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Introduction : Nouvelles perspectives pour le Plan de Saint-Gall

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Introduction : Nouvelles perspectives pour le Plan de

Saint-Gall

Carol Heitz

To cite this version:

Carol Heitz. Introduction : Nouvelles perspectives pour le Plan de Saint-Gall. Cahiers du CRATHMA (Centre de recherche sur l’Antiquité tardive et le haut Moyen Âge), Université de Paris X-Nanterre, 2000, Le rayonnement spirituel et culturel de l’abbaye de Saint-Gall, IX, pp.5-9. �hal-02910766�

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Introduction :

N ouvelles perspectives pour le Plan de Saint-Gall

p ar Carol HEITZ

P

arm i les d o cum ents d u h a u t M oyen Âge qui no u s sont p a rv e n u s le p lan conservé à la Stiftsbibliothek de Saint- Gall (ms. 1092,112 cm x 77 cm) est assurém ent l'u n des tém oins les p lus im portants u n véri­ table « K ronzeuge » - tém oin capital - d e la vie d 'u n e civitas sancta, d 'u n e sainte cité m o ­ nastique, il y a de cela près de 1200 ans.

Le plan dessiné vers 825 (j'adopte à d e s­ sein la date m oyenne chère à notre collègue, le docteur Vogler) ou 830 (si l'o n su it le raison­ n em ent de W. Jacobsen) est constitué de cinq pièces de parchem in cousues entre elles, que deux scribes, l'u n et l'au tre identifiés p ar leur « m ain », ont chargé de 341 inscriptions su r lesquelles nous reviendrons.

Trois siècles après q ue le p lan ait été dessiné, le verso d u parchem in fut utilisé po u r transcrire une Vie de saint M artin ; c'est peut- être à cette circonstance que no u s devons la conservation de ce précieux docum ent.

Le Plan de Saint-Gall n 'e st pas ce q u 'en langage d'architecte on app elle u n « dessin d'ex écu tion » : les m u rs y so n t sim plem ent figurés p ar le trait d'axe de leur assiette, alors que les bancs adossés à leur partie basse et le m obilier m eublant - sim ples élém ents im m o­ biliers « p ar destination » (j'use exprès de n o ­ tre langage de C om m ission des m onum ents historiques) - sont indiqués avec exactitude.

Le Plan de Saint-Gall est donc ce qu'il est convenu d 'a p p e le r u n « plan-type », c'est-à- d ire l'e x p re s s io n sc h é m a tiq u e d 'u n p ro ­ gram m e d e construction écrit ; on y trouve tous les b âtim ents nécessaires à la vie d 'u n e grande abbaye : aussi bien l'église que l'école des novices, la bibliothèque et l'infirm erie que les cuisines ; le poulailler, la porcherie, même u ne arm urerie !

D epuis la m ention de ce form idable do­ cum ent en 1604 p a r le professeur Canisius, recteur de l'u n iv ersité d 'In g o lstad t (dans ses

Spigrammata) e t p a r D o m M a b illo n (1683/1704), les études, descriptives comme conjecturales, se sont succédées ; aujourd'hui n ous nous tro u v o n s confrontés à une biblio­ g rap h ie riche au p o in t q u 'A d o lf Reinle Ta q u alifiée d e « u n ü b e rs c h a u b a r » (in d o m i­ nable) : rétive à toute investigation globale.

P ourtant certaines études ont plus parti­ culièrem ent jalonné ce véritable parcours du c o m b attan t ; celles, p a r exem ple, de Georg D ehio et de H ans R ein hard t (qui, dans les p la n s p ro p o sé s ré d u is e n t la lo n g u eu r de l'église abbatiale de 300' à 200') ; celles de Jo­ seph H echt ou de M gr Johannes Duft, préoc­ cupés p rincipalem ent p a r les aspects liturgi­

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6 Cahier IX d u C R A TH M A

ques d u Plan ; de Bernard Bischoff qui a étudié de près les aspects paléographiques d u docu­ m ent,1 de A dolf Reinle et de Thom as Puttfar- ken, aux prises avec les m esures inscrites dans le plan, m ais qui ne s'h arm o n isen t que p a r­ tiellem ent avec son tracé ; enfin, les études m étrologiques de nos collègues américains E. H orn et E. Bom qui ont systém atisé à outrance le p lan, s 'a p p u y a n t su r la sym bolique des nom bres inhérente certes à notre docum ent, m ais to u t de m êm e pas au degré de leurs ex­ trapolations2.

