questions semi-ouvertes

Ces types des questions, sont presque identiques au type précédant sauf qu’ici comporte une partie ouverte leur avantage que le choix permet des réponses plus précisés et rendent le dépouillement simple.

d. Les questions ouvertes

Les questions ouvertes, laissent la liberté à l’enquêté de s’exprimer comme il le souhait, alors elles donnent la liberté dans le choix de la formation des réponses (à l’enquêté).

e. Les questions avec échelle d’évaluation

Il s’agit ici de l’enquêté, qui doit choisir ou cacher une seul réponse, ou ce genre donnent des réponses facile et rapide pour l’enquêté et l’enquêteur aussi, vont faciliter le dépouillement. La formation de ses questions doivent être simple, claire et précisé tel que (pensez-vous, selon-vous ….etc.) Ainsi que doivent être courte et directe s’enchainer

logiquement ou il faut trouver un équilibre entre les déférentes types des questions.

1 http://www.cnrtl.fr/lexicographie/questionnaire.

Partie pratique : Analyse des données du questionnaire 44 I .7.2 Données annexes Nom et prénom :……… Sexe : ……….. Profession :……….

Dans les trois premières questions, nous avons essayé de voir, selon les déférentes catégories des jeunes de la ville de Jijel, cela est expliqué par leur construction d’identité.

Pour les questions suivante : (4), (5), (6) et (7) consistent à voir, si notre enquêtés savent-ils exactement c’est quoi le phénomène des graffitis et ses formes ou non? Dans l’attention d’attraper s’ils sont réellement intéressés par ce dernier, car selon notre analyse, nous avons remarqué, que ce phénomène se considère aujourd’hui comme une des pratiques langagières les plus utilisées par les jeunes. Alors nos questions, visent à certifier que nos enquêtés sont vraiment attachés par ce genre et type de pratique écrite.

En ce qui concerne les questions : (8), (9), (10), (11), (12) et (13), notre but ,est d’exposer le rôle important que joue « l’image de la lange » dans l’utilisation des graffitis, dans laquelle ils sont écrits, afin de pouvoir passer leur message au max du public, dans différentes langues et façon que ce soit écrite ou oral, mais le plus important est le message véhiculé entre les jeunes de cette ville.

Pour la (14), nous l’avons posé, afin de certifier que l’utilisation des graffitis, est dans le but de passer une information indirecte ou directe au responsable, pour revendiquer et réclamer le droit des public, en plus c’est une excellente solution afin d’exprimer ses sentiments, partager ses opinions et faire parvenir des messages via un dessin en produisant en plus la possibilité de conférer les murs froids de la ville.

Pour les questions : (15), (16) et (17) certes a vérifié, que les graffitis sont plus utilisés par les jeunes où ces dernier les considèrent comme un moyen de communication, tel que les médis dans l’attention d’exprimer leur sentiment et leur avis dans la société, car c’est un art de rue.

Dans les questions : (18) et (19) nous avons montré « le statut et l’usage des graffitis

dans la société » ce sont des questions très dramatiques, dans le but de repérer les opinions

des enquêtés et de certifier, que les graffitis sont accepté par la société, car la pratique du graffiti existe depuis la nuit des temps. C’est à la préhistoire qu’apparaît cette forme d'expression, c’est pour cela ils ont donc une grande importance dans la société. Mettre en

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galon les graffitis, c’est voter pour le droit d’expression et l’art urbain. Le résultat que les villes n’auraient pas leurs formes uniques qui les distinctes les unes des autres. Cela dis, que les graffitis sont acceptés par la population.

La question (20) est aussi importante,en considération à son opportunité par rapport à la partie théorique, dans laquelle nous avons parlé de la construction identitaire c’est-à-dire: le rôle et l’objectif de l’utilisation des graffitis sur la construction d’identité des jeunes de la ville de Jijel. Ce qui nous intéresse en premier lieu, dans cette question, c’est le mélange des langues et les conférences exprimées à travers ce dernier. Nous voulons, donc, savoir comment est existe ce mélange des langues, et d’identités dans un milieu qui affiche à la fois, reprenant les termes de L-J. Calvet, une tendance à l’unification, à la coexistence et au conflit linguistique, dont les graffitis sont l’expression symbolique, qui s’ajoute aux autres pratiques langagières effectives posées, pour un but et qui est celui de faire connaitre les choix de la langue utilisé, dans ce genre des expressions plus précisément.

