• Aucun résultat trouvé

Appui à fournir aux politiques et aux programmes de développement économique et social en Afrique sous forme de renseignements quantitatifs

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2022

Partager "Appui à fournir aux politiques et aux programmes de développement économique et social en Afrique sous forme de renseignements quantitatifs"

Copied!
42
0
0

Texte intégral

(1)

NATIONS UNIES

CONSEIL ECONOMIQUE ET SOCIAL

LIMITEE

E/CN.U/CAS.9/4

22 aout 1975 FRANCAIS

Original: AHGLAIS

COMMISSION ECONOMISE POUR L'AFfil'UE Conference des statisticians africains

Ueuvierae session

ijome, 6-15 octofcre 1975

APPUI A FOJRNIR AUX POLITI'.^JES ET AUX

PROGRAMMES DE EEVELOPPEMTT ECONOMISE ET SOCIAL Bfl AFRIQUE SOUS FORhE DE REK;~EIG»iENTS QtJANTITATIFS

TABLE DES KATIEHE3

Exaraen du developpement des statistiques Tendances et influences generales

P^riode anterieure a l'ini/ependance * Activates executees apres 1'independance

Evolution recente

Facteurs du developpement des statistiques Formation

Assistance technique offerte aux pays sous forme

de services d'experts •

Services consultatifs regionaux ... ^ Me tho de s

Situation des services de statistiques africains Besoins en donnees et comment on y fait face

Besoins nationaux et internationaux Statistiques africaines di3poni"bles

Problemes speciaux des statiutiques africaines

Idasure s que doivent prendre les services nati^naux de statistiques

Developpement du service regional de statistiques

Programmes speciaux pour 1'amelioration des statistiques

africaines °

Resume des principales considerations

Annexe

M75-17O7

Donnees economiques resumees : derniere annee sur laquelle portent les agregats statistiques fnurnis par les paysP decem"bre 1973

(2)
(3)

INTRODUCTION

■.:■■;"

T? /1

■■U

lT$.M/CAZ.9/\ ■:

it document a pour ibjet d'indiquer la maniere dont les services statiftiques africains se sont developpes, les resultats obtenus jujqu'a.

maintenant et les mesures qu'il est necessaire de prendre pour ^ue l'on dispose des renseignements quantitatifs adequate p^ur le developpement econo—

mique et social.

2. Cn revise actuellement des directives internationales- pour les programmes de 3teti&tiques des pays en v >ie de developpement et lion precede a une nouvelle enquete regionale de I1organisation des static ti-iues a la demande de la huitieme 3es3irn de la Conference des ';tatisticiens" africains. Les observations pre- ' ' sentees dan3 ce document sont done d'ordre general et visent a aider a inter preter ces etudes plus detaillees, qui Beront disponibles sous peu. . ■

3. La premiere partie du document oomprend un ezamen general du developpement des statistiques en Afrique et de certains de-^ facteur^ qui ont influe sur lui. Dans la seconde partie on examine les besoins en donnees et les moyens par lesquels on peut les satisfaire. La tmisieme partie du present document contient un resume des principales considerations.

EXAi'IEN Ka BKVELOP^BSSENT DES STATI'^Tl'-iUE^

Tendances et influences ^snerales , j«

leriode ant^rieure a 1'independence

4.. Au. oburj de la poriode de dix ans qui a precede 1' ndeuendance de la

majorite des pays africains, on a e .time que leurs efforts de developpement neces^iteraient 1'appui de services stati^tiques relativement complets. Dans les pays anglophones de la regi-n, une aide a ete fnarnie principalement sous foroie d'affectati'^ns de 1-jngue duree d'expatries et l'on a eu pour objectif general d'etablir des organisations statistiques permanentes dans le cadre de la fonoti^n publique. Les disp">aitions prices dana les pays franenphones nnt ete un peu differentes et 1* >n a davantage eu rec^urs a 1'envoi de missions

d1 experts a des fins de rasserablem.^nt de donneeti specialifiees.

