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LE NEUVIÈME CONGRÈS INTERNATIONAL DU CANCER

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Academic year: 2022

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LE NEUVIÈME CONGRÈS INTERNATIONAL

DU CANCER

La Revue des Deux Mondes publiera désormais, tous les deux mois, une nouvelle chronique : celle de la mé- decine. Elle sera assurée par Pierrt Bourget, chargé de l'information médicale à la Télévision française et à qui ses travaux de diffusion scientifique ont valu le prix Jansen que vient de lui décerner l'Académie de méde- cine. Son premier article, aujourd'hui, est consacré au problème du cancer sur lequel le récent congrès de To- kio, auquel il assistait, permet, maintenant, de faire le point.

insi donc, pendant une semaine, quatre mille médecins venus

-£ r m- de soixante-deux pays du monde ont occupé trois palaces de

la capitale nippone afin de faire le point sur l'une des plus ter- ribles maladies qui accablent l'homme, le cancer. Tout au long de vingt-cinq réunions, « tables rondes » et conférences quotidien- nes, entrecoupées de projections cinématographiques, ils ont dis- cuté 1 368 communications dont les résumés remplissent un vo- lume de 780 pages (il pèse 1 kilo, 280 grammes... Merci, je l'ai porté pendant neuf jours ! ) jetant à peine un coup d'ceil distrait à ces ravissants jardins japonais où, pendant la pause entre deux séances, des cortèges de jeunes mariés (l'époux en jaquette, la jeune femme portant robe et perruque traditionnelles) se faufilaient assez drôle- ment entre des groupes de virologues et de radiologues, dissertant dans toutes les langues du monde des particularités de l'acide désoxyribonucléique, du virus de Peyton Rous ou de la télécobal- thérapie !

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De tout cela, qu'est-il sorti ?

Seuls les profanes s'étonneront à la pensée que l'arme absolue contre le cancer, le « médicament-miracle » pour employer leur pimpant jargon, n'ait pas jailli de ces sept jours de travail. I l est difficile, au demeurant, de demander aux hommes de science de faire coïncider la date de leurs découvertes avec celle de la tenue d'un congrès, si important soit-il : rien de ce qui a été exposé à Tokyo ne constitue une totale nouveauté ; mais tout de ce qui a été dit indique nettement que la cancérologie moderne poursuit désormais des voies d'approche du problème cancéreux dont i l n'est pas hasardeux de dire qu'elles risquent de nous mener, et peut être plus tôt qu'on ne le croirait, à sa solution. E n cela, le Congrès de 1966 à Tokyo fut semblable à celui de Moscou quatre ans auparavant : un bilan dynamique de ce qui est, portant en lui la perspective encourageante de ce qui sera.

Nous limiterons cette étude à trois aspects particuliers offerts par le Congrès, trois secteurs de la cancérologie, admirablement définis par le grana cancérologue anglais Sir Alexander Haddow dans son « speech » de la cérémonie d'ouverture (1), prononcé dans un curieux monument occidentalo-shintoïste, le Budokan. Le premier a pour champ d'investigations les facteurs d'environne- ment susceptibles de favoriser l'apparition du cancer ; le second vise la chimiothérapie actuelle du cancer ; le troisième envisage,

« à long terme sans doute », la possibilité d'aborder le cancer

« dans les régions plus fondamentales concernant la nature de la cellule, sa structure, et les fonctions de ces acides nucléiques qui déterminent les propriétés de croissance de la cellule », ces der- nières phrases étant de la main même de Sir Alexander qui, au cours d'une longue conversation, avait tenu à me préciser par écrit sa pensée.

T 'environnement ? « Nous pouvons affirmer que 80 pour 100 des cancers sont probablement imputables à des facteurs d'environnement », a déclaré Sir Alexander. E n d'autres termes, huit fois sur dix, le cancer est déclenché par des facteurs externes : on ne peut certes pas considérer l'un quelconque de ces facteurs comme la cause du cancer, le primum movens de la transforma- tion d'une cellule saine en une cellule cancéreuse, mais on admet qu'il favorise le phénomène interne aboutissant à cette transforma- mation. Dès lors se dessine l'orientation des travaux exposés à

(1) Sir Alexander Haddow « Speech at the opening ceremony of the ninth international cancer congress », ronéoté, Tokyo 1966, 7 p.

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Tokyo : sur le plan préventif, i l convient de tenter d'éliminer de notre environnement quotidien ces facteurs externes mis en cause dans le processus de la cancérisation.

