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Profitez de la possibilité avantageuse d'établir avec précision votre budget an¬ nuel d'approvisionnement en énergie

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Academic year: 2021

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Texte intégral

(1)

RoÉoflt

va mamiser kmcommerce

pn:

unes

qworit du talent

(2)

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me, exemple un propriétaire qui désire vendre sa maison.

Qui conclut un tel contrat as¬

sure son approvisionnement en mazout. Des offres concer¬

nant «Chaleur sécurité 2000»

sont à disposition de la clientè¬

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D'ici-bas

à l'au-delà,

un monde invisi ble

Le billet

11 ILLUSTRE

La splendeur de l'Invisible rayonne en tout être et relie tous les êtres dans sa lumière, de l'atome à l'étoile et des vivants aux morts. Mais seuls les yeux du cœur voient l'Invi¬

sible, la beauté pure, cette beauté visible qui en est l'image, le reflet. Telle la douceur d'un soleil couchant, instant privilé¬

gié pour chaque être humain, mais aussi le pressentiment d'une réalité qui, à la fois, nous dépasse et nous étreint, une réalité qui nous aide à supporter le mal, la méchance¬

té des hommes et la douleur du monde.

Je ne tiens pas à ce que mes propos soient syno¬

nymes de grisaille et de mé¬

lancolie comme l'est le mois de novembre avec la Toussaint qui ne saurait être triste avec ses instants de recueillement sur les tom¬

bes. Une fleur lui donne une signification, c'est le chry¬

santhème, symbole de l'au¬

tomne, saison de vie pai¬

sible, de sagesse et de sérénité. La Toussaint est comme Noël, Pâques, l'As¬

cension, Pentecôte et l'As¬

somption, une grande solen¬

nité de l'année liturgique.

Ce jour-là, l'Eglise catho¬

lique fête la foule immense de tous les saints, connus et inconnus, qui, leur vie ter¬

restre achevée, sont allés au ciel.

Si l'au-delà et l'ici-bas ne font qu'un, c'est parce que la mort est le pas¬

sage de l'apparence visible à la réalité invisible. Les morts ne sont séparés de nous que par la frontière des

sens: nous souffrons de ne plus pouvoir les toucher, les voir, les entendre, mais eux aussi nous voient, nous en¬

tendent et parfois posent leur douce main sur notre front inquiet pour nous apaiser. Pleurer sur leur ab¬

sence c'est pleurer sur nous-mêmes, mais si nous les aimons vraiment, com¬

ment ne pas nous réjouir de leur bonheur en Dieu? Ceux qui, par contre, sont dans l'étape purificatrice du pur¬

gatoire, entrevoient aussi la joie infinie de l'Invisible, alors que l'enfer les isole à jamais du ciel et des vi¬

vants. Le ciel, c'est la pré¬

sence de l'éternel et la com¬

munion de tous en Celui qui nous aime, chacun, d'un amour unique.

Si nous traversons les apparences du visible, qui sont le voile ou l'Invi¬

sible, tout à la fois, se cache et se fait connaître, afin de ne laisser découvrir que l'unité divine vers laquelle

tout converge, qui relie tous les êtres en elle et les uns aux autres, ce que l'Eglise appelle la communion des saints. Car quiconque aime vraiment en ce monde, non du simple désir qui s'assou¬

vit, et oublie tout pour ne penser qu'à l'amour don ou cet amour pour les pauvres de mère Teresa ou de Sœur Emmanuelle. Un amour qui ne meurt pas. Bernadette de Lourdes, qui avait vu la Vierge, dix-huit fois seule¬

ment dans sa jeunesse, di¬

sait: «Elle est si belle qu'on aimerait mourir pour la re¬

voir». Un jeune prêtre ren¬

contré à Rome m'a affirmé que pour lui l'Invisible est une étincelle de feu divin qui nous éclaire le chemin d'ici-bas jusque dans l'au- delà. Et plus une âme est proche de Dieu et des autres, plus elle se sait unique, plus elle se donne, plus elle connaît son néant et sa parenté avec tous les êtres, vivants et morts, réu¬

nis dans l'Invisible infini.

Gérard Bourquenoud

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ILLUSTRE Sommaire 14 novembre 1997 - N° 21/22 5 Témoignage

Nouveau lieu d'accueil des Dominicaines 6 Les sports

Des jeunes qu i ont du talent Leur formation exige

de la patience et du temps. Le HC Fribourg- Gottéron compte sur leur persévérance et leur volonté pour en faire des éléments de valeur pour l'équipe.

Entretien avec l'entraî¬

neur André Peloffy.

8 Art de vivre

Un complexe attrayant à Praroman

Une réalisation qui a marqué récemment le 75e anniversaire de la Banque Raiffeisen installée dans de nou¬

veaux locaux. Sous le même toit: la poste, des appartements et éventuellement une pharmacie qui devrait s'ouvrir dans un pro¬

che avenir.

13 Regards sur...

Le marquage des routes 15 Les fromages sur la table

Le vacherin

Trains d'alpages fribourgeois Le fromage dans l'alimentation

Le gruyère de plaine, comme celui d'alpa¬

ge, se vend bien dans notre pays et fait le régal des gourmets. Il en est de même pour le vacherin fribour¬

geois qui est de plus en plus prisé pour la fondue dans les mé¬

nages et restaurants de ce canton.

22 Croque-notes

Une création musicale à Broc 23 Au quotidien

Chanson de novembre 25 Croque-notes

Vétérans musiciens au Pâquier 28 Le patê d'intche-no

Chovinyi dè mon dzouno tin 29 Huitième district

Anciens de l'AJB et Fribourgeois de Delémont 33 Regards sur...

Le commerce à Romont

Créé il y a trois ans, le groupement «Marke¬

ting Centre Ville Ro¬

mont» va tout mettre en œuvre pour dyna¬

miser le commerce et lui redonner une image, mais aussi dé¬

velopper le profes¬

sionnalisme, amélio- et rer le service l'accueil.

37 Regards sur...

Le marché de Châtel-St-Denis 39 Tourisme

Gibloux et Berra: une même antenne 41 Elevage

Fête des éleveurs à Montagny-les-Monts 42 Social

Un chapiteau à l'Institut St-Joseph 43 Santé

Collaboration dans la radiologie NOTRE COUVERTURE Sentinelle au soleil couchant

Dans l'ombre et la lumière d'un soir d'automne, la cathédrale de Fribourg ressemble à une sentinelle qui veille sur la ville et ses habitants. Ce n'est pas encore la nuit, mais son prélude, l'instant privilégié où tout s'apaise et se calme, l'heure où chacun, avant le sommeil, retrouve son identité.

