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chasseurs Les de Saône-et-Loire fin prêts

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HORS SÉRIE

N° 4 - Août 2015

Les chasseurs de

Saône-et-Loire fin prêts

pour la saison 2015-2016 !

Partage et Vie des Territoires

Un chien viverrin capturé

en Saône-et-Loire La Saône-et-Loire,

terre de sauvaginiers !

A l’école de la trompe...

Retrouvez toute l'actualité et les infos dont vous avez besoin sur www.chasse-nature-71.fr

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Chers Amis Chasseurs,

Dans quelques mois une nouvelle sai- son de chasse va débuter. Ouverture du canard le 21 août, ouverture générale le 20 septembre. Un printemps peu humide laisse entrevoir de belles perspectives pour l’ouverture du petit gibier.

Cette dernière saison, nous avons enre- gistré une baisse importante des dégâts de grand gibier, comme cela avait été annoncé lors de la mise en place de la contribution hectare ; nous baissons cette année la cotisation de 35 %, baisse également des bracelets sangliers et du timbre grand gibier.

Au printemps prochain, de nouvelles élections auront lieu. L’équipe que je pré- side aura la lourde charge de conduire la politique fédérale pour un prochain mandat. Avec mes collègues adminis- trateurs, nous avons toujours défendu la chasse dans toutes ses formes, tant sur le plan administratif que politique. Il nous faut poursuivre le combat. Le travail n’est pas terminé et je souhaite avec certains administrateurs continuer à défendre la

chasse, si vous nous accordez à nou- veau votre confiance.

La réforme de l’examen du permis de chasser permet aux candidats de pas- ser l’examen sur une seule journée.

J’en profite pour féliciter nos forma- teurs, un taux de réussite exception- nel classe notre Fédération dans les trois premières de France.

Fin d’année 2015 : les élections régio- nales : Chasseurs mobilisez-vous ! L’enjeu est de taille pour l’avenir de notre loisir. Un autre sujet nous pré- occupe : la régionalisation. La fusion Bourgogne Franche-Comté devrait être effective début 2016. Un congrès important sur ce sujet aura lieu à Paris fin septembre organisé par la FNC.

Avec les Présidents bourguignons, nous travaillons sur le sujet et une prochaine rencontre avec nos col- lègues Francs-Comtois aura lieu fin juillet. Une Fédération régionale pren- dra-t-elle le pas sur les Fédérations Départementales ? L’avenir nous le dira. Nous pouvons faire des écono- mies de fonctionnement grâce à la mutualisation, il nous faudra franchir le pas.

Dernier sujet : la nouvelle liste des nuisibles qui doit renter en vigueur le 1er juillet et pour trois ans. La belette et le putois ne seront toujours pas piè- geables. Nous conservons la fouine, la martre, le renard, les freux, les cor- neilles, les pies, mais que d’énergie et de travail pour convaincre l’admi- nistration du classement nuisible de toutes ces espèces qui prédatent notre petit gibier.

Néanmoins restons optimistes, notre Fédération remplit quotidiennement ses missions avec une grande déter- mination. Nous sommes tous des passionnés et nous continuerons à défendre la chasse.

Bonne saison estivale.

Amitiés en St Hubert.

Le Président, Jacques PELUS

L’édito du Président Fusion des régions cynégétiques Bourgogne/franche-comte

SOMMAIRE

ÉDITO

n L’édito du Président . . . 2

n Fusion des régions cynégétiques

bourgogne/franche-comte . . . 2

n Assemblée Générale : votre Fédération présente sur tous les terrains . . . 3

n Rétrospective : Chasse et information . . . 4

n La Saône-et-Loire, terre de sauvaginiers ! . . . 5

n La Saône-et-Loire participe

au Réseau Lièvre . . . 5

n Ces chasses trop souvent délaissées ! . . . 6

n Bilan des Conseils d’administration,

des commissions et groupes de travail . . . 7

n Périodes d’ouverture et conditions

spécifiques de chasse 2014-2015 . . . 8

n La Fédération entend bien sauvegarder le bocage . . . 10

n Zoonose : La leptospirose frappe

aussi en Saône-et-Loire . . . 11

n Nuisibles : les nouveaux arrêtés

sont parus . . . 11

n La fédération « bichonne » les candidats au permis de chasser ! . . . .12

n A l’école de la trompe... . . . .12

n Des stages de sensibilisation proposés aux contrevenants . . . .13

n La sécurité, une préocupation

permanente . . . 13

n Au coin du bois spécial Saône-et-Loire . . . .15

n Recette : Côtelettes de chevreuil

à l'aigre-douce . . . 16

n Petites annonces . . . 16

Édité Par Versicolor Éditions SARL au capital de 7 623 € 120 rue du docteur Vinaver - 78520 LIMAY

Tél. : 01 34 78 22 22 - Fax : 01 34 78 04 96 Email : editions@versicolor.fr - Site : www.noschasses.fr

n°CPPAP : 0918K83457 - ISSN : en cours Directeur de la Publication : Charles-Henri Bachelier

Rédacteur en chef : Benjamin Basset Ont collaboré : André Michelet, David Magnan

Publicité : Versicolor Éditions

Composition : Italic'Communication - Impression : SIB

C. Dussarat - DDT / G. Bos - Sous-Préfet de Louhans (au milieu) / Président Pelus.

RÉUSSIR la fusion des Régions Cyné- gétiques Bourgogne-Franche-Comté doit être le grand challenge des Présidents de Fédération et des élus en 2015.

La fusion des Régions Administratives n’est pas un acte institutionnel banal.

Avec une baisse d'effectifs inévitable, les chasseurs devront-ils avoir les mêmes objectifs que la Région ? : - réduire les dépenses - éviter les doublons - simpli- fier le millefeuille territorial - contruire un espace innovant et original. Les princi- pales caractéristiques de notre future Région Bourgogne Franche-Comté - seule Région de France à ne pas avoir de métropole - une densité de population faible et des territoires particulièrement bien préservés - peuvent être un véritable atout pour les chasseurs ! Encore faut-il

que la Région Cynégétique se positionne de façon forte et incontournable auprès des Politiques et de l’Administration.

Quel futur le Monde Cynégétique est-il capable de penser, d’inventer pour nos territoires ? Comment faire face à l’huma- nisation de l’animal ou à l’animalisation de l’homme ? Comment éviter la trans- formation de certains de nos territoires en « zones de méditation, respiration pour citadin (SRADDT) » ? Voilà quelques grandes questions, certaines d’ordre phi- losophique, qui devront être la réflexion des instances de la Chasse.

La Vice-présidente, Évelyne Guillon

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'Assemblée Générale de votre Fédération s’est déroulée le samedi 11 avril dernier au Creusot. Malgré l’absence d’élec- tions au sein du Conseil d’Administration, les chasseurs ont répondu présents. Bien leur

en a pris car de multiples sujets, qu’ils soient nationaux ou départementaux ont pu être abordés grâce à de nombreux intervenants.

