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Naissance de l'économie palatiale au Levant méridional à l'âge du Bronze ancien.

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Academic year: 2021

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Pierre de Miroschedji

Naissance

de

récono

au

Levant

méridional

à

Pierre de Miroschedji (UMR ArScAn -

Du v illa g e à l'État)

C e t exposé poursuit les problém atiques formulées en janvier 2001 par J.-C. Margueron (2002) et P. Darcque (2002) dans le c a d re d e ce m êm e séminaire. Le point de vue a d o p té ici est c e p e n d a n t différent puisqu'on se situe, non pas au IIe millénaire e t dans un m onde - la M ésopotam ie - très urbanisé, où les relations économ iques é ta ie n t très développées, appuyées sur une bureaucratie d o n t les activités sont docum entées par des milliers d e tablettes ; mais un millénaire plus tô t e t en Palestine, un m onde alors sans écriture, généralem ent perçu com m e périphérique, d o n t on conteste parfois le c a ra c tè re urbanisé e t pour lequel on ignorait même, jusqu'à ces dernières années, l'existence d e constructions palatiales. Alors que les exposés précédents opposaient indications textuelles e t archéologiques, celui-ci m et d a v a n ta g e à l'épreuve la c a p a c ité d e l'arch é o lo g ie à révéler une économ ie palatiale.

Parmi les définitions de c e tte notion, on peut choisir com m e point de d é p a rt celle proposée par P. Darcque (2001 : 103), mais en y introduisant des modifications qui en précisent le sens e t la portée. Ainsi modifiée, la définition d e l'éco nom ie palatiale s'énonce com m e suit : « C 'est la gestion économ ique de to u t ou partie d 'u n territoire assez vaste par un groupe dom inant qui y d é tient le m onopole du pouvoir politique e t religieux. C ette gestion s'exerce à partir d 'u n édifice m onum ental d e plan com plexe. Ce groupe centralise un certain nom bre de richesses (production pastorales e t agricoles, au sens large du terme, matières premières, bien d e prestige) ; il organise des corvées e t distribue des rations alimentaires à une population d é p e n d a n te do n t l'a ctivité productrice est contrôlée. »

Pour identifier p a r I a rc h é o lo g ie c e ty p e p/g. ;. carte de localisation des sites mentionnés d'organisation palatiale en l'ab sence d e textes ou

d'objets explicites (par exem ple : scellements d e porte, d e jarres, de sacs ou d e paniers, qui sont rares ou absents au Levant a va n t le Bronze récent), il fa u t disposer d e témoins matériels qui im pliquent leur existence, c'est-à-dire d 'é difices m onum entaux e t d e structures d e stockage collectives. Au Levant, les constructions m onum entales d e typ e palatial n 'o n t pas d e plan stéréotypé co m m e en Crète minoenne, en G rèce m ycénienne ou en M ésopotam ie / Syrie au IIe millénaire ; aussi ne peuvent-elles être identifiées que g râ c e à leurs dimensions, leur m ode d e construction, e t aux particularités d e leur plan, notam m ent l'organisation des circulations. Q uant aux structures d e stockage collectives, elles sont souvent malaisées à reconnaître, du moins dans les palais, où il s'ag it d e salles polyvalentes sans plan spécifique.

Aux hautes époques

On ne connaît en Palestine aucune construction p alatiale jusque vers le milieu du IIIe millénaire a va n t notre ère. Il existe certes au Bronze ancien I e t II quelques constructions assez importantes, qui se distinguent nettem ent des habitations voisines, mais c e ne sont pas des palais stricto sensu (pour une discussion, voir Miroschedji 2000b : 694) ; on pe u t les définir com m e des maisons patriciennes, ou des « maisons d e pouvoir »

B E T H Y E R A H

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Rien n'indique non plus l'existence d 'u n grenier centralisé dans les établissements palestiniens d e ces hautes époques. Les structures de stockage sont alors soit des installations d e caractères domestiques (grandes jarres, silos), destinées à faire fa c e aux besoins d 'u n e maisonnée, soit des installations plus importantes, de ca ra ctè re co llectif (silos m açonnés d e 1,5 à 6 m de diamètre, parfois groupés), mais qui ne concernen t encore q u 'u n e petite fraction de la population, guère plus d e trois ou quatre maisons (Jasmin 1993 : 1-23).