PHOTO BERNARD AEBY, MARLY

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«La Source»

à Estavayer-Ie-Lac

Nouveau lieu d'accuei

des Dominicaines

Qualité

de la vie ILLUSTRE

Après le Concile, les religieuses Domini¬

caines d'Estavayer-le-Lac ont longuement réfléchi à ses retombées sur leur re¬

lation nouvelle avec le monde extérieur. Ré¬

flexion qui a conduit à la redéfinition complète d'un bâtiment jouxtant leur couvent, pour recevoir des groupes désireux de réflé¬

chir ensemble, prier, se ressourcer. Chacun devant y trouver le moyen de pro¬

gresser selon sa finalité de vie.

Les études concrètes débutè¬

rent en 1992, alors que se po¬

sait pour cette famille domini¬

caine la question de son avenir dans un monde où la pratique

L'architecte J.-P. Chablais, la prieure, Sœur Monique, le Père provincial Hubert Niclasse et le président des Amis des Domini¬

caines d'Estavayer, Jean-Marie Barras.

religieuse se heurtait à l'indif¬

férence générale. Elles prirent rapidement la forme d'une ou¬

verture plus intense aux pro¬

blèmes du monde, par leur prière, continue depuis 1316 en ville d'Estavayer, mais aus¬

si par la création d'un lieu d'accueil situé dans l'enceinte du monastère et cependant in¬

dépendant de lui.

Des locaux neufs dans un ancien hangar Pour faciliter des choix pra¬

tiques et des prises de décision

en matière de finances, l'As¬

sociation des amis du monas¬

tère fut créée en 1993 qui, avec la prieure, Sœur Monique Ribeaud, a concentré ses ef¬

forts sur la mise à disposition d'un bâtiment fonctionnel, sans luxe inutile mais équipé de tous les moyens de commu¬

nication actuels: télévision, vi¬

déo, projecteur de données in¬

formatiques, internet, piano.

Des salles de grandeur modu¬

lable destinées à des groupes de 10 à 50 personnes avec la proximité de magasins, restau¬

rants, traiteurs pour les repas principaux. L'hébergement étant lui aussi conçu pour des participants en chambres ou en dortoirs.

Préoccupées par la crise des vocations, dont elles ont senti le passage - elles sont actuelle¬

ment dix-huit - les Domini¬

caines d'Estavayer ont su s'adapter et offrir cet endroit de silence, dans un climat de sérénité que permet trop rare¬

ment la vie actuelle. Ces lieux d'accueil étaient déjà proposés par les monastères français, mais rien n'existait encore en Suisse romande. Le vide est maintenant comblé avec le nouveau centre appelé «La Source». Un nom qui n'a pas été choisi sans raison: il est tout un programme.

Texte et photos: J.S.B.

Le vitrail de Bernard Schorderet et l'espace réflexion.

(6)

•H

ILLUSTRE Les sports

m Me nationalité canadienne et française, résidant aux Etats- Unis, André Peloffy, entraîneur du HC Fribourg-Gottéron, parle cou¬

ramment l'anglais et le français. Né en France et âgé aujourd'hui de qua- rante-six ans, il vit à Fribourg depuis une année, alors que sa famille se trouve pour l'instant aux Etats-Unis, où son épouse est agent immobilier et ses deux filles aux études.

Dans son bureau de la patinoire de St-Léonard où il accorde un accueil spontané aux journalistes d'informa¬

tion - étant donné qu 'il a horreur de la presse à sensation - chacun de ses hôtes a le privilège de savourer un café pour engager la conversation.

Plus qu'une simple disposition d'es¬

prit, mais une intime et rare vertu que celle de cet homme qui réussit à distinguer délicatement ce qui doit l'être. Une vertu, pour qui l'ausculte attentivement, baigne d'une secrète douceur son activité professionnelle et son sport préféré qu 'est le hockey sur glace. En toute modestie et dis¬

crétion, il m'a fait part de son en¬

thousiasme pour l'équipe qu 'il dirige et qui le pimente quotidiennement.

S'il sait ce qu'il veut, il n'ignore pas ses limites. La langue parfaitement accordée à son talent d'entraîneur, il a aussi le don de peser le «pour» et le

«contre», afin de tenir le coup dans sa lourde responsabilité.

Personnellement j'apprécie sa lucide acceptation des risques qu 'il a pris à son arrivée à Fribourg et prend tou¬

jours. Et s'il me plaît de le soutenir par quelques fleurs, c'est parce que la maîtrise avec laquelle il résout chaque problème au sein de l'équipe devrait faire des émules parmi des joueurs ou de futurs entraîneurs.

Pratiquer un métier qu 'il adore, c 'est bien, mais il lui faut aussi des loisirs qu'il partage entre le golf, la mu¬

sique et le cinéma. L'entretien très courtois qu'il nous a accordé au lever du jour s'est révélé être un ré¬

confort pour André Peloffy dans sa fonction d'entraîneur du HC

Fribourg-Gottéron.

A bâtons rompus avec...

André Peloffy, entraîneur

du HC Fribourg-Gottéron

André Peloffy, entraîneur du club fribour- geois.

Interview

FI - Avez-vous été bien accueilli à Fribourg et vous sentez-vous à l'aise pour assumer votre responsabilité d'entraîneur du HC Fribourg-Gotté- ron?

André Peloffy - Lorsque je suis arrivé à Fribourg il y a une année pour remplacer l'entraîneur en cours de championnat, ma tâche ne fut pas facile du fait qu'il y avait urgence de remettre le train sur les rails, afin de poursuivre le championnat tant bien que mal. Dès que le gros travail fut accompli, j'ai visité la ville et le canton de Fribourg avec ma famille. J'ai même eu la

visite de mes deux sœurs et trois frères qui ont été enchantés de découvrir une si belle cité sur les bords de la Sarine et par l'am¬

biance qui anime chaque match à la pati¬

noire de St-Léonard. Ma famille se trouve encore aux Etats-Unis, étant donné que ma femme est agent immobilier et que mes deux filles de vingt et dix-sept ans ont l'intention de terminer leurs études avant de me rejoindre à Fribourg. Sur le plan fa¬

milial, je suis donc seul dans cette ville et c'est très dur pour moi de ne personne voir dans mon appartement, surtout après une journée harassante au travail. Ce qui, par contre, me réconforte énormément, c'est que je suis très bien encadré par les dirigeants et les joueurs qui connaissent ma situation, mais également par Marc Leuenberger, chef technique, et José Beaulieu, mon assistant, pour lesquels j'ai énormément d'estime. J'ai déjà de nom¬

breux amis qui m'apportent un soutien moral que j'apprécie beaucoup.

- Pouvez-vous nous décrire l'équipe qui vous a été confiée? Est-elle performante et est-elle en mesure de réaliser un bon championnat cette saison?

- Il y a eu les problèmes financiers que chacun connaît et que nous laisserons de côté dans cette interview, car je préfère vous parler de l'équipe qui, j'en suis très heureux, commence à se découvrir avec des jeunes qui ont du talent. Et maintenant que la confiance règne au sein de l'équipe devenue en plus solidaire, que la coopéra¬

tion entre joueurs s'annonce fructueuse, l'entraîneur que je suis se sent réconforté.

