Pour économiser le charbon

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Trante-deux.ème Année. — N° 81 P r i x d u n u m é r o : 10 centime«

Samedi 13 Octobre 1917 Bureaux: R u e de l a S e r r e , 58

S U I S S E

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ABONNEMENTS

Un an Six moii

Suisse . . . . Fr. 7.05 Fr. 3.55 Union postale » 15.— » 7.50 Compte de Chèques postaux IV b 4 2 6

Pvalitait la Mercrsil et 1B Samedi à La Gaaoz-ds-Fends

Abonnement par la poste : 80 cts en plus.

ANNONSES

suisses 20 e t , offres et demandes de places 10 et. la ligne, étrangères 25 centimes la ligne

Les annonces se paient d'avance

Organe de la Chambre suisse de l'Horlogerie, des Chambres de commerce, des Bureaux de contrôle et des Syndicats professionnels Les Consulats suisses à l'étranger reçoivent le journal

Bureau des annonces : P U B L I C I T A S , Société anonyme suisse de Publicité, 22, rue Leopold Robert, La Chaux-de-Fonds.

Succursales et agences dans les principales villes suisses. Nombreux correspondants à l'Etranger.

Représentation commerciale et diplomatique de la Suisse à l'étranger Le Conseil national a discuté dans sa séance du 3 courant le postulat Bühler (extension de notre service diplomatique).

M. Meyer, directeur de la Nouvelle Ga- zette de Zurich, demande que l'on multi- plie les postes d'attachés commerciaux, puis que l'on centralise à Berne les rensei- gnements fournis par ceux-ci, pour les mettre à la disposition du monde du com- merce et de l'industrie.

M. Paul Mosimann, président de la Chambre suisse de l'horlogerie, prononça à cette occasion, les paroles suivantes :

«Le postulat présenté par MM. Bühler et cosignataires trouvera certainement l'ap- pui et l'adhésion des membres du Conseil national, mais ne serait-il pas indiqué d'aller un peu plus loin que nos collègues dans la voie de la réforme ou de la réor- ganisation partielle qu'ils proposent? Il me parait qu'une réforme complète de tout notre système de représentation di- plomatique et commerciale devrait ôtre en:

treprise sans tarder. Je crois en effet le moment venu et propice d'étudier celte question, des plus importantes pour la dé- fense des intérêts industriels et commer- ciaux suisses et pour l'avenir, et la pros- périté du pays.

« Tout en rendant hommage à l'activité et au dévouement de la plupart de nos ministres et consuls, nous sommes cepen- dant obligés de constater que ces institu- tions ne remplissent pas toutes, ou ne peuvent pas remplir, avec les moyens dont elles disposent, tous les services que l'on serait en droit d'attendre d'elles.

« Nos industriels et nos commerçants ont pu se rendre compte, avant la guerre déjà, puis pendant cette période difficile que nous traversons, combien de lacunes et de défectuosités se sont révélées dans la représentation de notre pays à l'étran- ger. Nombreux sont nos nationaux qui, faute de consuls suisses actifs et capables, ont dû s'adresser avant la guerre, à des consuls ou agents étrangers pour obtenir des indications précises concernant l'in-

dustrie et le commerce du pays qu'ils voya- geaient. Notre pays doit renoncer, à mon avis, aux consuls honoraires, c'est à dire peu ou pas rétribués, pbur lesquels le titre est la principale préoccupation, ou, si l'on veut en maintenir quelques-uns, en raison de l'influence qu'ils peuvent exercer, ces derniers devraient être secondés d'attachés commerciaux, au courant des affaires suis- ses et de celles du pays dans lequel ils travaillent, on bien il faudrait avoir re- cours, pour cette charge de consuls, à d'anciens commerçants suisses rompus aux affaires du pays dans lequel ils vivent et qui pourraient en assumer toutes les responsabilités et répondre aux exigences de nos industries et de notre commerce.

« En vue de l'après-guerre, il est néces- saire que la représentation de la Suisse à l'étranger prenne plus d'importance que jusqu'ici, qu'elle soit mieux outillée et mieux préparée.