5. Cette difference kist-rique vaut la peine d'etre mentionnee parce que les

pay3 anglophones dispoaaieftt pr->bablement ainsi d'une infrastructure un peu

meilleure pour le developpement de leurs statiotiques lors de 1'independance et oarce qu'elle exerce peut-etre encore certains effeti. To.utefois de nombreux autres facteor^ techniques, administratifs et politiqueis ont influx sur les activates statistiques executees dans les divers pays.

6. An c.jurs des annees 195O? de 'nombreux pays ont fait des efforts pour etablir et publier de maniere systomatique dss donnees comparables provenant de sources administratives. II s'agi.isait de statistiques du commerce exterieur, de l'omploi, de I1Industrie et de finances publiques.e'est jeut-etre au oours de oette poriode que les travaux.de 1'Organisation des Nations Unies ont com mence £ avoir une incidence dans le domaine des statistiques par 1'application

tres etendue de classifications de donnees facilement adaptables. D'autre part

(4)

la version precedente du Systeme de comptabilite nationale de l'ONU a m-.jntre"

quTil etait possible de dresser les statistiques de maniere plus integree et les pays anglophones ont constate que c1etait un instrument fort utile pour l'^taUissement de budget; annuels et de programmes ?. long terme. Le sy-teme francais (systeme Courcier) a ete adopta de la meme maniere dans le reste de

la region. ' ■ ■ ■■ .

7. En outre on s'e-t rendu compte fort heureucement au ooura des annees 50 que les statistics africaines ne peuvent etre effioaoes que si 1' n met tout

en :>euvre pour nbtenir des ren.eignements directement des entreprises comnier--

cialeE. et du grand public Cette conviction eat prr.bable.nent nee a la suite du Recantement Mondial de 1 "Agriculture de 195^ qui a appele 1' attention sur ..

l'iiocrtance de^ secteurs ruraux. Certains des pays qui <mt entre^ns des enqaeies sur 1'agriculture ont decouyert que l'on p.^uvait .aoilement etendre ces travaux au rassemblement de donnees economiques et sociales plus-generates.

rassemblement des prix ont contribue au develop^ement general des operations

encore que ces enquetes aient ete limitees dans leur portee

*pres l'indeoendance 11 n'j a pas eu de proves s lectaculaire des statis tic africaines parce qu'U etait neces .aire de former des sp .cialiBtes

locaux pour remplaoer les ezpatries ainsi que de remsdier a des-penuries-aigaes de oersonnel non specialise. Ceci correspond % une lacune importante ^es

activites anterieures fi 1'independance. Les ann-es 60 ont do,o ete con acroes largenent ? la formation et k la mise en route d'-^rations ^tatiatiques

blficiant d'une aide technique internationale et bilat:rale. VJ^^^T

benlfiia politique aprobablement incite a avoir moins recours aux services btatistiques J^^^

!acompter a cette perinde et la premiere Dfloennie des

rap,ort- interimaires qui aurait pu ,»o414m la production de refinements

quantitatifs.

Q leanmoins, les activites d'enquete .,ur les menages ont continue e se deve-

^poer™: de la premiere partie de la decennie et les statistiques de

m.nlisux de recen^ement lza.1 ces domaines, -nt fait des pr-gres

dt cors ausyteme de 1 OFJ et aux auours au.sy.teme de 1

D integrer le rassemblement et la presentation ^ On a en

rendu" oompte de la place de l'Afrique dans

et =p o ;*n de la neoe.site de developper .erxeusement leS services

BtaUitiques et les ssrvices d-information eoonomi^ue au nxveau regional.

Ivolution recente ■ ...-.-..

10 L«s ann«e"70 et la deuxieme Decennie des Nations Unies pour le develappe-

£%H\ dS%u se produire des evenements et des modifications deperspec-

s qui aiUnt une'incidence sur les statistiques ^j^^^^tff?

duirort orobab'lement par une. production plus rationalise. et .peut-etre. plus ,.

rapide des donnees dans toute la rsgion.

