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Etat de la recherche archéologique concernant la période ottomane en Bulgarie

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Submitted on 10 Feb 2015

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ottomane en Bulgarie

Guergana Guionova

To cite this version:

Guergana Guionova. Etat de la recherche archéologique concernant la période ottomane en Bulgarie.

Turcica : revue d’études turques, Peeters Publishers, 2005, 37, pp.267-279. �halshs-00505553�

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ÉTAT DE LA RECHERCHE ARCHÉOLOGIQUE CONCERNANT LA PÉRIODE OTTOMANE

EN BULGARIE*

a richesse des sources écrites conservées, traduites, publiées et mises à la disposition des spécialistes, est une donnée importante pour l’en- semble de l’historiographie concernant l’époque ottomane en Bulgarie.

Les grandes quantités d’archives dans les fonds des bibliothèques (et surtout ceux de la Bibliothèque Nationale) ont attiré très tôt l’intérêt des philologues et des historiens. Depuis le début du siècle dernier (Todo- rov, Kalicin, 1977), le travail sur ces sources a permis d’accumuler des connaissances dans les différents domaines de l’histoire bulgare de la période ottomane∞: l'économie, l’administration, la politique, la démographie et la sociologie. Dans les années 70 et 80, plusieurs travaux de synthèse et des actes de colloques ont montré l’importance des études menées non seulement à l'échelle nationale mais sur l’ensemble du territoire balkanique de l’Empire ottoman (Beldiceanu, 1973∞; Cvetkova, 1978∞; Paskaleva et al., 1978∞; Mollat et al., 1985).

Par ailleurs, depuis le début du siècle également, les études ethnogra- phiques se sont développées intensivement. De nature plutôt descriptive au départ, leur accumulation a permis la parution, ces dernières décen-

Turcica, 37, 2005, p. 267-279

L

Guergana GUIONOVA est doctorante, Institut et musée d’archéologie (Sofia), et Labora- toire d’archéologie médiévale méditerranéenne (UMR 6572), MMSH, 5 rue du Château de l’Horloge, BP 647, 13094 — Aix-en-Provence Cedex.

guionova@mmsh.univ-aix.fr

* Cet article ne prétend pas être une recherche exhaustive sur la bibliographie de l'ar- chéologie ottomane en Bulgarie qui reste encore à faire. Les références bibliographiques fournies sont là pour appuyer les données exposées.

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nies, de travaux plus approfondis et plus synthétiques sur le rituel et le quotidien du système traditionnel bulgare (Marinov, 1914∞; Luleva, 2002).

Il est nécessaire de présenter les acquisitions de la connaissance histori- que au sens très large, concernant la période de l’occupation ottomane en Bulgarie. Les résultats de cette documentation donnent le cadre, et sou- vent la base, de l’apparition et de l’évolution d’un autre domaine de la re- cherche historique — l’archéologie ottomane. Ils sont porteurs de rensei- gnements précieux sur l’organisation et la production de différents artisanats, sur la structure urbaine et la création architecturale, sur les ma- tières de production et d’échanges commerciaux — en bref, sur l’ensem- ble de la culture matérielle et ses caractéristiques ethniques et sociales.

L’archéologie ottomane en Bulgarie n’est pas à ses débuts. Elle a subi pourtant un certain retard malgré la connaissance du cadre historique. En réalité, il a fallu attendre ces dernières décennies pour observer une dé- marche plus systématique de croisement des données historiques avec le matériel archéologique afin d’illustrer et de compléter le savoir déjà existant. Les raisons de ce décalage, alors que l’archéologie en Bulgarie dans son ensemble s’est développée dans les traditions et avec la métho- dologie des grandes écoles européennes, sont multiples.