Le HC Fribourg-Gottéron n'a pas fini de s'améliorer, car la nouvelle génération amène de la vie dans le club et lui redonne du venin. Ce sont des jeunes qui veulent absolument apprendre et prouver à leur public ce dont ils sont capables de réaliser.

Ils en ont déjà donné la preuve à plusieurs reprises.

- Quelles sont les qualités principales que doit posséder un entraîneur pour diriger une équipe comme le HC Fribourg-Gottéron?

6

(7)

- Lorsque je suis arrivé à Fribourg, j'ai réuni tous les joueurs pour leur dire ce que je voulais, c'est-à-dire recouvrer une identité, que chacun respecte l'entraîneur comme je respecte chaque joueur. Je leur ai demandé d'être offensifs et plus agres¬

sifs, de mettre en valeur leurs talents, de manifester leur enthousiasme pour ce sport et de ne pas rechigner au travail. Je leur ai d'autre part proposé d'oublier le système de jeu de l'ancien entraîneur qui ne convenait pas à l'équipe fribourgeoise.

Avec vingt-deux joueurs dans une équipe, il y a vingt-deux caractères différents, donc l'entraîneur doit faire preuve de beaucoup de psychologie avec chacun d'eux et être aussi à leur écoute. Je gagne, je suis avec les joueurs dans les vestiaires, je perds, je suis également avec eux. La formation des jeunes exige de la patience et du temps, mais j'ai bon espoir d'at¬

teindre un niveau que d'autres équipes en¬

vieront certainement dans un proche ave¬

nir.

- Quel est votre horaire de travail et êtes-vous aussi exigeant avec vous- même qu'avec les joueurs?

- Un entraîneur doit donner l'exemple, donc je me lève tôt chaque matin et je tra¬

vaille jusque tard le soir. C'est vrai que je suis exigeant avec moi-même comme avec les joueurs, parce que c'est ainsi que l'on réussi un championnat de hockey sur glace. Si je suis chaque matin de bonne humeur, il m'arrive de temps à autre de me fâcher, mais aussi de rire avec eux et Le HC Fribourg-Gottéron, saison 1997/98.

de vivre des moments de détente qui sont bénéfiques au moral et à une parfaite en¬

tente entre l'entraîneur et les joueurs.

- Avez-vous de bons rapports avec la presse?

- Il existe une certaine presse à sensation qui est toujours négative et qui ne cherche qu'à démolir le HC Fribourg-Gottéron. Et pourquoi cherche-t-elle à démolir notre équipe? Parce que le club fribourgeois est un phénomène dans le canton de Fribourg comme sur le plan national. J'estime que le problème d'un joueur doit être résolu avec l'entraîneur ou les dirigeants et non par la presse à sensation à laquelle j'ai fermé la porte de mon bureau et pour la¬

quelle je n'ai plus aucun respect. Par contre, j'accueille toujours avec plaisir les journalistes qui font une information cor¬

recte et objective et relate exactement ce qui se passe, même si parfois la situation ou le travail d'une équipe n'est pas tou¬

jours exemplaire. Tout ne peut être par¬

fait. Je suis ce que je suis, on m'accepte ou on ne m'accepte pas, mais je serai tou¬

jours honnête avec chacun.

- Quel est votre sentiment sur le public fribourgeois lors des matches à Fribourg et à l'extérieur?

- Il est vrai qu'avec l'arrivée à Fribourg des deux vedettes russes que sont Bykov et Khomutov, le public fribourgeois a été gâté et l'est encore aujourd'hui, car ces deux joueurs aux qualités exceptionnelles ont énormément apporté au HC Fribourg-

PHOTOS O. VONLANTHEN Les sports

• lit ILLUSTRE Gottéron, à la jeunesse et au public. Toute l'équipe, mais essentiellement les jeunes joueurs ont beaucoup appris avec l'expé¬

rience des Russes, tant au point de vue du jeu que de savoir gagner ou perdre une fi¬

nale de championnat. L'enthousiasme du public pour son équipe joue un rôle pri¬

mordial sur le HC Fribourg-Gottéron en ce sens qu'il est un réconfort moral pour la majorité des joueurs, alors que sa fidélité est bénéfique aux finances du club, actuel¬

lement dans une phase de reconstruction.

- Avez-vous un souhait à exprimer pour l'avenir du HC Fribourg-Gottéron?

- Mon plus beau souhait serait d'atteindre l'objectif que l'équipe s'est fixé au début de la saison, c'est-à-dire de pouvoir jouer les play-offs et obtenir un classement ho¬

norable tant pour le club que pour le pu¬

blic qui, à Fribourg, est vraiment formi¬

dable. Dans les moments difficiles, il manifeste toujours son soutien financier, comme d'ailleurs les supporters qui sont très nombreux à nous accompagner dans les matches à l'extérieur. Que vive le HC Fribourg-Gottéron, avec l'espoir qu'il puisse obtenir, au moins une fois, le titre national en guise de reconnaissance de son labeur.

Interview réalisée par Gérard Bourquenoud

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ILLUSTRE Art de vivre Du nouveau à Praroman Banque Raiffeisen,

poste et pharmacie

réunis sous un même toit

Cy est par une ma¬

gnifique journée ensoleillée du mois d'oc¬

tobre et en présence d'une belle participation de la po¬

pulation de la Haute-Sari- ne que s'est déroulée l'inauguration du nouveau complexe sis au centre du village du Mouret et qui abrite sous un même toit la banque Raiffeisen, la pos¬

te, une future pharmacie et des appartements avec ter¬

rasses. Un ensemble com¬

plété d'une cour qui se prê¬

te agréablement à des manifestations villageoi¬

ses, telle que celle qui a marqué récemment les trois quarts de siècle d'existence de la banque Raiffeisen de Praroman.

•W

Ces sept dessins ont fait l'objet d'une récompense à leurs auteurs.

Une réalisation qui s'intègre par¬

faitement au village et au paysa- Ke-

Les deux guichets de la banque Raiffeisen. PHOTOS G. BD

Un brin d'histoire

Le 12 novembre 1922, près de cinquante habitants de cette région, répondant à l'invita¬

tion du curé Félicien Cheval- ley, faisaient œuvre de pion¬

niers en fondant la Caisse de crédit mutuel de Praroman, la¬

quelle était organisée selon le principe Raiffeisen. Une ini¬

tiative qui devait rapidement porter ses fruits auprès d'une population essentiellement ru¬

rale. Au fil des ans, l'établisse¬

ment connut une forte crois¬

sance et s'est toujours déve¬

loppé dans le même esprit.