(5)

3/Cffti4/CAS."9/i

Page 3

la conception unifiee du development economique et social de la StratPffi

t^lT^l ^^fr?1?P?Sment f! Plei»a»eat compatible avec les oljTfl!"£

I la region. L1 adopte programmes de statistiques de maniere

■e certains arrangements formels concer-

t-tablisaement de rapports sur les progres roali.es aux niveaux national, regional et mondial encourageront 1'amelioration des statistiques.

PoLlatr.n^f^fSeZ-Simlla^eS>SOnt £''PParUS a la C^f^ence tiondiale de la ' - ll.tlf IT h 91h ^ ffSoul1^ les liens entre la population et le develop-

2"t Pa 1d?"^%?Ue X ?n rassemble *™ *onnees economies et sociales plus

completes a I1aide d'enquetes. _ ■

H\iill%U}k »»intenant 1WW de ces facteurs aur les .tatistiques nationals

ne s est pas encore fait sentir Men que Vm estime actuelle,aent qu'il lt relativement^urgent d'ameliorer 1'inforaati>n snoiale. Toutefois ils ontune ' donner des_renseignements de plus en plus fr^quemment sur la situation economi se et sociale des pays et aider les Etats membres en leur fournissant de meilleures donnoed de base. Les dispositions prises dans ce domaine seront

examirees dans la deuxieme partie du document. .

H. II est pmoable que Involution et les problemes ecnn-miques mondiaux notion moms tangible de decennies Internationales de developpement. On peut citer en partaculier l'expannion de la Communaute economique eur-peenne et les ne-ociations oommerciales qui en re^ultent avec les pays africains, l'instabi- lite ri;one-taire mondiale, les fluctuations des Prix des pr-duits primaires

les eifeto generaux de la cri^e du petrole et 1'inflation dans les pays dlvelop-

pe^s qui a ^yidemment eu un retentissement sur la region africaine.

15. Cette evolution a attire 1'attention sur les dimensions relativement redaites de l'economie de la plupart dey pays africains et sur la necessite plus rombreuses que l'on adresse au service d'information statistique et econo- miqae regionale sont un signe favorable pour les perspectives d'action concerted

16. les consideiations du meme ordre ^'appliquent aux efforts entrepris par la regi-jn dans le domaine d'une cooperation economique I long terrae. Leq groupe- ments oconomiques sous-regionaux se sont jusqu'ici revnles instables et l'on a fait veu de progres en matiere de developpement industriel multinational.

Ce qui est important c'eot le fait que l'nn poursait ces efforts, qui finiront

d ana maniere ou d'une autre par porter des fruits,-

17. la conclusion fondamen: ale qui Be degage da Involution recen.e eat done que l'Affique a besoin n,m seule .ent de .ervices nationaux efficaces dans le- domaire des statistiques mais aussi d'un bureau de statistique regional qui

"IT tOUt Ifi OOnt-inont Q + -Pn-nT-n-i -n Ha- /*«« tJ-.*1-. ... u

; series nati>nales fondamentales. La CEA fait des

progres a cet egard s >us la direction de la Cmierence des stati .ticiena afri cains, t'>ut en tenant compte des reoommandati-nK dea autres .'>rganismes regionaux

et international!*.

(6)

E/CN.14/CAS.9/4

?a*e 4

-18. Enfin il eot necessaire de noter les efxefe des pulitiques actuelles de -1'OM: en matiere d' assistance technique sue les proves des statiatiques. La

noavelle conception de programmation par pays du Programme des Nations Unies po^r le-.doveloppement a eu deux resultats. En premier lieu elle a reduit

sensiblement les activites d'assistance technique de la CEA et des autres com

missions r^gionales dans le domaine des statistiques econo-miques. En second lieu elle a en.traine une. reduction de I.1 assistance au niveau des pays dans ce domaine, ^rincipalement parce que les bureaux nationaux de statistique n'ont _ pas £te en bonne position poar obtenir une proportion raisonnable des chiffres

i-ndicatifs de planification.

