HAL Id: jpa-00206591
https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00206591
Submitted on 1 Jan 1967
HAL is a multi-disciplinary open access archive for the deposit and dissemination of sci- entific research documents, whether they are pub- lished or not. The documents may come from teaching and research institutions in France or abroad, or from public or private research centers.
L’archive ouverte pluridisciplinaire HAL, est destinée au dépôt et à la diffusion de documents scientifiques de niveau recherche, publiés ou non, émanant des établissements d’enseignement et de recherche français ou étrangers, des laboratoires publics ou privés.
Renforcement de la photoluminescence par le champ électrique dans les (Zn, Cd)s/mn. lois générales et
mécanisme
C. Marti
To cite this version:
C. Marti. Renforcement de la photoluminescence par le champ électrique dans les (Zn, Cd)s/mn. lois générales et mécanisme. Journal de Physique, 1967, 28 (10), pp.839-844.
�10.1051/jphys:019670028010083900�. �jpa-00206591�
RENFORCEMENT DE LA
PHOTOLUMINESCENCE
PAR LE CHAMPÉLECTRIQUE DANS
LES(Zn, Cd)S/Mn
LOIS
GÉNÉRALES
ETMÉCANISME
Par C.
MARTI,
Laboratoire de Luminescence, Faculté des Sciences de Paris.
Résumé. - On
rappelle
les conditions d’observation du renforcement par lechamp
et lesphénomènes qui
lui semblent liés. On donne les lois de sa variation avec la tension et la fré- quence duchamp,
l’intensité d’excitation et latempérature.
On propose un modèle basé sur le
dépiégeage
de trous par lechamp électrique ;
on étudiel’influence de
l’augmentation
de trous libres dans la bande de valence sur lacinétique
derecombinaison. En admettant que le centre de recombinaisons radiatives est
proche
de la bande deconductibilité et que le centre de recombinaisons non radiatif efficace dans le domaine de
tempé-
rature
envisagé
estproche
de la bande de valence, onpeut expliquer
l’ensemble desphénomènes.
Abstract. 2014 The conditions for observation of field enhancement are described in connection with
related phenomena.
The laws of variation versus thevoltage
and thefrequency
of thefield and versus the excitation
intensity
and thetemperature
aregiven.
A model based on
detrapping
of holesby
the field is described and the influence of this increase in the concentration of free holes on the recombination kinetics is studied.Assuming
that the radiative recombination-level is located near the conduction band, and the non radiative one(effective
in thetemperature
range ofobservation)
near the valence band, the mainpart
of thephenomena
can beexplained.
Introduction.
- Un faiblechamp électrique appli- que
a unluminophore
dutype
ZnSproduit
engeneral
une extinction de la
photoluminescence (activation
au
Cu,
al’ Ag, self-activation, etc.).
Aucontraire,
si1’activateur est le
Mn,
onpeut
observer un renfor-cement de la luminescence excit6e par les rayons X
[1- 2],
cx[3-4], cathodiques [5],
U.V.[6],
ou meme visiblesdans le cas de
(Zn, Cd)S/Mn [7-8];
sur lafigure 1,
on
peut
voir que le renforcement seproduit
nonseulement si 1’excitation est « bande a bande »
(=
4 000A),
mais aussi s’ils’agit
des transitions internes dumanganese
lui-meme(4 650
et 4 950A).
On doit nettement
distinguer [9]
ce renforcementFIG. 1. - Renforcement en fonction de la
longueur
d’onde de l’excitation lumineuse a différentes intensites d’excitation
( V
= 100 V ; v = 50Hz) (Zn, Cd)S/
(Mn, Cl) .
de la
photoluminescence
par deschamps
nonsusceptibles
de
provoquer
seuls l’electroluminescence(E.L.)
du renfor-cement de 1’E.L. par l’U.V.
(ou
une autreexcitation) qui peut
etre observee aussi bien dansZnS/(P, Cl)
etZnS/(As, Cl)
que dansZnS/(Mn, Cl) [10, 11, 12].
Le renforcement par le
champ (E.R.)
est maximumdans des
(Zn, Cd) S/Mn,
X avec 50%
de ZnS enpoids
contenant 2 X 10-3 g
Mn/g
ZnS et Xpouvant
etreCl,
In ou rien
(aux
d6fautsphysiques
et de stoechiometrieprès).