Comme le relevait le chroni¬

queur de la plaquette du 50e

anniversaire, la région de la Haute-Sarine n'a jamais man¬

qué d'atouts, puisqu'elle a vu l'implantation de petites et moyennes entreprises, une di¬

versification de ses activités, un élan dans la construction, donc une zone appelée à deve¬

nir un pôle d'attraction et de

8

(9)

Ut Art de vivre ILLUSTRE

La manifestation d'inauguration animée par la fanfare «L'Avenir»

du Mouret.

développement. Au 31 dé¬

cembre 1995, la population de l'ensemble des villages de Ferpicloz, Montévraz, Zénau- va, Oberried et Praroman était de 1851 habitants.

Pour son 75e anniversaire, cet¬

te banque Raiffeisen s'est ins¬

tallée dans un immeuble tout neuf situé au cœur du village

du Mouret, un point névral¬

gique pour le développement des affaires, car elle ne pouvait regarder l'avenir avec sérénité en demeurant sous la halle de gymnastique où elle se trou¬

vait depuis 1982, après avoir été logée à l'école primaire de Praroman et pendant quelques années chez un privé.

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Deux dons à des œuvres sociales

Pour marquer dignement cet événement, le Conseil d'admi¬

nistration de la banque Raif¬

feisen a remis deux chèques d'une valeur de 1000 francs chacun à l'association «Les Petits Robinsons» de Bonne- fontaine et à l'institut «Les Peupliers» d'Oberried. Un geste de solidarité fort bien ac¬

cueilli par les deux institutions qui utiliseront ces montants pour l'achat de nouveaux jeux éducatifs et livres et pour com¬

pléter l'aménagement de

places de jeux. «Par ces dons, la banque Raiffeisen de Praro¬

man veut témoigner son at¬

tachement à la communauté locale», devait préciser Jean- Pierre Wicht, vice-président du CA. Ce soutien à deux oeuvres de la Haute-Sarine, a- t-il ajouté, répond au principe même de cette banque, puisque «le mouvement Raif¬

feisen ne cherche pas le profit, mais servir en premier lieu le bien commun».

Gérard Bourquenoud

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Une fille coquette

Arianne, qui a eu trois ans le 18 avril 97, vit avec ses parents Daniel et Ditas Borcard, chemin des Gavardes, 1073 Savigny.

C'est une fille très gentille et coquette qui a du plaisir à rendre vi¬

site à son arrière-grand-maman Thérèse Borcard, rue Nicolas- Glasson 11, à Bulle, laquelle nous a envoyé cette ravissante pho¬

to et qui en plus est une fidèle abonnée à notre revue.

Sourire

à la vie ILLUSTRE

Si par hasard vous avez réussi une photo insolite de votre fille ou de votre fils de moins de sept ans. nous vous invitons à nous l'envoyer avec nom. prénom, date de naissance et domi¬

cile. Son portrait fera l'objet d'une publication dans une pro¬

chaine édition de notre revue bimensuelle. Chaque photo qui sera publiée bénéficiera d'un abonnement gratuit de trois mois à notre magazine. Elle sera rendue après parution, ceci pour autant que l'adresse des parents soit mentionnée.

Envoyez donc vos photos ù:

Rédaction de Fribourg Illustré Rubrique «Sourire à la vie»

Rte de la Glane 31, 1701 Fribourg.

Un adorable garçon

Bryan est un enfant qui adore jouer en plein air et surtout grimper les escaliers pour dire bonjour à sa grand-maman et chicaner son grand-papa. Il ai¬

me également leur rendre visi¬

te un ou deux jours et donner le biberon à un agneau. Ce garçon adorable est un rayon de soleil pour ses parents Jean- Pierre et Katia Philipona et ses deux frères Jonathan et Mi¬

chael. Il vit à Granges (Vevey- se), où il est né le 6 février 96.

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Flash Une entreprise au service du 'Bon Dieu...

Tradiffusion, à Hutte, n 'est vraiment pas une entreprise comme Ces autres...

Ä la veille des fêtes de 9{pëC, il nous a paru intéressant d'alCer visiter son magasin d'articCes retißieu^ de chercfier à compren¬

dre qui est son personnet, et surtout d'atter examiner de près La qualité des articCes vendus... 'Bilan positif!

!Tour [es (ecteurs de Jribourg Itttistré, nous avons rencontré Ce directeur général de Tradiffusion: Otivier 9(puot.

- FRIBOURG ILLUSTRÉ: Qu'est-ce que Tradiffusion ?

- Olivier ROUOT: 11 s'agit d'une entreprise spécialisée dans la vente d'objets de piété:

crèches de Noël, calendriers de l'Avent, sta¬

tues et statuettes, bénitiers, crucifix, mé¬

dailles et chapelets; ou encore disques-la¬

ser, cassettes audio et vidéo, CD-Rom; et encore icônes, images pieuses, photos et cartes postales; et aussi jeux pour enfants, puzzles, porte-clefs, autocollants et affiches;

et bien sûr livres récents, livres anciens et livres d'occasion... le tout notamment en français, en allemand, en italien... et en latin! Bref, tout ce qu'il faut pour prier, se cultiver... et offrir!

- F.I.: Depuis quand existez-vous?

- O.R.: Créée il y a bientôt dix ans, cette entreprise était spécialisée dans la vente par correspondance dans le monde entier. Jugez plutôt: 5000 références, achetées à 160 four¬

nisseurs, en provenance de 15 pays et ven¬

dues dans 25 pays!

Mais, aujourd'hui, et depuis maintenant une année, c'est aussi un beau magasin à Bulle: plus de 150 m2 destinés à la vente di¬

recte. Recevant de plus en plus de clients d'origine régionale, et ne sachant pas les ac¬

cueillir (car, en tant que spécialistes de la vente par correspondance nous n'avions pas les structures pour cela), nous avons réamé¬

nagé une partie de nos locaux, à l'entrée de Bulle, pour en faire un magasin agréable où nous accueillerons dorénavant une clientèle grandissante dans un confort appréciable...

Nous avons également installé un "coin en¬

fants" pour que ces derniers ne s'ennuient pas...

- F.I.: A part la vente, avez-vous aussi d'autres activités?

- O.R.: Oui, bien sûr! Nous sommes édi¬

teurs de livres, producteurs de cassettes audio et vidéo, producteurs de CD-laser, fa¬

bricants d'objets de piété, et nous possédons un journal mensuel diffusé par abonnement dans toute la francophonie.

- F.I.: Mais tout cela demande certains moyens matériels et humains! Qui est der¬

rière vous?...

- O.R.: Oh, rien d'occulte, rassurez-vous!

Nous dépendons en effet d'une congré¬

gation religieuse, la Fraternité Sacerdotale Saint Pie X, dont le siège est à Menzingen (canton de Zoug) et dont les prêtres, les re¬

ligieux, les séminaires, les écoles et les œu¬

vres sont présents sur les 5 continents et dans presque tous les pays! Néanmoins, Tradif¬

fusion est autogérée et nous devons l'essen¬

tiel de nos moyens... à nos clients!

