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Première cible Réduire de moitié la proportion de la population dont le revenu est inférieur à 1 dollar par jour

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(1)

L

POUR LE DÉVELOPPEMENT

Dans les années 1990, l’extrême pauvreté a reculé dans une grande partie de l’Asie, lentement fléchi en Amérique Latine, peu bougé en Afrique du Nord et en Asie Occidentale, et s’est aggravée pour régresser ensuite dans les économies en transition. Mais en Afrique Subsaharienne, qui connaissait déjà le taux de pau- vreté le plus élevé du monde, la situation s’est dégradée encore et les pauvres sont de plus en plus

pauvres. 0 10 20 30 40 50

Pays en transition de l'Europe du Sud-Est Afrique du Nord et Asie Occidentale CEI Amérique Latine et Caraïbes Asie du Sud-Est et Océanie Asie Orientale Asie du Sud

Afrique Subsaharienne 44,6

39,4 46,4 29,9

16,6 33,0

10,2 19,6

9,511,3 0,4 5,3

2,2 2,7 0,22,0 1,7

1990 2001 2015 cible

É LIMINER LEXTRÊME PAUVRETÉ ET LA FAIM

1

Proportion de la population disposant de moins de 1 dollar par jour, 1990 et 2001 (en %)

Première cible Réduire de moitié la proportion de la population dont le revenu est inférieur à 1 dollar par jour

Deuxième cible Réduire de moitié la proportion de la population qui souffre de la faim

La lutte contre la faim a aussi fait des progrès, mais la lenteur du développement agricole combinée à l’accroissement démographique s’est traduite par des reculs dans certaines régions.

0 10 20 30 40

Afrique du Nord Asie OccidentaIe Amérique Latine et Caraïbes Asie Orientale Asie du Sud-Est Asie du Sud Afrique

Subsaharienne 33 36

22 25 13

11 18 16 13 10 7

10 4 4 1,7

1990-92 2000-02 2015 cible

Proportion de population sous-alimentée 1990-1992 et 2000-2002 (en %)

En 2000, les 191 États membres des Nations unies ont convenu de huit objectifs à atteindre en 2015. Ces

objectifs constituent un schéma direc-

teur pour l’avènement d’un monde

meilleur à l’aube de ce XXI

ème

siècle.

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Cible Eliminer les disparités entre les sexes

dans l’enseignement primaire et secondaire pour 2005, si possible, et à tous les niveaux de l’enseignement en 2015 au plus tard Cible Donner à tous les enfants, garçons et filles, partout dans le monde,

les moyens d’achever un cycle complet d’études primaires

A SSURER LÉDUCATION PRIMAIRE POUR TOUS

Taux net d’inscription dans les écoles primaires 1990-1991 et 2001-2002 (en %)

0 20 40 60 80 100

Amérique Latine et Caraïbes Asie Orientale CEI, Asie Afrique du Nord Asie du Sud-Est CEI, Europe Asie Occidentale Asie du Sud Océanie

Afrique Subsaharienne 54

62 7476

7379

8183

91 88

9192

82 92

85 94

9597

86 96 1990-91 2001-02

42

36 5

5 433 3

Afrique Subsaharienne Asie du Sud Asie Occidentale Asie du Sud-Estt Asie Orientale

Amérique Latine et Caraïbes Régions développées

Autres régions en développement

P ROMOUVOIR LÉGALITÉ DES SEXES

ET L ’ AUTONOMISATION DES FEMMES

Lentement mais sûrement, l’écart entre les sexes se comble au niveau des inscrip- tions à l’école primaire dans le monde en développement. Cette disparité reste cepen-

2

3

Répartition par région des enfants d’âge scolaire non scolarisés, 2001 (en %) Dans cinq régions, 90 % des enfants au

moins fréquentent l’école primaire, même s’il est parfois difficile de maintenir ce niveau de scolarisation et d’atteindre les quelques enfants non scolarisés. En Afrique Subsaharienne, moins des deux tiers des enfants vont à l’école primaire.

D’autres régions, dont l’Asie du Sud et l’Océanie, ont encore beaucoup de che- min à faire. Là comme ailleurs, la politique de scolarisation doit s’accompagner d’un effort tendant à maintenir les enfants à l’école et à dispenser un enseignement de qualité.

dant grave en Asie du Sud, en Afrique Subsaharienne et en Asie Occidentale.