« La paix entre les nations en guerre est encore lointaine ; elle ne pourra, à moins de circonstances extraordinaires, que nul ne peut prédire, être signée au lendemain des combats. Les pourparlers entre tous les belligérants prendront sans doute un certain temps avant d'aboutir à une solu- tion. D'autre part, une réconciliation en- tière sera, selon toute apparence, longue à se faire ; elle demandera probablement des années ; la lutte sanglante d'aujour- d'hui changera d'aspect et se transformera en une autre lutte des plus âpres sur le terrain économique. Quelle sera alors la situation de la Suisse au centre de celte lutte nouvelle et d'une toute autre nature que Celle d'aujourd'hui? Quelles en seront les répercussions sur nos industries, no- tre commerce et notre agriculture, suivant les conditions que contiendra le traité de paix et suivant les modifications profon- des que subiront, on peut le supposer, les rapports entre les divers Etats vainqueurs et vaincus, tous affaiblis et surchargés de dettes considérables? De certains indices, nous pouvons nous rendre compte que chaque partie se prépare déjà, malgré les hostilités, pour la protection de ses inté- rêts et pour la riposte sur les marchés du

monde. Cette préparation et la perspective qui peut en résulter pour un petit Etat comme le nôtre, doit préoccuper au plus haut degré ses autorilés. Cette préparation en vue de l'après-guerre nous impose l'ur- gent devoir de concentrer toutes nos for- ces, toutes nos énergies pour être en me- sure d'affronter les difficultés futures et assurer noire place dans le commerce des nations. Nous aurons à faire à forte partie.

La situation de la Suisse sera excessive- ment difficile, si nous en jugeons de par les complications de toutes sortes et les problèmes des plus ardus qui se posent pour la conclusion de conventions interna- tionales.

«L'industrie et le commerce de notre grande voisine du nord-ouest, si puissam- ment et si merveilleusement organiéés, il faut le reconnaître, avant la guerre, feront évidemment avec leur, armée de spécialis- tes dans toutes les branches, d'énormes sacrifices pour reconquérir les marchés perdus. Il faut supposer que les pays de l'Occident ne voudront pas rester en ar- rière sur leurs concurrents.

«L'effort que nous aurons à accomplir en Suisse devra être d'autant plus grand que les deux formidables groupements entre lesquels nous nous trouverons ten- dront à se surpasser l'un l'autre.

«Il est à prévoir que toute une concur- rence nouvelle se présentera à nous dans la suite. Celte concurrence, que l'on peut môme considérer d'ores et déjà comme invitable, doit donc nous engager à exa- miner sans tarder comment et par quels moyens nous nous dégagerons, dans la mesure du possible, de la dépendance économique dans laquelle nous avons vécu avant la guerre, dans laquelle nous sommes actuellement enserrés et dans laquelle nous nous trouverions inévitablement à l'avenir. L'un de ces moyens essentiels est l'organisation d'une meilleure et plus com- plète représentation diplomatique et com- merciale à l'extérieur. Il ne suffit pas d'apporter un palliatif à l'organisation ac- tuelle, il faut procéder à une rénovation, à une refonte entière du système en vigueur jusqu'ici.

'•Ta La Confédération se doit à elle-même, p o u r la prospérité, nationale dans l'avenir, de créer dans les principales capitales de l'Europe et de l'Amérique, aux côtés de nos légations, de nos ministres, des atta- chés commerciaux, des chambres de com- merce suisses et, dans les autres moins im- portantes, comme dans les grands centres industriels, des consuls de carrière et des ngehts commerciaux, de nationalité suisse, capables et vigilants. Les autorités fédéra- les ne peuvent m a n q u e r au devoir de créer ces organes indispensables : à l'in- dustrie et au commerce suisses p o u r les renseigner utilement sur la valeur et la nature des produits exportables, pour^leur assurer des débouchés et pour soutenir et défendre de toutes leurs forces les intérêts de notre pays. Ces intérêts ne doivent plus d é p e n d r e dans la suite, d'agents étrangers, comme c'est encore le cas dans plusieurs pays. ' ^: }*/•

« L e s dépenses que consentira la Con- fédération pour une représentation b i e n o r d o n n é e seront de bons et fructueux pla- cements, dont elle retrouvera indirecte- m e n t les plus larges compensations.

« E n venant donc appuyer le postulat de M. Biihler et co-signataires, je me per- mets de recommander au Conseil fédéral de ne pas recourir à des demi-mesures, mais au contraire d'entreprendre la réor- ganisation complète de tout le système de représentation de notre pays à l'étranger.»

Certificats d'origine à joindre aux envois acheminés via Egypte, à destination du Japon et d'autres pays d'Orient.

