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La dilatation thermique du milieu cristallin - II Le coefficient de dilatation

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HAL Id: jpa-00236480

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00236480

Submitted on 1 Jan 1961

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La dilatation thermique du milieu cristallin - II Le coefficient de dilatation

J. Laval

To cite this version:

J. Laval. La dilatation thermique du milieu cristallin - II Le coefficient de dilatation. J. Phys. Radium, 1961, 22 (8-9), pp.465-471. �10.1051/jphysrad:01961002208-9046500�. �jpa-00236480�

(2)

LA DILATATION THERMIQUE DU MILIEU CRISTALLIN

Par J. LAVAL,

Collège de France, Paris.

II

Le coefficient de dilatation

Résumé. 2014 Cette seconde étude a pour objet le calcul du coefficient de dilatation et de sa dérivée par rapport à la température.

Le coefficient de dilatation est rapporté directement à l’énergie potentielle et aux translations élémentaires du milieu cristallin. On trouve qu’il croît avec la température, en gros, comme la chaleur spécifique à volume constant. Il s’annule au zéro absolu, et quand la température approche

du point de fusion, il augmente avec la température absolue à peu près selon la loi parabolique.

Abstract. 2014 The object of this second study is the calculation of the linear expansion coefficient and of its derivative with reference to temperature.

The expansion coefficient is directly referred to the potential energy and to the elementary

vibrations of the crystalline medium. We find that it increases with temperature, roughly as the specific heat at constant volume. It is annuled at absolute zero and when the temperature comes

near to the melting-point, it increases with the absolute temperature nearly according to the para-

bolic law.

LE JOURNAL

DE PHYSIQUE

ET

LE RADIUM

Tome 22 No 8-9 AOUT-SEPTEMBRE 1961

A. Le coefficient de dilatation. - Quand la tem- pérature s’élève de â0, la tension thermique

T (12) (1) croît de

et, d’après les expressions de Tl (13), de T2 (17)

et de T3 (18),

( 1) Les formules dont les numéros vont de 1 à 31, et les références bibliographiques dont les numéros vont. de [1]

à [5] se trouvent dans la première partie du mémoire « Les facteurs de la dilatation J. Physique Rad. Juillet 1961, 22,

451 ».

D’autre part, selon la théorie de l’élasticité, la

dilatation oc d0 développe une tension

Cette tension est égale (en valeur absolue) à

l’accroissement (32-33) de la tension thermique.

Compte tenu des fonctions 8 (4) et Y (5) et des

relations (11), l’égalité des expressions (32) et (34)

donne :

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphysrad:01961002208-9046500

(3)

466

6m est la fonction d’Einstein (4) qui se rapporte à

à une oscillation harmonique de fréquence

Posons :

Comme le facteur Q (14), et pour la même raison,

à température constante, les facteurs G (36) et

H (38) sont constants, caractéristiques de l’espèce

cristalline. Les facteurs Je (37) et K (39), et le

coefficient ,C (8) ont la même propriété. Et de l’égalité (35) nous déduisons le coefficient d’élas- ticité : -.

Les expressions de G (36) et de J (37) contien-

nent en facteur la fonction d’Einstein 6 (4) qui

s’annule quand la température tend vers le zéro

absolu. Donc le coefficient de dilatation a s’annule aussi quand la température tombe au zéro absolu.

Dès que les fonctions d’Einstein tS1’ (4) attei- gnent, dans l’ensemble, sensiblement l’unité, ce qui se produit déjà à la température ordinaire pour la plupart des cristaux envisagés, nous avons gros-

sièrement : .

D’où il vient :

En portant dans cette expression les coefficients d’élàsticité mesurés, et compte tenu des grandeurs

négligées, J, H et K, on trouve (1) : . - .

, (1) Ces facteurs 1 se rapportent aux coemcient C qui sont

déterminés par les modules de compressibilité x x = 1)

du fer oc à 130 °C. (xpe = 0,664 X 10-12) et du cuivre à 20 °C (X., = 0,75 X 10-12) mesurés par Grüneisen [6], et

par le module de compressibilité de l’aluminium à 20 °C, mesuré par Bridgmann [7] (xAl = 1,37 X 10-12).

(2 ) Le facteur 4 est homogène à une masse.

