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Abaque de la fonction 2J1(z)/2J0(z) pour l'étude de la perméabilité initiale complexe des conducteurs à section circulaire en haute fréquence

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Academic year: 2021

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HAL Id: jpa-00235312

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00235312

Submitted on 1 Jan 1956

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Abaque de la fonction 2J1(z)/2J0(z) pour l’étude de la perméabilité initiale complexe des conducteurs à section

circulaire en haute fréquence

Jean Benoit, Ernst Naschke

To cite this version:

Jean Benoit, Ernst Naschke. Abaque de la fonction 2J1(z)/2J0(z) pour l’étude de la perméabilité

initiale complexe des conducteurs à section circulaire en haute fréquence. J. Phys. Radium, 1956, 17

(1), pp.77-78. �10.1051/jphysrad:0195600170107701�. �jpa-00235312�

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LETTRES A LA RÉDACTION

PETIT SPECTROMÈTRE A RÉSEAU

POUR L’INFRAROUGE LOINTAIN par M. ARMAND HADNI,

Laboratoire de Recherches Physiques, Sorbonne.

LE JOURNAL DE PHYSIQUE ET LE RADIUM TOME 17, JANVIER 1946,

Un petit spectromètre à réseau pour l’infrarouge

lointain (23 À 100 (L) venant d’être présenté par

Plyler [1], et ayant donné d’excellents résultats nous signalons que dans notre thèse, en cours d’impres-

sion [2], nous avons montré que les petites dimen-

sions des cibles des récepteurs modernes, qui permet-

tent de moduler la lumière, et la très faible brillance

vers les grandes longueurs d’onde des sources dont on

dispose actuellement, empêchent de concevoir des spectromètres.très dispersifs pour l’étude de l’infra- rouge lointain. Il faut prévoir des longueurs focales beaucoup plus petites que celles utilisées dans l’infra- rouge proche pour des appareils du même type.

Heureusement, le pouvoir séparateur très petit qui

découle des dimensions réduites de l’appareil corres- pond, dans cette région de basses fréquences, à une

résolution de l’ordre de quelques nombres d’onde. Elle est suffisante pour beaucoup de travaux et nous rappel-

lerons qu’une résolution de 1 cm-1 demande un pou- voir séparateur de 10.000 vers 1 !J., alors que vers 100 IL, il peut n’atteindre que 100.

Sur ces idées, nous avons réalisé un petit spectro-

mètre à réseau, le miroir collimateur a une longueur

focale de 10 cm et une section carrée de 4 X 4 cm, de telle sorte que l’appareil est ouvert à F/2,5 en hauteur

et en largeur. Les fentes sont hautes (16 mm) et assez larges (0,5 à 1 mm) pour que les aberrations géomé- triques et la diffraction ne soient pas gênantes. Nous disposons de deux réseaux-plans, rectangulaires (4x5 cm), avec un nombre de traits par mm égal

à 8 pour l’un et 4 pour l’autre. Ils sont du type « éche- lette » avec un angle de 260 entre les facettes élémen-

taires et la surface initiale du réseau. Le récepteur est

une thermopile de Schwartz qui pourra éventuellement être remplacée par un détecteur pneumatique après quelques modifications du spectromètre.

L’élimination de la lumière parasite se fera par plu-

sieurs procédés : modulation sélective, filtres de Chris- tiansen [3], réflexion sélective ou utilisation de l’image

centrale d’un petit réseau « échelette » que l’on sait très pauvre en courtes longueurs d’onde. Le récepteur possède d’autre part une fenêtre en quartz qui coupe tout l’infrarouge de 4 à 50 [t.

Ce petit spectromètre, outre la simplicité, présente

un certain nombre d’avantages dont la possibilité

d’éliminer rapidement la vapeur d’eau en y faisant le vide. Ses fentes étant sensiblement aussi étendues que

celles du grand appareil en fonctionnement au labo- ratoire pour les longueurs d’onde de 20 à 43 p. envi-

ron [2] mais son ouverture étant supérieure(F/2,5 au

lieu de F/3,3) et sa dispersion environ 5 fois plus faible, nous espérons atteindre des longueurs d’onde

très supérieures sans être gêné par le manque d’énergie.