;^:j ,:1L est arrivé, ces derpjers,te,m.ps,¹ qu«.d,es marchandises puisses, même en cobs^ri,P9^- taqx, destinées, a u , Japon ou autres pays d'orient, ont été retenues en Egypte par les au- torités militaires anglaises, pour la raison qu'un certificat; d'origine britannique faisait défaut.

A teneur d'une communication de la Lega- t i o n d'Angleterre à Berne, des certificats d'o-

rigine de ce genre sont exigés pour tous les envois arrivant dans les ports égyptiens, même lorsqu'ils sont transportés en transit de ces ports et par chemin de fer sur un autre port pour y être réexpédiés à leur destination définitive.

Afin d'éviter toutes difficultés, il est en ou- tre recommandé de joindre également aux pièces d'accompagnement des envois achemi- nés par le canal-de Suez des certificats d'ori- gine légalisés par un consulat de Grande Bre- tagne ; ceci, bien qu'il n'existe pas à cet égard de prescription spéciale.

Service des colis postaux avec la Grèce On peut expédier des colis postaux (sans remboursement) à destination de la Grèce par la voie d'Italie (Ghiasso). Les envois doivent être accompagnés de certificats officiels.

Hausse des verres de montres if!« Les fabriques et grossistes fournissant les . verres de montre, viennent de décréter une nouvelle hausse du 2 0 % à partir du 1" octo- . bre, ce qui porte la majoration totale à 60°/o.

Les commandes en cours seront facturées aux

; nouveaux prix.

Les arrivages de charbon

Au mois de septembre, les importations to- tales de charbon d'Allemagne et de France se / sont élevées à 107,190 tonnes de houille,

61,700 de coke et 34,336 de briquettes, au - total 193,226 tonnes. Le charbon français se montant à 2000 tonnes environ', les importa- tions allemandes ont été, comme en août, en déficit de 9000 tonnes sur le taux de 200,000 on nés, considéré comme un minimum..

LA FÉDÉRATON 5 HORLOGERIE SUISSE

Pour économiser le charbon

Le Conseil fédéral,' dans sa séance de mardi matin, a pris dés 'mesurés énergiques en vue d'économiser le charboHi

L'arrêté ordonna la fermeture absolue des magasins de tous genres et des dépôts de co- mestibles le dimanche, sous réserve de quel- ques exceptions pour les locaux non chauffés, et pour la période du 15 au 31 décembre.

Les jours ouyrajbjßs, les boulangeries, lai- teries et boucheries ne peuvent s'ouvrir avant 7 h. 30 du matin, .les autres magasins avant 8 h. 30; tous les .magasins doivent être fer- més à 7 h. du soir,, sous réserve d'exceptions pour les pharmacie^ et les boutiques -de coif- feurs.

Les cafés et restaurants, à l'exception de ceux qui servent habituellement le petit dé- jeuner, ne peuvent s'ouvrir avant 9 heures du matin ; ils doivént'être fermés au plus tard à dl h. du soir, àTéxception d'un soir par se- maine. Après 9 h. du soir, il est interdit de servir des mets ou boissons chauds.

Dans les hôtels et pensions, on ne pourra chauffer au maximum qu'un quart des cham- bres à coucher, la moitié en cas de grands froids. Dans les^4jhôtels, restaurants et cafés, la distribution d'eau chaude est interdite.

Les cinématographes et music halls et au- tres lieux de divertissement devront être fer- més au moins 12 jjours par mois, et pourront être ouverts les,-autres jours de 7 h. à 11 heures du soir; -le dimanche de 2 h. à 11 heures. Les cantbns prendront des mesures pour restreindre'lé chauffage dans les théâ- tres et les salles'äb'cöhcert ; dans ces locaux, ainsi que dans les'assemblées et conférences, la température initiale est limitée à 13 degrés centigrade au maximum. -

Dans lès écoles e t bureaux le travail ne peut commencer'avant 8 h. du matin ni se terminer après S h. du soir. '' •'••

Cet arrêté entre en vigueur le 22 octobre.

Les pénalités prévues sont sévères.