, (3) Compte tenu des pulsations as déterminées par H. Curien [8] on retombe, par Fexpressron (9), à peu près

sur la grandeur 1, 6 x 10- 22 pour le facteur § du fer a, si l’on

prend les coefficients n:(3(3 suivants (en unités C. zig. S.) :

n:C3(3 1,6 X 1012 pour a = l V3 (premiers voisins).

Lape - 1,2 X 1012 pour a = 2l (seconds voisins).

n:(3{3 ^ 0,2 X 1012 pour a = 2l V2 (troisièmes voisins).

Ces coefficients sont bien compatibles avec les constantes de rappel déterminées par H. Curien [8].

Présentement, l’énergie potentielle du milieu

cristallin n’est pas définie avec une précision suffl-

sante pour qu’on puisse en déduire, même’approxi- mativement, ses dérivées cinquièmes..et septièmes

par rapport aux translations qui transportent les positions moyennes des atomes les unes sur les autres. De ce fait, les coefficients b (28) et c (29),

et partant les facteurs J (37) et K (39) ne peuvent

être calculés. D’autre part, les coefficients d’élas- ticité mesurés permettent seulement d’atteindre l’ordre de grandeur de ces deux facteurs, soit la part que les tensions secondaires T 2 (28) et T3 (29) prennent ensemble à la dilatation, et non la part qui revient à chacune d’elles. Le coefficient b oscille

probablement entre 10-9 et 10-10 (unités C. G. S.).

Quant au coefficient c son ordre de grandeur même

reste inconnu. Afin de développer le calcul de la

"

dilatation, je supposerai que ce coefficient s’élève

aux environs de 102 unités C. G. S. (J’admets, de

la sorte, que le rapport cib est grossièrement égal

au rapport /&.)

.B. La dérivée

doc

du coefficient de dilatation. -

.

De l’expression (40), on déduit :

Le facteur H (38) croît avec la température :

Un calcul détaillé révèle que le second terme,

de la dérivée reste, à toute température, .

très petit par rapport au prémier et par rapport

à

ÉÀ

Nous négligerons donc ce second terme dans le

calcul de la dérivée, c’est-à-dire nous poserons : .

(4)

467 Les expressions des facteurs G (36), J (37),

H (38) et K (39) donnent :

et, compte tenu de l’expression qui définit la fonc- tion :F (5), il vient :

C. Les grandeurs qui déterminent le coefficient de dilatation. - Les facteurs G, J, H, K et leurs

dérivées d G dJ H dK ()nt, au, zéro absolu

de’ dE>’ ÕE>, CI)’ dE> on , au zéro absolu, ,

et à température élevée, les grandeurs suivantes :

Quand la température s’élève dès le zéro absolu,

le facteur H (38) diminue d’abord légèrement, puis augmente et finit par croître comme lZkO.

D’autre part, le facteur .K (39) augmente cons-

tamment à température croissante. Mais, même

orsque la température est à peine inférieure au

point de fusion, la sommo 3 (H + K) n’atteint que le dixième, environ, du produit (Le. Et, comme le

coefficient e (8) diminue rapidement lorsque la

dilatation grandit - en gros comme une fonction

exponentielle décroissante de la dilatation -, dans les formules (40) et (45), qui expriment le coefficient

dx

de dilatation « et sa dérivée

d0

le dénominateur

11.e + 3(H -[- .K) diminue sans cesse à températures

croissante.

Nulle au zéro absolu, la dérivée

d G

dE)(46) croît

d’abord lorsque la température s’élève ; elle passe par un maximum à une température eM plus basse

(VM(DM))

que la température ou la dérivée

d.0 (for-

mule 6, fig. 1) s’annule, c’est-à-dire :

vM(OM) étant la fréquence moyenne (16) des oscilla- tions fondamentales à la température E)m ( 1) ; puis la

(1) Quand la température s’abaisse, la fréquence moyenne

vm (27) s’élève donc

(5)

468

dérivée

ÉÉ

décroît et quand

hv)()

tombe au-

desso us de l’unité, elle diminue sensiblement

comme 1/83.

FIG. 3.

°

La courbe de la figure 3 représente, en fonction

de 0, la variation de la dérivée

d G

pour le fer a.

Elle se rapporte à la densité p(v), déterminée par H. Curien [8], son maximum se situe à 58 OK envi-

ron ( 1). -

D’autre part, les expressions des tensions T2 (28)

et T3 (29) donnent :

L’énergie moyenne W m (3) est celle d’un oscil- lateur linéaire dont la fréquence v.

