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CIUSSS de l Est-de-l Île-de-Montréal. Introduction des aliments solides

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Academic year: 2022

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CIUSSS de l’Est-de-l’Île-de-Montréal

Introduction des aliments solides

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Allaitement

L’allaitement maternel exclusif est recommandé pendant les six premiers mois de vie de votre bébé.

L’allaitement maternel est important sur le plan nutritionnel. En plus d’assurer une protection immunologique, il favorise la croissance et le développement chez les nourrissons et les jeunes enfants.

Si l’enfant n’est pas nourri au sein, le lait maternel donné au biberon est une solution de rechange à considérer.

Si l’allaitement est impossible, il est recommandé d’offrir une préparation commerciale pour nourrissons enrichie de fer jusqu’à 1 an.

Le lait de vache 3,25 %, peut être offert graduellement entre 9 et 12 mois, lorsque l’enfant consomme les solides en quantité suffisante et qu’il couvre ses besoins en fer. Ne pas offrir plus de 750 ml (25 onces) de lait de vache par jour aux nourrissons. Le lait 2 % ou 1 % peut être introduit à 2 ans. Le lait écrémé (0 %) ou partiellement écrémé (1 %, 2 %) ainsi que les boissons végétales (boissons de soya, riz, amandes, coco) ne conviennent pas dans les deux premières années de vie (à moins d’avis contraire d’un professionnel de la santé).

Suppléments de vitamine D

Pour les nourrissons qui reçoivent du lait maternel, un supplément de 400 UI de vitamine D par jour est recommandé, dès la naissance. Pour les nourrissons recevant une préparation commerciale pour nourrissons, il est possible qu’il ait aussi besoin de vitamine D. Informez-vous auprès de votre professionnel de la santé.

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Habitudes alimentaires saines

Afin de développer les habilités motrices de bébé, servez de façon graduelle le lait dans un verre régulier ou une tasse ouverte dès 8 ou 9 mois. Sevrez progressivement le biberon aux alentours de 12 mois (cessez au plus tard à 18 mois).

Le jus n’est pas nécessaire à la santé des nourrissons et ne devrait jamais être offert au biberon. Il peut être offert aux alentours de 12 mois, dilué avec de l’eau. Maximum 60 à 125 ml (2 à 4 onces) par jour aux enfants d’âge préscolaire.

Favorisez les repas pris en famille. Le moment des repas devrait être calme, agréable et positif, sans distraction comme des jouets, la télévision, l’ordinateur ou la tablette. Privilégiez un horaire régulier pour les boires, les repas et les collations. Manger de façon équilibrée est important pour toute la famille.

Le repas est donc une belle occasion pour les parents de donner un bon exemple de saines habitudes alimentaires.

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Quand débuter l’alimentation solide ?

Lorsque bébé est âgé d’environ 6 mois, qu’il s’intéresse aux aliments, qu’il est capable de s’asseoir dans sa chaise haute sans soutien et qu’il maîtrise suffisamment les muscles de son cou pour tourner la tête de façon à pouvoir signifier qu’il n’a plus faim. Il n’est pas recommandé de débuter avant 4 mois.

À 6 mois il est temps d’introduire les aliments si ce n’est pas encore fait.

Et pour les prématurés ?

Suivez ce guide tout en tenant compte du degré de développement de l’enfant. En général le prématuré est prêt à s’alimenter entre 4 et 6 mois d’âge corrigé (âge qu’il aurait s’il était né à terme).

Certaines problématiques sont plus fréquentes chez les nourrissons prématurés : retard du développement oral-moteur, sélectivité alimentaire, besoin de contrôle, nombreux haut le cœur, hypersensibilité, régurgitations, reflux gastro-œsophagien, faible appétit, etc.

Chaque nourrisson est différent : il se peut que certains prennent plus de temps pour développer les habiletés requises pour l’alimentation.

En raison des problématiques reliées à la prématurité, la Diversification alimentaire Menée par l’Enfant (voir section sur la DME) n’est pas une méthode d’introduction des solides à privilégier.

En effet, certains enfants présentant des difficultés avec les purées pourraient bénéficier d’une DME modifiée (DME avec des aliments mous associés avec des céréales pour bébé ainsi que des viandes et substituts en purée ou autre combinaison selon les difficultés de l’enfant). Consultez un professionnel de la santé pour obtenir un avis à ce sujet.

Comment débuter ?