.

19. On commence a se rendre compte egalement des problemes auxquels oeuvent donner lieu les activites statistiques des institutions specialises de l'OKU.

Ces institutions travaillent en collaboration avec les miniatures natiunaux - rezspcnsables de leur domaine particulier et l'on constate souvent un manque de ' coordination en:re elles et les services statistiques nationaux. De Oe fai* ; il eet difficile pdur les gnuvernements de determiner les iriorites au sein de leare programmes statistiques d'ensemble, la valeur des diverses affectations d'experts est limitee et les perspectives de mise au point de systemes de donmes integres sont rsduites. Ces problemes sor.t actuellement etudies au niveau international et un programme quinquennal inte^re d(assistance statis-

_n 1 -n -t j.4~« ^v, +ivi+ rrn a rtT«nn^+. 1 n t.RT—i T1R t,i til ti^nS . LeS

bureaux du PMUD dans les pays et les p^uvoirs publics peuvent egalement encou

rager une meilleure coordination.

20. L'impcrtance attachee a'1'assistance dans les divers dnmaines, particu- lierement celui des statistiqu3S de la population, a recemment prwoque un deseouilibre dans les programmes de statistique nationaux et regi>naux. Les reoersements ex les enquetes sur'la population sont d'ane tres grande impor- -

tance mais ils peuvent nuire aux autres activites d'ordre statistique s ils . sont organise d'une maniere trop etmite. Comme il a ete indique plus haut, ce qu'il faut actuellement c'est obtenir des donnees integrees pour les domames demo^raphiqae et social et le domaine economique connexe des menages* cette question sera examinee plus en detail dans les chapitres ulterieurs.

21. La premiere conclusion qui se degage des- observations precedentes ;-3ur les facteurs qui influent actuellement sur le development des statistiques

afrxcaines est que les pays de'la region doivent determiner 1 '^^Vonlu soahaitent attacher aux statistiques en tant que base de la planification du_

developpement economique et eocial et d'une gestion economique et d une^admi- rivtration a court terme et en tant que service destine au secteur pnve.

mes '^eneraux de statistiques,. de preference dans le cadre des plans nationaux

de (feveloppement.

». ■■ Une deuxxeme conclusion importante est qae la region doit etre prSte \ ap ou/erla creation d'uh service statistique regional tres- fort parce que des.

llll eoonomiquement paroles-ne peuvent pas faCile.ent evaluer leur^xtion I.

dans la cnjoncture mondiale et que sfiparement leurs pouvoirs de negociation

sont limites.

(7)

/

Page 5

23. ipres ce bref examen des facteurs ayant une incidence sur I1activity statittique africaine, il convient d'etudier certains des principaux elements

du d^veloppement des stati.^tiques.

formation

24. la premiere condition est evidemment que l'<-n puisse disposer d'une main- d'-^uvre en nombre suffisant et ayant les qualifications necessaires. Lors- qu'ile -mt obtenu 1'independance, la plupart ces pays de la region avaient au.

moias un petit service de statistique et dans certains cas ils pnsse&aient de"ji des rganisations relativeraent completes et actives. Toutei'ois, la pre miere et la deuxieme sessions de 1 a Conference des statisticiens africains en 1^9 et 1961 ont n-te avec inquietude la forte proportion de bureaux de

statif-tique encore geres par des expatries et la quantite relativement faible

de-personnel disponible.. La deuxieme session de la Conference a lance un

programme intensif de formation comportant les pri>rites suivantes : 1) les ef

forts au sein de la region devaient d'abord viser a remeaier a la penurie aigue de personnel de niveau moyen et 2) les statisticians de niveau superieur

devaient continuer a etre formos outre-mer en attendant que l'on creat des

moyens de'formation a l'echel->n regional,

25- In 1961, deux centres francais et deux centres de lan^ue anglaise de nive&u moyen ont commence a fonctionner et un projet pour la formation de jeanes statiuticiens francophones de niveau superieur a etre execute.

