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Avril 2020 Newsletter- 2

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Academic year: 2022

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Texte intégral

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Avril 2020

Newsletter- 2

« Hosanna au fils de David »

Récit de l’entrée à Jérusalem – Matthieu 21, 1-11

Récit de la passion de notre Seigneur Jésus Christ – Matthieu 26, 14 – 27, 66

Mes chers amis, nous célébrons aujourd’hui le dimanche des Rameaux.

Avec la célébration des Rameaux, nous entrons dans la grande semaine, et nous commençons à célébrer le mystère pascal. Nous sommes invités à nous arrêter afin de nous rappeler et de revivre les événements qui ont provoqué notre rédemption et notre salut. Ce que nous célébrons et revivons au cours de cette semaine n’est pas seulement la mort et la résurrection de Jésus Christ, mais notre propre mort et résurrection en lui, qui aura pour résultat notre rédemption. Ce dimanche des rameaux nous rappelle tout particulièrement deux événements dans la vie du Christ;

l’entrée triomphale de Jésus à Jérusalem et sa passion; l’un joyeux, festif,

triomphal et l’autre, triste et tragique.

Mais dans ces deux événements le peuple a reconnu que Jésus était vraiment le Fils de Dieu. C’est pour cela que les foules qui suivaient Jésus ont crié, « Hosanna au fils de David ! Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur ! Hosanna au plus haut des cieux » (Mt 21, 9). Et cette exclamation des foules s’accomplit dans

la confession du centurion ; « Vraiment celui-ci était fils de Dieu » (Mt 27, 54).

Aujourd’hui nous reconnaissons que

La Semaine Sainte

Dans l’église de Cruseilles sans fidèle Le P. Viju célébrera tous les événements de la Semaine Sainte dans l’église de Cruseilles sans la présence de fidèles.

Un triduum pascal

« confiné » à cause de la pandémie du Coronavirus Covid- 19.

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Jésus est à la fois le roi, qui fait son entrée triomphale à Jérusalem, et le serviteur, qui accomplit la volonté de son Père, en éprouvant la passion. Jésus est roi par son humilité, St. Paul nous le dit dans la deuxième lecture. Ce roi fait son entrée royale à Jérusalem tout simplement sur un animal, symbole d’humilité et de douceur. C’est aussi l’accomplissement de la prophétie, faite par Zacharie ; « Jérusalem ton roi vient vers toi, humble, monté sur une ânesse et un petit âne, le petit d’une bête de somme » (Za 9,9). Ce roi a laissé sa condition de Dieu, afin de devenir un serviteur. Jésus est le serviteur par excellence, nous dit le prophète Isaïe, dans la première lecture. Il est le serviteur qui se laisse instruire. Lui, qui est la Parole de Dieu faite chair, a accepté de se taire. Il n'a pas résisté aux cris de ses ennemis. Lui, le Fils de Dieu, ne s’est pas dérobé aux outrages qui lui étaient destinés comme à un esclave.

Aujourd’hui, nous sommes appelés à suivre ce roi humble et simple, et ce serviteur, qui par la passion, la mort et la résurrection nous rachète. Et nous sommes invités à entrer avec lui à Jérusalem en reconnaissant qu’il est vraiment le Fils de Dieu. Nous ne nous poserons pas la question comme la foule de Jérusalem ; « Qui est cet homme ? », car nous savons bien qui nous suivons.

Oui chers amis, ce roi qui vient au nom du Seigneur délaisse le cheval, monture de guerrier et d’homme fort, et choisit pour son entrée triomphale une ânesse et son petit, symbole d’humilité et de simplicité. C’est un roi sans arme, ni armure, ni armée, doux et humble de cœur. C’est un roi qui a laissé tout afin

de devenir un serviteur pour sauver le monde. C’est un roi qui ne règne pas par la violence, mais par l’amour et la miséricorde. Ce roi qui fait son entrée royale à Jérusalem, veut aussi entrer dans notre vie, il ne cesse de frapper à notre porte et il attend que nous lui ouvrions. À chaque messe, il rejoint les communautés chrétiennes réunies en son nom. C’est avec toute la force de notre amour que nous sommes invités à chanter ; « Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur ».