Lespoudres
que nous avons 6tudi6es donnent bien undiagramme
deDebye-Scherrer
de cristaux mixteshexagonaux (1).
On doit noter que les
produits
a electro-renforcementpresentent :
- un renforcement de la
photoluminescence
parl’infrarouge [13]
dans les memes bandes I.R.[14-15]
que 1’extinction et la stimulation des
(Zn, Cd) S/Cu, (Zn, Cd)S/Ag
ou(Zn, Cd)S
self-activ6s(par
exem-ple [16]);
- de l’E.L. à
champ plus 6lev6,
a moins que larigidite dielectrique
soit insuffisante(cas
de certains(Zn, Cd)S/Mn, In) ;
(j )
Cesdiagrammes
ont ete effectues par M. Bachet auLaboratoire de
Mineralogie
et deCristallographie
de laFacult6 des Sciences de Paris.
Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphys:019670028010083900
840
- une illumination
fugace
parapplication
d’unchamp electrique (effet
Gudden et Pohl[17])
oud’infrarouge [18]
auluminophore prealablement excite
surtout a bassetemperature ;
- un effet
photodiélectrique (P.D.E.) important (la
constantedielectrique peut tripler) [19, 24].
Lois du renforcement. -
J’ai propose [20, 17]
uneloi
analogue
a celle de l’électroluminescence :Si
Lo
est laphotoluminance
sanschamp
et L laluminance renforcee par
F application
d’une tension V :10 a est nul si le
champ
estcontinu;
il est maximumpour une
frequence
de 12 a 30Hz;
au-dessus de 100Hz,
a N v-n avec n =1/2
a latemperature
FIG. 2. - Renforcement en fonction de la
f requence
a diverses
temperatures
sous excitation X.FIG. 3. - Photoluminescence
(Lo)
et limite de laphoto-
luminescence renfore6e
(Lo
+a)
en fonction de l’inten- site d’excitation en rayons X.ambiante et tendant vers 1
quand
latemperature
diminue
( fig. 2).
A 1 500
Hz, allo
estdeja
10 foisplus
faiblequ’a
50 Hz.
b est
independant
de lafrequence
a toutetemp6ra-
ture
[9] (comme B
enE.L.).
20 a, allo
et b[9]
croissent avec l’intensit6 d’irra- diationJ.
On doit noter que
1’emploi
desparametres a
et bsimplifie
notablement 1’6tude de l’influence de l’inten- site d’excitation. Leparametre
p =LILO pris
pourune valeur donnee de la tension
peut
en effetpresenter
une variation non monotone due au role
antagoniste
de aet b.
Lo
+ a a tendance a etreproportionnel
a l’intensit6d’excitation,
alors queLo
est souvent sublineaire( fig. 3).
FIG. 4. - Renforcement en fonction de la tension a diverses
temperatures
(excitation
X ; v = 70Hz) (Zn, Cd)S/(Mn, Cl).
30 Dans les
produits
a forte teneur enCdS, Lo
d6croit de
faqon
monotonedepuis
77OK,
maisLo + a
reste constant
jusqu’a
latemperature
ambiante pourles
produits
a fort renforcement et auxfrequences efficaces; b
augmentequand
T diminue( fcg. 4) ;
lathermoluminescence est faible.
FIG. 5. - Renforcement en fonction de la
temperature
àdiverses tensions et luminance limite
Lo
+ a(excita-
tion X ; v = 70
Hz) ZnS/(Mn, Cl).
Dans les
produits
a moindre teneur en CdS(0
a20
%),
la variation deLo
estplus compliquee ( fig.
5et
[21]); Lo
decroit au-dessus de 77OK,
passe par un minimumpuis
vers unmaximum,
parexemple
entre120 oK et 160 OK pour un
ZnS/Mn;
lecomportement
de b reflète celui deLo;
par contre,Lo
+ a est encoreconstant entre 77 OK et 170
°K;
dans cesproduits,
lathermoluminescence est nettement
plus importante.
La luminance etudiee est celle de la bande caract6-
ristique
dumanganese
vers 5 800A
dont la formereste
inchang6e
par lechamp.
Dans lesproduits
afaible teneur en CdS et en Mn
(10-4 gig
parexemple),
on observe aussi la bande de self-activation bleue
qui
est eteinte par Ie
champ.
Onpeut
dans ce casparler
de 1’influence du
champ
sur lacompetition
entre lescentres a emission bleue et
orangee.