Dans presque toutes les régions en développement, les femmes sont moins

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hommes à avoir un emploi salarié, et encore, elles sont souvent relé- guées dans des travaux précaires et mal payés.

Les progrès sont indé- niables, mais les femmes n’en sont pas encore à l’égalité de représen- tation dans les instances les plus élevées du gou- vernement, puisqu’elles n’occupent que 16 % des sièges parlementai- res dans le monde.

Cible Réduire de deux tiers le taux de mortalité des enfants de moins de 5 ans

dans l’enseignement primaire 1990-1991 et 2001-2002 (filles/100 garçons)

0 20 40 60 80 100

Asie Orientale CEI, Europe CEI, Asie Amérique Latine et Caraïbes Asie du Sud-Est Océanie Afrique du Nord Asie Occidentale Afrique Subsaharienne

Asie du Sud 76

85 8386

89 93 83 82

9093 9697

9898

1990-91 2001-02

9899 99100 93 100

R ÉDUIRE LA MORTALITÉ DES ENFANTS

DE MOINS DE 5 ANS

Les taux de mortalité des enfants de moins de 5 ans sont en baisse, mais ils ne baissent pas assez vite. Il meurt tous les ans 1 million d’en- fants (30 000 par jour) pour des raisons que l’on aurait pu éviter ou à cause de maladies que l’on aurait pu soigner.

Le plus souvent, il aurait suffi d’élargir les pro- grammes qui proposent des solutions simples et bon marché et qui sont déjà en place.

Taux de mortalité des moins de 5 ans pour 1 000 naissances vivantes, 1990 et 2003

0 50 100 150 200

CEI, Europe Amérique Latine et Caraïbes Asie Orientale Afrique du Nord Asie du Sud-Est Asie Occidentale Océanie CEI, Asie Asie du Sud Afrique

Subsaharienne 172185

90 126

78 77

83 86 6068

78 46 38 87 3748 32 54 21 21

1990 2003 2015 cible

4

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C OMBATTRE LE VIH / SIDA ,

LE PALUDISME ET D ’ AUTRES MALADIES

Première cible Enrayer et commencer à faire reculer l’épidémie de VIH/sida

Le sida est devenu la première

cause de décès prématurés en Afri- que Subsaharienne, la quatrième dans le monde. Dans les pays européens de la Communauté d’États indépen- dants (CEI) et dans certains pays d’Asie, le VIH se propage à un rythme alarmant. Les nouvelles thérapies pro- longent la vie, mais on ne connaît encore aucun remède au sida et il faut intensifier l’action préventive

dans toutes les régions du monde. 1990 1992 1994 1996 1998 2000 2002 2004

Prévalence du VIH en Afrique Subsaharienne (en %)

Prévalence du VIH dans les régions en développement (en %) Nombre annuel de décès causés par le sida en Afrique Subsaharienne (en millions) 10

8 6 4 2 0

2,5 2,0 1,5 1,0 0,5

0,0

Pourcentage d'adultes (15-49 ans) touchés par le VIH Nombre annuel de décès causés par le sida (en millions)

L’épidémie du VIH/sida 1990-2004

5 A LA MÉLIORER SANTÉ MATERNELLE

Cible Réduire des trois quarts le taux de mortalité maternelle

0 100 200 300 400 500 600 700 800 900 1000

Asie Orientale CEI Afrique du Nord Amérique Latine et Caraïbes Asie Occidentale Asie du Sud-Est Océanie Asie du Sud

Afrique Subsaharienne 920

540 240

210 190

130 68 55

190

Plus d’un demi million de femmes meurent chaque année pendant la grossesse ou l’accouche- ment ; 20 fois plus sont victimes de lésions ou d’invalidités. Des progrès ont été réalisés en matière de mortalité maternelle dans les régions en développement, mais non dans les pays où la procréation est la plus risquée.

Taux de mortalité maternelle, 2000 (décès/100 000 naissances vivantes)

6

Deuxième cible Enrayer le paludisme et d’autres maladies graves et commencer à inverser la tendance actuelle

Le paludisme et la tuberculose tuent

ensemble presque autant d’êtres humains que le sida et épuisent les économies nationales. C’est l’Afrique Subsaharienne, où redoublent pourtant les efforts de prévention et de traitement, qui enregistre

90 % des décès dus au paludisme. La tuberculose est en hausse, en partie en conséquence du VIH/sida, mais un nouveau protocole international de détection et de traitement semble pro- metteur.