Mes chers amis, en toute humilité et simplicité, entrons dans cette Semaine Sainte, et suivons notre roi humble et simple tout au long de sa passion jusqu’à la croix et à la résurrection. Bien qu’il ne nous soit pas possible de vivre toutes ces célébration physiquement pour nous, soyons unis spirituellement aux célébrations proposées dans la paroisse depuis chez nous et vivons tous ces événements Pascales avec un cœur humble et simple. Le monde vit actuellement la passion avec le corona virus, et nous croyons qu’il y aura une résurrection. Nous prions tout particulièrement pour toutes les victimes de cette pandémie, que le Seigneur nous donne la force et le courage de vivre cette situation angoissante. Amen

P. Johnson Panthalanickal MSFS

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Intention de prière commune à tout le diocèse Dimanche des Rameaux - 5 avril 2020

« Le Seigneur mon Dieu vient à mon secours »

Que la grâce de notre baptême nous aide à porter les croix de notre vie, avec l'assurance que le Christ est à nos côtés, et que la victoire sur le mal et sur la mort nous est acquise grâce au don de sa vie.

En union avec tous les baptisés du diocèse, Seigneur, nous Te prions. (Alexandre, Salomé, Céleste et Igor de notre paroisse)

Pas de réunion/ célébration/ baptême/

mariage, jusqu’à nouvel ordre

Le pèlerinage des collégiens à La Salette est annulé également.

Besoin de parler, d'être écouté?

Le confinement, ce n’est pas toujours facile en couple, ou avec des jeunes enfants ou des ados.

Et vivre avec ses parents quand on est ado ou jeune adulte, ça peut aussi être difficile !

L'équipe de la maison de la famille a mis en place un dispositif d'écoute mais aussi pleins d'idées pour vivre au mieux cette période ! 04 50 60 32 70.

J’ai été très touché de votre affection et du soutien témoigné suite au décès de ma mère, MARIYAKUTTY. Je tiens à vous exprimer ma plus grande gratitude pour

toutes vos attentions et vos prières.

P. Viju MATHEW

Chaque jour, les prêtres de la paroisse célèbrent l’eucharistie, en privé mais surtout en communion de prière. Ils confient au Seigneur les intentions recommandées par la paroisse. Si vous avez des intentions particulières, vous pouvez joindre la paroisse par téléphone ou par mail : com.paroisse.cruseilles@gmail.fr

Nous célébrerons, le Père Johnson et moi-même dans nos deux paroisses à Saint Martin et Cruseilles la Semaine Sainte, vous pourrez en communion spirituelle depuis chez vous, vous associer à notre prière pour nos deux paroisses.

Fraternellement, P. Viju MATHEW, Curé

Messe en Paroisse 5 avril 2020, à 9h30

Dimanche des Rameaux et de la Passion du Seigneur Commémoration de l’entrée du Seigneur à Jérusalem et messe

9 avril 2020, 18h Jeudi Saint

Messe de la Cène du Seigneur

10 avril 2020 Vendredi Saint

15h Chemin de Croix (dans l’église)

18h Célébration de la Passion du Seigneur 11 avril 2020, 20h30 Dimanche de Pâques – Résurrection du Seigneur Veillée pascale dans la nuit 12 avril 2020, 10h

Dimanche de Pâques Messe du jour

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Vendredi Saint, le 10 avril

Ø 7h Office des ténèbres, avec les Fraternités monastiques de Jérusalem, en direct de Saint-Gervais

Ø 15h Chemin de Croix à la grotte présidé par le père Horacio Brito à Lourdes

Ø 18h Office de la Passion présidé par le pape François, en direct de Rome

Ø 21h Chemin de croix présidé par le pape François, en direct de Rome

Samedi Saint, le 11 avril

Ø 12h30 Office de la Descente aux enfers, avec les Fraternités monastiques de Jérusalem, en direct de Saint-Gervais

Ø 21h Vigile pascale présidée par Mgr Michel Aupetit en direct de Saint-Germain-l’Auxerrois

Dimanche de la Résurrection, le 12 avril

Ø 10h Messe de la Résurrection en direct de la grotte de Lourdes

Ø 11h Messe de la Résurrection célébrée par le pape François, en direct de Rome

Ø 12h Bénédiction Urbi et Orbi donnée par le pape François, en direct de Rome

Ø 18h30 Messe de la Résurrection célébrée par Mgr Michel Aupetit, en direct de Saint-Germain-l’Auxerrois

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Voici le texte de méditation du pape François prononcée le soir du 27 mars 2020 Place St. Pierre, VATICAN

Evangile de Jésus-Christ selon saint Marc (4, 35-41)

35 Ce jour-là, le soir venu, il dit à ses disciples : « Passons sur l’autre rive. » 36 Quittant la foule, ils emmenèrent Jésus, comme il était, dans la barque, et d’autres barques l’accompagnaient.