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Le travail dans tes fabriques

La Division de l'ijadustrie et des arts et

•natta «Mi «-??

metiers communique :

La nécessité, d'économiser le charbon et d'utiliser les usines électriques d'une façon rationnelle a; aussi une répercussion inévita- ble sur l'organisation du "travail dans les fabriques. En outre, il,parait nécessaire pour diverses, raisons de restreindre lés autorisa- tions concernant la prolongation de la jour- née e.t le* t r à v a i f d é nuit," autorisations qui étaient délivrés par les autorités cantonales jusqu'ici; En çpnséquencei. le département de l'économie publique a envisagé les mesures.

propres à atteindre" les buts indiqués et à faci- liter en même ternps, en.se référant aux prin-r cipes qui sont énoncés dans la nouvelle loi sur les fabriques^ le passage graduel à des conditions économiques normales. En vue de discuter le projet d'arrêté du Conseil fédéral conçu dans cet ordre d'idées, le département a organisé le 6 octobre, à Berne, une confé- rence à laquelle étaient représentées l'Union suisse du commerce et dé l'industrie, l'Union centrale des associations patronales suisses, l'Union suisse des arts et métiers, la Fédéra- tion ouvrière suisse; la Division de l'indus- trie et des arts let métiers et la Division de l'économie industrielle de guerre. La commission fut unanime à reconnaître l'op- portunité des mesures suivantes : les usines électriques'et les fabriques qu'elles desservent s'entendront sur le temps le plus favorable pour la fourniture de l'énergie électrique, force et lumière, en vue de décharger les dites usines dans leurs pointes de charge. Ce pro- cédé obtint! la préférence sur la proposition qui fut faite de se conformer à la pointe de charge du matin ou du soir comprise entre 8 h. 30 du matin çt 7 h. 30 du soir ou 6 h. du matin et 5 h. du soir. Ce dernier système fut rejeté aussi bien par les représentants des fabricants que par ceux des ouvriers.

La journée normale prévue dans la nou- velle loi sur les fabriques (10 h., 10 h. et de- mie avec samedi après-midi libre) est indro- duite dans toutes les fabriques ; dans le but de restreindre et de régler d'une manière uni- forme les exceptions de longues durées, la

compétence nécessaire pour autoriser ces exeeptions est déléguée à la Confédération en lieu et place des cantons. Il s'agit ici de la prolongation de la journée normale et du tra- vail du dimanche. Le travail de nuit pour une longue période, ne doit plus être autorisé. Il sera remplacé éventuellement par le travail de jour réparti sur deux équipes. Un supplé- ment de salaire est de nouveau réglé d'après la nouvelle loi sur les fabriques.

Le travail de nuit des femmes âgées demoins de 18 ans et des jeunes gens de moins de 16 ans ne peut plus être autorisé. Comme l'installa- tion à titre purement provisoire de nouvelles exploitations de certaines branches n'est pas dans l'intérêt du développement normal de notre économie nationale, l'idée s'imposait de réagir d'abord contré là création de nou- velles entreprises pour la fabrication du ma- tériel de guerre, en proposant que l'autorisa- tion nécessaire pour installer et ouvrir des exploitations nouvelles ne relève plus des cantons, mais de la Confédération et d'autre part, qu'elle soit subordonnée à la preuve que l'entreprise projetée répond aux intérêts de la collectivité. Les fabricants et les représen- tants des ouvriers présents à la conférence ont adopté ce point de vue.

Le département s'est réservé de prendre plus tard position à cet égard. Le projet d'ar- rêté revisé sur la base des délibérations de l'asremblée sera porté, avant d'être transmis plus loin, à la connaissance des personnes qui ont participé à la conférence, afin de leur fournir l'occasion de faire les observations que ledit projet pourrait éventuellement leur suggérer.

Mouvement ouvrier

Ensuite d'arrangement, la grève des. ou- vriers nickeleurs de Bienne a pris fin. -

— La grève des ouvriers de la fabrique Marc Favre, à Madretsch, est aussi terminée.

— Un accord, est intervenu à la fabrique de boîtes Màthez, à Renan, les ouvrières polis- seuses n'ont pas eu besoin de quitter le tra-

Pour la foire suisse d'échantillons Un concours est ouvert entre les artistes de l'art graphique résidant en Suisse depuis au moins trois ans pour un projet d'affiche litographiqueen quatre couleurs, ayant com- me motif, le commerce, l'industrie et les mé- tiers de la Suisse et portant l'inscription

«Visitez la foire suisse d'échantillons à Bâle, 1918, du 15 au 30 avril ». Une somme de 1000 fr. est à la disposition du jury, dont 500 fr. pour le premier prix. Le jury est pré- sidé par M. Blocher, conseiller d'Etat. Les projets doivent être envoyés jusqu'au 6 no- vembre au bureau de la foire, à Bâle, Ger- bergasse n° 30. Ils seront exposés du 10 au 14 novembre, au Casino de Bâle.