Dans Ie casplus general,
ils’agit
decompetition
entre la bandeorangee
et les recombinaisons non radiatives. I1 faut en effet exclure
l’augmentation
du nombre total de recombi- naisons par Iechamp :
- l’excitation des centres ne peut se
produire qu’a
deschamps
nettementplus
eleves(ceux
de1’E.L.) ;
- la constance de
L,
+ a dans unlarge
do-maine de
temperature
est bien lecomportement
attendu si lechamp
elimine totalement(a
lalimite)
les recombinaisons non radiatives
agissant
dans cedomaine.
On
peut
penser a une action directe duchamp
surles centres de recombinaisons non
radiatives,
parexemple
par ionisation par choc du centre excite(enl6vement
soit d’un electron d’un niveauproche
dela B.C.
[9],
soit d’un trou situe dans un niveauproche
de la
B.V.).
Le
parallelisme
entre renforcement par Iechamp
et par
1’infrarouge
nous am6ne a exclure ce m6-canisme :
- le spectre d’excitation I.R. du renforcement dans les
(Zn, Cd)S/Mn
estidentique
a celui de 1’extinction dans les sulfures actives auCu;
on retrouve le memespectre
pour la stimulation et levidage
despieges
observes en thermoluminescence ou en
phosphores-
cence ; a moins de coincidence accidentelle de
niveaux,
les
photons
de0,9
eV et1,5
eV nepeuvent
a la fois faire passer un trou du cuivre dans laB.V.,
vider lespieges
et boucher un centre de recombinaison nonradiative
qui
existerait dans lesZnS/Mn
et pas dans lesZnS/Cu;
-
d’apres
lacomparaison
entre le b en E.R. etle B en
E.L.,
les niveaux atteints par lechamp
nepeuvent
pas etre distants deplus
de0,3
eV d’unebande;
ils sont donc différents des niveauxI.R.;
pourtant,
la luminance renforcee par 1’action simul- tanee duchamp
et de l’I.R. tend vers la meme limiteLo
+ aqu’avec
lechamp seul,
cequi impliquerait
l’identit6 des centres non radiatifs atteints par l’I.R.
et le
champ;
il y a donc contradiction. Deplus,
si cesont bien les memes
produits qui presentent
le renfor-cement par le
champ
et parl’I.R.,
desproduits
tr6ssensibles au
champ peuvent
etre peu sensibles a l’I.R. etinversement,
cequi
exclut l’identit6 descentres.
Nous proposons donc ici un mod6le different base
sur 1’influence du nombre de trous
disponibles
sur lacin6tique
de recombinaison par l’interm6diaire de deux centres, l’unradiatif,
1’autre non radiatif. Le nombre de trousdisponibles
serait influenc6 par 1’6tat deremplissage
depieges
a trousqui peuvent
etre detypes
différents.Compdtition
entre deux centres de recombinaison( fig. 6).
- Considerons un semi-conducteurayant
deuxcentres de recombinaison -4Y et Y. Soit M et L le nombre de ces centres, m et I celui des centres
pleins,
n
et p
le nombre d’electrons et de trouspresents
dansla B.C. et la B.V.
842
FIG. 6. - Mod6le a deux centres.
Sous une excitation cr6ant
J paires
d’electrons parseconde,
onpeut
6crire :a,
P, y, 8
sont des coefficients peudependants
dela
temperature
etproportionnels
aux sections efficaces de recombinaison des centres vides pour les electronset des centres
pleins
pour les trous.N,
etNv
sont les nombres de niveauxequivalents
dela B.C. et de la
B.V., E2
etE1
lesprofondeurs
ther-miques
des centres M et L parrapport
a la B.C. et la B.V. La conservation de lacharge
peut s’ecrire :Cette
equation
permet desupprimer
une des quatreequations
de recombinaison(3-6).
Nous cherchons a calculer Ie
rapport
W des re- combinaisonsayant
lieu par l’interm6diaire des cen- tres M et L :Si T est assez eleve pour que M soit en
6quilibre thermique
avec la B.C. et L avec la B.V. :et est
independant
deJ
et de K.A T moins
6lev6e,
oc’ ou 8’ devientnegligeable,
parexemple
a’ siEl E2 ;
on a alors :avec
I1 faut conserver la seule branche pour
laquelle
n >0, p
> 0(on
a alorsautomatiquement
0 m Met
0 / L).