II a ete foumi au groupe de langue francaise d'autres moyens de formation de nive&u superieur en 1962 -et en 196Til a ete introduit dans l'un des centres de niveau moyen une formation de niveau superieur. Un centre

supplementaire de niveau moyen a ete etabli en 1^65 pour le groupe d'expression

anglai^e mais c'e^t seulement en 1969 que des moyens de formation regionaux de niveau superieur ont ete mis-ala disposition de ce groupe.

26, les projets de formation mentionn-^s ci-dessus ont tous ete concus pour

fournir des services internationaux et tous sauf un ont ete cre^s avec lraide de 1'CNU. Un centre francophone de niveau moyen et un cemre de niveau

supsrieur destine aux anglophones continuent a. etre apt>uyes par l'OMJ.

L'UNE.CCO aide 1'un des cen:tres initiau>: et cree de nouveauX centres de formation en Afrique australe.

27. les effectifs totaux constituent une indication sur le volume de travail effectue- dans les centres de f^r,uati^n$ ils sont resumes dans le tableau

suivart. II est interes3ant de nter la tres grande difference entre les deux' gT'iupes linguistiques en ce qui concerne les anm5es de formation regue. Ceci est du bien sur au nombre plus eleve de projets de langue francaise et dans certains cas au fait qu'ils ont ete executes plus tot.

Annees de formation, 1961/62 a 1972/73

Langue dans laquelle 1' enseigneinent est dispensee

Niveau Francais Anglais Total

Ho I

Niveau superieur 2,214

Niveau moyen 1,5^3 6;

Tbtal 3.797 74 1.329

2 1 3

Franc

0

,214

,583

,797

;ais

% IB

69 74

Anglais No

626 703 1,329

22 31 26

No 2, 2,

5,

To tal

840 286 126

100

Jt

100 100 •

(8)

E/0N.14/CAS.9/4 Page 6

28. Le resultat des activites de formation peut'se--me5ufer"par~Ie-noffi^-de" S'ta-

avant ou Dendant 1lannee 1970/71. , Pour les cours de deux ana et d un an j component aussi 1971/72 et 1972/73 respectivement. II faut tenir compt

r . . -.-;.», +^-n-,.nmTiTio e»n mi 1 T fill ClG COdrS

^ wrtelS:; paittea de la formation. La comparison entre les effectifs mitiaux et les candidats ayant reussi n'est done qu»approximative.

Le, effectifs initiaux et-lec candidate a^ant termine avec succes les cours

de .fcrmation couplets

Langue dans laquelle I;enseignement est dispense

Nive'au Anelais Total

Niveau Niveau

ebbevamiu

Total'-■■ 2,28+ 1,361 60 947 719 75 3,2312,080 6.

E - Efiectifs initiaux 0 - Candidats_ayant termine le oours

avec succes

J/ ! Ke emprend pas. les stagiaires en annee preparato.ire dans un centre'.

eohoue. En general tous les taux de

doivent etre consideres comme trop (

r^,^+ra ,,« rtp«-i t.ai . fir, font ressortir soigneusement les stagiaires a l;avenir.

30 Avec pres de 700 statisticiens de niveau superieur et 1 400 de niveau moyen

U\k fo-es, le program repeal de formation a pres.ue atte.nt^ ses «,*£«*

initiaux. Toutefois, la situation de n

raisens en est que. le/ pernonn^,

dans d'autres.ministeres, dans des societes commerdales etc

31. Hie actuelle il est nece?sai.e de ^^^

lemert fixees pour le programme de formation etaient en lam

incite a se poser la question, =e sent les pertes d^; P-sann itt de la plupart ^r^f^^^

la tendance p

On aurait pu o.tenir de f]; -s

compte de la structure des Dours dans les pays developpea.

develnpper les diverses tranches dc

, sans tenir

(9)

la contini psrnds d'e d'emploi a couteux de

Lite de direction qui

itablir, a 1'intention

. vaste eohelle au li crit- ci-dessus.