37 Survient une violente tempête. Les vagues se jetaient sur la barque, si bien que déjà elle se remplissait.

38 Lui dormait sur le coussin à l’arrière. Les disciples le réveillent et lui disent :

« Maître, nous sommes perdus ; cela ne te fait rien ? »

39 Réveillé, il menaça le vent et dit à la mer : « Silence, tais-toi ! » Le vent tomba, et il se fit un grand calme.

40 Jésus leur dit : « Pourquoi êtes-vous si craintifs ? N’avez-vous pas encore la foi ? »

41 Saisis d’une grande crainte, ils se disaient entre eux : « Qui est-il donc, celui- ci, pour que même le vent et la mer lui obéissent ? »

Méditation :

« Le soir venu » (Mc 4, 35). Ainsi commence l’Evangile que nous avons écouté. Depuis des semaines, la nuit semble tomber. D’épaisses ténèbres couvrent nos places, nos routes et nos villes ; elles se sont emparées de nos vies en remplissant tout d’un silence assourdissant et d’un vide désolant, qui paralyse tout sur son passage : cela se sent dans l’air, cela se ressent dans les gestes, les regards le disent. Nous nous retrouvons apeurés et perdus. Comme

les disciples de l’Evangile, nous avons été pris au dépourvu par une tempête inattendue et furieuse. Nous nous rendons compte que nous nous trouvions dans la même barque, tous fragiles et désorientés, mais en même temps tous importants et nécessaires, tous appelés à ramer ensemble, tous ayant besoin de nous réconforter mutuellement. Dans cette barque… nous nous trouvons tous.

Comme ces disciples qui parlent d’une seule voix et dans disent : « Nous sommes perdus » (v. 38), nous aussi, nous nous apercevons que nous ne pouvons pas aller de l’avant chacun tout seul, mais seulement ensemble.

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Il est facile de nous retrouver dans ce récit. Ce qui est difficile, c’est de comprendre le comportement de Jésus. Alors que les disciples sont naturellement inquiets et désespérés, il est à l’arrière, à l’endroit de la barque qui coulera en premier. Et que fait-il ? Malgré tout le bruit, il dort serein, confiant dans le Père – c’est la seule fois où, dans l’Evangile, nous voyons Jésus dormir –. Puis, quand il est réveillé, après avoir calmé le vent et les eaux, il s’adresse aux disciples sur un ton de reproche : « Pourquoi êtes-vous si craintifs ? N’avez-vous pas encore la foi? » (v. 40).

Cherchons à comprendre.

En quoi consiste le manque de foi de la part des disciples, qui s’oppose à la confiance de Jésus ? Ils n’avaient pas cessé de croire en lui. En effet, ils l’invoquent. Mais voyons comment ils l’invoquent : « Maître, nous sommes perdus ; cela ne te fait rien ? » (v. 38). Cela ne te fait rien : ils pensent que Jésus se désintéresse d’eux, qu’il ne se soucie pas d’eux. Entre nous, dans nos familles, l’une des choses qui fait le plus mal, c’est quand nous nous entendons dire: “Tu ne te soucies pas de moi ?”. C’est une phrase qui blesse et déclenche des tempêtes dans le cœur. Cela aura aussi touché Jésus, car lui, plus que personne, tient à nous. En effet, une fois invoqué, il sauve ses disciples découragés.

La tempête démasque notre vulnérabilité et révèle ces sécurités, fausses et superflues, avec lesquelles nous avons construit nos agendas, nos projets, nos habitudes et priorités. Elle nous démontre comment nous avons laissé endormi et abandonné ce qui alimente, soutient et donne force à notre vie ainsi qu’à notre communauté. La tempête révèle toutes les intentions d’“emballer” et d’oublier ce qui a nourri l’âme de nos peuples, toutes ces tentatives d’anesthésier avec des habitudes apparemment “salvatrices”, incapables de faire appel à nos racines et d’évoquer la mémoire de nos anciens, en nous privant ainsi de l’immunité nécessaire pour affronter l’adversité. À la faveur de la tempête, est tombé le maquillage des stéréotypes avec lequel nous cachions nos “ego” toujours préoccupés de leur image; et reste manifeste, encore une fois, cette appartenance commune (bénie), à laquelle nous ne pouvons pas nous soustraire : le fait d’être frères. « Pourquoi êtes-vous si craintifs ? N’avez-vous pas encore la foi ? ».

