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Nouvelle Recrue, Donatien MOISDON

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Academic year: 2021

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Texte intégral

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NOUVELLE RECRUE

À l’université j’avais très peu d’amis ; seulement des copains. Il faut dire que j’étais bien résolue à réussir. Je travaillais dur. J’évitais les boîtes de nuit ou les interminables soirées au café. Je ne faisais partie d’aucun cercle, fût-il politique, littéraire ou sportif.

J’avais des loisirs tout de même. Je sortais de temps en temps avec des garçons mais ça ne marchait jamais. Ou bien leur approche était timide et platonique, et j’avais l’impression de perdre mon temps, ou bien, et c’était la majorité des cas, elle était si agressive et si instantanément exigeante que, malgré le désir intense que j’avais de “trouver quelqu’un” (comme on dit) ces garçons me faisaient peur, tant je les sentais égoïstes et irresponsables.

Finalement j’ai appris à “vivre avec moi-même”. Mes études me plaisaient, mes cours m’enthousiasmaient, le temps passait vite. Le soir, après un bain chaud et mousseux, je m’endormais comme une souche. Si, par hasard, le sommeil tardait à venir, ma main se dirigeait instinctivement vers mon clitoris et lui faisait fête.

Mes parents, petits commerçants, étaient trop pauvres pour m’envoyer à l’université mais trop riches, selon les critères de l’Administration, pour qu’on me donne une bourse. Comme des milliers d’autres jeunes, je leur pourrissais la vie au moment même où ils auraient dû commencer à récolter le fruit des soixante heures de travail par semaine auxquelles ils s’étaient astreints pendant des années. La vie était dure pour moi aussi mais j’aurais été la pire des ingrates si je m’en étais plainte. La plupart des étudiants que je rencontrais tous les jours étaient, à des degrés divers, dans la même situation.

Je fus donc intriguée lorsque deux jolies filles, une blonde et une brune, qui suivaient avec moi un cours de littérature comparée commencèrent à montrer des signes de prospérité – prospérité toute relative, d’ailleurs – en particulier des toilettes plus élégantes. Je les entendais aussi parler de leur nouvel appartement, toujours modeste mais plus confortable que l’ancien, et des restaurants qu’elles commençaient à fréquenter... Un jour, à la fin d’un cours, je leur demandai en riant si elles avaient gagné au Loto.

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Je les vis rougir, et me reprochai immédiatement d’avoir posé la question. Elles n’auraient certes pas été les premières à se prostituer ou à se trouver un Papa Gâteau. “À ton avis ?” répondit Géraldine, élégante brune au sourire engageant.

Les autres étudiants ayant quitté la salle, il ne restait plus que nous trois. Je ne savais plus où me mettre. “Écoutez” leur dis-je, “je suis désolée. J’ai parlé sans réfléchir. Disons que, d’un côté j’ai peu d’expérience de la vie mais que, de l’autre, je suis très tolérante.”

“Alors on va te faire deviner.” C’était Monique, la blonde, qui, cette fois, s’adressait à moi. Elle était assez petite, et me regardait avec un grand sourire gamin. Elle continua : “Oui, comme tu t’en doutais, il y a du sexe là-dedans mais c’est sans aucun danger et nous ne sommes pas des prostituées, même à temps partiel. En fait, Géraldine est encore vierge.”

“Moi aussi” murmurai-je, mise en confiance par leur simplicité. “Est-ce que cela implique des hommes ?”

“Oui et des femmes aussi.”

“Alors là, je ne vois plus du tout. Il y a des hommes et des femmes ; c’est une affaire de sexe, cela vous rapporte de l’argent mais ce n’est pas de la prostitution ?”

“Exactement. Nous avons besoin de nouvelles recrues. Cela t’intéresse ?”

“Ben… si je savais de quoi il s’agit…”

“Viendrais-tu avec nous si on te promet que personne ne mettra la main ou même le petit doigt sur toi ?”

“Ça y est, j’y suis. Vous posez nues pour des sites Internet.” “On ne dirait pas non” répondit Géraldine “si l’occasion se présentait, mais en fait, ce n’est pas cela du tout.”

“Allons” soupira Monique. “Il est temps d’appeler un chat un chat. Si tu veux savoir, nous nous exhibons. Ça se passe dans un cercle fréquenté, dans l’ensemble, par des gens dont l’âge varie entre la trentaine et la soixantaine. L’endroit s’appelle Le Cercle Brico parce que le bricolage, c’est quelque chose que l’on fait soi-même. Autrement dit, c’est un cercle de masturbation.”

Je n’en croyais pas mes oreilles : “Ça par exemple, Ça existe vraiment ces choses-là ?”