D’abord, et de façon plus évidente, on peut évoquer le manque de dé- calage chronologique entre la période ottomane, considérée souvent dans son ensemble, et l’époque contemporaine. D’une part, le XVIIIe siècle, la fin de cette époque d’après la périodisation de l’histoire bulgare, pa- raît assez proche pour permettre de placer les couches stratigraphiques les plus récentes dans le domaine de l’archéologie. D’autre part, le déca- lage chronologique est nécessaire également pour laisser place à une analyse «∞non-émotionelle∞» des données historiques. Dans l’historiogra- phie bulgare, la période ottomane n’a pas encore trouvé les termes de son caractère∞: joug, occupation, domination, régime, présence…

Cette «∞non-réalisation∞» de l’archéologie ottomane résulte aussi de la mentalité, au sens sociologique du mot, constituée par le vécu historique des Bulgares. A ce propos, B. Lory présente de façon un peu absolue le rejet «∞par principe∞» de la culture ottomane par les Bulgares (Lory, 1985, p.1-10) mais exprime assez exactement la notion d’ «∞orientalch- tina∞» associée non seulement au comportement mais aussi au goût et, par conséquent, à la réalité matérielle attribués à la culture ottomane et à son héritage. Il dérive de cette situation sinon un refus, du moins un cer- tain désintérêt du passé matériel de la période ottomane.

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A cela s’ajoute, dans le contexte de l’archéologie, une sorte d’attache- ment à la période précédente, celle du Deuxième royaume bulgare (XIIe- XIVe siècles), temps de prospérité de la politique et de la culture bulga- res. Cette préférence provoque parfois un glissement d’un certain nombre de données de la stratigraphie ottomane vers l’époque précé- dente. Ces datations erronées ne sont évidemment pas faites sciemment.

Il faut ici souligner le manque de parallèles bibliographiques disponibles pour les spécialistes bulgares. Les comparaisons avec du matériel publié étaient encore récemment limitées non seulement pour le territoire bul- gare mais aussi pour l’ensemble des pays balkaniques.

Enfin, la dernière raison, mais non la moindre, est d’ordre économi- que et freine l’ensemble de l’activité archéologique en Bulgarie ainsi que la publication des recherches menées malgré tout. En réalité, la pé- riode des dix-quinze dernières années coïncide malheureusement avec la prise de conscience de plus en plus systématique et l’engagement de nombreux archéologues vers une objectivité stratigraphique et maté- rielle.

Toutes ces raisons traduites par le manque de temps, de moyens, d’in- térêt, ont amené encore récemment sur le terrain à des pratiques parfois malheureuses comme «∞le nettoyage∞» des couches supérieures. A cela s’ajoute parfois le résultat de la mécanisation des chantiers archéologi- ques dont l’usage abusif détruit la stratigraphie la plus récente (Vak- linova, 2001).

La recherche archéologique sur la période ottomane en Bulgarie et ses résultats sont tout de même une réalité et ne sont pas le fruit de trou- vailles fortuites. Différents sujets ont été abordés et développés dans les publications depuis les années trente et, de façon proportionnelle au dé- veloppement de l’activité archéologique, dans les années soixante. Si le début de ce texte mettait l’accent sur la connaissance des sources et des données ethnographiques, c’est parce que l’évolution de l’archéologie en était souvent dépendante.

Depuis les années trente et surtout dans les années soixante du siècle dernier, l’historiographie bulgare a accumulé des connaissances sur les sources écrites et l’épigraphie concernant l’architecture ottomane (Zajaczkowski, 1966∞; Tatarlé, 1966). A la même période, à ces études s'ajoutent des observations et des recherches sur les monuments eux- mêmes (Rudolf-Hile, Rudlf, 1934∞; Mijatev, 1959∞; Kantardçiev, 1966). Dès lors, les données archéologiques au sens strict et concernant surtout les mosquées apparaissent dans les publications, de façon ponc-

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tuelle au départ (Georgieva, 1967) et sous forme d’études plus dé- taillées lors des dernières décennies (Genova, 2000). Des fouilles ar- chéologiques leur ont été spécialement consacrées (Petrounova, Vakli- nov, 2000) et les plus récentes sont en cours de publication. Dans les années quatre-vingt-dix, paraissent également des études de synthèse concernant l’urbanisme et l’architecture des XVe-XVIIIe siècles (Har- bova, 1991). En réalité, l’architecture ottomane avait sa place au sein du patrimoine tel qu’il était conçu par les historiens bulgares — dans un des premiers guides «∞touristiques∞», celui de Véliko Tarnovo, la mosquée de Firuz-beg y figurait (Pétevoditel, 1907). Seulement, son intégration dans la problématique archéologique, en tant que discipline à part en- tière, est plus récente.