L'impôt de guerre

D'après les tableaux qui viennent de pa- raître, le rendement total de l'impôt fédéral de guerre est de 123,819,560 fr/ 64 dont 92,114,105 fr- 24 pour les personnes physi- ques et 31,705,455 fr. 40 pour lés personnes morales. C'est à peu près le double de ce qui avait été prévu. '•

Recettes douanières

Les recettes des douanes qui étaient au mois de septembre 1916 de 4.677,341 fr., n'ont été au mois de septembre 1917, que de 3 mil- lions 450,007 fr., soit une diminution de 1,227,338 fr. Du 1^er janvier à fin septembre, les reeettes de douanes étaient en 1916 de 41,424.961 fr. et ellesontétéenl917 seulement de 39,540,081 fr., soit une diminution de 1,884,880 fr.

Registre du commerce Enregistrements :

27 septembre 1917. — Atelier mécanique S. À., société anonyme, cap. social 34,000

LA FEDERATION HOREOGERE SUISSE 619 francs nom., atelier mécanique, Calprino,

(Lugano, ïessin).

29 septembre 1947. — Vaacher &• Méroz, so- ciété en nom collectif (Dame Marie "V .-Ray, de Gorcelles-Gormondrèche, Léon-Arnold M., de Sonvilier) fabrication, achat et

; vente d'Horlogerie, Paix, 3 bis, La Chaux- de-Fonds.

29 septembre 1917. — E. Lade/& O , Société Tabes, société en nom collectif (Ernest L., deBönfol, RenéRliyn. de Büllodingon), ate- lier de décolletages; Tavannes.

29 septembre 1917. — Steiger & Weibel, so- ciété en nom collectif (Nrima St., de Bleien- bach, seul sigh, social, Hermance W*., de;

Rapperswil) tournages et décolletages de pièces détachées, rue des Vauches, Porren- truy.

29 septembre 1917.. — Mechanische Werk- sttitte Meccano, société par actions, cap. so- cial fr. 10,000 nom., production de frappes artistiques et produits similaires, Lyss.

2 octobre 1917. — Gassmahn (Emile G., de Charmoille) atelier mécanique, Delémont.-- 2 octobre 1917. — F. Egger (Fritz E.. de

Aarwangen), atelier mécanique, beim Bad, Wangenstrasse, Herzpgenb'uehsee.

2 octobre 1917. — I. fiiieff (Isa&c R.. de Mont- mollin, Neuchâtel), scies à métaux en touä genres et aciers, rué des Beaux-Arts 21, Neuchâtel.

3 octobre 1917. — Bottè'li & O , société en nom collectif (Àngelp B., de Tramelan-des sus, Dominique Bontemps, de Turin, Ghar- les Schlup, de Rülli p. Büren), décolletages en tous genres, rue de Courlelary, Trame- lan-dessus.

3 octobre 1917. '•>'— El 'Bonnet (Ami-Henri:

Louis-Ernest B., de Renens, Vaud),décolle- tages et mécanique de précision, Saars 8, Neuchâtel.

•4 octobre 1917. — Globe Watch C°, société anonyme, cap. social fr. 2,000 au porteur, fabrication et commcrce'd'horlogerie et ar-

ticles similaires, Fontendis (Jura-bernois).

4 octobre 1917. — Jules Moine (de Montt-

f

nez), atelier mécanique, Montignez (JTnra;- érnôis).

^ Iflodificatröri: r. .

1 octobre 1917. — LaVociété en nom collectif -•••'• Bühlmann & Simonet, fabriqué dé machi-

nés, Soleure, est dissoute, sa raison radiée.

L'actif et le passif sont repris par Bühle-

•mann & Simonet, A. G., Maschinenfabrik in Solothurn (Bühlmann &' Simonet

S. A., fabrique de mqçf&nes, .à Soleure) société par actions, cap. social fr. 300,000 nom., fabrication de machines, outils, appa- reils et pièces détachée^, .commerce de ma- chines, Herremveg iOi,^ßpleure. .'.'