Leurs considérations ne se lim itent pas à ce seul asp ect n u m éro lo g iq u e - arithm olo- gique - du Plan, la volum ineuse étude consa­ crée en 1979 p a r H orn et B om à l'ensem ble m onastique projeté su r le parchem in, présente celui-ci com m e la copie d 'u n original élaboré aux synodes d'Inda-A ix-la-C hapelle (816/817) in s p iré s p a r s a in t B enoît d 'A n ia n e , le « refondateur » de l'o rd re bénédictin, et tenus sous son égide. Selon nos collègues am éri­ cains, il s'agirait d u m odèle universel - exem-

plum - visant à établir une certaine unité pour

le cadre de vie des m onastères de l'E m pire carolingien.

De m êm e que les décrets synodaux défi­ n isse n t u ne o b serv an ce u n iq u e d estin ée à

1 B. BISCHOFF : « D ie Entstehung des K losterplanes in palàographischer Sicht », dan s Studien zum St. Galler Kloster-

plan, 1962, p. 67-78.

2 W. BORN, E. BORN : The Plan of St. Gall. A Study of the

Architecture and Economy of, and Life in a Paradigmatic Carolingian Monastery, B erk eley/L os A n g e le s/L o n d o n , 1979.

s 'im p o s e r d a n s to u s les m o n a s tè re s d'obédience bénédictine, de m êm e - et en ac­ cord avec les décrets - le plan-type représente­ rait la disposition idéale des locaux, à laquelle devraient se plier - com pte tenu évidem m ent des données locales et des dispositions exis­ tan tes - les tra v a u x de construction, de re­ co n stru ctio n ou d 'a m é n a g e m e n t d an s une abbaye.

C ette in te rp ré ta tio n se fo n d e su r un term e du b illet dédicatoire fig u ran t to u t en h a u t d u P lan , ad ressé p a r l'e x p é d ite u r - probablem ent Heito, évêque de Bâle de 803 à 823 et abbé de Reichenau - à Gozbert, abbé de Saint-Gall. Le Plan y est désigné p ar la phrase : « H aec... de posicione officinarum paucis exempla- ta », d o n t le d ern ier m o t (au n eu tre pluriel) sem ble signifier « copiés » (H orn, Born, I, p. 9)3.

Le d essin d u Plan, p éch an t certes p ar une évidente fluidité d'exécution, « p eu rigou­ reux, selon n os collègues de Berkeley, con­ trastant avec la perfection achevée d u système architectural rep résen té », d ésig n erait donc

3 « Je t'en voie, très cher fils Gozbert, cette v u e de la d is­ p o sitio n des locaux, in d iq u ée som m airem ent, p ou r t'offrir la p o ssib ilité de d ép lo y er ta propre sagacité et de constater, en tout cas, ma bon ne vo lo n té em pressée. Je crois qu e tu n e pren­ dras p a s en m a u v a ise part m on intention d e te prouver ma so llicitu d e envers toi. A u reste, n e crois pas qu e j'ai m is au p oin t ces ind ication s d e crainte q u e v o u s a v ez b esoin d e nos instructions. Sois p lu tô t persuadé que je les ai d essin ées pour l'am our de D ieu, par am itié p ou r votre com m u nau té frater­ nelle. Porte-toi bien dan s le Christ et p en se à n o u s sans cesse. A m en ».

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In t r o d u c t i o n 7

une copie obtenue p a r sim ple décalque d 'u n original sous-jacent. B ernhard Bischoff a in ­ terp rété « p au cis ex em p lata » d 'u n e m êm e m an ière : « d ie se b e sc h e id en e K opie d er A nordnung der K lostergebàude ».

Or, il ne s'a g it n u llem en t d 'u n e copie,

mais d 'u n dessin original, exécuté à la Reiche- nau, com m e le p ro u v e n t les inscriptions p ro ­ venant toutes de ce m onastère ainsi que, plus tech n iq u em en t, les n o m b re u x im p acts de pointes de com pas ; et égalem ent des repentirs d ans la fo rm u latio n de p lu sie u rs élém ents im p o rtan ts des deux extrém ités d e l'église- abbatiale p a r exem ple, et en p articu lier d u contre-chevet occidental de l'église abbatiale, repris six fois p a r le dessinateur. Les récentes études de W erner Jacobsen, et de N orbert Sta- chura4 ne laissent pas de doute à ce propos.

Presque tous les auteurs (depuis Dopsch, 1916) ayant analysé le Plan on t conclu à une relation de cette œ u v re avec le m ouvem ent m o n a stiq u e p a tro n n é p a r s a in t B enoît d 'A n ian e, rem is à jo u r aux d eu x synodes d'A ix-la-C hapelle, l'u n te n u à l'au to m n e de l'année 816, l'au tre en été 817, qui ont abouti à la rédaction de 26, voire de 80 chapitres, édités

4 N . STACHURA : « Der Plan v o n St. G allen - ein Ori­ ginal ? » , dan s Architectura 8 (1978), p. 184-186. D u m êm e au­ teur : « Der Plan v o n St. Gallen : der W estabschluss der Klos- terkirche un d seine Varianten », dan s Architectura 10 (1980), p. 33-37. « D ie Entdeckung van Z eichenspuren auf d e m Plan von St. G allen u n d d a s Problem seiner U rschriftlichkeit », dan s

Bericht über die 31. Tagung fü r Ausgrabungswissenschaft und Bau- forschung (Koldevey-Cesellschaft, 14-18 Mai 1980), 1982, p. 58-63.

com m e Capitulare m onasticum re en d ate d u « VI idus julius » (10 Juillet 817)5.