Seigneur, ce soir, ta Parole nous touche et nous concerne tous. Dans notre monde, que tu aimes plus que nous, nous sommes allés de l’avant à toute vitesse, en nous sentant forts et capables dans tous les domaines. Avides de gains, nous

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nous sommes laissés absorber par les choses et étourdir par la hâte. Nous ne nous sommes pas arrêtés face à tes rappels, nous ne nous sommes pas réveillés face à des guerres et à des injustices planétaires, nous n’avons pas écouté le cri des pauvres et de notre planète gravement malade. Nous avons continué notre route, imperturbables, en pensant rester toujours sains dans un monde malade.

Maintenant, alors que nous sommes dans une mer agitée, nous t’implorons :

“Réveille-toi Seigneur !”.

« Pourquoi êtes-vous si craintifs ? N’avez-vous pas encore la foi ? ». Seigneur, tu nous adresses un appel, un appel à la foi qui ne consiste pas tant à croire que tu existes, mais à aller vers toi et à se fier à toi. Durant ce Carême, ton appel urgent résonne : “Convertissez-vous”, « Revenez à moi de tout votre cœur » (Jl 2, 12). Tu nous invites à saisir ce temps d’épreuve comme un temps de choix. Ce n’est pas le temps de ton jugement, mais celui de notre jugement : le temps de choisir ce qui importe et ce qui passe, de séparer ce qui est nécessaire de ce qui ne l’est pas.

C’est le temps de réorienter la route de la vie vers toi, Seigneur, et vers les autres.

Et nous pouvons voir de nombreux compagnons de voyage exemplaires qui, dans cette peur, ont réagi en donnant leur vie. C’est la force agissante de l’Esprit déversée et transformée en courageux et généreux dévouements. C’est la vie de l’Esprit capable de racheter, de valoriser et de montrer comment nos vies sont tissées et soutenues par des personnes ordinaires, souvent oubliées, qui ne font pas la une des journaux et des revues ni n’apparaissent dans les grands défilés du dernier show mais qui, sans aucun doute, sont en train d’écrire aujourd’hui les évènements décisifs de notre histoire : médecins, infirmiers et infirmières, employés de supermarchés, agents d’entretien, fournisseurs de soin à domicile, transporteurs, forces de l’ordre, volontaires, prêtres, religieuses et tant et tant d’autres qui ont compris que personne ne se sauve tout seul. Face à la souffrance, où se mesure le vrai développement de nos peuples, nous découvrons et nous expérimentons la prière sacerdotale de Jésus : « Que tous soient un » (Jn 17, 21).

Que de personnes font preuve chaque jour de patience et insuffle l’espérance, en veillant à ne pas créer la panique mais la coresponsabilité ! Que de pères, de mères, de grands-pères et de grands -mères, que d’enseignants montrent à nos enfants, par des gestes simples et quotidiens, comment affronter et traverser une crise en réadaptant les habitudes, en levant les regards et en stimulant la prière ! Que de personnes prient, offrent et intercèdent pour le bien de tous. La prière et le service discret : ce sont nos armes gagnantes !

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« Pourquoi avez-vous peur ? N’avez-vous pas encore la foi ? ». Le début de la foi, c’est de savoir qu’on a besoin de salut. Nous ne sommes pas autosuffisants ; seuls, nous faisons naufrage : nous avons besoin du Seigneur, comme les anciens navigateurs, des étoiles. Invitons Jésus dans les barques de nos vies. Confions-lui nos peurs, pour qu’il puisse les vaincre. Comme les disciples, nous ferons l’expérience qu’avec lui à bord, on ne fait pas naufrage. Car voici la force de Dieu : orienter vers le bien tout ce qui nous arrive, même les choses tristes. Il apporte la sérénité dans nos tempêtes, car avec Dieu la vie ne meurt jamais. Le Seigneur nous interpelle et, au milieu de notre tempête, il nous invite à réveiller puis à activer la solidarité et l’espérance capables de donner stabilité, soutien et sens en ces heures où tout semble faire naufrage. Le Seigneur se réveille pour réveiller et raviver notre foi pascale. Nous avons une ancre : par sa croix, nous avons été sauvés. Nous avons un gouvernail : par sa croix, nous avons été rachetés. Nous avons une espérance : par sa croix, nous avons été rénovés et embrassés afin que rien ni personne ne nous sépare de son amour rédempteur. Dans l’isolement où nous souffrons du manque d’affections et de rencontres, en faisant l’expérience du manque de beaucoup de choses, écoutons une fois encore l’annonce qui nous sauve : il est ressuscité et vit à nos côtés.