Influence de la constante de neutralitd K. - W est
une fonction croissante de K si A > 0
( fig. 7),
decrois-sante si A 0.
FiG. 7. - Rendement radiatif du modele a deux centres.
Cas des
temperatures
moyennes.Dans les
composes
a bande interdite relativementlarge,
il est difficile d’introduire des donneurs sansintroduire des
accepteurs (theorie
de lacompensation
de
charge).
Onprend
alorsgeneralement
L - M etL >> n,
d’ou K - 0[22],
cequi
donne d’ailleursune
equation plus simple.
Cette
approximation
est en defaut si Ie semi-conducteur contient une troisi6me
impurete
Dqui
fonctionne
plus
enpiège qu’en
centre de recombinai- son ; si D est undonneur, K -
L - M - Dquand
D est
plein :
’- il est ainsi
possible
de rendrecompte
du role depoison
de la luminescence de certainesimpuretes
sansnecessairement
postuler qu’elles
sont elles-memes lesiege
de transitions nonradiatives;
- un tel
piège
n’estplein qu’a
bassetemperature ;
on observe donc une variation de K en fonction de la
temperature
et donc deW ;
on voit donc que 1’exis-tence de
pieges
peut avoir une influence sur la lumi-nescence en
regime permanent.
Ce m6canismeexpli- querait
la variation non monotone deLo
dans lesproduits
a faible teneur en CdS( fig. 5) ;
- 1’action de
l’infrarouge s’explique
bien par la liberation de trouspieges
dans des niveauxproches
dela
B.V.;
- Ie
champ electrique peut
aussid6pi6ger
destrous avec, de
plus,
diffusion des trous d’uneregion
dans 1’autre.
Mais remarquons que la variation de K a une influence d’autant
plus grande
quecx8/py
estplus
different de
1;
c’estpourquoi
on a dessine sur lafigure
7 un niveau Mproche
de la B.C.( oc y)
etun niveau L
proche
de la B.V.(p 8).
Le niveau L serait Ie centre de recombinaison non
radiative,
le niveau M serait lie aumanganese.
Si dans
ZnS/Cu
le niveau L est lememe,
M et Lseraient
proches
tous deux de laB.V., A
seraitplus
faible et 1’extinction relativement moins
importante
que le renforcement dans
ZnS/Mn (il
estprobable
que 1’entrainement vers les centres de recombinaison
non radiatifs de la surface
joue
aussi un role dans1’extinction,
cequi represente
un mecanisme tr6sdifferent).
Augmentation
de K sous l’influence d’unchamp électrique.
- Les sulfures etudiespresentent
une forteinhomog6n6it6
dechamp
comme le prouve 1’existence d’E.L.Dans
[23] j’ai
discute les diverses theories de I’E.L.et retenu un modele base sur l’ionisation par chocs
avec des electrons chauds en ce
qui
concerne lesulfure de Zn.
Dans les memes zones de
champ fort,
pour des tensions moins6lev6es,
l’ionisation de centres moinsprofonds peut
avoir lieu. Les trous crees par l’irradia- tion dans tout legrain
seraientpieges
surtout dansles zones de
champ
fort(barri6res), puis depieges
par lechamp;
ils rediffuseraient alors dans tout legrain, thermiquement
atemperature
ordinaire(variation
enfrequence
env-1/2), electriquement
a bassetemp6ra-
ture
(renforcement
env-1).
Sous
irradiation,
mais sanschamp applique,
laconstante de neutralite K dans la
majeure partie
dugrain
estKio qui
diminue avec l’intensit6 d’irradiation parce que le nombre de trouspieges augmente.
Lechamp applique peut
a la limite vidercompl6tement
la barrière de ces trous et meme
plus complètement
qu’a l’équilibre thermique
sans irradiation. On peut 6crire que, dans le volume :en
employant
la meme fonction pour l’ionisation despieges
que pour l’ionisation des centres radiatifs enE.L. dans (1).
f (v)
tientcompte
de la diffusion des trous et de lapolarisation
interne et seraitproche
de 1 pourv = 50 Hz.
En lin6arisant
W/(W + 1)
entreK Ja
etKoo :
correspondant
a la loiexperimentale
avecLoo
serait tresproche
de la luminance pour un rende-ment maximum et donc peu
dependant
de latemp6-
rature et presque
proportionnel
aJ.
