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Parabole de la graine de moutarde

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Academic year: 2022

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Texte intégral

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Saint-Quentin, le 13 juin 2021

Parabole de la graine de moutarde

Les hommes s’impatientent toujours. Est-ce que le règne de la justice arrivera bientôt ? Est-ce que la violence et la corruption prendront fin ? Jésus répond : des forces invincibles sont à l’œuvre en ce moment même dans le monde : elles font mûrir le royaume.

Combien de graines jetées au vent ! Un nouveau style de vie, une nouvelle chanson, une invention, un programme de radio ou de T.V… Quelques graines s’enracinent et poussent, jusqu’à produire des courants qui mobilisent les masses. Mais sachons découvrir les humbles commencements de l’œuvre de Dieu : la rencontre de quelques personnes de bonne volonté pour résoudre un problème de la communauté ; un geste amical dans un milieu fermé et froid ; un premier effort pour sourire à la vie après une grande déception. La graine se développe, et la personne qui a reçu la Parole prend de l’assurance sur le chemin que Dieu lui a tracé.

Dans la parabole de la graine de moutarde, Jésus nous indique que le Royaume doit être un signe ; il se développera de telle manière qu’on ne pourra pas l’ignorer dans le monde.

Jésus ne se contente pas d’une “Église invisible”, d’une fraternité sentimentale, d’une communion spirituelle de tous ceux qui croient en lui. Il veut un arbre immense (ailleurs Jésus parle de la ville bâtie sur le haut de la montagne) pour que tout le monde puisse voir que la graine était bonne et pleine de vie. Il nous faut des communautés chrétiennes organisées, des rapports entre ces communautés, une hiérarchie… Mais les chrétiens ne doivent pas s’enfermer dans leurs petites communautés, ni passer tout leur temps à travailler pour “leur” Église. Il faut qu’ils soient utiles dans le monde en union avec tous les autres hommes de bonne volonté.

Ils doivent être le levain dans la pâte et non pas former une pâte à part qui se voudrait un peu plus raffinée. Le levain transforme l’histoire humaine, non pas en conduisant tout le monde à l’église, mais en répandant l’Esprit qui donne la vie à toutes les activités humaines.

Bon Dimanche !

P. Stanislas scj

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11 e Dimanche TO B

PREMIERE LECTURE

« Je relève l’arbre renversé »

Lecture du livre du prophète Ézékiel (Ez 17, 22-24)

Ainsi parle le Seigneur Dieu : « À la cime du grand cèdre, je prendrai une tige ; au sommet de sa ramure, j’en cueillerai une toute jeune, et je la planterai moi-même sur une montagne très élevée. Sur la haute montagne d’Israël je la planterai. Elle portera des rameaux, et produira du fruit, elle deviendra un cèdre magnifique. En dessous d’elle habiteront tous les passereaux et toutes sortes d’oiseaux, à l’ombre de ses branches ils habiteront. Alors tous les arbres des champs sauront que Je suis le Seigneur : je renverse l’arbre élevé et relève l’arbre renversé, je fais sécher l’arbre vert et reverdir l’arbre sec. Je suis le Seigneur, j’ai parlé, et je le ferai. »

PSAUME 91

R/ Il est bon, Seigneur, de te rendre grâce ! Qu’il est bon de rendre grâce au Seigneur, de chanter pour ton nom, Dieu Très-Haut, d’annoncer dès le matin ton amour,

ta fidélité, au long des nuits.

Le juste grandira comme un palmier, il poussera comme un cèdre du Liban ; planté dans les parvis du Seigneur, il grandira dans la maison de notre Dieu.

Vieillissant, il fructifie encore, il garde sa sève et sa verdeur

pour annoncer : « Le Seigneur est droit ! Pas de ruse en Dieu, mon rocher ! »

DEUXIEME LECTURE

« Que nous demeurions dans ce corps ou en dehors, notre ambition, c’est de plaire au Seigneur »

Lecture de la deuxième lettre de saint Paul apôtre aux Corinthiens (2 Co 5, 6-10)

Frères, nous gardons toujours confiance, tout en sachant que nous demeurons loin du Seigneur, tant que nous demeurons dans ce corps ; en effet, nous cheminons dans la foi, non dans la claire vision. Oui, nous avons confiance, et nous voudrions plutôt quitter la demeure de ce corps pour demeurer près du Seigneur. Mais de toute manière, que nous demeurions dans ce corps ou en dehors, notre ambition, c’est de plaire au Seigneur. Car il nous faudra tous apparaître à découvert devant le tribunal

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du Christ, pour que chacun soit rétribué selon ce qu’il a fait, soit en bien soit en mal, pendant qu’il était dans son corps.