- F.I.: Qui sont-ils, justement, ces clients?

- O.R.: Ce sont généralement des chrétiens, bien sûr. Principalement des catholiques,

plutôt pratiquants, mais pas nécessairement:

en effet, certains clients viennent simple¬

ment nous voir en raison de la diversité et de la beauté de nos représentations de l'art chrétien.

Il faudrait cependant dissocier notre clientèle "vente par correspondance" de no¬

tre clientèle "vente directe": notre clientèle internationale est essentiellement composée de catholiques de sensibilité traditionnelle, restés fidèles à la messe de nos parents et au catéchisme de notre enfance. Ils sont sou¬

vent assez exigeants dans le domaine du

"beau" et de la doctrine. De plus, ils sont répartis sur 5 continents et leurs goûts ou leurs cultures sont parfois très différents les uns des autres... Ainsi, des statues de la Sainte Vierge de type "sulpicien", et d'autres de type roman, ou gothique, ou médiéval ou africain, ne se vendent pas du tout aux mêmes clients...

En revanche, notre clientèle régionale est moins militante, moins attentive aux remous que provoque l'actuelle crise de l'Eglise, et vient chez nous pour trouver une masse im¬

portante d'articles religieux ou de bons et sains livres que l'on ne trouve plus ailleurs, ou que très difficilement. Nous entendons souvent nos clients dire, lorsqu'ils viennent pour la première fois chez nous: "L'am¬

biance de votre magasin nous rappelle la piété de notre enfance"...

- F.I.: Vous faites souvent allusion à la crise de l'Eglise, à la messe en latin (dite de Saint Pie V), à la Tradition, au temps "d'autre¬

fois.. Ne seriez-vous pas ce qu 'on appelle un intégriste?

- O.R.: Ce mot, en tout cas dans le sens où les médias l'utilisent aujourd'hui, est assez péjoratif et désigne des gens sectaires et agressifs, tels que l'on n'en trouve norma¬

lement pas dans les religions chrétiennes.

Je suis un catholique romain, de sensi¬

bilité traditionnelle, fidèle à la messe de mon enfance, la seule dans laquelle ma foi garde sa force et sa constance. J'enseigne à mes enfants le même catéchisme que celui que l'on m'a enseigné, un catéchisme où l'on parle autant de la miséricorde de Dieu que de sa justice... Je souffre parfois (et même souvent!) des excès du modernisme. Ils sont responsables de la perte des vocations, de la chute de la pratique religieuse, de la dis¬

parition de la morale chrétienne, du man¬

que de culture religieuse des jeunes généra¬

tions, de la disparition du "sacré" dans la liturgie, du "déboussolement" de beaucoup de jeunes et de la démotivation de beaucoup de prêtres...

Mais cela n'est pas de mon ressort... Je trouve une grande sécurité à prier comme mes parents et comme leurs parents avant eux le faisaient, c'est-à-dire comme l'a en¬

seigné l'Eglise pendant des siècles: cela ne

peut pas être complètement mauvais!...

Quoi qu'il en soit, mes collaborateurs et la congrégation dont Tradiffusion dépend sont résolument catholiques romains, quels que soient les interprétations politiques et les commentaires polémiques que peuvent délivrer sur la Tradition de l'Eglise des gens mal informés, certains journalistes en mal de sensation ou quelques évêques sans cha¬

rité-

Dans tous les cas, le magasin de Tradif¬

fusion n'a pas pour vocation de régler la crise de l'Eglise, mais de vendre de beaux objets et de bons livres à ceux qui veulent prier et se cultiver!

Nous sommes des laïcs, pas des reli¬

gieux, nous faisons un beau travail et un bel apostolat (car nous sommes aussi une œu¬

vre apostolique), et nous ne nous occupons pas de politique ni de "guerre de religion"!

Nous laissons cela aux spécialistes... et aux journalistes!

- F.I.: Pour conclure, qu'allez-vous pro¬

poser à votre clientèle pour les fêtes de Noël?

- O.R.: Des crèches, bien sûr! Des dizaines de crèches différentes, pour différents bud¬

gets, et en provenance de différents pays.

Et puis de nombreux personnages de crèche vendus de façon indépendante!

Mais pas seulement des crèches... Il y a tous nos articles! 5000 références, dont de nombreux jeux et de bons livres... De quoi faire aux enfants des cadeaux un peu plus spirituels que les bêtises japonaises, mons¬

tres gluants et livres bêtifiants, que leur of¬

fre aujourd'hui notre société de consomma¬

tion!... I Publireportage

^tuoT>\ççus\on

"Tout ce qui est catholique est nôtre!"

Champ-Francey 28 - 1630 BULLE Tél. 026/919 60 50 Fax 026/919 60 51

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j (TRADIFFUSION est située en face des "Cui¬

sines Raboud", à côté de l'entrepôt Cardinal.

En venant du centre de Bulle: Rond-point Mac- Donald, à gauche, 1™ à droite, puis après 2e "dos yd'âne", l*à droite, puis après 2e à gauche.) y

(13)

Ces hommes

qui travaillent sur les routes,

face au danger

de milliers de véhic

Regards sur... ILLUSTRE

Le Département des ponts et chaussées de l'Etat de Fribourg dispose actuellement de deux équipes de trois hommes chacune pour effectuer le marquage des routes can¬

tonales. La rédaction de notre revue a rencontré l'une d'elles à l'œuvre dans le village singinois d'Heitenried et s'est entre¬

tenue quelques instants avec le responsable de ce groupe, Roland Rossier, qui, depuis huit ans, tra¬

vaille à l'Etat.

L'entretien des routes canto¬

nales est de nos jours une mis¬

sion importante, étant donné le trafic toujours plus dense et le nombre considérable de véhi¬

cules en circulation. Une res¬

ponsabilité qui est confiée à l'ingénieur cantonal des Ponts et Chaussées, Claude Morzier, qui l'assume en étroite colla¬

boration avec les contrôleurs

Roland Rossier, responsable de l'équipe, au volant de la machine qui effectue le marquage des routes. PHOTOS G. BD

des trois arrondissements du canton. Au nombre de ses acti¬

vités, citons le marquage de la chaussée, qui représente 650 km de routes cantonales et qui exige quelque trente tonnes de peinture par année. Ce travail, qui se fait uniquement par beau temps et d'avril à oc¬

tobre, est organisé quotidien¬

nement par Gabriel M army, chef du centre de la Tour Rou¬

ge. C'est d'ailleurs dans ces ateliers de Fribourg que durant l'hiver les six hommes du marquage sont occupés sur la serrurerie, la remise en état des machines, des panneaux de si¬

gnalisation et à d'autres tra¬

vaux que nécessite l'entretien des routes du canton.