Les riches connaissances ethnographiques ont également facilité l’ap- proche de l’archéologie funéraire. Le système rituel traditionnel a sou- vent servi de base pour l’interprétation des données archéologiques recueillies lors des fouilles de nécropoles tardives (Mikov, 1933∞;

Petrunova, 1992). Les monuments tombeaux ont donné matière à des études épigraphiques et, de manière plus générale, à des recherches sur les caractéristiques et le symbolisme de ce type de sculpture (Raînov, 1923∞; Petrov, 1962∞; Gerasimov, 1962∞; Petrov, 1968∞; Draga- nova, Dimitrov, 1987). L’archéologie funéraire a fourni également des éléments de costume et de parures qui ont illustré ou complété les sources ethnographiques. Si une étude approfondie n’existe pas encore à ce sujet, cette problématique n’échappe plus aux préoccupations scientifiques des archéologues bulgares (Ovwarov, 1971). De façon plus générale, les données ethnographiques et le travail de terrain ont été conjointement mis à contribution lors des recherches plus approfon- dies sur les lieux de cultes (Petrunova, Grigorov, Manolova- Nikolova, 2001).

Le matériau archéologique qui a surtout bénéficié d’attention de la part des archéologues est la céramique. Ceci n’est pas dû au hasard∞: la connaissance sur la production et la consommation de céramique de la période précédente est assez riche∞; en tant que produit d’une activité artisanale, son étude puise de précieux (bien que rares) renseignements dans les archives∞; sa nature commune et sa fréquence ont facilité son analyse.

En réalité, la recherche sur la céramique de l’époque ottomane s’ap- puie d’abord sur des collections. Les raisons évoquées plus haut ont sou- vent privé le matériel tardif de son contexte archéologique mais des «∞té-

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moins∞», surtout les mieux conservés, ont trouvé leur place dans les fonds des musées. Evidemment, le plus souvent les publications présen- tent les productions céramiques connues déjà par des parallèles biblio- graphiques — c’est le cas des pipes des collections de Sofia, Varna, Provadia et Nicopol (Stanweva, Medarova, 1968∞; Stanweva, 1972∞;

Haralambieva, 1986∞; Asparuhov, 1997), de la faïence turque (Stan- weva, 1960) et italienne (Stanweva, 1962) du musée de Sofia ou de la porcelaine de Meissen et de Vienne des musées de Nicopol (Manova, 1983) et de Sofia (Stanweva, Jalaganova, 1989). Par ailleurs, des for- mes plus rares ou particulières ont attiré l’attention et fait l’objet de pu- blications∞: les pots des poêles de chauffage (Stanweva, Kréstanova, 1967∞; Buwinski, 1970) ou les récipients pour la distillation comme les alambics étudiés par I. Alexiev (Aleksiev, 1992).

Les collections des fonds ethnographiques des musées ont également fourni de la matière pour des études et des informations sur la culture matérielle de la période ottomane. C’est le cas notamment des pipes, comme celles de Chumen (Boçilova, Sirakova, 1991), déjà connues par les recherches archéologiques (Sirakova, 1989). En revanche, les études sur les collections de récipients en cuivre des musées de Chumen (Doweva-Popova, 1973) et de Véliko Tarnovo (Stefanova, 1989) ont livré de nouveaux renseignements sur l’artisanat du cuivre des régions de ces villes. Un travail universitaire avait même fait le point sur cette production à échelle nationale (Kovaweva-Kostadinova, 1979).

Le matériel archéologique complète les connaissances par des publi- cations plus ou moins détaillées, concernant souvent la céramique∞: des formes particulières comme un «∞service∞» de chopes et les tirelires de Sofia (Stanweva, 1966) ou bien des des formes plus fréquentes, les cru- ches, vues dans leurs typologie et évolution (Stanceva, 1994) ou la céra- mique à fonction hygiénique des fouilles de Varna (Pletnàov, 2000a).