E/CU.14/CAS.9/4

Page 7

avantas-euses

—ices africalns de'statissue.

l t Hi

representent pour les statia-

33. Lo, protlemes relatifs a 1•enseignement et a la formation ne sont pas parti- nfments exxstant dans -les pays .develop^'s au ni^au riCiv ^ J? U T I

seoende est que si 1-on ameliorait les denies secondaires de la reJon, il serait beauooup moms neoeesaire de dispenser une formation spooiale de nfveau y le

tout, maniere il eet neoessaire de faire des efforts o, ,rdonneS pour org^sei la formation en mature de statistiques de maniere plus pratique a l'avenif

d'une assistance sous forme de service

que des donateurs oilateraux. On trouvera ^i^Z^X^^^Tl

aliectaticms d'exp rts de I'OSU au ccurs les deu. annees comprises entre aout 1971

qx juxixe t iy73» ■

Experts stati^ticiens affectes par l'ONU dans lea pays africains 1er aout 1971 - 31 juillet 1973

lomaine d'activite

Nord Prix

Industrie Population

Traitement des donnees

Organisation statistique

Comptabilite natinnale, statistiques financieres et balance des paiements 2

Formati >n ^

Enquetes par sondage _

Statistiques economiques _

Comnjerce et distribution

To tal ic

Quest

6

_5 1 2 3 1

Sous-region Centre

5

• 1 4 ■ ■

Est

-

4 3 4 7 9 3 4

9

Total

(10)

g/CI.U/CAS.9/4

Page 8

35- On ne dispose pas de chiJ

institutions specialises mais . on ordre de grandeur.

Experts en matiere de sta affectes dans les pays

Institutions specialises

OIT FAO UNESCO

OMS Total

felui de 1'asaistance

on ne '&i*& pas 5e

regions de 1'Afrique.

en poste en Afrique, pfeB- tableaux ci-dessua, 1^« gaere tante en ce qui concerne les

Attache .aintenant beaucoup i

-- ,.^ „- a~~c r*o flnmaine

entierernent companies pour ootivitfis des

Sous-region

Nerd Quest Centre Est Total

l-Jees son; euvix <"

i-OHU. ftalheureusement par le •.ie e ° ^ Mlat4rale

Sdioati^ns donnees ici s,nt-elleE

e,t Sr^l- dans oe.taines sous-

1'OMJ des experts statiBticiene

wiwt de ce tableau que i:meS de la population et les 00are de 1'annee 1974. tous

«„+;„„« TTnies poi

matisre de fo^tion maintenant termines.

grande attention.

diminution de 1'assistance Nations Unies pour le

«. Les servi.es consultan

to^ours ete ensideres -

les divers pays et comme un des statistiques africames

B/rtwuj

Ordination tres utile dans le developpe.ent

nale et les enquetes economi^ues.

ivement a reduire 1 equipe

la ooraptabilite n

(11)

E/CN.U/CAS.9/4

Page 9

-yens

Plu-

-nsultatirs

regionaux peuvent cmtribuer

neces-

voyager teauooup. II faut egalement technique.

aient cesse d

HUH.IJ

Mrthodes

cette forme d1assistance

que ces derniers

n coordonnee des donnees s-.nt devenues

up plus facile de oo«noer par adapter les r^thndes ayant g'nlralement H l6S afapter ensulte aux Oo/tditi^a locales que d'«labn?« ces Rh

bles sur le plan international.

compara-

LJ>UUM repre^

(12)

S/CN.14/CAS.9/4

Pa^e 10

confiee au Bureau

recherche aboutinsant a des recommandations international _ sont

. .. , -, .rt-KTTT _ j. „„,, AJ«4Mnha ^o H+.a-hifiti.aue de s lns-

reoon.mandations sont etudies et revises par des groupes j au niveau mondial

communaute mondiale ou des categories 4. pays auxquels

■atuj^uiAj

sont lea plus active;

d'enc> uragement et ti^ns et aux politi yiamr-la-nossibilite

-de

directement sont resumes dans le tableau suivant.