Les représentants des maires, des forestiers, des agriculteurs et des pêcheurs étaient venus témoigner de leur soutien aux chasseurs. Le tout nouveau Conseil Départemental avait aussi tenu à apporter « un soutien moral dans l’attente d’un soutien plus concret » en la per- sonne de son vice-président.

Dans son rapport le Président a alerté les chasseurs sur le danger de trois nouvelles lois. L'une déjà votée (la loi d'avenir agri- cole), la seconde en cours de mise en œuvre, la réforme territoriale et la troisième, sans doute la plus menaçante, la loi sur la biodi- versité. En ce qui concerne cette dernière, nos redevances et nos structures consultatives risquent d'être noyées à terme dans l'Agence de la biodiversité et le Conseil National de la biodiversité.

La chasse française est passée en 50 ans d'une chasse cueillette à une chasse gestion.

Le Président a également précisé que l'année 2014 qui fêtait les 90 ans de la Fédération a été l'année de la communication avec de nombreuses manifestations.

De nombreuses interventions !

Juliane RAVAT, chargée d’études par les fédé- rations du Jura et de la Saône et Loire, a pré- senté les travaux conduits avec l’ONCFS pour mieux connaître l’état et le fonctionnement des étangs de la Bresse et permettre une meilleure gestion. L’assureur partenaire de la fédération a quant à lui présenté le contrat groupement de chasseurs élaboré en concer- tation avec les fédérations de la région et a

Assemblée Générale :

votre Fédération présente sur tous les terrains

La FDC 71 ne baissera jamais les bras afin de garantir à ses chasseurs une chasse sereine et durable

insisté sur la nécessité d’être assuré même pour les petits groupes de 2 ou 3 amis.

Le président PELUS est revenu sur les dis- positions réglementaires du Schéma en matière de sécurité et notamment sur l’obli- gation lorsque l’on part à la chasse d’avoir dans sa poche ou dans son dos de veste une casquette ou un gilet orange. Le direc- teur a présenté la convention signée avec les Procureurs de la République et l’ONCFS aux termes de laquelle les contrevenants aux règles de la chasse et de la sécurité se ver- ront proposer des stages de sensibilisation au lieu de poursuites pénales. La prolifération du ragondin a été abordée par plusieurs inter- venants et ce sujet a donné l’occasion à Guy BEAUCHAMP, président de Cultivons nos Campagnes d’exprimer son mécontentement au sujet des tracasseries administratives.

Les personnalités présentes :

- André BILLARDON, Maire du Creusot.

- Guy BEAUCHAMP, Président de Cultivons nos campagnes.

- Pierre DUFOUR, Vice Président de la Chambre d'Agriculture.

- Ghislain DE CONTENSON, Syndicat des Forestiers Privés.

- Frédéric BROCHOT, Vice Président du Conseil Départemental.

- Marie-Claude JARROT, Présidente de l'asso- ciation des Maires de Saône-et-Loire.

- Jean-Paul EMORINE, Sénateur.

- Georges BOS, Sous Préfet de Louhans.

C. Dussarat - DDT / G. Bos - Sous-Préfet de Louhans (au milieu) / Président Pelus.

Les chasseurs ont répondu à l'appel de leur fédération.

La FDC 71 tient ses promesses

Les adhérents de la Fédération pré- sents à l’Assemblée Générale du 11 avril au CREUSOT ont adopté à l’unanimité les tarifs proposés par le Conseil d’ad- ministration. Il faut dire que ce n’est pas souvent que ceux-ci sont à la baisse ! En effet, si le Conseil d’administration a dû se résoudre à augmenter la coti- sation de 2 € pour compenser la baisse du nombre de chasseurs et poursuivre les efforts en faveur des candidats à l’examen du permis de chasser, tous les autres tarifs sont soit maintenus soit en diminution.

La cotisation des adhérents passe donc de 79 à 81 € ce qui constitue une augmentation moyenne de 1,5 % sur 10 ans.

Le timbre grand gibier, obligatoire pour chasser chevreuil ou sanglier, baisse de 27 à 25 €.

Les bracelets chevreuils restent à 20 € et les bracelets sangliers baissent res- pectivement de 30 à 27 € pour les UG vertes dont le nombre passe à 19, de 33 à 32 € pour les UG jaunes et de 38 et 45 à 37 € pour les UG rouges et blanches (plus que 4 UG).

Enfin, la participation des territoires au financement du compte d’indemnisa- tion instaurée en 2011 diminue de 35 %.

Elle avait déjà diminuée de 20 % en 2014, de 16 % en 2013 et de 11 % en 2012.

Il fait bon choisir la Fédération des chasseurs de la Saône-et-Loire !

Des miradors pour plus de sécurité

Votre Fédération propose aux chasseurs en ayant le désir d’acquérir auprès d’elle des miradors de battue. Pour vous offrir des tarifs intéressants, elle a conclu un partenariat avec une société spécialisée locale. En effet, l’acquisition de l’un de ces dispositifs coûtera 45 € aux sociétés de chasse ayant souscrit un contrat de services avec la Fédération et 49 € pour les adhérents non titulaires du contrat de services. Les chasseurs intéressés peuvent prendre attache avec la FDC 71 qui leur délivrera un bon de commande.

Une fois le, ou les miradors disponibles, leur retrait s’effectuera au siège de la société IRAMDOR située sur la commune de Malay.

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lors que notre société moderne ne cesse de déployer son vaste contexte industriel et agricole, beaucoup d’es- pèces d’animaux et de végétaux disparaissent au grand désintéressement de l’homme lui- même ne tirant que profit de notre environne- ment, bien souvent sans avoir conscience de la menace qui pèse sur ce dernier. Devant un tel mouvement, des associations de jeunes se sont créées, se donnant comme but la sensi- bilisation et l’information, voie dans laquelle la Fédération des Chasseurs s’est elle-même dirigée car les espèces gibier n’échappent pas à la règle de la modernisation et voient leurs effectifs régresser dangereusement.

Depuis 1976, les techniciens de la Fédération s’emploient à responsabiliser chacun sur son rôle individuel ou collectif de conservateur de la nature. Voici les grandes lignes de ces actions :

Réunions scolaires

Des séances diapositives consacrées à la connaissance des espèces gibier (perdrix, lièvre, chevreuil, gibier d’eau, etc…) et suivies d’un débat, sont organisées dans les établis- sements scolaires qui le demandent.

A ce jour, ces séances ont été présentées dans les établissements suivants : collège d’Autun, écoles primaires de Saint Julien de Jonzy, Chauffailles, Ceron, Leynes Sainte Croix, Grury, Chatenoy le Royal et Epervans.

D’autre part, une expérience pédagogique dans le cadre des 10 % (environ 400 heures) auprès des classes de 6e, a vu le jour en 1979 à l’établissement Jeanne d’Arc de Paray le Monial. Cette expérience reprise chaque année

Exposition

La fédération départementale des chasseurs dispose chaque année d’un stand dans diffé- rentes manifestations départementales où le grand public se procure une information sur les espèces gibier et les problèmes de notre environnement : Chalon sur Saône, Autun, Mâcon, Montceau les Mines, Le Creusot…

Divers

• Information du monde agricole par le biais des coopératives (affichage), par la presse (l’Exploitant agricole de Saône et Loire), par la Chambre d’Agriculture (documentation aux techniciens).

