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En 1648, dans son Traité de l’homme, Descartes évoquait un « corps-machine» comparable à une horloge qui se remonterait toute seule. Plus de trois siècles plus tard, cette célèbre métaphore trouve une curieuse résonance dans les recherches sur les rythmes biologiques relatées dans ces pages. Car les organismes et leur physiologie sont gouvernés par des rythmes, eux-mêmes soumis à des horloges… biologiques. « Corps-machine» peut-être pas, mais
« corps rythmique» sans aucun doute.
BIOFUTUR 325 • OCTOBRE 201123
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