(5)

1990 et 2003 (hors VIH séropositifs)

0 50 100 150 200 250 300

Afrique du Nord Asie Occidentale Amérique Latine et Caraïbes CEI, Europe Asie Orientale CEI, Asie Océanie Asie du Sud Asie du Sud-Est Afrique

Subsaharienne 142 274

235248 168

168 171

204

59 114

103117

46 100

63 99 5260 5059

1990 2003

par zone géographique

A SSURER UN ENVIRONNEMENT DURABLE

Première cible Intégrer les principes du développement durable dans les politiques et les programmes nationaux et inverser la tendance actuelle à la déperdition des ressources environnementales

Proportion des surfaces couvertes par des forêts 1990 et 2000 (en %)

0 20 40 60 80

Océanie Asie du Sud-Est Amérique Latine et Caraïbes Afrique Subsaharienne Régions développées Asie Orientale Asie du Sud Asie Occidentale Afrique du Nord 1

3 1

13 3

13 15

17

29 27

50 48

54 49

68 66 1990

2000

26 26

Monde Régions développées CEI Régions en développement

1,7

11,3

12,6

4,1 2,1

7,7

12,6

3,9

1990 2002

0 3 6 9 12 15

Émissions de CO2 par habitant 1990 et 2002 (en tonnes)

7

La plupart des pays sont attachés aux principes du développement durable, mais cela n’a pas permis d’avancer suffi- samment pour inverser la tendance et l’épuisement des ressources naturelles.

Pour atteindre cet objectif, il faudra

être plus attentif à la condition des pauvres, dont la subsistance quotidienne est souvent directement liée aux res- sources du milieu, et porter la coopé- ration mondiale à un niveau sans pré- cédent.

(6)

L’aide publique et les dons charitables privés des pays développés sont la prin- cipale source extérieure de financement des pays les plus pauvres. Pour les pays en développement à revenu moyen, ce sont les échanges commerciaux ; l’inves- tissement direct étranger privé vient chez eux en deuxième place, mais il est en partie amputé par les bénéfices rapatriés dans le pays d’origine des entreprises. Les fonds que les migrants envoient à leurs familles ont atteint 34 milliards de dollars en 2000 et sont une source exté- rieure de financement de plus en plus importante pour plusieurs pays en déve- loppement.

M ETTRE EN PLACE UN PARTENARIAT MONDIAL

POUR LE DÉVELOPPEMENT

Recettes et versements en devises, moyenne des pays en développement, 2002-2003

(en milliards de dollars)

8

0 20 40 60 80 100

CEI Afrique du Nord Amérique Latine et Caraïbes Asie Occidentale Asie du Sud Asie du Sud-Est Asie Orientale Afrique Subsaharienne

Océanie 51

58 52

78 49

72 73

79 71

84 83 88 83

89 88 90 1990 2002

92 93

Proportion de la population ayant accès à une source d’eau potable aménagée 1990 et 2002 (en %)

Deuxième cible Réduire de moitié le pourcentage de la population

qui n’a pas accès de façon durable à un approvisionnement en eau de boisson salubre et à des services d’assainissement de base

L’eau potable est devenue plus

accessible, mais la moitié des popula- tions du monde en développement n’ont toujours pas de toilettes, ni d’autres équipements sanitaires de base.

Troisième cible Réussir, d’ici à 2020, à améliorer sensiblement la vie d’au moins 100 millions d’habitants de taudis

Pays les moins avancés et autres pays à faible revenu

Pays à revenu moyen

Aide publique au développement Échanges

Dons charitables privés

Bénéfices des investissements étrangers rapatriés Intérêts de la dette à long terme

Autres flux du secteur privé Envois de fonds privés de travailleurs Investissements directs étrangers

-100 -50 0 50 100 150 200

Près de 1 milliard de personnes vivent dans des bidonvilles parce que l’accroissement de la population urbaine

va plus vite que l’aménagement des logements et la création d’emplois productifs.