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“Bien sûr” reprit Monique. “Je dois dire tout de même qu’au début j’ai été aussi surprise que toi. Il s’agit de voyeurs et d’exhibitionnistes qui ont une peur bleue de choper quoi que ce soit, surtout le SIDA, bien entendu. Certains se donnent bonne conscience en se disant qu’ils ne trompent pas leur partenaire. Brico est certainement la façon la moins dangereuse de s’amuser sexuellement tout en partageant ses activités avec d’autres. On ne touche personne, on n’embrasse personne. Si certains veulent se revoir plus tard, ça les regarde mais les règles du cercle ne sont jamais enfreintes sur place. Nous nous donnons en spectacle. Nous nous masturbons devant eux. Ça les met dans l’ambiance, ils se font jouir, soit en nous regardant, soit en se regardant les uns les autres. Il y en a qui ne font que regarder. Chacun est absolument libre. À la fin, ils mettent de l’argent dans un panier, et quand ils sont partis, nous partageons. Ah, pour ça, ils ne sont pas radins ! Je n’ai jamais quitté l’appartement sans avoir au moins 300 Euros à mettre dans mon sac à main. Pour nous, c’est énorme.”

J’admis que cela ferait une grande différence pour moi aussi. “Mais pourquoi” ajoutai-je “voudriez-vous m’en faire profiter ?”

“Ben voilà : pas question d’y aller quand nous avons nos règles. Nous aimons aussi, de temps en temps, rentrer dans notre famille pour les fins de semaines, et il se trouve que les réunions du Cercle se font toujours le samedi soir. On peut tomber malade ou s’arrêter pour des raisons personnelles. Récemment, une fille nous a quittés. Pour quelle raison ? Je te le donne en mille : elle a épousé l’un des spectateurs. Il n’est pas rare qu’ils tombent amoureux...”

“Écoute” continua Géraldine “nous pouvons mentionner ton existence au club si tu veux. Tu viens en simple spectatrice. Comme ça, tu te fais une opinion.”

Ma bouche était sèche. J’adorais me caresser mais je ne pensais pas pouvoir le faire devant un parterre de voyeurs. Ce n’était pas de la pruderie ; c’était un sentiment d’impossibilité. À titre de comparaison, je dirais que je n’avais jamais fait de saut à l’élastique, et n’avais aucunement intention de commencer mais j’imaginais que les deux situations avaient beaucoup en commun : on sait qu’on ne risque rien, on sait que l’activité fournira des émotions fortes et inoubliables, mais on se sent paralysé.

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Un peu triste, je déclinai leur offre. Elles cachèrent leur déception avec élégance.

Vers dix heures du soir, alors que je travaillais avec le seul objet de luxe que mes parents aient pu m’offrir (un ordinateur) il y eut un léger grattement à la porte de ma chambre. J’avais honte de cette chambre, et par conséquent n’aimais pas beaucoup les visiteurs. C’était Géraldine, suivie de Monique. Je dus admettre que je fus contente de les revoir. Leur offre m’avait donné une peur bleue mais j’étais soulagée du fait qu’elles ne m’eussent pas laissé tomber. Si je dois être honnête avec moi-même, j’espérais secrètement qu’elles me diraient n’avoir pas réussi à recruter une autre fille. Quelles armées de contradictions se battent ainsi dans nos âmes ?

Elles me fascinaient. En les regardant, j’essayais de les imaginer “en situation” tout en me sentant incapable d’en faire autant. J’avais beau réprouver la plupart des tabous sexuels, j’en étais encore prisonnière. Je comprenais parfaitement que l’un des plus délicieux frissons dans la vie consiste à surmonter sa pudeur mais j’avais derrière moi vingt années d’éducation sévère et religieuse.

Je préparai du thé pour mes amies. Nous engageâmes une conversation anodine où il était question du temps, du chien de la concierge et des cadeaux que nous allions acheter pour Noël. Finalement, Géraldine revint à la charge.

“Écoute, nous ne sommes pas venues pour t’embêter mais, avant d’aborder quelqu’un d’autre, nous avons pensé que tu méritais une deuxième chance parce que tu es très jolie et surtout pas vulgaire. Les membres du club ont horreur de la vulgarité. Ils veulent regarder des étudiantes, de vraies jeunes filles, pas des professionnelles blasées. Autrement dit, les fards, les talons hauts, les dessous noirs ou rouges, les minijupes en cuir, les porte-jarretelles, les collants résilles, les corsets style Vie Parisienne et autres accessoires de bas étage ne les intéressent absolument pas. Fraîcheur, jeunesse, simplicité. Voilà ce qu’ils trouvent érotique, et pour cela, tu es parfaite.