• Formation et information auprès des jeunes chasseurs et du grand public par des projec- tions-débats organisées chaque année dans une dizaine de villes du département. Ces réunions sont proposées à l’occasion de la préparation à l’examen du permis de chasser.

• Votre bulletin trimestriel, tiré à 17 500 exem- plaires est également distribué aux établis- sements agricoles et organisations agricoles diverses.

• Une collection de pièces naturalisées est en cours de réalisation pour être présentée lors d’expositions.

• Des montages audiovisuels traitant de l’ensemble des problèmes liés à la chasse (législation, biologie des espèces, agriculture- chasse, etc…).

• Des panneaux éducatifs ont été acquis pour être présentés lors de toutes les réunions ou expositions mentionnées ci-dessus.

Les nombreuses demandes de réunions for- mulées auprès de la fédération des chasseurs montrent l’intérêt de plus en plus grand que porte le grand public à la connaissance de notre faune sauvage.

Rétrospective : Chasse et information

Dans chaque numéro de ce journal dédié à la chasse en Saône-et-Loire, nous vous proposons de lire ou de relire un article paru il y a quelques décennies. Cette fois, la commission communication a choisi un texte de 1982 relatif aux actions mises en place par la fédération en matière d’information des chasseurs mais aussi du grand public.

est basée sur des projections en salle, des sor- ties sur le terrain et l’organisation de voyages d’études en fin d’année. Tout le programme, ainsi réalisé, permet à une centaine d’élèves de recevoir une formation sur leur environnement et la connaissance de notre faune sauvage.

Foyers ruraux

En accord et à la demande de la fédération des Foyers ruraux, des soirées-débats, sur la chasse, la faune, l’agriculture et la chasse, sont organisées dans des foyers ruraux. De plus, une semaine « connaissance de la nature » s’est déroulée en collaboration avec le bureau Natura et l’ONF au foyer de Varenne Saint Sauveur (soirées-débats, sorties, etc…).

Agriculture Chasse

Un programme test mis en place en 1982 auprès du Centre de Formation Agricole de Bourbon Lancy semble avoir donné satisfac- tion puisque ce dernier sera non seulement repris mais élargi pour l’année 1983. Ce pro- gramme est composé de projections en salle sur la connaissance des espèces gibier, et des sorties sur le terrain où une étude des relations gibier-agriculture est faite (aménagements, méthodes culturales, etc…). Des réunions ont également eu lieu au Lycée Agricole de Fontaines et Davayé, et il est souhaitable que tous les futurs agriculteurs du département soient à l’avenir ainsi sensibilisés.

Sociétés de chasse

Chaque année, de nombreuses sociétés de chasse font appel à la fédération pour des réu- nions d’information sur la connaissance des espèces. Ces soirées-débats sont composées de montages audiovisuels.

La star de l'ouverture, c'est lui !

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a chasse du gibier d’eau a connu, lors de la dernière décennie de nombreux chamboulements. À titre d’exemple nous connaissons tous le combat qui semble éternel sur les dates d’ouverture et de fermeture. Les plus chanceux ou les chasseurs qui cumulent quelques per- mis ont connu une ouverture au 14 juillet et une fermeture au mois de mars, alors que les chasseurs de gibier d’eau doivent se contenter d’une ouverture à tiroir dès le 21 août et d’une fermeture au 31 janvier.

De plus, depuis 2006 les sauvaginiers et plus généralement tous les chasseurs qui chassent sur une zone humide doivent utili- ser des munitions dites de substitution.

Malgré tout cela les chasseurs de gibier d’eau restent nombreux et la chasse du gibier d’eau intéresse les chasseurs Saône- et-Loiriens. Avec plus de 14 500 prélève- ments d’anatidés, ceux-ci restent le second gibier le plus prélevé dans le département après le faisan.

« Les modes de chasse (bateau, passée, affût, botte) et les milieux concernés (rivières, fleuves, étangs, marais) sont très diversi- fiés et bien représentés en Saône et Loire, explique Gilles Perrot, technicien auprès de la FDC 71. Malheureusement, certains chas- seurs de petit gibier semblent encore bouder cette aubaine de démarrer la saison plus tôt.

De nombreux territoires du département, y compris certaines sociétés de chasse, sont parsemés de milieux humides. À l’heure où nous tentons de stabiliser nos effectifs en recrutant de jeunes chasseurs, il serait intéressant que ceux-ci puissent avoir accès aux joies de la chasse du gibier d’eau. Alors

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is en place par l’Office National de la Faune Sauvage et la Fédération Nationale des Chasseurs, le réseau lièvre a pour but de mettre en place partout dans l’hexagone un système de veille et/ou d’alerte relative à l’espèce.

L’objectif principal est l’amélioration des connaissances sur ce gibier phare de nos plaines. De plus, afin de déterminer les facteurs influençant le succès reproductif et suivre l’évolution des populations grâce à la détermination de l’âge-ratio des léporidés, une étude autour du cristallin est actuellement en cours. 18 sites différents ont intégré ce réseau national. En Saône- et-Loire, 8 communes sont concernées à savoir Versaugues, Montceau l’Etoile, Vindecy, l’Hopital le Mercier, Saint Yan, Varenne Saint Germain, Vitry en Charollais et Digoin.

En tout ce sont 57 territoires de chasse couvrant 12 000 hectares qui sont au cœur de l’étude. Il est bon de noter que le réseau lièvre est lui-même rattaché au réseau perdrix/faisan. En Saône-et-Loire, c’est Anthony Morlet qui est chargé du suivi de l’opération mais le technicien cynégétique peut compter sur l’aide précieuse de Marion Guillet, stagiaire BTS à la fédération depuis le mois d’avril.

« La fédération a mis en place des comptages qui ont été réalisés par la méthode des EPP (échantillonage par Point avec un Projecteur), sur 2 circuits de 26 et 22 points réalisés à 3 reprises dans le mois de février, explique Marion. Désormais, il faut récupérer un minimum de 90 cristallins en provenance de lièvres prélevés à la chasse sur le secteur de l’étude afin d’obtenir un échantillonnage représentatif de la population. »

Les chasseurs invités à participer

Mais qu’a-t-il de si intéressant ce fameux cristallin contenu dans les yeux de nos lièvres ? En fait, il s’agit du seul organe à avoir une croissance continue tout au long de la vie de l’animal. Son poids permet donc

de déterminer l’âge avec grande précision.

C’est simple comme bonjour ; plus le cristallin est lourd, plus le lièvre est vieux. Il est impossible d’estimer cet âge en se fiant au poids de l’animal lui-même car à 2 mois et demi, le lièvre a déjà atteint 80 % de son poids adulte.

Les chasseurs des territoires choisis pour cette étude sont invités à collaborer avec la fédération. Pour ce, chaque passionné devra extraire l’œil du lièvre prélevé dans les 24 heures suivant la mort puis le mettre dans un flacon, fourni par la fédération, qui contient un produit conservateur. Enfin, le chasseur devra remplir le carnet de prélèvement, renseigner la date, et y apposer une étiquette qu’il trouvera sur le flacon.