L'avènem ent du Bronze ancien III, vers 2600, m arqué notam m ent par l'ap parition des greniers publics et des palais, représente ainsi un clivage im portant (Miroschedji 2000a).

Le grenier de Beth Yerah

Un exem ple incontestable d e grenier public a é té mis au jour à Beth Yerah en 1945-46 en contexte du Bronze ancien III (Mazar2001) (Fig. 2). Il s'agit d 'u n bâtim ent d e plan général trapézoïdal mesurant 41 x 31,25 m, soit 1200 m2, délimité par des murs d e 10 à 14 m d'épaisseur. L'espace central, auquel on a c c é d a it par un long corridor, éta it o c c u p é par une cour e t une cham bre barlongue. Neuf cercles d e 7 à 9 m de diamètre, co m p o rta n t chacun des murets d e partition orthogonaux, é ta ie n t am énagés dans l'épaisseur des murs. Ils ont é té identifiés d 'e m b lé e co m m e des silos e t com parés aux silos coniques représentés sur des bas-reliefs égyptiens, des sceaux-cylindres mésopotamiens e t des m aquettes égéennes ; on les a rapprochés aussi de constructions com parables mises au jour en G rèce continen tale à O rchom ène e t à Tyrinthe, où elles d a te n t d e l'Helladique ancien II C.

A. Mazar (2001) s'est livré à une é tude socio-économ ique détaillée d e c e grenier. Il a estimé sa c a p a c ité to ta le à 2250 mJ, soit 1790 tonnes d e blé, et conclu qu'e lle dépassait largem ent les besoins en grains annuels d e l'ensem ble de la population de Beth Yerah, évalués à près d e 1100 tonnes.

X

Fig. 2. Beth Yerah. Restitution du grenier m onum ental du Bronze ancien III (d'après Mazar 2001 : fig. 23.3)

L'intérêt de ces calculs - qui ne visent évidem m ent pas à donner une im age fidèle de la production vivrière à Beth Yerah au Bronze ancien III - est d e montrer que c e grenier m onum ental é ta it destiné à couvrir les besoins en grains de tous les habitants du site, e t pas seulement ceux d 'u n e partie d e ses habitants. On peut raisonnablem ent en déduire que l'on a affaire à une économ ie centralisée e t que l'autorité qui gérait le grenier contrôlait aussi tous les besoins du site en grains.

Le grenier d e Beth Yerah est contem porain - e t très co m p a ra b le au point d e vue des m éthodes de construction - de bâtim ents publics mis au jour à M égiddo e t à Yarmouth. Mais ces derniers sont des

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Pierre d e Miroschedji

Le palais B de Yarmouth

Généralités. Fouillé d e 1990 à 1999, le Palais B d e Tel Yarmouth (Fig. 3) fait partie d 'u n com plexe

m onum ental d'environ 1,5 hectare de superficie co m p re n a n t le palais proprem ent dit e t une série d'édifices d e nature encore indéterm inée (temples ? grenier public ?) répartis au sud-ouest. Jusqu'à présent, seul le Palais B a fa it l'o b je t de fouilles systématiques (Miroschedji 2000b).

La séquence stratigraphique du secteur révèle un quartier d 'h a b ita tio n (niveau B-3) volontairem ent arasé pour faire p la ce à deux palais successifs, B2 e t B1. Le Palais Bl, le plus récent, a été construit à la faveur d 'u n e opération d'urbanism e qui a concerné une gra n d e partie du site. Il o c c u p e une superficie de 6000 m2, n e ttem ent supérieure à celle des palais palestiniens e t mycéniens du 11- millénaire (dont les superficies é taient comprises entre 1700 à 4000 m2) e t à peine inférieure à celle d e palais crétois (de 7000 à 12800 m2) ou syriens du Ile millénaire (6500 à 7900 m2, le palais de Mari é ta n t exceptionnel a v e c une superficie d e 27000 m2). Sa construction a mobilisé des m éthodes d e p la n ific a tio n e t d e mesure p a rtic u liè re m e n t élaborées, caractéristiques d e l'arch itecture m onum entale (Miroschedji 2001).