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des pays sans littoral et des petits États insulaires en développement

Deuxième cible Poursuivre la mise en place d’un système commercial et financier multilatéral ouvert, réglementé, prévisible

et non discriminatoire

Les pays en développement ne peuvent

réaliser leur potentiel commercial inter- national pour accélérer leur croissance économique que si disparaissent les principaux obstacles que rencontrent

Troisième cible Traiter le problème de l’endettement des pays en développement dans son ensemble

Le programme d’allégement de la dette des pays les plus endettés a permis de réduire de 54 milliards de dollars les verse- ments que 27 d’entre eux auront à faire à l’avenir. Cela devrait ramener la proportion de ces versements à 10 % des recettes d’exportation. Mais même ainsi réduite, beaucoup des pays en question peuvent

Quatrième cible En coopération avec les pays en développement, formuler et appliquer des stratégies permettant aux jeunes

de trouver un travail décent et productif

En dépit des nombreux avantages de

la mondialisation, près de la moitié des 2,8 milliards de personnes qui travaillent dans le monde le font encore pour moins de 2 dollars par jour. Plus de 500 millions de Les pays développés ont décidé de réser- ver dans l’enveloppe de leur APD au moins 0,15 % ou 0,20 % de leur revenu national brut aux pays les moins avancés (PMA).

Cet objectif est loin d’être atteint. Les PMA reçoivent actuellement le tiers environ de tous les flux d’aide.

Les pays en développement sans litto- ral reçoivent plus d’aide eux aussi : 1,5 milliard de dollars supplémentaire depuis 1996, soit un total de près de 10 milliards de dollars en 2003. Les petits États insulaires en développement en ont reçu 1,7 milliard en 2003.

leurs exportations, notamment les droits et taxes à l’importation imposés par les pays développés et les subventions qu’ils accordent à leur agriculture natio- nale.

avoir du mal à régler leur dette. Tel est aussi le cas de certains pays à revenu moyen. Les ministres des Finances des sept grands pays industrialisés ont décidé, en février 2005, d’effacer partiellement, et même tota- lement, la dette extérieure des pays les plus pauvres : si leur décision est mise en œuvre, ce sera une avancée considérable.

ces travailleurs subsistent avec encore deux fois moins. Pour faire reculer la pauvreté, il faut créer à leur intention non seulement plus d’emplois, mais aussi plus d’emplois productifs.

(8)

Cinquième cible En coopération avec l’industrie pharmaceutique, rendre les médicaments essentiels disponibles et abordables

dans les pays en développement

Sixième cible En coopération avec le secteur privé, faire en sorte que les avantages des nouvelles technologies, en particulier dans le domaine de l’information et de la communication,

soient accordés à tous

Cette annexe a été élaborée par Françoise Coscuella de l’Association d’économie financière (AEF).

Les données, les graphiques et les commentaires sont tirés du rapport 2005, Objectifs du millénaire pour le développement, ONU, mai 2005.

L’accessibilité des médicaments essen- tiels fait des progrès dans les régions en développement grâce aux efforts des auto- rités nationales, des donateurs, du secteur privé et de divers autres partenaires. En 2001, l’Organisation mondiale du com- merce (OMC) a décidé que l’Accord TRIPS sur les aspects des droits de propriété intel- lectuelle qui touchent au commerce, qui, entre autres choses, protège les brevets pris sur les préparations médicamenteuses, serait interprété dans un sens favorable aux droits des pays en matière de santé publique et à l’accessibilité universelle des médica- ments. Cette innovation a été suivie en 2003 par une autre décision du conseil général de la même organisation assouplis- sant les restrictions imposées à l’importa-

tion de médicaments génériques dans les pays les plus pauvres destinés à enrayer les épidémies « onéreuses », comme le sida, le paludisme et la tuberculose.

En 2004, le nombre de personnes rece- vant un traitement antirétroviral contre le VIH et le sida a doublé en Afrique Subsaharienne et en Asie. Mais il y en a 6 millions d’autres, pour les trois quarts en Afrique Subsaharienne, qui ne peuvent profiter de cette thérapie. Bien que le prix des versions génériques des médicaments ait très nettement baissé, leur coût et la difficulté de se les procurer restent les han- dicaps les plus graves dans des situations caractérisées par la faiblesse des systèmes de santé et leur incapacité d’atteindre leur clientèle cible.

L’expansion de l’informatique dans le monde en développement est une tendance positive. L’accès aux technologies de l’information et de la communication est un mouvement qui s’amplifie depuis le milieu des années 1990 et reste un cata- lyseur du développement.

L’explosion du téléphone mobile a

considérablement élargi la couverture de la téléphonie dans le monde en développe- ment : on y comptait 25 lignes fixes ou télé- phones mobiles pour 100 habitants en 2003, contre 2 en 1991, mais 5 internautes seule- ment. Il y a encore beaucoup de chemin à parcourir pour franchir la fracture numé- rique qui sépare les riches et les pauvres.

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