Quels sont-ils ? I l y a les facteurs de civilisation ; i l y a les facteurs naturels. Parmi les premiers, la pollution atmosphérique et l'abus du tabac ont été, une nouvelle fois, dénoncés par les spécialistes. Mais, là encore, entendons-nous bien : tous les gros fumeurs ne sont pas condamnés à mourir d'un cancer pulmo- naire, mais le risque d'être atteint un jour par le mal est plus élevé si l'on est grand fumeur. Reprenons la formule du professeur De- noix : « La corrélation entre l'habitude de fumer et l'apparition d'un cancer du poumon est probable ». Devant cette probabilité, comment réagit l'homme moderne ? Pour le savoir, j ' a i assisté pendant toute une matinée à la table ronde consacrée aux « tech- niques et résultats des campagnes contre le tabac », que présidait J. Wakefield, de Manchester. Ils sont assez décevants : ainsi, le Dr D. Horn (U.S.A). a indiqué que sur 48 millions de fumeurs questionnés aux Etats-Unis, 26 millions et demi ont déclaré qu'ils avaient « tenté de cesser de fumer », mais sans grand succès. E n Angleterre, selon le rapport du Dr Aubrey C. Me Kennel, les en- fants commencent à fumer plus précocement qu'il y a une vingtaine d'années. Enfin, le Dr J. Clemmesen (Danemark) a indiqué qu'une campagne antitabac organisée dans les écoles par la Danish Cancer Society a obtenu « peu de résultats évidents » ; peut-être a-t-elle dissuadé quelques jeunes de se mettre à la cigarette... Mais, fait assez inattendu, certains parents, impressionnés par ce que leur racontaient leurs enfants, cessèrent de fumer ! La seule note co- casse de ce symposium assez décourageant fut donnée par un cancérologue allemand, le Dr Kempski : « Pour arriver à ne pas fumer, déclara-t-il, i l suffit d'avoir un bon équilibre sexuel ! » J. Wakefield et les autres participants à la table ronde ne parurent pas convaincus par cet argument un peu freudien.

Le bilan nous parut nettement plus positif autour de la table ronde, présidée par le toxicologue français René Truhaut, sur les processus de cancérisation favorisés par les facteurs du milieu : à cet égard, le professeur Léon Shabad, de Moscou, apporta la preuve, pour la première fois à notre connaissance, que certains micro-organismes du sol détruisent spontanément les particules de 3/4 benzopyrène qui retombent à sa surface. Le phénomène est fort important pour l'avenir : le 3/4 benzopyrène, déchet des com- bustions industrielles et domestiques qui empoisonne l'atmosphère de nos villes, est très hautement cancérogène chez l'animal.

La découverte du professeur Shabad permettrait, si elle était

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appliquée sur une grande échelle, une épuration rationnelle de l'air pollué de nos villes : i l suffirait de multiplier dans les villes les surfaces ensemencées avec ces microorganismes, « gros dévoreurs des particules de benzopyrène » selon la plaisante formule de Léon Shabad lui-même, voire de cultiver systématiquement ces orga- nismes protecteurs sur les toits, les balcons et les terrasses. Ainsi on aboutirait (et pourquoi pas ?) à l'installation d'un véritable écran protecteur permettant de diminuer la concentration en ben- zopyrène de l'atmosphère urbaine.

Mais i l y a aussi des facteurs naturels de cancérisation, trans- mis par la nourriture par exemple. En veut-on une preuve statis- tique ? Le professeur japonais Masashi Mikaye et ses collabora- teurs Saito, Takahashi, Itakura et Noguchi ont rappelé au Congrès que si le cancer primitif du foie est rarissime dans les pays euro- péens (1 pour 100 environ), i l est très répandu (40 pour 100 de tous les cancers) dans certaines contrées d'Extrême-Orient où le riz forme la base de l'alimentation. Peut-on établir une relation entre la fréquence du cancer hépathique et l'ingestion de riz ? Selon les chercheurs japonais, ce n'est pas impossible ; ils ont en effet observé qu'un champignon microscopique le pénicillium islan- dicum qui entre naturellement dans le processus de jaunissement du riz (et c'est le riz jauni qui est préférentiellement consommé en Extrême-Orient) est hautement cancérogène chez l'animal. Ce champignon ou, plus précisément, un produit de son métabolisme, la luteochrysine provoque l'apparition du cancer du foie chez les rats et les souris. C'est la troisième fois dans l'histoire de la cancé- rologie que des produits alimentaires naturels peuvent être cré- dités d'un pouvoir cancérogène expérimental (1).