ÉVANGILE

« C’est la plus petite de toutes les semences, mais quand elle grandit, elle dépasse toutes les plantes potagères »

Alléluia. Alléluia. La semence est la parole de Dieu ; le semeur est le Christ ; celui qui le trouve demeure pour toujours. Alléluia.

Évangile de Jésus Christ selon saint Marc (Mc 4, 26-34)

En ce temps-là, parlant à la foule, Jésus disait : « Il en est du règne de Dieu comme d’un homme qui jette en terre la semence : nuit et jour, qu’il dorme ou qu’il se lève, la semence germe et grandit, il ne sait comment. D’elle-même, la terre produit d’abord l’herbe, puis l’épi, enfin du blé plein l’épi. Et dès que le blé est mûr, il y met la faucille, puisque le temps de la moisson est arrivé. »

Il disait encore : « À quoi allons-nous comparer le règne de Dieu ? Par quelle parabole pouvons-nous le représenter ? Il est comme une graine de moutarde : quand on la sème en terre, elle est la plus petite de toutes les semences. Mais quand on l’a semée, elle grandit et dépasse toutes les plantes potagères ; et elle étend de longues branches, si bien que les oiseaux du ciel peuvent faire leur nid à son ombre. »

Par de nombreuses paraboles semblables, Jésus leur annonçait la Parole, dans la mesure où ils étaient capables de l’entendre. Il ne leur disait rien sans parabole, mais il expliquait tout à ses disciples en particulier.

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MÉDITATION

Cela fait vingt siècles que le Christ est venu sur la terre pour nous sauver, qu'il est mort sur la croix. Alors comment se fait-il que le salut qu'il est venu apporter ne se voie pas davantage ? Comment se fait-il que l'humanité soit toujours aussi déchirée par le mal ? Comment se fait-il, que l'Église de Jésus-Christ ne soit finalement qu'une poignée d'hommes au milieu d'un monde indifférent ou même quelquefois hostile ? Expliquer le règne de Dieu… Voilà quelque chose de bien complexe a priori. C’est pourquoi, en utilisant des mots très simples tels qu’une semence qui se transforme successivement en herbe, en épi puis en blé, Jésus met l’accent sur le mystère de la Vie. Il trace ainsi la frontière entre le visible et l’invisible.

Tel le royaume de Dieu, les choses invisibles sont de loin les plus importantes pour nous, humains. Elles ne sont que ressenties : amitié, amour, pardon, respect, compassion, grâce, confiance, sont autant d’éléments qui sont essentiels, au centre de notre vie, au centre des enseignements du Christ.

Mais nous, chrétiens, avons de plus en plus de mal à « faire passer le message » comme on dit souvent ! Le monde autour de nous passe Dieu sous silence et ne s’intéresse qu’aux choses très concrètes. De ce fait, l’Eglise entre de plus en plus en

« condition de diaspora », caractérisant ainsi la situation du chrétien dans un monde qui n’est plus chrétien. Devons-nous demeurer figés sur place et nous contenter d’un rôle de spectateur ?

Ce constat impose un certain nombre de questions : Église de Jésus-Christ qui es- tu ? Chrétiens, chrétiennes qui êtes-vous ? Vous êtes des grains de blé semés en terre. Cette identité d'enfouissement ne doit jamais être perdue. Elle est source de vie. Source qui fait vivre. Racine de toute évangélisation. Ainsi, c'est dans cette réalité temporelle que s'incarne le royaume de Dieu, dont nous sommes, par le Christ, des semences et des artisans.

L'Evangile n'a pas de programme politique et ce n'est pas la vocation de l'Eglise d'en proposer un. Mais les communautés chrétiennes et chaque chrétien en particulier, sont les missionnaires et les témoins de valeurs évangéliques et humaines. Elles constituent d'ailleurs le fondement et la sève de notre civilisation. Chrétiens, nous n'avons rien à imposer, mais bien à nous plonger, à nous incarner dans la société pour y exister en tant que croyants. Et donc faire entendre notre voix dans le concert démocratique. Même si nous sommes minoritaires. Nous n'avons pas à nous cacher ni à nous taire.

C'est pourquoi il est urgent de nous poser la question de notre responsabilité dans la mission, du sens de cette mission et aussi de l'espérance que contient la mission puisque malgré tout nous avons reçu l'appel à être missionnaire.

Le Royaume de Dieu grandit tout seul. Alors, est-ce qu'en définitive notre action apostolique et missionnaire serait inutile ? En effet on pourrait se poser la question après tout, puisque tout est pareil, tout s'équivaut, existe-t-il vraiment un enjeu ? On se prend très au sérieux en croyant justement que peut-être dans l'Église on apporte quelque chose. On a quelque chose à annoncer et à dire, à se croire des instruments

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indispensables dans l'Église. Lorsque le Seigneur nous appelle nous sommes parfaitement indispensables mais aussi inutiles.