L'équipe que nous avons ren¬

contrée en Singine est formée

de Roland Rossier, d'Onnens, responsable, d'Henri Chata- gny et Raymond Goetsch- mann, de Fribourg. Tous trois travaillent la main dans la main et dans une parfaite en¬

tente. Leur mission n'est pas aussi simple qu'on pourrait le croire, tout particulièrement en ce qui concerne leur sécuri¬

té. En effet, le marquage de la chaussée oblige l'équipe à être continuellement au milieu de la route avec leur machine, donc un certain danger pour

ces trois hommes qui sont contraints d'avoir sans cesse les yeux sur le trafic. Comme nous l'a dit Roland Rossier:

«Trop d'automobilistes et de chauffeurs de poids lourds ne respectent pas les signaux qui indiquent des travaux et rou¬

lent à trop vive allure. Notre machine n'étant pas un robot, sa conduite et son fonctionne¬

ment sont assurés par des êtres humains. Il serait donc bon que chaque conducteur prenne conscience du danger que leur comportement représente pour ceux qui travaillent sur la chaussée».

Souhaitons que cet appel à la prudence soit entendu, afin que le marquage des routes puisse se faire en toute sécuri¬

té pour ces hommes qui sont constamment en danger face à des milliers de véhicules.

Gérard Bourquenoud

Une équipe formée de trois hommes avec, de gauche à droite, François Goetschmann, Roland Rossier et Henri Chatagny.

(14)

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(15)

Le vacherin fribourgeois

de VAFSA:

un produit de plus en plus

prisé par les gourmets

Les fromages sur la table

( ILLUSTRE

/l y a une année, Vache¬

rin fribourgeois SA s'est doté d'une organisation Interprofession, d'une ap¬

pellation d'origine contrô¬

lée ainsi que d'une gamme de produits analysés sur la base de qualités gustatives, de la composition et de la bactériologie. Cette gam¬

me correspond et facilite une meilleure utilisation du produit, c'est-à-dire:

Vacherin fribourgeois

«Classic» pour la fondue;

le «Select» pour la consommation à la main;

l'«Extra», plus jeune, éga¬

lement pour la main; le

«Bio» qui répond aux exi¬

gences biologiques. Pour que le consommateur puis¬

se les distinguer correcte¬

ment et facilement, ces fro¬

mages sont habillés de couleurs différentes.

Un fromage qui se vend bien Ce marketing, renforcé en 1996, bien qu'appliqué depuis quelques années déjà, a eu pour effet une augmentation des ventes de 107 tonnes, soit 6,8%. Celle-ci est le résultat des efforts constants d'adapta¬

tion du vacherin fribourgeois aux exigences évolutives des consommateurs en Suisse et à l'étranger. L'étroite collabora¬

tion entre les fabricants, VAF¬

SA et ses clients permet de dé¬

velopper des produits aptes à être utilisés comme produits

dérivés quasi prêts à la consommation, particulière¬

ment en ce qui concerne la cuisine chaude.

Nouvelles caves en Gruyère Au mois de mai dernier, Va¬

cherin fribourgeois SA a déci¬

dé la construction de nouvelles caves, à proximité de celles de Fromage de Gruyère SA, à Bulle. Avec cette réalisation, VAFSA va se doter d'un outil de travail qui répond aux exi¬

gences actuelles et bénéficier ainsi d'une infrastructure adaptée aux évolutions fu¬

tures. Ces caves vont s'étendre sur une surface de 2000 m2 et un volume de 14000 m3 dont la capacité sera d'environ 50 000 meules. Cette construc¬

tion, qui sera achevée en avril 98, va nécessiter un investisse¬

ment de quelque sept millions de francs de la part de Vache¬

rin fribourgeois SA, dont le produit est fabriqué dans vingt-trois fromageries du canton, mais essentiellement en Gruyère et dans la Glâne.

VAFSA - G. Bd

Je me lève la nuit pour en man¬

ger... du vacherin! PHOTO VAFSA

(16)

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Brenleires/Les Crosets Le Jeu de Quilles/Le Fessu Le Rustoz

Les Grosses-Sauges Les Invuettes/La Féguelena Les Mortheys

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Esseiva Benoît & Fidèle Pasquier Léonard Andrey Gaston

Morand Bernard (Nino) Biland Gérard

Gachet Bruno Genoud William Ruffieux Jacques

Vaulruz Maules Châtelard Avry-dt-Pont Farvagny Mézières Charmey La Villette Terroir du Motélon / 6 trains d'alpage / 14 tonnes

La Gîte de Joux/Les Fossalets 1065 La Vonderweire/Les Groins du Milieu 1310 Le Liti/Vacheresse 1742 Les Groins d'Enhaut 1349 Pra Lé Avau 1000 Varvalanna 1567

Pipoz Frères Remy Frères

Bapst Maurice & Jacques Barras Pierre-André Guillet Robert Ruffieux Frères

Charmey Broc La Roche Pensier Avry-dt-Pont St. Ursen Terroir de Valsainte-Biffé / 4 trains d'alpage / 10 tonnes

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Kolly Maurice Wicky Paul Brodard Yvan Charrière Alfred

Corbières Crésuz Treyvaux La Valsainte Terroir des Dents-Vertes / 4 trains d'alpage / 10 tonnes

La Chaux-du-Vent La Vatia d'Amont Les Banderettes Vounetse

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Le

fromage

dans

l'alimen¬

tation

A chacun sa bonne raison de manger du fromage Avec le lait et les produits lai¬

tiers, le fromage se classe dans le précieux groupe des ali¬

ments complets. Il contient beaucoup de protéines, de nombreuses substances miné¬

rales et des vitamines.

Chez les enfants et les adoles¬

cents, le lait contribue à satis¬

faire les hautes exigences de la croissance en protéines, ainsi qu'en calcium et en phosphore pour la constitution des os et des dents.

Les adultes ont eux aussi be¬

soin d'une alimentation riche en protéines, substances miné¬

rales et vitamines. Les exi¬

gences de l'organisme crois¬

sent même avec la pratique des sports, la grossesse, l'allai¬

tement et avec l'âge. Ainsi, chacun trouve déjà une bien bonne raison de consommer du fromage. A laquelle s'ajou¬

te le plaisir gourmand: un beau morceau de fromage vous met l'eau à la bouche. Et le bien-manger fait l'allant du corps et l'élan de l'esprit.

Une alimentation équilibrée par le fromage

Notre organisme réclame une alimentation régulière et équi¬

librée. Il lui faut des subs-

Les fromages sur la table

1 ILLUSTRE

tances constituantes, régula¬

trices (immunisantes) et éner¬

gétiques. Ainsi que des fibres alimentaires et de l'eau en suf¬

fisance. Le fromage satisfait une grande part de ces exi¬

gences nutritives quoti¬

diennes.