Certaines de ces décisions, confirmées ou am endées p a r une d iète synodale convo­ quée p ar Louis le Pieux en Janvier 819, trahis­ sen t l'in flu e n c e des m ilie u x m o d érateu rs (« libé-raux ») d u Concile, d o n t semble avoir fait p artie l'évêque H eito, au teu r des Statuta M urbacensis - de l'abbaye de M urbach - rédi­ gés en 816 et annotés de sa m ain6.

E x am in an t les officinae, annexes con­ ventuelles d u Plan de Saint-Gall, on retrouve aisém ent les concordances - ou déviations - p a r ra p p o rt aux poncifs synodaux d'Aix. En voici trois exemples :

- A lors que la prem ière v ersion d u Capitulaire ne p rév o y ait p as de b ain s p o u r les moines bien portants, celle, définitive, de 817 revient su r cette décision. Le Plan d e Saint-Gall pré­ sente une installation balnéaire rudim entaire, m ais suffisante, p o u r les 77 occupants du dortoir.

- Les décisions de 816 n e préconisent pas de residence particulière p o u r l'abbé. Or, un logis abbatial confortable, do té m êm e d 'u n sola­ rium , figure su r le Plan, au N o rd de l'église abbatiale.

- Selon la version définitive d u capitulaire, il n 'y aura dans le m onastère q u 'u n e seule école p o u r les oblats. C 'est précisém ent cette

dispo-5 Cf. J. SEMMLER : « D ie B esch lü sse d e s Aachener K onzils im Jahre 816 », dan s Zeitschift fu r Kirchengeschichte 74 (1963), p. 15-82.

6 Chr. WILSDORF : « Le m anu scrit et l'auteur d es sta­ tuts d its d e M urbach », dans Revue d'Alsace 100 (1961), p. 102- 110.

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8 Ca h i e rIX d u C R A T H M A

sition qui a donné lieu à l'institution générale des scolae externae. M ais quelques m onastères av aien t eu an térieu rem en t deux écoles, une

externa et une interna, telles qu'elles sont p ro ­ posées p ar le Plan de Saint-Gall. Ici encore, on retrouve une réelle parenté avec le m onastère de la Reichenau, où, en 815, W alafrid Strabon enfant entra dans l'école des externes : celle-ci ne com ptait alors pas moins de quatre cents (!) élèves, tandis que la classe des internes n 'en com ptait que cent.

L 'analyse de l'édifice m ajeur d u Plan - l'église abbatiale fait aussi apparaître claire­ m en t ce qui p e u t être im p u té aux idées d u réform ateur d'A niane et ce qui en fait est d û à u ne tradition m onastique déjà solidem ent éta­ blie au com m encem ent d u IXe siècle. Il en est ainsi de la p o sitio n d u cloître au Sud de l'église abbatiale et de la taille véritablem ent m o n u m en tale (103 m ètres d e longueur) de celle-ci. La form e to u t à fait particulière d u chevet occidental, sim ilaire à celui de la cathé­ drale de Cologne érigée p a r l'évêque Hiltibal- de entre 780 et 800 (stade VI), est elle aussi tributaire de la tradition m onum entale en vo­ gue sous le règne de Charlem agne. La stricte m o d u la tio n q u a d ra n g u la ire , en rev an ch e, sem ble vouloir im iter celle de constructions p lus m odestes, appliquant avec soin le m odule c arré, com m e l'é g lise co n ciliaire d 'In d a - K o rn e lim ü n ste r, élev ée p a r sa in t B enoît d'A niane en personne, en 815 et 816.

La conception de l'église abbatiale révèle donc une véritable « co-existence » de données traditionnelles et d 'au tres plus « m odernes ». La position des nom breux autels, érigés p o u r

partie dans les bas-côtés, comme à l'abbaye de

C e n tu la /Saint-R iquier (790-799), ne fait que confirm er cette im pression. L 'identité de six au tels co llatérau x s u r h u it avec ceux de l'ab b a tia le d 'A n g ilb e rt, ne p e rm e t p as de d o u ter des influences « neustriennes » qui ont p u s'exercer su r le P lan de Saint-Gall, soit di­ rectem ent, soit p a r le tru ch em en t d u concile d'Aix.