Reunions de la CEA portant sur lea statistics et sur des sujets connexes 1959 - "*973

Type de projet Nombre

Comptabilite nationals Enquetes par sondage Etudes economiques

Statistiques industrielles

Statistiques sur la main-d'neuvre (en collaboration avec 1'OIT)

Commerce exterieur et balance des paiements

Statistiques demographiques et demographie

Conference des statisticiens africains Consultations s^us-regionales

Reunions sur la formation et le developpement dans le

domaine des statistiques

Total

->•

poriode consideree.

(13)

Page 11

49. _ On- a souvent demande" si les' reunions conferees aUx statistiques rSgionales

d'exprimer le voeu que 1'on uo

lear documentation, connexe. A sa huitieme ses3i->nj la Conference a decide que les

"+, envisager d'assumer une dIus oran^R PAMnnaAMlu^ +Q«w; «,,~ „ +

.'egard de ces projetu. II faut Xenir crnopte du fait que les reunions aont organises dans le cadre du developpement mondial des statistiques et recoivent done toujours beaucoup de documentation ayant trait auxmethodes et a, d'autres

sujets.

i^T'ir-i (*>eici j>

50. Les notes suivantes sont redigees en grande partie a partir d'une enquete sur .1 organisation des statistiques effectuee en 1^69- On ©ntreprend actuellement une noavelle enquete mais on n1en connait pas encore les resultats. Les observations praeentees ne portent que sur 1'organisation et la situation des services de sta tistiques 5 leur production est etudiee dans la deuxieme partie du present document.

51* Pour 1'enquete de 1969, qui concernait .principalement efces questions de struc ture, de personnel etc. et on a recu des re><nses de 28 pays. Dans dix de ces pays, le "bureau de statistique faiaait partie du cabinet du President ou du Premier

minittre, dans 16 d*entre-eux il dependait du rainistere de'Ta^pIahification et dans les deux derniers, du ministere des finances. Dans sept pays "du"preinier grouoe, l'or^anisme de planification faisait auasi partie du cabinet du President ou du Premier ministre, ce qui signifie que dans 23 cas le bureau de siatistique et

I1organisms de planification appartenaient au meaa service. Dans 12 pays seulement

Buries 285 les bureaux de statistique tenaient leur propre compiabilite.

52. Ces chiffres indiquent que des liens e-troits ont ete etablis entre les statis

tiques et la planification dans de nombreux pays mais ila incitent a penser que

les bureaux de statistique sont souvent places dans une situation subordonnee.

Toutefois il convient de nnter que 25 des pays en question possedaient des lois sur

la statistique, qui devaient assurer une certaine independance au rassemblement et

au traitement des donnees.

53. Les rensei^nements budgotaires obtenu3 au cours c^e lrenquete ont pnse des pro-

blames quanta la portee des activites statiatiques ex^cutees et quant h la clas sification, Le montant annuel de depenses signale allaitde moins de 50 000 dollars des Etats-Unis a plus d'un million de dollars, avec une moyenne nationale de 3$1 000 dollars. Ce chiffre semble eleve par rapport a la faible echelle des op-lrations de nombreux paya et ne s'explique qu'a concurrence de 71 000 dollars par des operations speciales telles que les recensements et les enquetes.

5i. La structure des services nationaux de sta.tistinues etait une. autre question pariiculierement interessante. Dans trois des pays ayant reiDondu au questionnaire, il y avait seulement un bureau central de statistique et .1' un des pays possedait un "bureau central de statistique et une organisation sur le terrain. 0n2e pays ont ^ignale I1 existence d'un ofc'ice central et de services de statistiques dans d'autres ministeres mais nront pas mentionne d'organisation sur_le terrain.

Les 13 autres pays restant ont signale un office central, une organisation sur le terrain et d'autres services statistiques.