Notre vision de la mission, de la construction, de l'édification du Royaume vient souvent d'un défaut de notre manière d'agir dans la société. Je crois que nous avons l'habitude de vouloir tout maîtriser, de vouloir tout gérer, de vouloir tout comptabiliser, de vouloir tout faire, tout étudier et l'on finit peut-être par faire fonctionner l'Église qui est le Royaume de Dieu en quelque sorte comme une entreprise efficace avec un sens du déploiement, de ce qu'on pourrait appeler un projet d'évangélisation, une entreprise responsable où les actionnaires essaient de participer à l'intérêt du revenu.

Or, si Dieu avait voulu des choses efficaces, il aurait choisi d’autres personnes que douze hommes sans envergure comme apôtres pour évangéliser. Donc ne cherchons pas une quelconque efficacité. Car en définitive la Parole de Dieu, l'annonce, la foi, malgré tout ce qu'on pourrait y mettre, malgré nos déploiements catéchétiques, notre pédagogie, nos actions, tout cela serait vain car la foi n'est pas un produit commercial.

Ainsi donc inutilité parfaite de toutes nos méthodes, de toutes nos actions : que je dorme ou que je me lève, le grain pousse tout seul.

Alors quelle est la mission des chrétiens dans ce monde ? Le souffle et le dynamisme de la mission chrétienne, c'est que l'Église ou le Royaume de Dieu manifestent la présence de Dieu. Il faut que chaque chrétien n'apporte pas avec lui une structure, n'apporte pas avec lui une morale, n'apporte pas avec lui un discours tout fait, n'apporte pas le compendium de la théologie, des choses bien ou mal. Mais qu’il apporte le Christ, il apporte une présence, il révèle une rencontre, il manifeste une communion. C'est là l'intérêt de la mission. Et c'est là où le chrétien est dépassé, qu’il manifeste ce qu'il regarde, qu’il annonce ce qu'il contemple, qu’il fait vivre de ce à quoi il va puiser.

Ainsi donc la véritable mission et l'annonce de la Parole de Dieu, c'est le temps de la moisson. Par conséquent, le chrétien, c'est celui qui ne s'en fait pas. Cela ne veut pas dire qu'il est attentiste : qu'il dorme ou qu'il se lève la moisson grandit. Mais cela signifie qu'il se tient prêt pour le temps de la moisson, qu'il se tient prêt pour passer la faucille, il se tient prêt à être pour ses autres frères un sacrement de la rencontre de Dieu. Il est donc un veilleur, il est donc un guetteur, il est donc celui qui va donner un coup de pouce, il est celui qui va révéler quelque chose qui déjà agit en l'autre et qui ne tient pas de nous, qui ne tient pas de notre discours, qui ne tient pas de notre façon d'être, mais qui tient de l'action et du dynamisme de la Parole de Dieu et de la vie de Dieu en chacun de nous et donc de nos frères.

Nous constatons qu’au-delà de toute parole, au-delà de toute mission, il n'y a que la grâce de Dieu. C'est ce que nous révèle en définitive ce très beau passage de la parabole, c'est que tout homme est appelé à connaître la grâce de Dieu. Le Royaume est universel, tous les oiseaux, toutes les espèces de passereaux peuvent être atteints par l'amour de Dieu. L'Église et nous-mêmes, nous ne devons pas interposer une structure entre Dieu et la personne qui reçoit cette annonce. Nous ne sommes organisés que pour favoriser, pour être un lieu d'épanouissement, de germination.

Nous sommes la terre qui doit servir à ce que le blé pousse réellement mais sans que nous nous en fassions. Donc dans le Royaume de Dieu s'inscrit le salut qu'il annonce.

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L'avenir du Royaume, l'avenir de chaque chrétien, c'est ce salut. La mission dont il est porteur c'est la révélation de la miséricorde de Dieu. L'espérance qui l'habite et qui est capable de se communiquer, c'est le don de cette Vie du Seigneur.

Ainsi, on trouve dans l’Evangile un appel qui s’adresse à tous, et qui consiste à semer de petites semences d’une humanité nouvelle. Jésus ne parle pas de grandes choses. A ces origines, le Royaume de Dieu c’est quelque chose de très humble et modeste. Quelque chose qui peut passer inaperçu comme la plus petite semence mais qui est appelé à croître et à fructifier de manière insoupçonnée.

Il nous faut peut-être réapprendre à valoriser les petites choses et les petits gestes.

On n’est pas appelé à devenir chaque jour des héros et des martyrs, mais nous sommes tous invités à vivre de manière à mettre dans chaque coin de notre petit monde un peu de dignité. Un geste amical à l’égard de celui qui est déboussolé, un sourire accueillant à celui qui est seul, un signe de proximité auprès de celui qui commence à désespérer, le rayon d’une petite joie dans un coeur accablé… ce ne sont pas de grandes choses. Ce sont de petites semences du royaume de Dieu que nous pouvons tous semer dans une société compliquée et triste, qui a oublié le charme des choses simples et bonnes.