RadiâtjdW:^:,J

3 octobre 1917. — Marîç.fîldser, fabricant d'horlogerie, GenèeeL;" '

• • •; :• : ist. , ) ; a a or-. >.'?.*; • •

Liste d e s dessins? e t m o d è l e s

'•r .•"•.' rrHÎSl'.l :'.:.;. •

N° 28431. 30 août l9l7,!Shⁱ;^. — Cacheté. — 1 modèle. — Articles' "if horlogerie et bijou- terie. — O. F. Bernheitï£;'LsL Chaux-de-Fds (Suisse). _ . •

N° 28440, 7 septembre lp(f/.7 b. p. — Ouvert.

— 1 modèle.. — .Coquerjet. porte-piton pour mouvements de montres,^-; vluguste Tissot, La Chaux-de-Fonds (Suisse). Mandataire : W . Koelliker, Bienne^ç s: ;

N« 28482. .7 septembre 1917,,6'/« h. p. — Ou- vert 2 modèles. ; -*s Tours. — Ernest Ball-r; et Charles Heb&fifi.ls, Genève (Suis- se). Mandataire : E. lmersSchneider, Genève.

P r o l o n g a t i o n s . -

N° 14357. 22 juin 1907, ö-l£p. — (III« période 1917/1922). — 1 modeler — Cadran ta- chymètre en deux, miniues pour indication de vitesse, toutes granneurs. :—'G. Léon Breitling, MontbrillantWatch Manufactory;

La Chaux-de-Fonds (Suisse). Mandataire:

A. Mathey-Dorêt, La Glîà.u.x-de-Fonds..; en- registrement du 8 septembre 1917. ... ; N° 14611. 17 septembre Ï#Q7,, f h, p, — ( U t

période 1917/1922). ;r - ; ' # ; modèles. — Car- tons emballage pour, limes et outils.cliverg.

— Usines MétallurgiqjiJes, de/k Vallorbe, Vallorb.e (Suisse); ,enregisj^einç,iit du, 11 septembre 1917,. , , \ < •..<:•, ,.',.• ûm'isj \ N° 21511: 31 octobre 19i-2^Ä;b.-pl :>-(Il'pé-

riode 1917/1922. ^-fd.-iriiwdele-j:-^ Montre ovale. — Fabriquesd'horlogerieThommen S. A. WaWenôung-. ^«yLd.enbung;(Suisse).

Mandataire : AI" rutrer.^Baïc ; 'enregistre- ment du 14 septembre 1917

ltudintloii O;•{-!'<»..'

•I rl i

N° 8951. 2 septembre 19Ö2'. ^-;'4' modèles. — Couvre-rochets'po4r'-rri6ntrfey Roskopf.

Nouvelles diverses ^•ir..

Hd-

Le plus g r o s d i a m a n t du m o n d e . — On à signalé le" mois dernier là découverte du

•' ° '••• ; .,'.-: -.i- ••)••-. fi :-i«jü: >:>a • •• -•

Premier, h qui, l'on peut accorder sans Jiési talion le titre de p l^{u s} gros diamant du monde, puisqu'il pesé 3030 carats, alors que les pierres précieuses les plus volumineuses n'ont pas le tiers de son poids.

Ses dimensions sont exactement de OmllS de. longueur, sur 0mQ563 de largeur. ]..

Q u a n d . à la valeur, à peine oserons-nous aligner les chiffres indiqués par les experts d'Amsterdam d'après la description et le

poids du Premier. • .••,-.•:-?;S'.

Ils déclarent qu'il vaut. 376:.millions... de francs s'il est vrai qu'il n'ait aucun défaut, comme l'ont affirmé les dépêches de l'Afrique du Sud. -

Ce nom de Premier lui vient de ce qu'il fut trouvé dans les terrains d'une mine diamanti- fère dénommée «.Premier mine». Elle, est si- tuée à Etandsfontein, non loin dé,Pretoria.

La compagnie se constitua après là guerre du Transvaal. -••m-ioh i^: v:,:

Escompte et change

Taux d'escompte. — Suisse: Banque na- tionale, officiel 4 '/s °/o ; hors banque 2y» %• — France S °/o. — Belgique -r-.—. Italie 8 %•

— Londres 8°/o. — Espagne —.—. — Pétrp- grade 6°/o. — Amsterdam 4 V» %• — Alle- magne 8 %.—Vienne B % . —; New-York —;—.