À l’heure du tout scientifique et alors que de nombreux gestionnaires se battent afin de sauvegarder le petit gibier naturel dans nos campagnes, nous ne pouvons que saluer la mise en place de cette étude, tant dans le département de Saône-et-Loire qu’au niveau national. Nous invitons les chasseurs des communes concernées à participer afin de prouver, encore une fois, que les chasseurs sont des spécialistes en matière de gestion des espèces et des espaces.

David Magnan Messieurs les responsables de chasse, si

votre territoire en offre la possibilité, ouvrez votre règlement intérieur afin de permettre à de nombreux chasseurs (jeunes ou moins jeunes) de découvrir les chasses du gibier d’eau. »

Tous ces éléments pris en compte, votre fédération fait de la chasse du gibier d’eau l’une des pistes concernant l’avenir de la chasse du petit gibier. La FDC a donc misé sur le développement de celle-ci par et des actions sur les zones humides et sur les espèces. À titre d’exemple, elle est impli- quée dans le réseau national OE-ZH qui consiste à recenser sur des zones humides les canards hivernants par le biais d’un comptage au 15 janvier. Celui-ci est réa- lisé en partenariat avec l’ONCFS, AOMSL, l’ADCGE 71 et la FDC  71. Aujourd’hui pour connaître les effectifs d’oiseaux et prouver que notre activité est réalisée sans nuire aux populations nous avons besoin de connaître les prélèvements. L’ADCGE col- lecte l’ensemble des prélèvements réalisés sur le DPF (Domaine Public Fluvial) qu’elle transmet pour compléter l’enquête tableau de chasse de la fédération.

« Il y a aussi le pôle « étangs continentaux », explique Edouard Buisson, technicien à la FDC 71 et passionné par la chasse du gibier d’eau. Cela consiste à consigner les étangs de la Bresse sur lesquels aucune donnée n’avait jamais été collectée. L’objectif du pôle est de connaître les modes de gestion ordi- naires (activité piscicole, cynégétique, activi- té de loisir) pratiqués par les propriétaires ou gestionnaires d’étangs qui sont favorables à la biodiversité. Une analyse sédimentaire (de la vase) du fond des étangs a été réalisée cette année. Le but est de mettre en corréla- tion ce qui se trouve au fond de nos étangs avec le peuplement végétal et la faune (libel- lules, oiseaux) qui gravite autour de cette végétation. Pour compléter ces inventaires, nous réalisons le suivi des anatidés nicheurs sur 40 étangs de la Bresse. »

Votre fédération est attentive au sujet

« gibier d’eau ». Elle informe par exemple que l’ouette d’Égypte (espèce envahissante) soit régulée dans le département. Elle met également à la disposition de ses chas- seurs une formation Gibier d’Eau. Celle-ci se déroule en deux temps à savoir une séance relative à la théorie puis, dans l’hiver une approche pratique (chasse à la hutte avec appelants), via une hutte pédagogique sur un lot du DPF loué par votre fédération.

Bonne ouverture aux sauvaginiers !

La Saône-et-Loire , terre de sauvaginiers !

L’ouverture de la chasse du gibier d’eau approche à grands pas.

Ne manquez pas l’occasion de commencer votre saison dès la fin du mois d’août.

Les joies d'une belle passée...

Marion Guillet et Anthony Morlet.

La star de l'ouverture, c'est lui !

La Saône-et-Loire participe au Réseau Lièvre

Les yeux de notre rouquin national peuvent livrer de nombreux secrets.

Le lièvre au cœur d'une étude.

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es jeunes chasseurs et les passionnés exigeants ont bien du mal à se conten- ter des sempiternelles battues au san- glier ou de la traque d’un gros lièvre pour remplir leur saison de chasse. En ces temps où, malgré les efforts, le petit gibier a bien du mal à relever le bout du bec, il est bon de s’adapter et de profiter des oiseaux migra- teurs, voyageurs providentiels, qui passent et stationnent en nombre dans le départe- ment. Les canards ou les pigeons ont leurs passionnés mais grives et merles ne doivent pas être oubliés car ils peuvent offrir, à ceux qui savent les attendre, de nombreux bons moments sur le terrain.

Fin septembre marque l’arrivée des premiers oiseaux. En effet, la grive musicienne com- mence à traverser notre département dès la fin du mois de septembre. Le pic migratoire se situe entre la première et la deuxième semaine d’octobre. Voilà pourquoi les méri- dionaux, fous de ces « chiqueuses », les nomment les vendangeuses.

« Quelques musiciennes nichent en Saône- et-Loire, explique Gilles Perrot, homme de chasse et technicien auprès de la fédéra- tion. Cependant, l’espèce est essentiellement migratrice et nous arrive du Nord de l’Europe.

En fonction de la météo et de la manne nourricière, ces grives peuvent stationner quelques jours ou quelques semaines en octobre, mois le plus intéressant en terme d’abondance. On les trouve plus particuliè- rement dans les milieux buissonnants, les petits boqueteaux ou encore dans les haies épaisses où elles trouvent le gîte et le cou- vert. Lors des meilleurs passages, ce sont des milliers d’individus qui peuvent se ren- contrer sur un même territoire. Voila pour- quoi il est judicieux de suivre la migration afin de réussir quelques jolis coups. Il serait dommage de se priver de ces bons moments.

Le « cul levé », principalement pratiqué dans les grosses haies ou dans les vignobles, est un mode de chasse très intéressant. L’effet de surprise provoqué par l’oiseau qui plonge devant le chasseur en « rase motte » accom- pagné d’un « tchic » caractéristique procure de belles émotions. Le coup d’épaule devra être rapide pour demeurer efficace. Attention toutefois au tir qui peut s’avérer dangereux car souvent les plombs naviguent à hauteur d’homme.

Voici le deuxième volet de notre série sur les chasses peu pratiquées dans le département. Après les étourneaux et les corvidés, place aux turdidés, superbes oiseaux

de chasse qui vous offriront en Saône-et-Loire de merveilleux moments sur le terrain.

Ces chasses trop souvent délaissées !

« Cul levé », battue et passée

La musicienne peut également se chas- ser en battue au sein des milieux épineux vastes ou dans les grandes vignes. Afin de réussir avec brio cet exercice, l’équipe sera composée de 2 ou 3 rabatteurs et de 2 à 4 tireurs avertis. Attention, ces manœuvres ne sont pas à prendre à la légère et la réus- site est conditionnée par une méticuleuse préparation. Les oiseaux mal « poussés

», un mauvais positionnement des tireurs ou un trou dans la ligne seront gages d’un échec cuisant.

« Ces battues sont passionnantes, reprend Gilles Perrot. Les jours fastes, les tireurs ten- teront de décrocher les oiseaux les plus diffi- ciles. Dans les vignes, les grives chercheront toujours à rejoindre un couvert situé à proxi- mité de leur garde-manger. Voilà pourquoi l’exercice demande une bonne connaissance du territoire afin de les intercepter avant qu’elles ne regagnent leur zone refuge. La passée du soir est également assez efficace.