L'analyse du plan e t du mobilier découve rt in situ perm ettent d e distinguer cinq zones dans le Palais Bl : 1) une zone officielle à l'est, constituée d 'u n e salle hypostyle (230 m 2), d 'u n e avant-cour, d 'u n e salle d e réception (75 m2) e t d 'u n e série d e chambres com m unicantes ; 2) une zone é conom iqu e au nord-est, représentée par une vingtaine d e magasins répartis autour d 'u n e cour intérieure ; 3) une zone dom estique au nord, a ve c notam m ent une cuisine ; 4) une zone résidentielle, qui a to ta le m e n t disparu mais d o n t on suppose qu'e lle se trouvait à l'éta ge, d o n t l'existence est suggérée par plusieurs observations ; 5) une grande cour au sud-ouest, qui o c c u p e presque la moitié de la superficie to ta le du palais, e t qui a pu servir à parquer des troupeaux. Avant-cour d e ré c e p tio n ® Pithos O Bassin <§> Jarre • Plat quadripode • Plat-assiette • Bol grossier Grande cour TEL YARMOUTH Palais B1

Fig. 3 - Tel Yarmouth, Palais B 1 : répartition des vases trouvés in situ. Le m obilier des loci hachurés restent à étudier.

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Les magasins. Au point de vue qui nous o c c u p e ici, la partie la plus intéressante du palais est la zone

d 'a c tiv ité économ ique, représentée par des magasins. Il s'ag it de pièces polyvalentes, sans plan ni am énagem ents particuliers, identifiables ta n tô t pa r leur mobilier, ta n tô t par leur localisation e t leur disposition.

On ignore quelles denrées y é ta ie n t stockées, les analyses (phytolites, micro-restes, m icro­ géom orphologie) é ta n t en cours. On peut seulement im aginer leur contenu à partir des textes du IIe millénaire, qui m entionnent des grains (céréales et légumineuses), d e l'huile, du vin, des aliments séchés, des textiles, des métaux, etc.

Les volumes stockés peuvent être estimés dans le cas des magasins où les denrées entreposées étaient conservées dans des vases, puisqu'on en connaît à la fois le nom bre et la co ntena nce. Ainsi, les 38 pithoi du magasin 1752 représentent plus d e 2850 litres, e t les pithoi, bassins e t jarres mis au jour dans les magasins com m unicants 1708+1783 environ 3825 litres. Ces volumes sont supérieurs ou com parables à ceux calculés pour les magasins sûrement palatiaux de la G rèce continentale (cf. Darcque 1996 : 96-97).

Les volumes stockés dans l'ensem ble des magasins du Palais B peuvent être ainsi évalués entre 25000 et 30000 litres. En a d m e tta n t (ce qui est peu probable ) qu'il s'agissait seulement d e grains, ces quantités pouvaient nourrir entre 125 e t 150 personnes p e n d a n t un an. Toutefois, com m e il est douteux que l'on ne stockait que des grains - la diversité des contenants (pithoi, bassins e t jarres diverses, sacs ou paniers) et les divers types de magasins im pliquent en e ffe t une variété de produits -, ces volumes sont probablem ent inférieurs aux besoins en grains des utilisateurs du palais. Ils im pliquent d o n c nécessairement l'existence à Tel Yarmouth d 'u n grenier co lle ctif analog ue à celui d e Beth Yerah.

On ne sait rien du m ode d'utilisation des magasins. Leur disposition im plique une possibilité de contrôle puisqu'une seule porte co m m a n d a it l'accè s à plusieurs magasins com m unicants. La distribution des nombreux pithoi e t autres vases d e stockage retrouvés en dehors des magasins, en particulier dans la salle hypostyle, indique que les denrées stockées dans les magasins ont fa it l'o b je t d e manipulations diverses, en fonction des besoins d e consom m ation intérieurs e t des approvisionnements d e l'extérieur.

Conclusion : mise en p la c e d e l'é co n o m ie palatiale. Ces observations suggèrent q u 'u n e organisation

palatiale s'est mise en p la c e à Tel Yarmouth dans la seconde moitié du Bronze ancien III, vers 2500-2400 avant notre ère. Le com plexe palatial com prenait le palais proprem ent dit et des constructions monumentales associées, d o n t la présence est avérée mais d o n t la nature dem eure incertaine. Le palais lui-même renfermait des réserves alimentaires supérieures aux besoins de ses habitants, qui ont d o n c pu servir à rémunérer les services d e dépendants. Il est difficile d'aller au-delà d e c e tte observation, d o n t le ca ra ctè re très général souligne com bien le m ode de fonctionnem ent d 'u n palais com m e celui-là dem eure conjectural.