Nous décrirons prochainement ses essais.

Manuscrit reçu le 13 juillet 1955.

BIBLIOGRAPHIE

[1] PLYLER (E. K.) et ACQUISTA (N.), J. Chem. Phys., 1955, 23, 752.

[2] HADNI (A.), Thèse, Paris, février 1955.

[3] HADNI (A.), J. Physique Rad., 1954, 15, 375 ; BAR-

NES (R.B.) et BONNER (K. G.), Phys. Rev. 1936, 49, 732.

ABAQUE DE LA FONCTION 2J1(z)/2J0(z)

POUR L’ÉTUDE DE LA PERMÉABILITÉ

INITIALE COMPLEXE DES CONDUCTEURS

A SECTION CIRCULAIRE EN HAUTE FRÉQUENCE

par MM. JEAN BENOIT et ERNST NASCHKE.

L’impédance d’un conducteur à section circulaire est donnée par [1 ]

où R est la résistance, Li l’inductance interne, w la pulsation du champ électromagnétique, a la conducti- vité, l la longueur du conducteur, so sa section droite, J, la fonction de Bessel de première espèce et d’ordre

n et z = - oero V E(L où ro est le rayon du conducteur,

e la constante diélectrique complexe et y la perméabi-

lité complexe.

Pour un bon conducteur e z devient :

Après avoir mesuré l’impédance R + icùli (par exemple sur un pont d’impédance [2]) on peut déter- miner z à l’aide d’un abaque que nous présentons ici.

De la connaissance de z, on peut finalement déduire la perméabilité complexe y d’après la relation (2).

Désignons par Oe et Sm les angles de pertes

électriques et magnétiques [e: = e:’[1 - j tg Se) et

. fl

=-

y’ (1 - i tg 8m)] du matériau.

,

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphysrad:0195600170107701

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Cet abaque q de - z est valable our p la gamme

r 8e + 8m ’TC ; par conséquent, pour le cas d’un bon conducteur ( 8e = §) il correspond, comme il

2

convient, à 0 s &m b. Il complète l’abaque publié

par M. Prache [3] qui se limite aux valeurs de ae + &m # et qui n’est donc pas utilisable pour les métaux.

FIG. 1.

L’abaque’ présenté a servi à l’un de nous pour

F étude de la perméabilité magnétique initiale complexe

du fer entre 0 et 7.000 MHz [2].

Mauuscrit reçu le 7 novembre 1955, BIBLIOGRAPHIE

[1] BENOIT (J.), Ann. Inst. Polytechnique de Grenoble, 1953, II, n° 3, p. 35.

[2] NASCHKE (E.), Thèse, Grenoble, soutenue le 18 décem- bre 1954.

[3] PRACHE, Câbles et Transmissions, 1950, p. 89.

INFLUENCE DE LA LUMIÈRE

SUR L’ABSORPTION DIPOLAIRE HERTZIENNE DU SELENIUM

par Mme Y. MEINNEL, J. MEINNEL et Y. BALCOU,

Faculté des Sciences de Rennes.

Divers auteurs avaient signalé l’existence d’ano- malies dans la variation de la résistance de redresseurs

au sélénium en fonction de la fréquence, à la tempé-

rature ordinaire [1], [2], [3]. Nous avons montré précé- demment pour des poudres de Se (semi-conducteur) [4]

que l’étude à différentes températures du déplacement

de la bande d’absorption dipolaire, en fonction de la

fréquence, permettait d’obtenir l’énergie d’activation des défauts mis en jeu.

FIG. 1.

-

Influence de ila lumière sur l’absorption dipolaire hertzienne d’un échantillon de sélénium.

FIG. 2.

-

Variation de l’énergie d’activation des défauts d’un sélénium impur, sous l’influence de la lumière.

Utilisant un condensateur en forme de double

peigne, nous avons mis en évidence, une influence de

l’éclairement sur la position et l’intensité du domaine

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