Au moment des repas, positionnez l’enfant dans une chaise haute ou dans un siège d’appoint conçu pour l’alimentation. Il doit être confortable et pouvoir toucher et manipuler les aliments. La hauteur de la tablette doit être réglée de façon à ne pas bloquer les mouvements des bras.

Pour l’enfant présentant une difficulté à tenir la position assise, une chaise adaptée ou un siège d’appoint inclinable peut faciliter le positionnement (légèrement incliné vers l’arrière). Vérifiez auprès d’un professionnel de la santé.

Assurez-vous d’offrir les premiers repas à un moment de la journée où bébé est en forme et de bonne humeur. Introduisez un seul aliment nouveau tous les 2 ou 3 jours. Lorsqu’un nouvel aliment est introduit, continuez à offrir régulièrement les aliments que l’enfant connaît déjà.

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À chaque repas, faites goûter les aliments séparément. Il se peut que l’enfant semble plus ou moins apprécier un nouvel aliment. Si après quelques jours il le refuse toujours, n’insistez pas et essayez à nouveau un peu plus tard.

Quoi donner ?

Les premiers aliments offerts doivent être riches en fer. Les céréales pour bébé enrichies de fer, les viandes, volailles, poissons, œufs, légumineuses, tofu, sont de bons exemples. Poursuivez avec des aliments nutritifs et appropriés pour l’âge (se référer au guide Mieux-vivre avec notre enfant).

Afin de permettre à bébé de développer ses habiletés orales, il est préférable d’offrir les céréales et autres purées à la cuillère. Ne les ajoutez pas dans le biberon et évitez le plus possible de les offrir dans une pochette à boire.

Il est possible de préparer les purées à la maison ou de se procurer des aliments pour bébé du commerce. Les purées maisons sont en général plus économiques et permettent de progresser la texture des aliments selon l’habileté et les goûts de l’enfant. Les aliments doivent être préparés avec peu ou pas de sel ou de sucre.

Si on opte pour les purées du commerce, choisir autant que possible des purées composées uniquement de légumes, de fruits ou de viande, plutôt que des mélanges. Les viandes seules

contiennent plus de fer que les mélanges de légumes et viande. Ne vous fiez pas à l’âge inscrit sur le contenant mais plutôt aux capacités orales et motrices de votre enfant.

Il est important de lire la liste des ingrédients afin de s’assurer que la purée ne contient pas de sel, de sucre ou d’agent épaississant (tapioca, amidon de maïs, farine).

Afin d’éviter une trop grande quantité de nitrates dans l’alimentation du nourrisson, n’offrez pas les carottes, betteraves, navets et épinards avant 6 mois et variez les légumes offerts. Évitez les légumes en conserves, qui sont souvent trop salés. Privilégiez les légumes frais ou surgelés.

Les fruits en conserve dans un jus non sucré peuvent être utilisés. Ne donnez pas de miel, pasteurisé ou non, avant un an.

Une alimentation végétarienne équilibrée peut convenir à bébé. Il existe cependant un risque de carences, surtout s’il s’agit d’un régime strict. Par exemple les sources végétales de fer sont moins bien absorbées que les sources animales. Il sera important de bien équilibrer les repas. Consultez une nutritionniste.

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Quelles quantités donner ?

Pour chaque nouvel aliment :

Commencez par 5 ml à 15 ml (1 à 3 c. à thé), 1 fois par jour, après le boire. Puis, lorsque les aliments sont bien tolérés, offrez deux puis trois repas par jour.

Augmentez progressivement selon l’appétit de bébé. Maintenez un horaire régulier de repas. Ajoutez des collations au besoin.

Quelle texture offrir à bébé ?

Le rythme de progression dépend de chaque nourrisson.

Ceci peut vous servir de guide

Vers 4 à 6 mois : Purée lisse, plus ou moins épaisse.

Vers 6 à 8 mois : Purée plus épaisse ou écrasée à la fourchette et aliments mous (que l’enfant peut prendre avec ses doigts)

Vers 8 à 9 mois : Aliments mous et aliments coupés finement, râpés, en lanières.

Progressez selon l’habileté de l’enfant. Encouragez-le à s’alimenter par lui-même, avec ses doigts.

Offrez-lui des aliments mous :

• fruits mûrs : banane, poire, pêche, melon, etc.

• légumes cuits : carotte, pomme de terre, patate douce, chou-fleur, courge, avocat, etc.

• produits laitiers : fromage mou (température de la pièce), fromage en tranches, cottage, etc.

• produits céréaliers : pain grillé, pâtes très cuites, etc.

• viande et substituts : bœuf tendre coupé fin, poulet émietté, poisson, tofu, œufs brouillés, etc.