Mais d'autres données doivent être prises en c o m p te pour en apprécier la signification. Le rôle central du palais se déd u it en e ffe t aussi d'observations archéologiques faites à l'échelle régionale (Miroschedji 2000a). Elles suggèrent, d 'u n e part, que des villages voisins de Tel Yarmouth ont été abandonnés au tournant du Bronze ancien il au Bronze ancien III ; d 'a u tre part, que les fortifications d'autres sites du sud-ouest de la Palestine ont é té dém antelées dans le courant du Bronze ancien III, tandis que Yarmouth d evena it le site majeur d e c e vaste territoire. Il semble d o n c bien y avoir corrélation entre les observations archéologiques faites à l'intérieur du site dans le palais lui-même, e t celles effectuées dans l'ensem ble d e la région ; elles im pliquent à c e tte é p o q u e l'instauration d 'u n e dom ination politique e t la mise en p la c e d 'u n e mainmise économ ique.

Le complexe monumental de Mégiddo

Connu depuis 70 ans, le palais d e M égiddo n 'a é té identifié sûrement com m e palais q u 'à la suite des fouilles d e Tel Yarmouth (Références e t discussion dans Miroschedji 2001 : 482-485). Il fait partie d 'u n vaste com plexe com p re n a n t un palais e t trois temples attenants. C 'est un édifice moins m onum ental que celui de Yarmouth, mais d e plan égalem en t com plexe, construit selon des techniques d e construction e t de planification com parable.

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Pierre d e Miroschedji

Conclusion

De c e rapide survol des données archéologiques co n ce rn a n t le Levant m éridional au III'’ millénaire, on pe u t tirer trois conclusions principales :

1°) La notion d 'é c o n o m ie palatiale, malgré les tentatives d 'e n donner une définition stricte, dem eure assez floue. Les situations qui prévalent au II* millénaire en Syrie (Mari), en Crète e t en G rèce co ntinen tale ne sont pas com parables entre elles e t encore moins com parables à celle d e la Palestine un millénaire plus tôt. Ainsi, les textes d e Mari révèlent l'im po rta nce du co m m e rce privé e t de l'initiative individuelle dans l'éco nom ie globale, le palais ne représentant finalem ent qu'un secteur (certes im portant) d e l'économ ie. Mais en Crète au Bronze m oyen e t en G rèce continentale au Bronze récent, il n 'y a pas d'in itiative privée. Et en Palestine au III* millénaire on ne saisit pas l'existence d'individus, seulement celle d e groupes lignagers ou tribaux.

2°) Les économ ies palatiales du II* millénaire reposent sur le fo n ctionn em ent d 'u n système de taxation en denrées alimentaires ou en biens d e consom m ation. Rien n'in dique q u 'u n tel système existait au III* millénaire. Il est plus prob a b le q u 'à c e tte é p o q u e la taxation consistait en l'exploitation d e la force de travail.

3°) La conclusion de J.-C. Margueron (2001 : 96) sur l'impossibilité pour l'arch éologie d e reconnaître un système palatial en l'absence de textes paraît exagérém ent pessimiste. L'exem ple d e Beth Yerah e t celui de Tel Yarmouth suggèrent que l'archéologie seule est c a p a b le , sans le secours des textes, d 'id entifier c e que l'on pe u t considérer com m e des « corrélats avérés » d e l'é co n o m ie palatiale. Les exemples analysés perm ettent de conclure à l'ap parition en Palestine au Bronze ancien III d 'u n e form e élém entaire d 'é c o n o m ie palatiale. Mais il est vrai que c e tte constatation reste très générale e t que l'on n 'a pas d'inform ations sur le m ode d e fo n ctionn em ent précis d e c e tte économ ie nouvelle.

Éléments bibliographiques

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D arcque P. 2002, Les économies palatiales égéennes, Cahiers des thèmes transversaux ArScAn II, p. 103-107.

Jasmin M. 1993. Installations de stockage e t structures sociales en Palestine à l'â g e du Bronze. Mémoire d e boursier de l'A ca d é m ie des Inscriptions et Belles-Lettres à l'École biblique et archéologique française de Jérusalem.

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Figure

Fig.  2.  Beth  Yerah.  Restitution du  grenier m onum ental du Bronze ancien III  (d'après Mazar 2001  :  fig
Fig.  3 -  Tel Yarmouth,  Palais B 1  : répartition des  vases trouvés in situ.

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