En effet, comme l’ensemble des turdidés, la musicienne ira chercher son sommeil dans un dortoir bien identifié. Une fois celui-ci repéré, il suffit, dans l’heure précédant le cou- cher du soleil, de se poster sur le passage des oiseaux. Cette façon de chasser est vraiment passionnante car les trajectoires emprun- tées par les oiseaux sont diverses. Souvent, beaucoup de cartouches sont tirées pour peu de résultats. Je préconise la présence

d’un bon retriever pour retrouver les oiseaux une fois la nuit venue. Un chasseur digne de ce nom se doit de tout mettre en œuvre afin de retrouver le gibier qu’il a tué. »

La Saône-et-Loire est également visitée par la grive mauvis. Elle fréquente les mêmes milieux buissonnants que sa cousine musi- cienne à qui elle ressemble comme deux gouttes d’eau. Elle est cependant légè- rement plus petite et présente quelques petites pointes orangées dans le plumage des ailes ainsi qu’un sourcil blanc sur la tête.

Mauvis, draine, litorne et merle noir…

« La mauvis arrive plus tard dans l’hiver, en novembre ou en décembre bien que quelques spécimens soient observés en octobre. La chasse en battue se déroulera de la même manière que pour les musi- ciennes. Cependant, les occasions de tirs seront moins nombreuses car, cet oiseau grégaire, a tendance à s’envoler en bandes importantes. Idem pour la passée, ce sont des petits groupes qui viendront ensemble au dortoir. Pour corser les choses, choisissez votre poste au fond d’un vallon. Ainsi vous tirerez des oiseaux difficiles qui vous laisse- ront de bons souvenirs en matière de perfor- mance. »

Migrateur hivernal, de couleur bleutée et de taille plus importante, la litorne se rencontre en Saône-et-Loire dès les premières gelées dignes de ce nom. L’oiseau habitué à vivre en grosses bandes se rencontre aussi bien dans les pâtures où il trouve de la nourri- ture, dans les buissons ou encore au sein des boqueteaux. Le soir venu, les bandes rejoignent un dortoir bien identifié.

« C’est là qu’il sera possible de réaliser de belles passées. Le temps de chasse est sou- vent très court mais l’action se veut intense.

Les groupes se succèdent les uns derrière les autres dans un mouvement plongeant rendant le tir assez difficile. Les litornes sont sans cesse en mouvement. Il est donc possible d’intercepter quelques individus sur leurs axes de passage mais il faut être bien caché car l’oiseau est connu pour être méfiant. Si le froid est vigoureux, les bandes peuvent stationner plusieurs jours au même endroit. C’est à ce moment que le chasseur observateur viendra les chasser à l’affût. La battue n’offre pas de bons résultats car en ne manœuvrant qu’une seule bande à la fois, l’action de chasse sera très brève. »

La draine, oiseau plutôt solitaire, est la plus grosse de nos grives. Elle peut être obser- vée tout au long de la saison de chasse et s’identifie souvent par un chant particulier (longue trille répétée) qu’elle émet à l’envol.

Elle aime fréquenter les grands arbres où elle se délecte des fruits du gui sauvage dont elle est folle. Très méfiante, elle se chasse à la billebaude de manière non spé- cifique, souvent lors des parties de chasse au petit gibier. Bien que son tir ne soit pas des plus difficiles, n’hésitez pas à accrocher quelques spécimens à votre tableau car sa chair est délicieuse.

Tout à la fois sédentaire, nicheur et migra- teur, le merle noir se rencontre aussi bien dans nos campagnes que dans les milieux urbains. Cet oiseau, visiteur régulier des jar- dins, demeure un gibier passionnant et déli- cieux à déguster.

« J’aime chasser les merles au cul-levé en silence le long d’une grande haie car ils sont vraiment difficiles à atteindre. Leur vol rectiligne à ras du sol peut paraitre facile mais il occasionne de nombreux ratés.

Heureusement, l’oiseau loupé va souvent se remiser quelques mètres plus loin ce qui offre la possibilité de se rattraper. En battue, il faut procéder comme pour les grives mais les tireurs devront être correctement dissi- mulés car le merle est futé et sait éviter les chasseurs avec une aisance incomparable.

L’oiseau noir peut également se chasser à la passée du soir. Quand il rejoint son dortoir, il peut surgir aussi bien au ras du sol qu’en plein vol. Il faut donc avoir un sens aiguisé du coup d’épaule et les yeux partout.»

Comme nous venons de le voir, les cinq espèces de turdidés présentes dans le département peuvent offrir des moments de chasse riches en émotions. Jeunes chas- seurs, pour une fois n’écoutez pas les mots des anciens dédaignant les chasses de ces oiseaux et qui vous diront qu’ils « ne valent pas la cartouche ». N’oubliez pas que la chasse est une passion que chacun se doit d’assouvir comme il l’entend. Ne cédez pas aux préjugés et tentez vous aussi de deve- nir un véritable chasseur de grives. Gilles Perrot vient de vous livrer quelques secrets sur leurs chasses, il ne vous reste donc plus qu’à les appliquer. Bonne saison à tous.

Benjamin Basset, sur une idée originale de Gilles Perrot

Octobre, le mois des musiciennes. Un beau tableau.

La grive litorne passe aussi par la Saône-et-Loire.

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LES CONSEILS D’ADMINISTRATION

Réunion du 25 février 2015

Excusés : Gérard COMMEAU, Roland DEPARDON, Jean Paul NADAUT et Alain SABORIN.

Principaux sujets abordés et décisions prises : n Information sur le bilan des actions 2014 du Pôle

Étangs Continentaux (PEC) et programme 2015.

n Établissement de l’ordre du jour de l’Assemblée Générale du 11 avril 2015.

n Validation des budgets 2015/2016 et des mon- tants des différentes cotisations, participations et dispositifs de marquage à soumettre à l’Assem- blée générale.

n Soutien à l’UNUCR 71.

n Validation des travaux des groupes de travail et commissions.

Réunion du 25 mars 2015 Excusé : Alain SABORIN.

Principaux sujets abordés et décisions prises : n Engagement d’un service civique pour le projet

PEC et le suivi de la reproduction des anatidés en Bresse.

n Décision de ne pas réinvestir dans la nouvelle SCI Oiseaux sauvages et Habitats le capital pro- duit par la vente des locaux de la SCI Oiseaux Migrateurs.

n Validation des travaux des groupes de travail et commission.

n Fusion des régions.

n Battues administratives et destination de la venaison.

n Partenariat avec GROUPAMA.

n Center Parc du ROUSSET.

n Déroulement de l’Assemblée Générale et moda- lités de votes.

n Propositions ouvertures, fermetures et conditions spécifiques de chasse 2015/2016.

Réunion du 6 mai 2015 Excusés : Guy BEAUCHAMP.