Dès que possible, offrez-lui les mêmes aliments que le reste de la famille, en modifiant la texture au besoin. Vers 1 an, il devrait manger pratiquement comme le reste de la famille.

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DME

La Diversification alimentaire Menée par l’Enfant, ou alimentation autonome du nourrisson, consiste à laisser le bébé prendre lui-même les aliments avec ses mains afin qu’il s’alimente seul. L’étape des purées n’est pas nécessairement présente avec cette approche.

L’alimentation autonome ne commence pas avant 6 mois, car c’est à ce moment que l’enfant a généralement le contrôle moteur nécessaire (tête, tronc, mains, mouvements de sa bouche et de sa langue) pour manger des morceaux. En effet, il doit être capable de porter les aliments à la bouche et de se tenir assis de façon autonome pour manger lui-même.

Cette méthode encourage l’enfant à manger les mêmes aliments mous que le reste de la famille (voir quelle texture offrir à bébé) et poser directement sur la tablette.

Il est important de suivre les conseils pour prévenir les étouffements. La DME peut ne pas être appropriée si l’enfant présente un retard de développement ou un problème de dysphagie. Il est important d’en parler avec un professionnel de la santé dans de tels cas.

Le temps alloué aux repas peut être plus long, car il faut donner le temps à l’enfant de manger à sa faim.

Il est important que l’enfant mange des aliments riches en fer deux à trois fois par jour, viande, volaille, poisson, légumineuses, œufs, tofu. S’il arrive difficilement à manger ces aliments, il faudra considérer lui offrir des céréales pour nourrissons enrichies en fer, malgré le fait qu’elles soient de texture purée.

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Haut-le-cœur

Lorsque bébé commence à manger, il peut avoir des haut-le-cœur. Il s’agit d’un réflexe normal pour le protéger des étouffements. Il est important de réagir calmement si cela arrive.

Effectivement, si le parent réagit négativement, bébé pourrait associer l’aliment au danger et ainsi le refuser lorsqu’il lui sera offert à nouveau.

Si les haut-le-coeur persistent ou sont présents quotidiennement, consultez un professionnel de la santé.

Pour réduire le risque d’étouffement

L’enfant doit manger assis et sous surveillance. Évitez les aliments petits, durs, ronds et collants avant l’âge de 3 à 4 ans (ex. : arachides, noix, graines, bonbons durs, pastilles contre la toux, gomme à mâcher, maïs soufflé, chips, fruits séchés, gros morceaux de légumes crus, raisins secs, raisins frais entiers, rondelles de saucisse, aliments piqués sur cure-dents ou brochettes).

Étendre le beurre d’arachides en fine couche sur des craquelins ou des rôties : ne le donnez pas à la cuillère car le beurre d’arachides est collant et pourrait rester pris au palais.

Retirez aussi le cœur et le noyau des fruits. Coupez les raisins et les tomates cerise en quatre et taillez les saucisses dans le sens de la longueur, puis en petits morceaux.

Finalement retirez les os de la viande et les arêtes du poisson.

Bébé mange-t-il assez ?

Il importe de respecter l’appétit de bébé. Ne le forcez pas !

Les parents sont responsables de la qualité des aliments offerts, du lieu et de l’horaire des repas et bébé détermine les quantités dont il a besoin.

Si votre enfant refuse un nouvel aliment, ne vous inquiétez pas : un enfant peut goûter plusieurs fois (entre 15 et 20) un aliment avant de s’y habituer.

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Prévention des toxi-infections alimentaires

Lavez-vous les mains et nettoyez les ustensiles et les surfaces de travail avant de manipuler les aliments.

Assurez un entreposage sécuritaire et portez attention aux risques de contamination lors de la préparation des aliments.

Évitez les produits crus ou pas assez cuits contenants de la viande, des œufs, de la volaille, du poisson.

Évitez le jus, le lait ou les produits laitiers non pasteurisés.

Allergies

Il n’y a pas lieu de retarder l’introduction des allergènes alimentaires communs (arachides, poisson, blé, produits laitiers, soya, œufs entiers, etc.). Ceux-ci peuvent être offerts à partir de l’âge de 6 mois.

Cependant si l’enfant est allergique au lait de vache et/ou au soya et/ou au bœuf, il sera important de lire les étiquettes des aliments offerts afin d’éviter ces allergènes. Consultez une nutritionniste.