(t-F)

(27) est

constante. Les dérivées

varient donc en fonction de la température comme

les dérivées partielles

Quand la température s’élève, la fonction

nulle au zéro absolu, commence par croître, passe par un maximum de 1,45 pour x égal à 3,9, puis diminue, et, lorsque x devient inférieur à l’unité,

olle tend vers l’unité (courbe de la figure 4).

La fonction

s’annule aussi quand la température tend vers le

zéro absolu ; et’ lorsque la température s’élève elle

augmente constamment, sensiblement comme 0 dès que x décroît au-dessous de l’unité. Toutefois, quand elle devient égale à 0,82 environ, pour

x = 3,7, sa dérivée seconde s’annule (courbe de la figure 5).

En conséquence, lorsque la température s’élève à . partir du zéro absolu, la dérivée

à.

nulle à cette

température, commence par croître, passe par un

7

maximum pour légèrement plus grand

que 3,9, donc à une température plus élevée que la

température eH (51), puis décroit légèrement,

b’ un minimum hv

aux environs de 1 tombe à un p k0 aux environs dé 1,

enfin croît en gros comme 0. Mais, compte tenu des

données expérimentales, le maximum de la déri-

vée dJ reste etit par rapport au maximurn de la

dO p p pp

(6)

dérivée d G d0 (probablement p inférieur au dixième de

ce dernier). Donc, aux basses températures, la va-

riation de la dérivée

à-, ,

d0’ dx en fonction de 0, est déter-

Fin. 5.

minée principalement . p p par p cell ç de la dérivée dGd0

Et, tant que la température 0 reste inférieure

. à Om, nous avons approximativement :

Aux température élevées, quand la différence

relative

Do

tombe au-dessous du dixième la dG devient i ea-

ta dérivée

à7o devient negllgea-

1 i dJ tem é a-

ble par rapport à la dérivée d0 aux tempéra-

tures élevées, nous avons de même approxima-

tivement : .

Notons que pour tous les cristaux cubiques envi- sagés le module de la

dérivée 1 él§ ?

excède forte-

d Log v ,

ment l’unité (pour les cristaux de cuivre il s’élève

aux environs de 5. -

D. La variation du coefficient de dilatation. --

Quand la température tend vers le zéro absolu, le ,

coefficient de dilatation ce (40) et les dérivées

dG d0 ) (46) et

dJ

d0 ( ) (47) s’annulent ; donc la dérivée da

dE) tombe aussi à zéro (courbe OD, fig. 6). Lorsque la température s’élève à partir du zéro absolu, la déri- .

FIG. 6.

La courbe OD concerne la dilatation des cristaux de cuivre.

Elle se rapporte aux grandeurs suivantes :

. 1) densité des fréquences p(v) à 290 DK déterminée

par E. Jacobsen [9], et ,compte tenu de mesures palus récentes, par la diffusion des neutrons, faites par D. Cri- bier (non publiées) ;

vo étant la fréquence au zéro absolu, on admet que :

c = 3 X 102 (29) ; , =1,055 X 10-22 (unités C. G. S.).

Co étant la grandeur du coefficient C (8) au zéro absolu, on a pris :

(7)

470 d03B1

vée

a d0

croit (branche M), passe par un maximum

qui, compte tenu du facteur J (37-47), se situe à

une température O légèrement plus haute que la

température Om (51), mais inférieure, de peu, à la

température étant la fré-

quence moyenne des oscillations fondamentales dans le cristal à la température E)M) ; puis la déri-

vée

u-,

décroît (branche AB), devient à peu près

constante .aux températures moyennes (branche BC) ; enfin, quand la température atteint le voi-

sinage du point de fusion, elle augmente de nouveau avec 0 sensiblement selon l’expres-

sion (52)a donc plus vite qu’elle croîtrait selon la loi linéaire (branche CD).

En conséquence, quand la température s’élève,

dès le zéro absolu, le coefficient de dilatation y, nul à l’origine (courbe OD, fig. 7), commence par croitre lentement (branche OA), puis la courbe qui

décrit sa variation en fonction de 0 présente un

FIG. 7.