Principaux sujets abordés et décisions prises : n Avis de chaque administrateur sur l’organisation

à venir de la FDC après les 3 départs en retraite prévus en 2016 et mise en place d’un groupe de réflexion.

n Examen des propositions des CLGG, ajustements.

n Dématérialisation des demandes de plan de chasse.

n Dates de fermetures sur les établissements de chasse à caractère commercial.

n Notice gestion sanglier pour 2015/2016.

n Validation des travaux des groupes de travail et des commissions.

n Assemblée Générale 2016.

n Travaux au Moulin Gandin.

Réunion du 24 juin 2015

Excusés : Freddy DIGOY, Jean Paul NADAUT et Alain SABORIN.

Principaux sujets abordés et décisions prises : n Synthèse des entretiens des personnels avec le

groupe de réflexion sur l’avenir de la FDC.

n Validation des travaux des groupes de travail et commissions.

n Institut Scientifique Nord Est Atlantique (ISNEA), participation au réseau de suivi des oiseaux de toutes espèces.

n Valorisation du bois bocage.

GROUPE DE TRAVAIL DÉGÂTS

Réunion du 25 juin 2015

Présents : Lucien PERROT, Freddy DIGOY, Michel DUPUIS, Jacques PELUS, André ROUX, Jean Paul VOISIN, Aline LAURENT, Stéphane CAMUS, Franck JACOB et Michel ROY.

Le groupe a :

n examiné les modalités de calcul des frais d’esti- mations désormais facturés au réclamant en cas de déclaration abusive ou de non atteinte du seuil,

n étudié la mise en place d’une formation à l’atten- tion des exploitants avec la FDSEA,

n pris connaissance de la typologie des prairies proposée par la FDC et retenue par la formation spécialisée dégâts,

n décidé d’adresser un questionnaire aux estima- teurs.

Réunion du 6 mai 2015

Présents : Lucien PERROT, Gérard COMMEAU, Roland DEPARDON, Freddy DIGOY, Michel DUPUIS, Jean Paul NADAUT, Jacques PELUS, André ROUX, Aline LAURENT et Michel ROY.

Le groupe a :

n pris connaissance et analysé les réponses des estimateurs au questionnaire,

n décidé de préparer une fiche de travail à l’inten- tion des estimateurs,

n fait le point sur la situation chiffrée des dégâts 2013/2014 et 2014/2015,

n proposé de fixer à 100 € le seuil pour les prairies par anticipation sur la réglementation à venir, n décidé d’adresser chaque convention clôture à

l’administrateur concerné,

n décidé d’une réunion des estimateurs en sep- tembre.

GROUPE DE TRAVAIL GRAND GIBIER

Réunion du 10 mars 2015

Présents : Freddy DIGOY, Roland DEPARDON, Michel DUPUIS, Jacques PELUS, Lucien PERROT, Vincent AUGAGNEUR, Edouard BUISSON, Franck JACOB, Anthony MORLET, Gilles PERROT, Michel ROY et Patrick SINTIER.

Le groupe a :

n fait le point sur les commandes postes de tir suré- levé et choisi un nouveau fournisseur local, n examiné les points particuliers concernant la

situation sanglier et dégâts,

n engagé une réflexion sur la définition du territoire de chasse.

Réunion du 21 avril 2015

Présents : Freddy DIGOY, Roland DEPARDON, Évelyne GUILLON, Gérard COMMEAU, Michel DUPUIS, Lucien PERROT, André ROUX, Edouard BUISSON, Stéphane CAMUS, Franck JACOB, Anthony MORLET, Gilles PERROT, Michel ROY et Patrick SINTIER.

Le groupe a :

n examiné, les propositions d’attributions sanglier des CLGG et défini celles qui devaient être sou- mises au CA,

n pris connaissance de la position d’ouverture du syndicat des forestiers concernant le cerf, n poursuivi sa réflexion sur la définition du territoire

de chasse après avoir pris connaissance de l’ana- lyse des techniciens sur ce sujet.

COMMISSION TECHNIQUE

Réunion du 25 mars 2015

Présents : Jean Paul VOISIN, Gérard COMMEAU, Roland DEPARDON, Freddy DIGOY, Michel DUPUIS, Évelyne GUILLON, Jacques PELUS, Lucien PERROT, André ROUX, Edouard BUISSON, Franck JACOB, Anthony MORLET, Gilles PERROT, Michel ROY et Patrick SINTIER.

La commission a :

n fait le point sur les opérations faisan et acté la reprise de la gestion par les territoires de l’opéra- tion du nord Louhannais,

n pris connaissance du travail effectué dans le cadre de la mise en place du réseau lièvre, n entendu le compte rendu de Edouard BUISSON

sur la présentation d’ISNEA,

n entendu le responsable d’une chasse commer- ciale sur les problèmes posés par la date de fer- meture de la chasse aux perdrix et faisans.

Réunion du 24 juin 2015

Présents : Jean Paul VOISIN, Guy BEAUCHAMP, Gérard COMMEAU, Roland DEPARDON, Michel DUPUIS, Jacques PELUS, Lucien PERROT, André ROUX, Peggy GAULTIER, Marion GUILLET, Anthony MORLET, Thierry PEYRTON, Michel ROY et Patrick SINTIER.

La commission a :

n proposé de participer à la constitution d’une séro- thèque avec la FNC,

n décidé de mettre en place une formation régula- tion des corvidés dès 2016,

n entendu le rapport sur l’état d’avancement des travaux sur le réseau lièvre,

n pris connaissance de la problématique campa- gnols,

n examiné les projets du GIC faisan du bassin autu- nois,

n fait le point sur les projets présentés à GRT Gaz dans le cadre des mesures compensatoires, n décidé de répondre favorablement à une

demande de relance d’une opération faisan en basse vallée de la Grosne,

n pris connaissance de la candidature d’un habitué pour organiser les rencontres Saint Hubert.

COMMISSION COMMUNICATION

Réunion du 17 février 2015

Présents : Évelyne GUILLON, Freddy DIGOY, Michel DUPUIS, Jacques PELUS, Vincent AUGAGNEUR, Anthony MORLET et Muriel TOANEN.

La commission a :

n pris connaissance du programme proposé dans le cadre des activités périscolaires,

n fait le point sur l’organisation des opérations

« J’aime la Loire propre » et « Saône et Loire propre »,

n été avisée de la protection dont bénéficie notre slogan « Partage et vie des territoires ».

Réunion du 24 février 2015

Présents : Évelyne GUILLON, Michel DUPUIS, Jacques PELUS, André ROUX, Vincent AUGAGNEUR, Stéphane CAMUS, Anthony MORLET, Patrick SINTIER, Léa TILLOLOY et Muriel TOANEN.

La commission a :

n revu le programme proposé dans le cadre des activités périscolaires,

n fait le point sur l’organisation des opérations

« J’aime la Loire propre » et « Saône et Loire propre ».

Réunion du 31 mars 2015

Présents : Évelyne GUILLON, Michel DUPUIS, Jacques PELUS, André ROUX, Vincent AUGAGNEUR, Anthony MORLET, Michel ROY et Muriel TOANEN.