Selon le professeur Truhaut, ces découvertes sont plutôt ras- surantes : « Chaque fois que nous découvrirons un facteur naturel de cancérisation dans un aliment, nous l'éliminerons, m'a-t-il dé- claré ; si c'est un champignon, comme dans le cas de pénicillium islandicum, nous suggérerons l'emploi d'un fungicide ».

A l'heure actuelle, la plupart des cancers sont soignés (et guéris dans la proportion de 1 sur 3) par la chirurgie et les radia- tions, « par le fer et par le feu », selon le saisissant raccourci de

(1) Les deux premiers furent le tourteau d'arachide, riche en aflatoxine cancérogène élaboré à partir d'aspergillus flavus, et le cycas (poussant à Guam et à Okinawa, en particulier) dont la pulpe renferme une substance toxique, la cycasine, expérimentalement cancérogène. Il existe d'autres mycotoxines alimentaires actuellement à l'étude.

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Léon Shabad. Mais d'autres sont justiciables de médicaments ; chaque année apporte la confirmation que certains cancers peuvent céder à la chimiothérapie.

E n ce sens, le grand triomphateur du congrès de Tokyo fut sans doute l'anglais Denis Burkitt, du Médical Research Council, salué en ces termes par Sir Alexander : « Dans cette tragique maladie qu'est le lymphome de Burkitt, surtout répandu chez les enfants africains (1), i l a été possible de démontrer que, dans 16 pour 100 des cas, la guérison a été obtenue uniquement par un traitement chimique ». Pour qui a vu les photographies de ces jeunes malades, au visage triplé de volume de l'œil à la bouche, déformé par une masse de la grosseur d'une noix de coco, les résultats obtenus par Denis Burkitt sonnent comme la promesse d'une victoire. Burkitt a d'ailleurs apporté à Tokyo ses statisti- ques les plus récentes, dont le pourcentage est supérieur à celui annoncé par Sir Alexander. Et deux autres spécialistes, soignant des malades au Nigeria, les Drs Ngu et Clifford ont présenté des pour- centages faisant état de 21 à 24 pour 100 de guérisons. Dans une maladie qui, en l'absence de traitement, se traduit toujours par l'issue fatale à court ou à moyen terme, on peut vraiment saluer ces résultats comme exceptionnels.

Et ils le sont, en effet : exception faite de tumeurs bien parti- culières (celle de la prostate, par exemple), la majorité des cancers ne sont guérissables que par les radiations et par la chirurgie. Pour- tant, les cancérologues ne désespèrent pas d'arriver à un traite- ment uniquement médicamenteux des tumeurs malignes. Lors de la table ronde consacrée à la chimiothérapie anticancéreuse, pré- sidée par le professeur C. Stock, les Américains B. R. Baker, W.

Rundles et T. Hall, l'Anglais T. A. Connors, le Français Georges Brûlé et le Japonais J. Sakweai ont présenté des cas personnels de guérisons « complètes » obtenues par la chimiothérapie. Ainsi, Georges Brûlé a relaté « des rémissions durant depuis plusieurs années après le traitement de chorio-epitheliomes par le métho- trexate et de tumeurs embryonnaires du testicule par la sarco- lysine ». Chaque spécialiste est donc capable, le savant soviétique F. Larionov le confirmait à Tokyo, d'invoquer quelques cas per- sonnels de rémissions dues aux médicaments ; mais ils constituent une infime minorité. Quand se transformera-t-elle en majorité ?

(1) Pourtant, selon le Dr. H. Wrigt, une variété de la maladie de Bur- kitt est parfois observée en Grande-Bretagne et aux Etats-Unis. Pour sa part, Burkitt opère en Ouganda : chirurgien d'origine, Denis Burkitt s'est établi à Kampala (Ouganda), il y a une dizaine d'années, et, après avoir décrit la maladie qui porte désormais son nom, s'attache à la soigner et à la guérir.

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Actuellement, i l est impossible de répondre à la question ; mais tout nous indique (et à cet égard, le rapport du Dr Frei sur l'em- ploi de la cytosine arabinoside et de la daunomycine dans le trai- tement de la leucémie est des plus démonstratifs) qu'il n'est pas chimérique d'espérer que cet instant survienne assez rapidement.