I1 y a accord entre le modele et la
plupart
des faitsexperimentaux :
- diminution de
Lo/ J quand J
augmente;- diminution de
Lo quand
T augmente, mais avecune loi différente de 1’extinction
thermique
ene-E/kT,
,due a l’influence de la
temperature
surplusieurs
termes de
1’equation (9);
- existence du
renforcement ;
- loi
proche
de L =Lo
+ a exp(- blil V) ;
- variation de
LILO
enfrequence ;
-
augmentation
deLILO
avec T et avecJ;
- constance de
Lo
+ a dans un certain domaine detemperature
ou la luminance renforcee a alors l’intensit6 d’un bonluminophore (Zn, Cd)S/Ag
ouCu;
-
proportionnalite
deLo
+ a aJ;
- variations non monotones de
Lo
etL/Lo
avec latemperature
aux alentours d’un fortpic
de thermo-luminescence ;
- effet de
fatigue :
al’équilibre thermique
K N
Koo, puis
sous irradiation des trousmigrent
versla barriere et
K -+KJo;
on observe bien une dimi- nution de la luminance avec le temps(opposee
aucomportement
desZnS/Cu
ouAg);
- effet de memoire du
champ electrique
da a lalenteur du retour a
l’équilibre thermique.
On
peut
aussiexpliquer
1’allure des effets transitoires a 1’etablissement et a la coupure duchamp pendant
1’excitation.
Remerciements. - Ce travail a ete effectu6 avec
1’aide de la
Delegation
Generale a la RechercheScientifique
etTechnique (Comite
Conversion desEnergies).
Il doitegalement beaucoup
aux conseils de M. Ie ProfesseurJ.
Mattler et a sa bienveillance.Manuscrit requ le 22 mars 1967.
844
BIBLIOGRAPHIE
[1]
DESTRIAU(M.),
C. R. Acad. Sc. Paris, 1954, 238,2298.
[2]
DESTRIAU(G.),
MATTLER(J.),
DESTRIAU(M.)
et GUMLICH(H. E.), J.
Electrochem. Soc., 1955, 102, 682.[3]
MATTLER(J.), J. Physique
Rad., 1956, 17, 758.[4]
COCHE(A.)
et HENCK(R.), J. Physique
Rad., 1964, 25, 731.[5] JAFFE (P. M.), J.
Electrochem. Soc., 1959, 106, 667.[6]
GOBRECHT(H.)
et GUMLICH(H. E.), J. Physique
Rad., 1956, 17, 754.[7]
GUMLICH(H. E.)
et MARTI(C.),
Z. Naturforsch., 1964, 19 a, 1021.[8]
WENDEL(G.),
Monatsber. Deutsch, Akad. Wiss., Berlin, 1961, 3, 266.[9]
MARTI(C.),
ActaPhysica
Polonica, 1964, XXIV, 727.[10]
CUSANO(D. A),
Phys. Rev., 1955, 98, 546.[11]
CUSANO(D. A.)
et WILLIAMS(F. E.), J. Physique
Rad., 1956, 17, 742.[12]
THORNTON, Conf.État
Solide, Bruxelles,juin
1958, Acad. Press, 1960, p. 602.[13]
PINGOT(F.),
C. R. Acad. Sc. Paris, 1959, 249, 248.[14]
GOBRECHT(H.),
GUMLICH(H. E.)
et BRUCH(Zum.),
Z.
Physik,
1961, 162, 169.[15]
GEOFFROY(A.)
et MATTLER(J.), Symposium
sur la Luminescence, Munich, 1965(Karl Thiemig,
Munich, 1966, p.369).
[16]
KRAMER(B.),
TURNER(A.)
et KALLMANN(H.),
idem, p. 449.[17]
MARTI(C.),
idem, p. 93.[18]
GEOFFROY(A.),
Communicationprivée.
[19]
MARTI(C.)
et MATTLER(J.),
International Confe-rence on Luminescence, août 1966,
Budapest.
[20]
MARTI(C.)
et SENNEVILLE(M.),
C. R. Acad. Sc.Paris, 1963, 256, 3448.
[21]
COCHE(A.)
et HENCK(R.), J. Physique,
1964, 25, 731.[22]
KLEIN(W.),
Thèse Freie Univ., Berlin, 1962.[23]
MARTI(C.), Thèse,
Paris, 1966, numéro d’ordre auC.N.R.S. : A.O.1076.