Pour conclure cette trop brève introduc­ tion on p e u t donc affirm er que : le Plan de Saint-Gall est un p la n idéal, issu d 'u n e déjà longue tradition m onastique.

Les sources en sont m ultiples :

- d 'a b o rd la R eichenau elle-m êm e, véritable creuset de science et d e culture ;

- mais égalem ent les g ran ds centres religieux de N eustrie : Jum ièges, Saint-W andrille, Cen­ tu la / Saint-Riquier, p ro b ablem en t Corbie, et aussi d'A ustrasie (Metz).

- Enfin, le m o u v em en t de réform e de saint Benoît d'A nian e à égalem ent sa p a rt im p o r­ tante dans le Plan, bien que son influence ait sans d o u te été exagérée : déjà via l'A lsace, M arm outier - où saint Benoît fut abbé de 814 à 815, dix m ois d u r a n t - et M u rb a ch qui s'étaient placées sous l'autorité de Heito, autre personnage im p o rtant d u concile d'Aix.

Le Plan constitue en fait une œ uvre hy­ bride, située (comme les deux décennies allant de 810 à 830) à une croisée de chemins.

Puisant dans la trad itio n m onum entale proprem ent carolingienne, c'est-à-dire celle du tem ps de C harlem agne, le Plan sem ble satis­ faire en partie aux règles édictées à Aix, en 816 comme en 817. Il ap p o rte de plus des innova­ tions « rom aines » q ue le livre to u t récent de

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In t r o d u c t i o n 9

Jacobsen (qui les classe en deux m onum ents distincts) m et clairem ent en évidence7.

C ontrairem ent à ce que MM. H o rn et Born pensent, le Plan est bien u n docum ent original, élaboré à la R eichenau, très p ro b a ­ blem ent p ar H eito lui-m êm e, aidé de Régim- b ert, son bibliothécaire et archiviste, fu tu r évêque de Ratisbonne (m ort en 846).

C 'est égalem ent l'avis d 'A dalbert de Vo- güé qui, dans une étude p aru e en 1984 d ans la

Revue bénédictine, conclut ainsi son com m en­ taire d u billet d'envoi à G ozbert8 :

« N on seulem ent le billet à G ozbert ne p e u t servir à d ém o n trer que le Plan est une copie, m ais la ten u e d e cette dédicace - les d éclarations de m odestie ; proches d 'a u tre s lettres-préfaces ou p ré a m b u le s d 'o u v ra g e s littéraires - prouve que l'œ u v re a po u r au teu r H e ito e t lu i seu l. Il fa u t a b a n d o n n e r l'hypothèse d 'u n m odèle officiel, élaboré hors de la Reichenau. L 'original ne p e u t avoir été conçu et réalisé que p a r l'hom m e qui a com ­ posé sa dédicace ; et d an s lequel H. R. M eier

vo it p lu tô t « einen B efürw orter (défenseur) u n d nicht einen G egher (adversaire) d er ania- nisenen Em euerung ».

S'il n 'est pas un docum ent conciliaire of­ ficiel, le Plan de Saint-Gall constitue peut-être une sy n th èse post-conciliaire, élaborée p ar l'u n des hom m es influents d u concile, proba­ blem ent dès son retour dans sa paisible île du Lac de Constance.

En to u t cas, le Plan constitue le m iroir fidèle de la gestation qui se p ro d u it alors dans le m ilieu m onastique carolingien, partagé en­ tre le mos prior évoqué, a contrario, en 822 par Eigil, abbé d e Fulda, lors de l'im p lan tatio n

more romano, d u cloître de son abbaye9 - et les nouvelles m anières de vivre et de prier, plus strictes, p lu s repliées su r soi, en u n m ot plus intimes, que préconisait Benoît d'A niane.

Carol HEITZ

7 W. JACOBSEN \D er Klosterplan von St. Gallen und die

karolingische Architektur. Entwicklung und Wandel von Form und Bedeutung im friinkischen Kirchenbau zwischen 751 und 840, Ber­

lin, 1992. Ce livre récent se fon d e essen tiellem en t sur la thèse sou ten u e par Jacobsen en 1981 à l'u niversité d e M arburg ; il contien t égalem en t la q u in tessen ce d e s d iv erses étu d e s p u ­ b liées par l'auteur sur le Plan d e Saint-Gall, la cathédrale caro­ lin gien n e d e C ologne et la « R enaissance carolingien ne » en général.

8 A. DE VOGÜÉ : « Le Plan d e Saint-Gall - copie d'u n docum ent officiel ? U n e lecture d e la lettre à Gozbert », dan s

Revue bénédictine 94 (1984), p. 295-314.

9 C A N D ID U S : Vita Eigilis Fuldensis (prosaica), cap. 19,

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