La majorité des céréales pour nourrissons sur le marché contiennent du lait et/ou du soya ou peuvent en contenir. Voici des marques de céréales pour nourrissons qu’il est possible de donner à bébé s’il est allergique au lait et/ou au soya : First Food Organics (produits disponibles dans les magasins d’aliments naturels tels que Avril, Rachelle-Bery ou en ligne), céréales Baby Gourmet (dans certaines pharmacies, Wal-Mart ou au www.babygourmet.com) et la céréale d’avoine biologique de Gerber.

Il sera important d’attendre la résolution de l’allergie avant d’introduire le lait, le soya, les produits laitiers ou le bœuf. Suivez les indications de la nutritionniste ou du médecin.

Prévention de l’anémie

Le lait maternel est l’aliment de choix pour le bébé. Sa composition favorise l’absorption du fer lorsqu’il est l’unique alimentation du bébé. Si une préparation pour nourrissons est offerte, utilisez une formule enrichie de fer jusqu’à l’âge de 9 à 12 mois.

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Maintenez un apport en aliments riches en fer dès que bébé est prêt à manger, vers 4-6 mois :

• Céréales pour bébé : jusqu’à l’âge de 2 ans ;

• Viandes et substituts : vers l’âge de 6 mois (pas plus tard, 2 à 3 fois par jour). Évitez les mélanges commerciaux de viande et de légumes, ils contiennent moins de fer ;

• Légumineuses : pois secs, haricots secs, lentilles, pois chiches ;

• Légumes verts : une fois par jour.

Assurez-vous d’offrir des aliments favorisant l’absorption du fer, comme les fruits et légumes riches en vitamine C. Une source à chaque repas : orange, clémentine, kiwi, brocoli, fraises, tomates.

Que penser des purées en sachet

Les sachets de nourriture sont appréciés parce qu’ils facilitent la vie : pas besoin de s’arrêter pour le repas ! C’est pratique, mais cela doit demeurer un dépanneur pour les sorties.

Il est important de prendre le temps de manger à la table, ceci permet à l’enfant de développer des comportements adéquats au moment des repas, en plus de lui permettre de travailler ses habiletés manuelles.

Même si on indique de donner la purée à la cuillère sur l’emballage, les parents laissent souvent l’enfant

« boire sa purée » ce qui ne favorise pas le développement des habiletés orales motrices. Donc, autant que possible, il est recommandé de les offrir à la cuillère.

Ces purées lisses sont souvent composées de plusieurs aliments, ce qui ne permet pas à l’enfant de bien identifier et de connaître le goût et la vraie texture des aliments.

Prévention du refus de s’alimenter

Installer une routine de dodo et de repas est primordial pour favoriser un bon appétit chez le nourrisson et le jeune enfant. Un sommeil suffisant et des repas à heures régulières prédisposent à un meilleur appétit.

Pour bien manger, il faut d’abord avoir faim. Si l’enfant refuse de s’alimenter, évitez les comportements qui coupent l’appétit : allaitement ou boires de nuit, allaitement ou biberons à n’importe quelle heure du jour, consommation d’eau ou de jus inappropriée.

Laissez assez de temps (par exemple, 2 heures) entre les repas, collations et biberons pour que l’estomac de l’enfant soit vide au moment où on s’installe à la table. Évitez les activités trop intenses

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Le lieu le plus approprié pour l’alimentation demeure la cuisine ou la salle à dîner. L’enfant distrait a tendance à manger moins. Fermez la télévision, évitez le téléphone, la tablette, les jouets et les livres au moment des repas.

Les parents ont un rôle de modèle. Il est recommandé qu’ils prennent le temps de manger avec l’enfant.

Profitez des repas en famille pour communiquer, raconter la journée...

Limitez la durée des repas à 20 – 30 minutes.

Une bonne journée commence avec un petit déjeuner en famille, c’est un repas important pour tous, autant pour les petits que leurs parents.

Établissez un menu équilibré offrant de la variété et qui respecte les goûts et les compétences orales de l’enfant. Incluez une valeur sûre (pâte, pain, fromage) et agrémentez le repas d’aliments que vous aimeriez qu’il apprécie ou bien qui lui permettent de travailler sa mastication.

N’insistez pas pour qu’il termine l’assiette. Respectez les refus, il n’a peut-être plus faim. Toutefois, ne compensez pas en lui offrant un aliment de remplacement car ceci l’encourage dans son refus. Par contre, offrez lui un dessert nutritif (yogourt, fruits, etc.) et une collation en fin de soirée qu’il ait bien manger ou non.