Le Seigneur nous exhorte de sa croix à retrouver la vie qui nous attend, à regarder vers ceux qui nous sollicitent, à renforcer, reconnaître et stimuler la grâce qui nous habite. N’éteignons pas la flamme qui faiblit (cf. Is 42, 3) qui ne s’altère jamais, et laissons-la rallumer l’espérance.

Embrasser la croix, c’est trouver le courage d’embrasser toutes les contrariétés du temps présent, en abandonnant un moment notre soif de toute puissance et de possession, pour faire place à la créativité que seul l’Esprit est capable de susciter.

C’est trouver le courage d’ouvrir des espaces où tous peuvent se sentir appelés, et permettre de nouvelles formes d’hospitalité et de fraternité ainsi que de solidarité. Par sa croix, nous avons été sauvés pour accueillir l’espérance et permettre que ce soit elle qui renforce et soutienne toutes les mesures et toutes les pistes possibles qui puissent aider à nous préserver et à sauvegarder.

Étreindre le Seigneur pour embrasser l’espérance, voilà la force de la foi, qui libère de la peur et donne de l’espérance.

« Pourquoi êtes-vous si craintifs ? N’avez-vous pas encore la foi ? » Chers frères et sœurs, de ce lieu qui raconte la foi, solide comme le roc, de Pierre, je voudrais ce soir vous confier tous au Seigneur, par l’intercession de la Vierge, salut de son

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peuple, étoile de la mer dans la tempête. Que, de cette colonnade qui embrasse Rome et le monde, descende sur vous, comme une étreinte consolante, la bénédiction de Dieu. Seigneur, bénis le monde, donne la santé aux corps et le réconfort aux cœurs. Tu nous demandes de ne pas avoir peur. Mais notre foi est faible et nous sommes craintifs. Mais toi, Seigneur, ne nous laisse pas à la merci de la tempête. Redis encore : « N’ayez pas peur » (Mt 28, 5). Et nous, avec Pierre,

“nous nous déchargeons sur toi de tous nos soucis, car tu prends soin de nous”

(cf. 1P 5, 7).

Idée Rameaux

Pour la fête des rameaux qui a lieu ce dimanche, la paroisse vous propose de fabriquer des décorations avec des rameaux (buis, laurier ou autres végétaux qui reste vert) et de les accrocher à la porte de votre maison. Ci-joints des modèles, c'est le moment de lâcher la bride à votre imagination.

Pour ceux qui ne peuvent pas fabriquer des rameaux, vous pouvez en dessiner et les coller sur la porte (ou sur le frigo).

La quête en ligne

En cette période de confinement, il est proposé aux catholiques de participer à ce geste liturgique qu’est la quête en versant leur offrande grâce à une plateforme temporaire de collecte en ligne. Les montants versés sur cette plateforme nationale, rapide et sécurisée, seront intégralement reversés aux paroisses.

Pour verser une offrande, vous pouvez aller sur le site quete.catholique.fr

Vous pouvez également mettre de côté chaque semaine le montant que vous auriez donné pendant la période de confinement et l'apporter lors de la prochaine messe que vous aurez la joie de vivre dans votre paroisse.

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Il est possible de faire parvenir un chèque au presbytère de CRUSEILLES.

Prenez soin de vous et de vos familles.

Pendant le confinement, les églises de la paroisse demeurent ouvertes chaque jour. Des attestations de déplacement dérogatoire sont imprimées par la paroisse et disponibles à l’entrée de l’église de Cruseilles. Il suffit de rajouter l’heure de sortie à la main pour qu’elles correspondent à la nouvelle version.

Obsèques : Nous avons accompagné Claude LUGAZ le 31 mars à VOVRAY.

Une messe à son intention est célébrée par les prêtres de la paroisse en privé.

Lundi 6 avril à 9h30 à St Blaise : Lucienne DELIEUTRAZ Mardi 7 avril à 15h à Cercier : Denise LYARD

A l’issue de la période de confinement, toutes les familles ayant vécu un deuil seront invitées à une messe d’à-Dieu dominicale.

Votre Offrande :

Jeudi 09 avril : offrande diocésaine du Jeudi Saint Dimanche 12 avril : Denier de l’Eglise

Pensez aussi à envoyer votre don au CCFD !

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Bonne montée vers la Semaine Sainte

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« Que votre cœur ne se trouble pas ! Vous croyez en Dieu, croyez aussi en moi » (Jn 14, 1)

Paroisse Sainte Croix au Pays de Cruseilles, 160 Places des Remparts 74350 CRUSEILLES, Tél : 04 50 44 1O 14

com.paroisse.cruseilles@gmail.com Web : ste-croix@diocese-annecy.fr

Références

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