La commission a :

n fait le débriefing des opérations « J’aime la Loire propre » et « Saône et Loire propre »,

n établi le planning des interventions dans le cadre des activités périscolaires,

n décidé de ne pas participer en 2015 à l’opération

« Un dimanche à la chasse »,

n déterminé ses conditions de participation aux manifestations suivantes : fête du pain à Juif, Festinature à Saint Marcel, journée JA à Montcenis, fête de la vénerie à Bresse sur Grosne, foire du Creusot, journée chasse à l’hippodrome de Cluny.

Réunion du 7 avril 2015 2015

Présents : Évelyne GUILLON, Roland DEPARDON, Freddy DIGOY, Jacques PELUS, André ROUX, Vincent AUGAGNEUR et Peggy GAULTIER.

La commission a :

n lancé une étude pour implanter le stand de tir à Viré,

n défini les sujets traités dans la prochaine news- letter,

n pris connaissance d’un diaporama sur les réseaux sociaux.

Réunion du 14 avril 2015

Présents : Évelyne GUILLON, Freddy DIGOY, Jacques PELUS, Vincent AUGAGNEUR, Michel ROY et Muriel TOANEN.

La commission a :

n procédé à une analyse de la communication actuelle de la FDC,

n déterminé les objectifs, les cibles et le message à transmettre via les réseaux sociaux,

n proposé d’ouvrir un compte facebook.

Réunion du 28 avril 2015

Présents : Évelyne GUILLON, Roland DEPARDON, Jacques PELUS, André ROUX, Vincent AUGAGNEUR et Muriel TOANEN.

La commission a :

n établi un rétro planning pour les réseaux sociaux, n proposé un planning des interventions dans le

cadre des activités périscolaires pour la rentrée 2015,

n donné réponse à des demandes particulières.

Réunion du 9 juin 2015

Présents : Évelyne GUILLON, Roland DEPARDON, André ROUX, Vincent AUGAGNEUR, Stéphane CAMUS, Peggy GAULTIER, Anthony MORLET, Gilles PERROT, Marion THIERRY et Muriel TOANEN.

La commission a :

n étudié les différentes solutions de distribution de la revue « La chasse en Saône et Loire en 2014 », n validé le planning et le contenu des activités

périscolaires pour 2015/2016,

n dressé une liste de sujets à traiter dans le pro- chain journal,

n fait le point sur l’organisation de la journée chasse à l’hippodrome de Cluny confiée à Stéphane CAMUS,

n donné réponse à des demandes particulières.

Réunion du 17 juin 2015

Présents : Évelyne GUILLON, Michel DUPUIS, Jacques PELUS, André ROUX, Vincent AUGAGNEUR, Stéphane CAMUS, Peggy GAULTIER et Muriel TOANEN.

La commission a :

n procédé à la relecture de la première partie de

« La chasse en Saône et Loire en 2014 » et choisi les photos de couverture,

n fait le point sur l’organisation de la journée chasse à l’hippodrome de Cluny,

n traité quelques demandes particulières.

Réunion du 30 juin 2015

Présents : Évelyne GUILLON, Roland DEPARDON, Michel DUPUIS, Jacques PELUS, André ROUX, Stéphane CAMUS, Franck JACOB et Muriel TOANEN.

La commission a :

n entendu Franck JACOB sur le projet de gazoduc en Bresse,

n validé la page couverture de « La chasse en Saône et Loire en 2014 »,

n réglé différents détails concernant la journée chasse à l’hippodrome de Cluny,

n fait le point sur la venue de Benjamin BASSET pour préparer le prochain journal.

Bilan

des Conseils d’administration, des commissions et groupes de travail

Comme vous en avez désormais l’habitude, voici un compte-rendu de toutes les réunions ayant eu lieu au Moulin Gandin.

Un beau tableau.

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PÉRIODES D’OUVERTURE ET CONDITIONS SPÉCIFIQUES DE CHA SSE CAMP AGNE 2015-2016 CHA SSE À TIR ET CHA SSE A U V OL Ou verture g énérale : dimanche 20 septembre 2015 à 8 heures. Fermeture g énérale : lundi 29 f évrier 20 16 au soir.