N’utilisez pas la ruse pour alimenter l’enfant : ne profitez pas d’une ouverture fortuite de la bouche pour glisser la cuillère. L’enfant doit être conscient qu’il mange. Recherchez l’ouverture volontaire de

la bouche et assurez-vous que l’enfant a vu la cuillère arriver.

Permettez à l’enfant de découvrir, regarder, sentir, toucher, manipuler les aliments nouveaux.

Quand consulter un professionnel

• Vomissements, étouffements, toux répétés durant et après les repas.

• Infections respiratoires à répétition.

• Refus de s’alimenter, difficultés avec aliments en morceaux pendant plusieurs jours.

• Suspicion de réaction allergique.

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ALIMENTS RICHES EN FER

Offrir 2 à 3 fois par jour

LÉGUMES ET FRUITS

Varier les couleurs

PRODUITS CÉRÉALIERS Céréales pour bébé enrichies de fer, en donner jusqu’à deux ans

□ Avoine

□ Mixte

□ Orge

□ Riz

□ Soya

□ Avec légumes ou fruits que l’enfant a déjà mangé Autres produits céréaliers

□ Bâtonnets de pain

□ Biscottes

□ Céréales Nutrios

□ Couscous

□ Craquelins peu salés

□ Crème de blé

□ Gruau

□ Orge, millet, quinoa, seigle, amarante

□ Pain grillé

□ Pain pita, pain naan, tortilla

□ Pâtes alimentaires

□ Riz bien cuit, collant et/ou écrasé au besoin

□ ...

VIANDES ET SUBSTITUTS*

□ Agneau

□ Bœuf, veau

□ Dinde

□ Foie (au plus 30 ml par semaine, éviter le foie de gibier)

□ Gibier (sauf le gras et les abats)

□ Porc

□ Poulet

Poisson** et fruits de mer

□ Poissons sans arêtes ; aiglefin, flétan, morue, plie (sole), turbot (de mer), saumon, truite, tilapia, frais ou surgelés.

Éviter le poisson cru

□ Crustacés et fruits de mer selon les habitudes de consommation de la famille Œuf bien cuit, blanc et jaune Légumineuses

□ Fève de soya

□ Haricots blancs, noirs, rouges

□ Lentilles

□ Pois chiches Tofu

Beurre d’arachides, de noix, d’amandes crémeux, nature, tartiné en mince couche ; ne pas donner à la cuillère

LÉGUMES

□ Artichaut

□ Asperges

□ Aubergine

□ Avocat

□ Betterave (6 mois)

□ Brocoli

□ Carottes (6 mois)

□ Champignon

□ Chou

□ Chou de Bruxelles

□ Chou-fleur

□ Concombre

□ Courge

□ Courgettes

□ Épinard (6 mois)

□ Haricots jaunes, verts

□ Igname

□ Maïs

□ Navet (6 mois)

□ Oignon, ail

□ Patate sucrée (douce)

□ Pois mange-tout

□ Pois verts

□ Poivron

□ Pomme de terre

□ Tomate

□ ...

FRUITS

□ Abricot

□ Banane

□ Bleuet

□ Cantaloup

□ Cerise (sans noyau)

□ Clémentine

□ Compote du commerce non sucrée

□ Fraise

□ Framboise

□ Kiwi

□ Mangue

□ Melon

□ Mûre

□ Nectarine

□ Orange

□ Pamplemousse

□ Papaye

□ Pêche

□ Poire

□ Pomme

□ Prune

□ Pruneau

□ Raisins (coupés)

□ ...

PRODUITS LAITIERS PASTEURISÉS

□ Fromage mou : cottage, ricotta, quark

□ Mozzarella, gouda, cheddar râpé ou taillé en tranches minces

□ Yogourt nature ou aux fruits peu sucrés, ayant 2 % de matières grasses et plus

□ Desserts au lait maison, peu sucrés

Entre 9 et 12 mois, si le nourrisson s’alimente bien et couvre ses besoins en fer :

□ Lait de vache entier (3,25 %).

* Éviter les viandes fumées et charcuteries : jambon, bacon, saucissons, viandes pressées, etc. car elles contiennent du sel et des nitrites.

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Notes

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CIUSSS de l’Est-de-l’Île-de-Montréal Hôpital Maisonneuve-Rosemont 5415, boul. de l’Assomption Montréal (Québec) H1T 2M4

514 252-3400

https://ciusss-estmtl.gouv.qc.ca

D’autres publications et ressources d’intérêt sur la santé sont disponibles sur le site Internet du Centre d’information pour l’usager et ses proches (CIUP).

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