-^Stockholm 8 */»%.—Copenhague 8 % . Changes à eue (demande et offre): France 80.25/82.25. — Belgique'—;---/—.—. Italie 59.50/61.50. ^r Londres 22.0.4/22.64'. —• Espa- gne 109.—/111.—..—Petrograde 72.50/74.50.

— Amsterdam 198.80/200.80 — Allemagne 64.—/66.—. — Vienne 40.-8Ö/42.50: — New- York 4.48/4.88. » J Stôckbolm 169.-^/171—.

— Copenhague. 146^/148.^-: ..—.Christiania 148W18Q.--.,.^r,^; . ,^N.^{; r} ;^f ..y^tn.^h.,...

Cote d u d i a m a n t b * u t >

:- ;::;!..;:: du r t. octobre. I g lj\ ',•••-- -•

de la maison/ Lucifin. ,Bas?anger ^% 10, Corràterié/Genève.

•Petttff éclats diâmkiiV" . T r . 16,80 à 17,80 l«e»r»t Poudre de.diamant brtiteur » ^ Ö » 2,40 »

Cot© d e F a r g e n t

du ia octobre igij Argent fin laminé

Change sur Paris .

fr. 176 — le kilo . . . fr. 80.75

ii.i. J-J-

des poinçonnements effectués et p e n d a n t l e

le./..:-. :•. • 'ir. .'.' i'.c. •• t<*. •• ;i.$h ••!-•* •;•'.•'• IÎ-'^V;' ';' " '' : .'-"-•' -•*•:• -'.n:{ ::-ji.-.

'> T a b l e a u c o m p a r a t i f

des essais faits par lès bureaux de contrôle des ouvrages d'or et d'argent

3,n:: t r i m e s t r e d e c h a b ù n e d e s a n n é e s 1916 e t 1917. • •:<•• r - v

• . Bureaux

1. Bienne . . . . 2. Ghaux-de-Fds.

3. Delémont. . . 4. Fleurier . 5. Genève . . . . 6. Granges (Sobre).

7. Locle

8. Neuchâtel v.".

9. Noirmont . . 10. P o r r e n t r u y . . 1 1 . St-Imier . . . 12. Schaffhouse . 13. Tramelan . .

Total Plus 1917 Moins 1917 Objets vérifiés en de

791 boites pi 765 »

.< Bottes de montres poinçonnées . . ! ; n : c:. Bottes d'or

1916 1917

Pièces I Pièces

10.536 6.743 139.477

2.265 510 7.021 .' 2.770

16.882 19 5.497

— 17.439

—

— 202.416

—

104.191 3.634 488 7.556 1.828 11.799

— 2.471

— 19.084

—

—

Bottas d'argent 1916 1917

Pièces

96.767 5.788 19.070 51.087 82.221 142.727 16.588 22.924 115.659 85.768 69.762 9.648 101.711 175.7941 819.720

44.622" —

Pièces

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Banque du Locle

Usine de dégrossissage de métaux précieux

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Assortiment complet de c a r r u r e s et l u n e t t e s l a m i n é e s . — C a r r u - r e s c i s e l é e s . — Spécialité de c a r r u r e s t r è s é v a s é e s pour boîtes e x t r a p l a t e s . — L u n e t t e s c i s e l é e s pour boîtes a n t i q u e s . — Spécialité de lu- n e t t e s g e n r e a n g l a i s t r è s l é g è r e s à l a r g e s r e h a u t s de l u n e t t e s c i s e - l é e s et de lunettes unies pour boîtes e x t r a - p l a t e s ; toutes ces lunettes sont livrées de forme pour supprimer en partie l'emboutissage. — Lunet- t e s pour boîtes g e n r e E m p i r e . — Or et argent à tous titres et façons à l'usage des monteurs de boites, bijoutiers, fabricants de pendants, em- boiteurs, etc. — Cercles l a m i n é s de forinc pour v e r r o u s de répétitions.

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Spécialité d ' o r â t i t r e b a s , r é p u t é s , s e t r a v a i l l a n t et s ' é m a i l l a n t bien. — Or (in ponr doreurs, etc. — Essais des Matières d'or et d'argent.

Ouverture de crédits en comptes-courants.

La fabrique de contre-pivots et sertissages

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Trriprimprie de la Félération Horlogère Suisse (Haefeli & Co ), La Chaux-de-Fonds.