Chers Amis, les paraboles nous invitent à faire confiance à Dieu.

L'évangélisation du monde a commencé avec un petit groupe ; elle s'est élancée, dans le souffle de la Pentecôte, à la conquête du monde, et elle a fait le tour de la planète. Puis, est venu le temps de l'essoufflement. C'est maintenant le temps de la nouvelle Évangélisation, de la germination. La semence est là ; c’est à la terre de travailler, c’est-à-dire à nous, les chrétiens. Amen (SW)

P. S. Vous pouvez venir participer aussi à la messe en semaine. A Saint Martin nous célébrons la messe tous les jours à 8h00. La messe est précédée par la prière des Laudes à 7h45. Soyez les bienvenus…

Tous les Dimanches, de 15h à 17h, ouverture de l’église Saint Martin avec l’Adoration du Saint Sacrement, et possibilité de rencontrer un prêtre.

Chacun peut rester le temps qu’il désire.

Prenez soin de vous et de tous ceux qui sont à vos côtés.

Merci pour votre générosité qui se manifeste à travers vos dons, deniers, quêtes ... Merci aussi de sensibiliser votre entourage à ce don en vous rappelant que « Donner pour son Église, c’est s’engager à ses côtés pour qu’elle ait concrètement les moyens d’accomplir sa mission de vivre et d’annoncer l’évangile », cette bonne nouvelle de l’amour de Dieu pour nous, surtout maintenant, pendant ce temps difficile de l’épidémie….

P. Stanislas scj P. Pierre scj P. Dominique scj

Cette semaine nous avons célébré les obsèques de : + Renée REMOND (07/06)

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Père Léon Dehon

Chroniques du Règne

1894

L’action: le devoir d’agir. – On le comprend de plus en plus. Les catholiques doivent agir, le moment est propice. La société est désemparée. Elle n’a plus d’assises. Elle cherche un point d’appui. Apôtres de la vraie foi, apportez donc vos principes inébranlables, vos enseignements lumineux. Vous seuls possédez les moyens de salut. Dites-le, criez-le sur les toits. C’est votre devoir. Nous trouvons cette pensée exprimée partout.

«Tout le monde sent, dit une excellente brochure publiée chez Monsieur Paillart d’Abbeville sur l’Action nouvelle du clergé, tout le monde sent qu’il y a quelque chose à faire, un apostolat à exercer... La philosophie avoue son impuissance, la science abdique ses prétentions, on ne sait plus où asseoir la morale privée ni le droit public, et cependant jamais le monde ne fut plus affamé de justice et de vérité. Les terres sont labourées et profondément remuées, il n’y a plus que la semence à jeter. Le moment est donc propice pour l’apostolat catholique».

Notes quotidiennes -

Cahier 1

La parole de Dieu et les inspirations du Saint-Esprit sont une semence féconde que Dieu dépose dans nos cœurs. Ses fruits doivent être la gloire de Dieu, que nous lui procurons par le sacrifice, la prière, notre sanctification et celle du prochain. La Providence de Dieu ne nous met jamais en relation avec le prochain, sans avoir pour but de l’édifier. Imitons Marie de qui il est dit qu’elle conservait dans son cœur la parole de Dieu et des prophètes [cf. Lc 2,19]. Méditons sans cesse la parole de Dieu, et appliquons-la sans interruption, avec douceur et persévérance.

La Rénovation sociale chrétienne

- Cinquième conférence 11 mars 1897

Dans quelle terre précise la semence de l’Évangile va être jetée, aux débuts de la mission de l’Église? C’est le champ du monde païen, un monde globalement marqué par «la plus profonde corruption» (§22): luxe et luxure pour quelques privilégiés, gaspillage insupportable aux yeux des foules qui vivent dans la misère et l’abandon, cruauté et mépris de la vie humaine en particulier quand il s’agit de la femme, des enfants, des innombrables esclaves et des

pauvres qui ne comptent pour rien, qu’on élimine même pour s’épargner jusqu’au désagrément de les voir.

L'année avec le Sacré Cœur

– Août 1919

Mais il y a une part de la semence qui tombe dans la bonne terre et qui produit le centuple. Notre Seigneur en nous disant cela considérait avec joie les âmes ferventes, les âmes unies à lui, qui reçoivent abondamment la semence par la fidélité à l’oraison, par la régularité habituelle, le recueillement, la vie intérieure, l’union aux mystères du Sacré Cœur. Oh!

ce sont alors des semailles de toute la journée et elles donnent des fruits au centuple. Comme Notre Seigneur se plaît à cultiver ces terres fertiles, qui donnent à son Cœur tant de fruits de pur amour!

Une pensée de chez nous pour PÂQUES :

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