Dans les années quatre-vingt, des publications déterminent la continuité dans la production potière de certains centres et présentent la céramique tardive de Melnik (Cvetkov, 1981), Véliko Tarnovo (Aleksiev, 1977∞;

Genova, 1983), Varna (Kuzev, 1983∞; Kuzev, 1984). Par la suite, des études à plus grande échelle sont faites sur la céramique de production et de consommation de ces centres (Cvetkov, 1989∞; Genova, 1993a∞;

Pletnàov, 2000b). Il est intéressant de remarquer que c’est justement l’artisanat de la céramique de l’époque ottomane qui a bénéficié d’une systématisation terminologique (Genova, 1993b) — un acquis rare pour le travail sur la matière archéologique en Bulgarie.

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Les résultats de la recherche archéologique de l’époque ottomane ont été également enrichis par la révision de certaines datations attribuées initialement aux XIIe-XIVe siècles. Les exemples les plus connus con- cernent encore une fois la céramique. Ainsi, dans les années soixante, la sgraffito a obtenu une identité en tant que type de céramique de produc- tion continue, détachée de la culture matérielle du Deuxième royaume bulgare et dissociée du «∞type de Tarnovo∞» comme elle était connue jus- qu’alors (Stanweva, 1964). C’est dans les années soixante-dix que la production de Varna, connue aussi par les rebuts de cuisson et datée, dix ans auparavant, dans les XIIe-XIVe siècles (Dimi rov, 1960), est finale- ment attribuée à la période ottomane (Kuzev, 1976).

Il est évidemment impossible, dans le cadre d’une publication de mise au point de l’état de la recherche archéologique, de détailler toutes les matières et publications relatives à la période qui nous intéresse. Par res- pect de la réalité, il est tout de même important de remarquer que, de fa- çon générale, lors des dernières décennies, les structures, la numismati- que, la céramique et d’autres matériaux tardifs sont souvent présentés dans les publications des fouilles. C’est d’autant plus courant quand il s’agit de matière datante et, donc, d’exemples ayant des parallèles bi- bliographiques. Pour illustrer la variété des matières traitées, on peut juste évoquer deux études sur les graffitis des églises∞: à Véliko Tarnovo, où les sujets sont des jongleurs et des chevaux, peut-être de cirque (Ovwarov, Ovwarov, 1985)∞; à Nessebar où les représentations ont donné matière à une recherche sur la navigation le long de la côte bul- gare de la mer Noire (Ovwarov, 1992).

Les références bibliographiques citées jusque là reflètent une des par- ticularités des publications sur l’archéologie ottomane en Bulgarie — si la chronologie de la période n’est pas vue dans son ensemble, souvent un découpage se dessine entre les XVe-XVIIe et les XVIIIe-XIXe siècles. La première partie de la période est généralement présentée à travers le prisme «∞continuité-rupture∞», en rapport avec les connaissances sur l’époque précédente. En revanche, pour les XVIIIe-XIXe siècles, on dis- pose de davantage de données précises et d’études approfondies. Cela est dû surtout à la richesse du savoir ethnographique évoquée plus haut mais aussi à une certaine préférence pour la période de la Renaissance bulgare, c’est-à-dire le XVIIIe siècle qui voit la renaissance de la cons- cience nationale. C’est donc une période qui a suscité beaucoup de re- cherches sur les facteurs de formation du système esthétique et culturel des Bulgares à la veille et au début de leur indépendance.

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L’archéologie, dans son rôle d’étude de la culture matérielle, ne peut pas s’éloigner des considérations faites sur son caractère, plus propres à l’histoire de l’art. De fait, dans les publications, l’accent est mis souvent sur l’analyse stylistique, sur les qualités esthétiques et les traits ethniques de l’origine et des influences de la matière archéologique. A cela s’ajou- tent les observations d’ordre économique et social qui déterminent l’or- ganisation et la qualité de la création matérielle (Stanweva, 1976∞;