Alors qu 'en Suisse le plateau de fromages reste le souper préféré, avec du pain ou des pommes de terre en robe des champs, on l'apprécie davan¬

tage au dessert en France et en Italie. PHOTO USF

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Grillades et broche au feu

Auberge du Soleil-Blanc

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(21)

Trente photos

à la laiterie du Mouret

pour présenter ses producteurs

Exposition

11 ILLUSTRE

Après cinq ans d'acti¬

vité dans le nouveau bâtiment de leur laite¬

rie-fromagerie au Mouret, Elisabeth et René Kolly voulaient marquer cet an¬

niversaire en associant les producteurs aux relations qu 'eux-mêmes ont avec leurs clients. Et comment le faire de façon plus sym¬

pathique qu'en réunissant photographiquement les différents domaines agri¬

coles qui leur fournissent la matière fondamentale de leur commerce: le lait.

L'idée était originale de rele¬

ver ce partenariat entre des ac¬

teurs qui ne peuvent en aucun cas vivre les uns sans les autres. Question animation, Elisabeth et René Kolly n'en sont pas à leur coup d'essai, puisque environ quatre ou cinq fois par an des peintres, photo¬

graphes, céramistes, artisans viennent occuper l'espace convivialité du magasin et pré¬

senter leur activité.

laiterie fromagrri rie

Heures d'ouverture:

Mardi au vendredi: 7 h -12 h/16 h -19 h Samedi: 7h - 12h/14h - 19h Dimanche: 7h30 - 12h/17h - 19h

Lundi fermé Jusqu'au 1.12.97, exposition de photos

«La fromagerie présente ses producteurs»

Pour le moment, et jusqu'au Ier décembre, ce sont quelque trente photos en couleurs de Gérald Sciboz, photographe à Marly, qui garnissent les pa¬

rois de la laiterie. Puis, pen¬

dant l'Avent, une artisane d'Arconciel exposera des crèches faites de bois et de mousse qu'elle réalise entière¬

ment elle-même. Suivront en début d'année prochaine un souffleur de verre, une trico¬

teuse de vêtement en mohair de chèvre, une potière.

Avec deux millions de kilos de lait par an, transformés pres¬

que entièrement en fromage de Gruyère, les patrons s'esti¬

ment satisfaits. Mais gageons que la famille Kolly ne man¬

quera pas d'idées pour entrete¬

nir ses bonnes relations avec clients et fournisseurs. De quelle manière? Originale cer¬

tainement, mais pour le mo¬

ment elle en garde encore le secret.

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(22)

ILLUSTRE Croque-notes Le chœur «Lè Riondênè»

de Broc en fête

Une création

musicale

pour ses noces

de diamant

Le chœur costumé

«Lè Riondê¬

nè» de Broc qui fêtera ses noces de dia¬

mant avec une création musi¬

cale.

Les hirondelles sont parties en Afrique,

«Lè Riondênè» sont res¬

tées à Broc pour une créa¬

tion musicale «Le vieil homme et l'hirondelle», une idée de Nicolas Bus¬

sard, qui en est le concep¬

teur. C'est l'histoire d'un domestique de campagne solitaire qui ne parle plus guère qu'avec les hiron¬

delles qui lui tiennent com¬

pagnie dans la grange du¬

rant la saison estivale.

C'est Tobie Rime qui tien¬

dra le rôle du vieil homme dans ce spectacle théâtral et musical budgétisé à 28 000francs.

œuvre qui va égale¬

ment illustrer le CD que le chœur «Lè Riondênè» envisa¬

ge enregistrer au printemps pro¬

chain», a rele¬

vé Jean-Luc Pa-

choud, le dynamique président de cet ensemble vocal. Ce spectacle théâtral et musical sera présenté au public les 21 et 22 novembre, dans la gran¬

de salle de l'Hôtel de Ville de Broc.

G. Bd

Excellente initiative aussi, celle de Bernard Maillard, directeur de cet en¬

semble vocal, qui a confié la musique des seize chants du cycle des saisons à huit com¬

positeurs: Oscar Moret pour les textes en patois, André Du- cret, Bernard Chenaux, Yves Piller, Léon Tâche, Henri Bae- riswyl, Jean Mamie et Oscar Lagger. «Des pièces qui ont été accueillies avec enthou¬

siasme par les chanteurs et qui ont pour effet d'enrichir le ré¬

pertoire de la musique chorale populaire», a précisé Bernard Maillard, directeur de ce chœur brocois.

«Quant à la plaquette de cette création musicale du 60e anni¬

versaire, elle sera le reflet au¬

thentique de l'histoire de la société. Sa couverture a été réalisée par l'artiste brocois Benett (Benoît Corboz), une

^Lè

.*

60e anniversaire

Riondênè

ooe . ,\o5.

Entrée:

Adultes: Fr. 16.-/12.- Etudiants/AVS: Fr. 8.-/6.- Enfants: Fr. 8.-/6.- Location:

Lucienne Savary, Broc Tél. 026/921 16 36

BROC Hôtel de Ville 21-22 novembre 1997

à 20 h.

22

(23)

«Las! c'est novembre qui vient! Va se faner mon jar¬

din...» chantaient jadis les pe¬

tits écoliers, sur un air mélan¬

colique qu'Arthur Honegger n'a pas craint d'incorporer à l'une de ses œuvres. C'est vrai que le jardin est bien fané, dé¬

cati, écrasé, après la pluie de la nuit dernière. Une pluie rageu¬

se, quasiment atlantique, ac¬

compagnée d'un vent qui don¬

nait des coups de poings aux fenêtres. On se serait dit à Saint-Malo par grande tempê¬

te. Et ce matin, il ne reste pas beaucoup de feuilles aux arbres. Les tiges rouillées des fleurs flétries ont piètre mine.

Des gouttes tombent encore des rameaux frileux. Le der¬

nier chrysanthème a perdu ses pétales qui se sont éparpillés à son pied.

Oui, c'est novembre et on ne peut pas dire que sa venue ré¬

jouisse grand monde! Voilà un mois qui a mauvaise réputa¬

tion. Il n'annonce rien de bon.

Il nous parle de brumes et de gelées, de lointains noircis, de prés mouillés, de nuit précoce.

La chanson de novembre ne peut être qu'en mineur.

Un sursis, cependant, laisse espérer le retour d'un pâle so¬

leil. La pluie a cessé, les nuages vont-ils se dissiper?

Mais déjà le vent succède aux averses. Les bourrasques pren¬

nent le relais de celles de la nuit, secouant les ramures comme pour en arracher les quelques feuilles obstinées qui s'y cramponnent encore. Il ne pleuvra pas, mais gare aux chapeaux et aux cheveux ébouriffés. Il y aura des coups de peigne furtifs dans les halls de banques ou de gares, pour remettre un peu de dignité dans les coiffures malmenées.

On n'aime pas novembre.