T> este enfin la recherche fondamentale, cette quête ultime, cette poursuite du primum movens dans l'infiniment petit cellu- laire, cette étude du rôle de chacun des constituants de la cellule vivante dans la genèse du cancer. Les Drs Michael Stoker, de Glasgow, et H . S. Kaplan, de Palo Alto (U.S.A.) ont fait le point de nos connaissances actuelles au cours de deux tables rondes, l'une consacrée au problème « virus et cancer », l'autre aux

« aspects de la cancérogénèse ». Les exposés du professeur Klein (Suède), du Dr Dan (Japon) et du professeur Abercrombie (Angle- terre) ont convaincu les auditeurs de la difficulté des expériences en cours, qu'elles visent à cerner l'aspect génétique de la cancé- risation, le mécanisme de la division cellulaire perturbé dans le sens d'une transformation néoplasique, ou l'influence réelle de tel ou tel constituant de la cellule dans cette transformation. Selon S. Barandun, « malgré le grand nombre des données expérimen- tales rassemblées et les efforts immenses entrepris jusqu'à ce jour, on peut dire qu'aucun concept original ne s'est imposé dans le pro- blème de la carcinogenèse » (1). Pourtant, liées aux expériences de carcinogenèse, celles qui font appel aux ressources des techni- ques immunologiques nous laissent entrevoir une possibilité d'ac- tion thérapeutique, curative ou préventive. Le professeur Pierre Grabar (de Paris) qui présidait la table ronde « Immunologie et cancer » a certes fortement indiqué qu'il est nécessaire de pro- céder à « des recherches plus approfondies » pour parvenir à un résultat susceptible d'avoir une sanction clinique, mais quelques si- gnes particuliers indiquent que la piste immunologique vaut, aussi, d'être suivie. Des travaux précis n'indiquent-ils pas que, dans des cas déterminés, on peut mettre en évidence la présence, à des taux très faibles i l est vrai, « d'anticorps anticancer » chez l'animal ? Et ces travaux ne semblent-ils pas indiquer qu'il y a souvent une réponse cellulaire favorisant le rejet des tumeurs malignes ? Il est non moins vrai que, par un mystérieux et paradoxal phénomène, on peut voir également apparaître des anticorps facilitant la crois- sance du cancer? Rien n'est simple, on le voit, dans ce type de recherches...

(1) In « Médecine et Hygiène » du 9 novembre 1966, N° 754, p. 1124.

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Mais les cancérologues estiment que normalement les défenses naturelles de l'organisme s'opposent chez 5 sujets sur 6 à la prise d'un cancer, qu'ils auraient toutes les occasions de contracter, alors qu'une fois sur 6, ces défenses naturelles sont surprises ou en défaut, laissant ainsi la maladie s'installer. Et bon nombre de spécialistes pensent que le traitement de demain sera moins un traitement destiné à vaincre le cancer lui-même qu'une thérapeu- tique visant à « réveiller » les défenses naturelles de l'organisme, à aider l'organisme à se défendre lui-même. Et, tout naturellement, on glisse vers cette notion qu'il serait bon d ' « augmenter » la pugnacité défensive de l'organisme des sujets sains, de façon à éviter l'apparition de la maladie.

Par ce biais, nous arrivons ainsi à l'ultime question à laquelle il faut répondre : virus ou pas virus ?

A la lumière des travaux de Tokyo, aucun fait, aucune expé- rience, ne nous permettent de dire que le cancer humain est pro- voqué par un virus. Le congrès japonais de 1966 n'a pas marqué de points par rapport au congrès moscovite de 1962 : nous avons certes encore à la mémoire l'extraordinaire conférence du grand virologue soviétique L. Zilber, récemment disparu, consacrée tout entière aux arguments qui militent en faveur de l'existence d'un virus cancéreux chez l'homme. Quatre ans après, ce virus n'a pas été trouvé. Et nous livrons à la méditation de notre lecteur cette phrase de Georges Klein, le grand immunologiste suédois : « Une vaccination contre le cancer pourrait se faire soit sous forme d'ex- traits de tumeurs, soit, parfois, sous la forme du virus causal ».

Deux hypothèses au conditionnel pour le virus du cancer hu- main.

Mais cette leçon de modestie qui nous vient de Tokyo n'est pas, pour autant, un encouragement au pessimisme.

N'oublions pas qu'il s'est écoulé plusieurs dizaines d'années entre la découverte, par Robert Koch, de l'agent causal de la tu- berculose et la mise au point du vaccin antituberculeux. E n 1966, nous savons déjà beaucoup de choses sur le cancer. Un jour vien- dra où nous saurons tout : à ce jour de victoire travaillent obscuré- ment, partout dans le monde, des milliers de savants pour qui le I Xe Congrès International du Cancer à Tokyo ne fut qu'une halte bénéfique, un moment de réflexion entre deux combats contre la maladie, la souffrance et la mort. Sachons simplement la décrire.

P I E R R E BOURGET

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