La question (21) est posé dans le but de faire connaitre les choix précis de la langue

arabe dans ce genre d’expressions plus précisément, car la compréhension des discours

énoncés à travers la pratique du graffiti, de nos jours pourrait donc être conçue comme un préalable à la compréhension des dynamiques sociales et urbaines, qui nécessitent une prise en charge sérieuse de la part des usagers de la ville, Ces graffiti témoignant de l’imaginaire collectif algérien dans la mesure où, ils rendent compte de la diversité de la composante sociétale et de la crise pluridimensionnelle qui caractérise le quotidien algérien et plus particulièrement le jéjiliens

Dans cette dernière question(22), nous avons choisi le symbole qui signifier la mode, la domination, et surtout le prestige dans l’attentions qu’est devenu aujourd’hui, très répété dans le milieu de nos jeunes sur leur habit ………….

I.7.3 Les objectifs du questionnaire

Notre questionnaire aura comme objectif d’étudier les pratiques langagières des jeunes : l’utilisation des graffitis comme moyen de communication c’est une meilleure connaissance du phénomène observé « les graffitis », ses objectifs et ses motivations vis-à-vis de l’information transmise au public.

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L'objectif global de ce questionnaire est de recueillir des informations sur la mise en œuvre des graffitis à fin de collaboré à l’amélioration de son environnement et de

sensibilisé les intervenants à un une figure de création moderne.

Le but principale de ce questionnaire est de montré au autres que les graffitis est accepté par la population, ainsi de connaitre les différentes formes des graffitis.

L'objectif du questionnaire, est de connaître les activités menées sur les graffitis à Jijel, dans le domaine de la sociolinguistique urbaine, aussi l'importance qu'on leur attribue, et ce qui pourrait favoriser leur développement. dans le but d’acquérir des compétences sociales chez les jeunes

En fin le dernier but, est de montré, que l’utilisation des graffitis exige, un véritable métissage des langues, chez les graffiteurs.car : c’est un art est non pas un vandalisme comme le considère les autres.

I.7.4. La grille d’analyse

Dans cette partie pratique, nous avons choisi un échantillon d’une Cinquante-cinq (55) personnes, où nous avons posé Vingt deux (22) questions aux jeunes jéjiliens, qui se distinguent selon les types et les catégories : sexe, âge, niveau scolaire, car la diversité linguistique diffère d’une personne à l’autre et d’un lieu à un autre.

D’où notre but est le suivant : l’analyse des collectes des données, qui sont proposés par les jeunes, et en essayant de les comptabiliser par un pourcentage fini.

Dans notre enquête, nous avons suivi la méthodologie de l’enquête par questionnaire

de Jean-Christophe Vilatte, qui pourvoit à l’analyse des résultats d’une enquête qui va

permettre de confirmer ou d’infirmer les hypothèses émises au départ. Par ailleurs, s’ajoute toujours à cette démarche une phase d’interprétation des résultats obtenus. C’est-à-dire une phase de compréhension de l’existence de relations entre diverses variables.

Les méthodes de la statistique descriptive et inductive peuvent être utilisées pour analyser les données recueillies. À l’heure actuelle, on dispose d’outils statistiques telles que l’analyse en composantes principales, l’analyse factorielle des correspondances, etc. qui vont tenter d’appréhender un ensemble de données complexes et donner une vue du phénomène dans sa totalité.2

2Jean-Christophe Vilatte Laboratoire Culture & Communication Université d’Avignon Formation « Evaluation », 1er - 2 février 2007 à Grisolles

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Alors que, nous avons fait le recueil des questions, nous avons classé en fonction de la construction d’identité, puis nous avons entamé les autres questions qui sont en relation avec notre thème tel que : les formes des graffitis, limage de la langue, graffitis et compétence

de communication … dans le but, de pouvoir juger si, les jeunes arrivent vraiment, à saisir

les questions ou non ?

Ensuite, nous avons essayé de voir l’impacte et le rôle, que joue ce genre d’art aujourd’hui, dans notre société et sur les jeunes plus particulièrement. L’analyse de ce corpus et dans le but de chercher les soubassements culturels et l’aspect fonctionnel des graffitis, qui se cachent dans l’optique de dégager les représentations linguistiques, qui sont associées à ces productions langagières et surtout la construction d’identité de la personne.

Enfin, il est question d’analyser l’ensemble des réponses proposées par les jeunes de Jijel, sur les graffitis, selon la thématique véhiculent et la langue dans laquelle ils préfèrent d’écrits.

I.7.5 Analyse du questionnaire

Dans un premier lieu, notre enquête est un questionnaire, qui se porte sur une série des questions auxquelles nous avons eu des réponses proposées par les jeunes de la ville de Jijel. Ce dernier émerge plusieurs cotés : sexe, culture, profession et société dans l’attention et le but de collecter le maximum de réponses, nous essayerons d’apporter des vérités toutes directes de notre société.

Construction d’identité

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