Nous étions toutes les trois assises, buvant notre thé, autour d’une de ces tables en bois blanc et aux pieds vissés, si bon marché et si populaires dans les chambres d’étudiants. Géraldine se leva et alla s’asseoir sur le plancher, le dos contre le mur. Elle portait une jupe assez courte et dans cette position, montrait de

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jolies jambes et un minuscule slip blanc. Lentement, très lentement, elle ouvrit les jambes jusqu’à ce que la partie renforcée de sa petite culotte se trouve aplatie et étirée au maximum. Elle posa les doigts de sa main droite sur son genou gauche, les fit courir le long de sa cuisse, remonta jusqu’au ventre, qu’elle avait magnifiquement plat, et les introduisit dans le sous-vêtement.

Je retenais mon souffle. Elle avait choisi d’agir. Une bonne démonstration vaut mieux qu’une longue explication. Ses doigts commencèrent à bouger. Je voyais la bosse qu’ils faisaient dans le slip monter et descendre régulièrement. Géraldine me regardait et me souriait.

Bientôt, pourtant, elle cessa de sourire, tourna la tête sur le côté, et ferma les yeux. Ses joues se coloraient. Sa respiration se faisait plus profonde. J’étais tellement hypnotisée que je ne saurais dire combien de temps cela dura mais je me souviens qu’à un moment donné, ses doigts se mirent à bouger de plus en plus vite, et que ses jambes furent prises de sursauts qui les écartaient encore davantage. Elle émit un gémissement, ouvrit la bouche comme si elle manquait d’air puis retira sa main et referma les cuisses. Elle se releva et vint m’embrasser sur le front : “Tu vois, Colette, nous ne simulons jamais rien. C’est l’une des règles d’or du Cercle. Si on jouit fort, on jouit fort. Si on jouit légèrement, on jouit légèrement, c’est tout. Si on ne jouit pas du tout, tant pis. Les spectateurs apprécient notre honnêteté. Tu vois, là, j’ai joui mais pas très fort.”

“Mais... mais, balbutiai-je, vous ne vous déshabillez pas ?” “Bien sûr que si.”

La réponse venait du canapé, derrière moi. J’avais été tellement subjuguée par la démonstration de Géraldine que je n’avais plus prêté attention à Monique. Elle était étendue, toute nue sur le sofa, jambes grand ouvertes, un pied sur le dossier du siège, l’autre sur le plancher. J’avais cru, au premier abord, que Monique était très légèrement grassouillette mais je m’étais trompée. Certes, elle avait un visage rond mais le corps était parfait. Ses seins étaient petits et fermes, son sexe soigneusement épilé. Monique commença de se caresser, et je me sentis envahie d’une profonde émotion au spectacle d’une jeune fille recréant avec enthousiasme ce que les moralistes appellent avec dégoût un plaisir solitaire. Je commençais également à comprendre pourquoi des femmes venaient régulièrement au

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Cercle. Même sans la moindre tendance lesbienne, on ne pouvait s’empêcher d’être délicieusement bouleversé par cet enivrant mélange d’audacieuse impudeur, de douceur, de confiance et, tout simplement, de beauté.

Monique fut à la fois plus active et plus vocale que Géraldine. Elle jouit rapidement et magnifiquement, tremblant et gémissant pendant plusieurs secondes.

Les joues en feu, elle se releva, alla prendre Géraldine dans ses bras et lui donna un gros baiser sur la joue ; puis elle se mit à rire comme le ferait une petite fille heureuse ; enfin se tournant vers moi, elle annonça : “Et maintenant, c’est ton tour.”

Elles étaient devant moi ; l’une tout habillée, l’autre toute nue, anxieuses de connaître ma réaction. Je me cachai le visage dans les mains, et me sentant à la fois terrifiée et honteuse de ma peur, avouai : “Je ne peux pas.”

Je restai ainsi une ou deux minutes qui me semblèrent une éternité. Mes amies gardaient un silence qui, plus qu’un intarissable flot de paroles, m’oppressait et me poussait à leur céder. Finalement, je baissai les mains, et regardant le bout de mes pieds, me forçai à murmurer : “Je ne sais pas comment... Aidez-moi. Dites-moi ce qu’il faut faire et je vous obéirai.”

Elles eurent, dans leur regard, un bref éclair de triomphe qui semblait dire : “On a gagné.”

“Bonne idée” dit Géraldine. “En fait, au Cercle, il y a un maître ou une maîtresse de cérémonie que nous appelons Le Chef d’Orchestre. Cela permet à chacun des membres du Cercle d’exprimer tour à tour ses fantasmes sur ce qu’il (ou elle) préfère regarder. Alors, fais comme si j’étais ce Chef d’Orchestre.”

Je me sentis tout de suite soulagée. Donner l’initiative à un guide était exactement ce dont j’avais besoin en la circonstance. J’étais en jean, tee-shirt blanc et chaussettes blanches.