Genova, 1993). En réalité, les auteurs sont toujours soucieux de détermi- ner les parts de l’héritage byzantin, des influences orientales, d’Asie centrale et d’Asie Mineure, et de l’Europe occidentale. On cherche à cer- ner le côté authentique de l’art bulgare∞; à connaître la limite entre les moyens économiques et les besoins esthétiques d’une production artisa- nale. Voilà pourquoi une des études qui fait le point sur la connaissance de la culture matérielle, à l’époque ottomane en Bulgarie, est plutôt un ouvrage d’histoire de l’art, qui traite d'architecture, des arts appliqués et figuratifs dans leur évolution et sur l’ensemble de la péninsule Balkani- que (Staînova, 1995). En passant, il faut mentionner que l’analyse sty- listique est propre à l’école archéologique bulgare. Elle prend souvent le dessus lors d’étude des artefacts des périodes précédentes et cela tou- jours en raison de la quête des caractéristiques de la culture nationale, de sa formation et son évolution.

Il faut souligner, en conclusion, que le développement de l’archéolo- gie ottomane, en Bulgarie, s'appuie sur des bases solides∞: d’une part, grâce à une bonne connaissance de l’archéologie antérieure et à la maî- trise des méthodes de recherche sur le terrain∞; d’autre part, grâce au sa- voir historique et ethnographique accumulé par l’historiographie. Il faut espérer que, dans l'avenir, des travaux de synthèse à échelon national viendront rassembler la documentation parfois éparse et que cette disci- pline bénéficiera des moyens lui permettant de compléter les données historiques par des observations d’ordre technique∞: la stratigraphie du terrain, les diverses analyses de laboratoire, les études sur les techniques de production… Voilà des éléments qui, rajoutés aux acquis, pourront pallier à la connaissance de la vie matérielle de l’époque ottomane en Bulgarie, mais aussi enrichir en retour le domaine de l’histoire.

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Guergana GUIONOVA, État de la recherche archéologique concernant la période ottomane en Bulgarie

Les débuts et l’évolution de l’archéologie concernant la période ottomane en Bulgarie sont corrélatifs à l’accumulation de connaissances sur les sources écri- tes et l’ethnographie. En revanche, certaines données ont longtemps freiné son développement∞: la proximité chronologique, le vécu historique, le manque de parallèles bibliographiques et le contexte économique défavorable du passé pro- che. Toutefois, depuis les années trente, l’historiographie bulgare présente de façon systématique les résultats des recherches archéologiques. Au départ, l’ac- cent est mis sur l’architecture, plus particulièrement les mosquées, puis sur les nécropoles, les lieux de culte et, par conséquent, sur la culture matérielle. La cé- ramique est l’objet de nombreuses recherches et études de synthèse. De façon générale, les différentes structures, la numismatique et le mobilier tardifs sont davantage présents dans les rapports de fouilles, la réalité stratigraphique préoc- cupe de plus en plus de chercheurs. Par tradition, l’analyse stylistique prime lors de la considération de l’héritage matériel en raison de la quête de son caractère national. Des observations d’ordre technique seraient donc profitables pour l’avenir de la recherche archéologique sur l’époque ottomane en Bulgarie, ainsi que des études de synthèse basées sur l’accumulation des connaissances.

Guergana GUIONOVA, Present State of Bulgarian Archaeological Researches concerning the Ottoman Period

The first Bulgarian archaeological researches concerning the Ottoman period and their development proceed along with the increasing knowledge of written sources and ethnology. This development however has been restrained for a long time by different factors∞: the chronological proximity of the said period, the mentality induced by the historical actual experience, the lack of biblio- graphical parallels, and the unfavourable economical context of the near past.

However starting about 1930, Bulgarian historiography offers a systematic presentation of archaeological researches beginning with architecture, specially mosques, then necropolis, places of worship, and therefore material culture.

Many researches and synthetic studies concern ceramics. As a rule, these past ten or twenty years, the different structures, numismatics, and late material are more and more often quoted in excavations reports, more and more research workers are concerned with stratigraphic reality. Traditionally, stylistic analysis takes the lead when a material discovery is concerned because of the quest for its national character. Technological observations would therefore be useful for the future of Ottoman archaeological researches in Bulgaria, as well as synthetic studies based on the actual accumulation of existent knowledge.

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