Pourtant, c'est le mois qui nous réserve l'été de la Saint- Martin, ce retour bienvenu de la douceur, au moment où l'on désespérait. Je dis bien «été de la Saint-Martin», et non «été indien», comme une mode tend à nous l'imposer. Je ne vois pas ce que l'Inde vient

Cha nson

de novem bre

Au quotidien

Mi ILLUSTRE

faire là-dedans, sous nos lati¬

tudes. Tandis que la légende de saint Martin est bien de chez nous, puisque nous som¬

mes liés au pays de France par la langue et le climat. Elle si¬

gnifie quelque chose, cette lé-

te de charité que nous devons cette faveur qui se renouvelle d'année en année. L'été de la Saint-Martin est hautement symbolique; c'est un rappel de notre vocation d'hommes soli¬

daires (aujourd'hui on parle

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y l\ w r * l ' ■ Jir: 1 , 1

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Coucher de soleil sur le lac de Moral. PHOTO G. BD

gende. Elle nous raconte que, le saint homme ayant partagé son manteau d'un coup d'épée pour en donner la moitié à un pauvre demi-nu, la nature se mit à se réchauffer, donnant au monde un reliquat d'été. C'est bien à saint Martin et à son ac-

tant des droits de l'homme qu'on finit par croire qu'il s'agit de lois abstraites). Le nommer comme il se doit est un fait de culture. L'été indien n'est qu'un phénomène mé¬

téorologique, exotique de sur¬

croît, un article d'importation.

Oui, c'est tout cela, novembre:

du froid, de l'humide, du mé¬

lancolique, mais aussi ce déli¬

cieux, ce précieux été de la Saint-Martin qui repeint le ciel en bleu. Et qui ramène des foires aussi vieilles que saint Martin lui-même! La tradition s'en est maintenue en plu¬

sieurs régions. A Vevey, c'est un événement que nul ne sau¬

rait manquer, fût-il au berceau ou convaincu de sa fin pro¬

chaine. On y mène les bébés, pour qu'ils s'imprègnent bien de l'esprit ancestral qui régit la cité; on y conduit les vieillards pour qu'ils reprennent goût à la vie grâce à la vertu régéné¬

rante de cette ambiance qui ré¬

veille la sève de la jeunesse.

Les verres de blanc ne sont pas étrangers à ce regain de vi¬

gueur, mais qu'importe l'élixir, pourvu que la cure opère! Encore un miracle de saint Martin!

Décidément, même si la chan¬

son de novembre est morose, on doit reconnaître qu'elle nous offre, au cœur de ses strophes un peu funèbres, un couplet bien plaisant.

Allons, rendons justice à no¬

vembre, et cessons de nous plaindre! Il y aura peut-être pi¬

re en février!

(SPS) Jacques Bron

(24)

Iii

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Fête des céciliennes

du décanat

de St-Protais

Une création

«Je chante»

de Jean-Louis Favre

La chanteuse Carol Rich.

Tous les quatre ans, les céci¬

liennes du décanat de St-Pro- tais organisent une rencontre conviviale avec confrontation vocale. La prochaine, 21e du nom, aura lieu le dernier week-end de novembre à Cot- tens. Elle réunira les chœurs d'église des paroisses d'Auti- gny-Chénens, Corpataux-Ma- gnedens, Cottens, Ecuvillens- Posieux, Estavayer-le-Gibloux, Farvagny, Neyruz, Rössens, Villarlod et Vuisternens-en- Ogoz. Le 5 décembre, en soi¬

rée, le chœur mixte de la ville

de Bulle, dirigé par Michel Corpataux, donnera un concert-spectacle avec le concours de la chanteuse bien connue Carol Rich, de Mar¬

sens. Le lendemain soir, à Cot¬

tens, les céciliennes réunissant quelque 450 chanteuses et chanteurs, accompagnés par un orchestre à cordes de 24 musiciens, interpréteront une messe de Noël. Le dimanche 7 décembre, qui sera journée of¬

ficielle, les chorales du déca¬

nat présenteront une création musicale «Je chante» de Jean- Louis Favre.

Texte et photo: G. Bd

Auberge St-Georges 1720 Corminbœuf Salle à manger: 30 places Salle pour banquets: 140 places La St-Sylvestre

animée par le «Carré d'As»

Menu de circonstance

Veuillez réserver vos tables au tél. 026/475 11 05

24

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Croque-notes ILLUSTRE

reçoit les musiciens

vétérans fribourgeois

Chaque année, après le temps des ven¬

danges, les musiciens vété¬

rans fribourgeois posent leurs instruments et se réu¬

nissent pour faire le point et ausculter l'état de santé de leur association! Il est toujours important de pré¬

voir des remèdes au cas où ceux-ci deviendraient né¬

cessaires.

Il n'en était rien cette année, heureusement, ainsi que l'a mentionné le président Henri Verdon dans son rapport. 1996 a tenu ses promesses, marquée surtout par la Fête fédérale de musique à Interlaken, qui a été un grand succès. Celle-ci re¬

viendra, en 2001, à Fribourg, dont c'est le tour de l'organi¬

ser. Entre-temps, un program¬

me varié attend les sociétés de musique: Swiss Music Parade en 1998, Fête fédérale de mu¬

sique des jeunes l'année sui¬

vante, Congrès des directeurs en 2000, très probablement à Fribourg aussi. C'est dire que

Le comité pendant l'hommage rendu aux défunts de l'année.

les mille trois cents membres de l'association cantonale se¬

ront largement sollicités.

Nécessité de rajeunir les effectifs

Comme le relevait Patrice Longchamp, vice-président de l'Association fédérale de mu¬

sique et hôte d'honneur de cet¬

te journée, le nombre grandis¬

sant de jeunes musiciens dans les rangs de nos fanfares est un fait réjouissant. C'est un bon début, mais il importe d'inten¬

sifier les contacts avec ces jeunes pour qu'ils gardent le plaisir de jouer. Leur présence est à mettre à l'avantage d'un

retour aux valeurs sûres dans cette fin de siècle toujours plus individualiste.

Le comité central, la commis¬

sion de musique et celle de ré¬

daction du journal des musi¬

ciens constituent l'organe faîtier des 2184 sections de l'Association fédérale de mu¬

sique, avec, depuis 1996, un secrétariat central permanent siégeant à Aarau. A celui-ci incombe la tâche de promou¬

voir et coordonner les activités des différentes sociétés de mu¬

sique pour que ceux qui en font partie puissent y donner le meilleur d'eux-mêmes. Vingt- cinq ans de présence pour de-

La société de musique «L'Alber- gine», Le Pâquier-Montbarry.

Patrice Longchamp, vice-prési¬

dent central, hôte d'honneur de la journée.

venir vétéran est un objectif facilement réalisable à cette seule condition.

Avant de clore la partie admi¬

nistrative de cette journée, le président Verdon donna à tous rendez-vous à Treyvaux pour l'assemblée 1998.

Texte et photos: J.S.B.

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75 ans?

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