EXCEPTIONS ET CONDITIONS SPÉCIFIQUES ESPÈCEDATES D'OUVERTUREDATES DE CLÔTURECONDITIONS SPÉCIFIQUES DE CHASSE GRAND GIBIER Chevreuil et daim1er juin 201529 février 2016Chasse réservée aux titulaires d’un plan de chasse. Du 1er juin à l’ouverture générale, le chevreuil et le daim ne peuvent être chassés qu’à l’approche ou à l’affût, sans chien, après autorisation préfectorale délivrée au détenteur du droit de chasse. Cette autorisation est portée le cas échéant sur l’arrêté préfectoral individuel fixant le plan de chasse. Cerf élaphe et cerf sika1er septembre 201529 février 2016Chasse réservée aux titulaires d’un plan de chasse. Du 1er septembre à l’ouverture générale, le cerf ne peut être chassé qu’à l’approche ou à l’affût, sans chien, après autorisation préfectorale (idem ci-dessus). Sanglier1er juin 201529 février 2016Chasse réservée aux titulaires d’un plan de gestion. (Détails d’application : voir notice adressée à tous les titulaires d’un plan de gestion) - Prélèvement d’un sanglier, quel que soit le sexe ou le poids = 1 dispositif de marquage. - Du 1er juin au 14 août, le sanglier ne peut être chassé qu’à l’approche ou à l’affût. L'autorisation a été délivrée à tous les bénéficiaires d’un plan de gestion. Le bilan des prélèvements effectués entre le 1er juin et le 14 août devra être adressé à la Fédération avant le 15 septembre. - Du 15 août au 19 septembre, le sanglier peut être chassé à l’approche, à l’affût ou en battue. La chasse à tir du sanglier est permise les samedis, dimanches, lundis, mercredis et jour férié (15 août). Durant cette période, afin de prévenir les dégâts, la chasse à tir du sanglier est autorisée uniquement en plaine et dans une limite de 100 mètres à l’intérieur des massifs forestiers. Le prélèvement maximum autorisé est fixé à 3 sangliers par jour. - Du 20 septembre au 29 février, la chasse à tir du sanglier est permise les samedis, dimanches, mercredis et jours fériés. Le samedi ou bien le dimanche pourra toutefois être remplacé par le lundi. En ce cas, une déclaration écrite devra obligatoirement être adressée à la Fédération avant le 11 septembre pour la totalité du territoire concerné. En forêt domaniale, le choix des jours de chasse est réglé par le cahier des clauses particulières. - La chasse du sanglier est permise le samedi 15 août 2015 et le samedi 29 février 2016 sur tous les territoires bénéficiant d’un plan de gestion. - Tout grand gibier abattu, chevreuil, daim, cerf, sanglier, devra être muni, avant son déplacement ou son transport, d’un dispositif de marquage. Tout prélèvement de ces mêmes espèces devra obligatoirement être déclaré à la Fédération dans les 48 heures (voie électronique ou carte de prélèvement). - Toute personne autorisée à chasser le chevreuil ou le sanglier avant l’ouverture générale peut chasser le renard dans les mêmes conditions. PETIT GIBIER Blaireau20 septembre 201515 janvier 2016 Lièvre à l’est de la Saône20 septembre 201513 décembre 2015La chasse du lièvre est réservée aux titulaires d’un plan de chasse dans les communes suivantes : Allériot, Authumes, Baudrières, Beauvernois, Bellevesvres, Bouhans, Branges, Brienne, Bruailles, Charrette-Varennes, Charnay-les Chalon, Ciel, Clux, Condal, Dampierre-en-Bresse, Devrouze, Diconne, Dommartin-les-Cuiseaux, Fretterans, Frontenard, Frontenaud, Guerfand, Huilly-sur-Seille, Jouvencon, Juif, L’Abergement-Sainte-Colombe, La Chapelle Naude, La Chapelle-Saint-Sauveur, La Chaux, La Frette, La Genête, La Racineuse, La Villeneuve, Lays-sur-le- Doubs, Les Bordes, Lessard-en-Bresse, Longepierre, Louhans, Mervans, Montjay, Mont-les-Seurre, Montcoy, Montret, Mouthier-en-Bresse, Navilly, Ouroux sur Saône, Pierre-de-Bresse, Pontoux, Pourlans, Saint-André-en-Bresse, Saint-Bonnet-en-Bresse, Saint-Christophe-en-Bresse, Saint-Didier-en-Bresse, Saint- Etienne-en-Bresse, Saint-Germain-du-Plain, Saint-Martin-en-Bresse, Saint-Vincent-en-Bresse, Sainte Croix, Saunières, Savigny-sur-Seille, Serley, Sermesse, Serrigny-en-Bresse, Simard, Thurey, Torpes, Toutenant, Tronchy, Verdun-sur-le-Doubs, Vérissey, Verjux, Villegaudin, La Forêt Domaniale du Chalonnais – canton des Colombrets – d’une superficie totale de 171 ha est entièrement soumise au plan de chasse. En dehors de ces communes, la date de clôture est avancée au dimanche 1er novembre 2015 et la chasse du lièvre est autorisée seulement le dimanche. Lièvre à l’ouest de la Saône4 octobre 201513 décembre 2015La chasse du lièvre est réservée aux titulaires d’un plan de chasse dans les communes de Ameugny, Ballore, Beaumont-sur-Grosne, Bergesserin, Berzé-le- Châtel, Bissy-sous-Uxelles, Blanot, Bonnay, Boyer, Bray, Bresse-sur-Grosne, Buffières, Burnand, Burzy, Champagny-sous-Uxelles, Chapaize, Château, Châteauneuf, Chérizet, Chevagny-sur-Guye, Chiddes, Chissey-les-Mâcon, Cluny, Collonge-en-Charollais, Cormatin, Cortambert, Cortevaix, Coublanc, Curtil- sous-Buffières, Curtil-sous Burnand, Donzy-le National, Donzy-le-Pertuis, Etrigny, Flagy, Fleury-la-Montagne, Genouilly, Gigny-sur-Saône, Gourdon, Jalogny, Joncy, Jugy, La-Chapelle-de-Bragny, La-Charmée, La-Guiche, Laives, Lalheue, La-Vineuse, Le-Puley, Le-Rousset, Lournand, Lux, Malay, Mancey, Marigny, Marizy, Marnay, Mary, Massilly, Massy, Mazille, Montceaux-Ragny, Mont-Saint-Vincent, Nanton, Passy, Pouilloux, Sailly, Saint-Ambreuil, Saint-André-le-Désert, Saint-Bonnet-de-Cray, Saint-Clément-sur-Guye, Saint-Cyr, Saint-Edmond, Saint-Gengoux-le-National, Saint-Huruge, Saint-Loup-de-Varennes, Saint-Marcellin- de-Cray, Saint-Martin-de-Lixy, Saint-Martin-de-Salencey, Saint-Martin-la-Patrouille, Saint-Maurice-des-Champs, Saint-Maurice-les-Châteauneuf, Saint-Micaud, Saint-Romain-sous-Gourdon, Saint-Vincent-des-Prés, Saint-Ythaire, Sainte-Cécile, Salornay-sur-Guye, Savigny-sur-Grosne, Sennecey-le-Grand, Sevrey, Sigy-le-Châtel, Sivignon, Taizé, Varennes-le-Grand, Vaux-en-Prés, Vers, Vitry-les-Cluny, ainsi que dans les communes ou paries de communes situées entre l’autoroute A6, le canal du Centre et la Saône au nord de l’agglomération chalonnaise( étant précisé que la commune de Demigny, traversée par l’autoroute A6, est entièrement concernée par le plan de chasse). La forêt domaniale de La Ferté d’une superficie de 1817 ha est entièrement soumise au plan de chasse. Perdrix grise et rouge Faisan

20 septembre 20151er janvier 2016 Suite au programme de réintroduction du faisan commun dans l’Autunois, il est institué un plan de gestion de cette espèce sur le territoire des communes de Autun ( en rive droite de l’Arroux), La-Celle-en-Morvan, La-Grande-Verrière, Laizy ( partie située à droite de la RD 981 dans le sens Autun-Luzy), Monthelon, Saint-Forgeot et Tavernay : chasse du faisan permise les dimanches 4 octobre, 11 octobre et 18 octobre 2015. Le prélèvement par dimanche et par chasseur est fixé à un coq faisan. Le tir de la poule faisane est interdit. OISEAUX DE PASSAGE Caille des blés29 août 201520 février 2016 Tourterelle des bois29 août 201520 février 2016Avant l’ouverture générale, la chasse de la tourterelle des bois ne peut être pratiquée qu’à poste fixe matérialisé de main d’homme et qu’à plus de 300 mètres de tout bâtiment. Pigeon ramier20 septembre 201520 février 2016Du 11 au 20 février, uniquement à poste fixe matérialisé de main d’homme.

Pigeon biset Pigeon colombin Grives, Merle noir

20 septembre 201510 février 2016

Bécasse des bois Tourterel

le turque20 septembre 201520 février 2016Le prélèvement maximal autorisé de la bécasse des bois par chasseur est fixé à 30 oiseaux par an et 4 par jour. Tout prélèvement en l’absence du carnet de prélèvement et du dispositif de marquage est interdit. Alouette des champs20 septembre 201531 janvier 2016 GIBIER D’EAU Canard chipeau Fuligule milouin Fuligule morillon Nette rousse, Foulque macroul

e Poule d’eau Râle d’eau

lundi 15 septembre à 7 heures 31 janvier 2015En tout lieu. Vanneau huppé20 septembre 2015 Bécassine des marais Bécassine sourdesamedi 1er août à 6 heuresDu 1er août au 21 août à 6 heures, uniquement sur les prairies humides et les zones de marais non asséchés spécialement aménagées pour la chasse de ces 2 espèces, par la réalisation de platières et la mise en eau, entre 10 heures et 17 heures. Autres espècesvendredi 21 août à 6 heures Dans les marais non asséchés, sur les fleuves, rivières, canaux, réservoirs, étangs et nappes d’eau ; la recherche et le tir ne sont autorisés qu’à distance maximale de 30 mètres de la nappe d’eau. 20 septembreSur les autres territoires.

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