Coefficient de dilatation linéaire du cuivre calculé à partir

des grandeurs prises en compte pour évaluer la dérivée

d°‘ . Grüneisen a mesuré la dilatation du cuivre entre

1186 OK et 873 OK, Dans cet intervalle de température,

les coefficients de dilatation calculés se confondent à 1 G-2 près avec les coefficients mesurés par Grüneisen [10J.

point d’inflexion I à la température OM (branche AB) ; ensuite, aux températures

moyennes, le coefficient croît approximativement

selon la loi linéaire (branche BC) ; enfin, aux tem- pératures élevées, proches du point de fusion, il augmente sensiblement comme

donc plus vite que selon la loi parabolique (53) (branche CD) ; l’écart entre sa loi de croissance et 1*loi parabolique étant dû principalement à la di-

minution du dénominateur (le + 3(H + K).

J’admets qu’à toute température chaque oseil- lation fondamentale conserve une énergie moyenne

sensiblement égale à celle d’un oscillateur harmo-

nique ayant la même fréquence (3). Cela n’est pas démontré. Si l’énergie moyenne véritable, Wf, d’une

oscillation fondamentale ne se confond pas avec.

l’énergie moyenne W (3) d’un oscillateur harmo-

nique, l’écart relatif lWt - Wl JW ne peut être

notable qu’aux températures élevées. Toutefois, le

coefficient de dilatation est principalement fonc- tion, non des énergies Wts,, mais des dérivées

dWf,sT do et un faible écart W - I f W W I sl s n’im- plique pas que la différence relative

soit minime. Si, aux températures élevées, les diffé-

rences relatives

deviennent considérables, le coefficient de dila- tation est, à ces températures, plus grand ou plus petit que le coefficient prévu, selon que les écarts

sont positifs ou négatifs.

Notons que, même si l’énergie moyenne W f d’une oscillation fondamentale ne se confond pas avec celle d’un oscillateur harmonique, le coefficient d’élasticité oc reste déterminé, comme je l’ai établi,

par les fonctions (4) et (5) et les dérivées (6) et (7).

Mais ces fonctions et ces dérivées se rapportent à l’énergie- moyenne véritable W f.

La dilatation thermique des cristaux métalliques

a été l’objet de nombreuses mesures. Mais presque toutes ont été faites sur des cristaux à des tempé-

ratures moyennes (branche BC de la courbe OD, fig. 7) et les intervalles de température,s qu’elles

couvrent. sont le plus souvent fort restreints (quel-

ques dizaines de degrés centésimaux). Il importe de

connaître la dilatation dans deux zones de tempé-

ratures restées jusqu’ici inexplorées.

(8)

10 Aux basses températures, afin de vérifier,

d’une part, si le coefficient de dilatation et sa déri- vée s’annulent au zéro absolu, d’autre part si la

courbe (OD, fig. 7) qui décrit la variation de ce

coefficient en fonction de la température porte un point d’inflexion. Si ce point d’inflexion existe, il

est possible de repérer la température 0’ m il se situe, et par cette température de déterminer appro- ximativement la fréquence moyenne vm(G’) des

oscillations fondamentales qui ont lieu dans le cristal à la température eQ (1).

(1) La fréquence moyenne vM (0M) trouvée se rapporte

à la température 0M, et non à la température Î#, et

comme les fréquences des oscillations fondamentales s’abaissent quand la température s’élève, on a

20 Mais c’est surtout aux températures élevées,

immédiatement au-dessous du point de fusion, qu’il convient de mesurer la dilatation avec une haute précision. Cette mesure révèlerait l’impor-

tance des tensions thermiques secondaires, et sinon

la grandeur exacte, tout au moins l’ordre de gran- deur des dérivées cinquièmes et septièmes de l’éner- gie potentielle, et peut-être même la variations des facteurs s,.S,,, (30) et s,,.s,eee (31) en fonction

de la température.

Remarquons enfin que le coefficient de dilatation est essentiellement fonction des rapports de-gran-

deurs entre les dérivées successives de l’énergie po- tentielle et non de la grandeur absolue de ces déri-

vées.

Manuscrit reçu le 11 avril 1961.

BIBLIOGRAPHIE [6] GRÜNEISEN (E.), Ann. Physik, 1910,33,1239.

[7] BRIDGMAN (P. W.), Proc. Amer. Acad., 1923, 58,

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[9] JACOBSEN (E. H.), Phys. Rev., 1955, 97, (3), 654.

[10] GRÜNEISEN (E.), Ann. Physik, 1908, 26, 24.

Références

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