“Tu portes quelque chose sous ce maillot ?” demanda Géraldine. “Non.”

“Et bien ne l’enlève pas mais remonte-le au-dessus des seins.” J’obéis et me rendis compte que c’était probablement plus érotique que si je l’avais enlevé complètement. Je commençai à trouver la situation excitante, et je savais maintenant que j’irais jusqu’au bout. En tous cas, je n’avais pas à avoir honte de ma

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poitrine qui était minuscule et ferme. Je me sentais des picotements au bout des seins.

“Maintenant, enlève ton jean.”

Quelques secondes plus tard, j’étais en slip, chaussettes blanches et tee-shirt roulé jusqu’aux aisselles.

“Magnifique” s’écria Monique. “Tu es l’image même de la jeunesse, de l’innocence et de la fragilité. Tu les affoleras. Étends-toi sur le lit. Voilà… Maintenant enlève ta culotte mais garde-la autour de tes chevilles puis ramène les pieds vers tes fesses et ouvre les genoux tout grand. Tiens, tu es complètement épilée ! C’est magnifique. C’est l’une des règles du club.”

“Mon Dieu que tu es belle !” ajouta Géraldine. “Alors, commence. Nous allons te regarder. Il faut s’y habituer.”

Je descendis la main vers mon clitoris et commençai à le caresser. C’est alors que je fus prise d’une véritable panique : “Mais je ne sens rien, m’écriai-je, absolument rien. On dirait une anesthésie locale. Je ne mouille pas non plus. Je suis complètement sèche.”

“Ne t’inquiète pas” dit Monique gentiment. “C’est normal. Prends ton temps. Les hésitations, je t’assure, on connaît. Je n’en menais pas large, moi non plus, au début.”

Je continuai. Les paroles de Géraldine me revinrent à l’esprit : “Nous ne simulons jamais...” Alors, pourquoi s’en faire ? Je commençai à me détendre. Mes deux amies étaient debout près du lit. Monique était la plus proche de ma tête, et la regardant de bas en haut, je voyais, entre ses jambes entrouvertes, les lèvres de son sexe encore gonflées du plaisir qu’elles avaient ressenti quelques instants plus tôt. Des gouttes descendaient le long de ses cuisses. Je dirigeai les doigts vers mon vagin, et fus enchantée de le sentir humide. Quand je remontai vers le clitoris, le contact de mes doigts, cette fois bien lubrifiés, me fit démarrer comme un moteur qui, en hiver, aurait été tourné péniblement par une batterie fatiguée puis, soudain, se serait mis à tousser, et en l’espace de quelques secondes, à rugir ; et il s’agissait bien de rugissements car, toute la tension de la soirée s’étant soudain libérée, je me mis à jouir presque immédiatement et à crier si fort que, vu la minceur des cloisons, mes voisins m’entendirent certainement mais cela ne m’embêtait pas, car étudiants et étudiantes eux-mêmes, ils ne se gênaient guère quand ils

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s’envoyaient en l’air. Monique et Géraldine me félicitèrent chaudement.

“As-tu des questions ?” me demanda Monique pendant qu’elle se rhabillait et que j’en faisais autant.

“Oui, il me semble. Par exemple, est-ce que le spectacle commence toujours par une fille qui se masturbe sans enlever son slip ? Utilise-t-on parfois des godes ?”

“C’est le Chef d’Orchestre qui décide. Alors, te sens-tu prête à commencer ?”

“Oui et non. Le faire devant vous est une chose. Le faire devant tout un groupe de personnes que je ne connais pas en est une autre.”

“Ça, c’est vrai, et crois-moi, on le sait. On est passé par là. Se masturber devant des inconnus est très dur au début, mais fais-moi confiance, c’est aussi incroyablement excitant. Ce sont presque toujours les mêmes, d’ailleurs. Tu finiras par les connaître, mais je peux t’assurer d’une chose : quand il y a un nouveau membre dans le groupe, on se surprend toujours à se masturber spécialement pour lui ou pour elle. En ce qui me concerne, aucun doute : c’est une incroyable source de plaisirs, et ça peut devenir une drogue. Au bout d’un certain temps, on ne peut plus s’en passer. Je parle en connaissance de cause.”

“Si tu veux” dit Géraldine “on peut amener ici un membre du cercle, puis deux avant que tu te lances devant tout le groupe.”

Mon cœur battait à rompre. Il me semblait que je recommençais à mouiller. “Le prochain spectacle, c’est samedi ?” Demandai-je.

“Oui, c’est cela.”

Je respirais profondément, et me crus, une fois de plus, transportée au bord d’un pont de montagne, prête à sauter à l’élastique. Sentant venir en moi quelque chose qui ressemblait à un second orgasme, je prononçai d’une voix blanche : “Ça va, je suis prête.”

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