(14)

E/CN.14/CA3.9/4

Page 12

55. Ces chiffres font ress^rtir deux elements interessants : il n'existe des organisations sur le terrain mi des subdivisions de lattice central que dans la moitie des pays ayant rep-.ndu au questionnaire; d'autre part Jur les 2b pays, 21 ort des services de statistique qui s-mt decentralises au moms dans une

certaine mesure. Dans trois cas seulement le bureau central exercait un controle direct sur les services statiatiques -V autres mini stereo dans les autres oas, les consultations officieuses representaient la methode nomnale de coordination.

56. La Situation du personnel en ce qui concerne les bureaux centraux etles orgarisations sur le terrain, c'est-,-dire les autres 3ervices de statistiques

non compris, eat indiqaee ci-dessous :

Eessortissants Personnel autre Bureau central

Personnel de niveau superieur

Personnel de niveau

moyen

Autre personnel

centraux

Personnel de niveau superieur

Personnel de niveau

moyen

Autre personnel To tal

1,476

57. Comme les 28 pays avaient les bureaux centraux .qua,

des "bureaux

donne une moyenne de 114- ^ production actuelle de btatisti

2 auSSx > >X, -^tati.ti.iens no^e^^a ^ ^^^

mieux i.. resaouroas disponibles a 1'aven.r.

58 Lorsque les conclusions ci-dessus ont eted4tattues par la Conference de

stltittlciens africaxns, il a ete expli.ue ,ue l..|tiefiel,^o »•• ^^

planification non seule.ent e.aient utile_pourle^ajail^xa fai-ient^S

ficier les programrae;-'.

parfcis a du sous-emploi.

(15)

/

Page 13

59. Ces arguments sont evidemment valables mais il semble que lea avantages

bulgetaires dont beneficient les services de statistiques aient ete contrebalancea par une diminution de leur independance, ainsi'que de la coordination et de 1' ef- ficacite de leurs operations statistiquea. On pourrait resoudre la plupart de learp. problemes en etablissant des programmes de statistiques a long terme qui pourraient fort bien etre incorpores dans les plans nati maux de developpement.

60. Dans le cadre de l'enquete que 1'^n efi'ectue actuellement, on examine une

autre question, celle de la situation des statisticiens au service de 1'Etat.

Les sEalaires et Ie3 autres conditions de 1'emploi. semblent actuellement defavorables par rapport a ceux des autres fonctionnaireB et ce problems contribue a l'exode constant du personnel des services de statistiques. On ne salt pas encore dans q'aelle mesure cette difficulte e3t liee a. la decentralisation des activites et a d'autres facteurs.

B2S0INS EN DONNEES ET COMi-iENT ON I FAIT PACE Besoins nationaux et internationaux

61. On a decrit plus haut certains des facteurs qui ont entralne une demande de statistiques aux niveaux national et international et la maniere dont ces facteurs ont influe sur le developpement de ces statistiques. En gros la position est la suivante :

62. II faut reconnaitre que la principale responaabilite d*un bureau national de statistique est de fournir un service national de dnnnees en vue de la planifica- tion du develop cement econoraique et social, de 1Tadministration et def1*etablis- sement du budget et aux fins du secteur prive. Toutefois il devient de plus en plus maniieste que la plupart des petits pays africains ne s- nt pas en mesure de

produire, cbacun de son cote, le genre de statistiques neoessaires pour une action regienale concertee. On a deja cite deux exemples, celui des negociations com—

merciales p^ursuivies actuellement avec la Communaute ec->n >mique eur-'-peenne et celui des problemes que pose la hausse des prix du petrole, qui ont tous les deux necetsite des activites regi>nales speciales de rassemblement de renseignements.

63 II existe une situation a peu pres similaire en ce qui c meerne les efforts internationaux de developpement. II est necessaire, dan^j le cadre de la deuxieme Daoennie des Nations Unies pour le developpement, d'etablir des rapports interi- maires aux niveaux mondial et regional ainsi qu'au nivea.u national. A une echelle geo^raphique plus reduite, la cooperation economique sous-regionale necessite des donne'es adequates grace auxquelles on puisse mettre au point des efforts communs viables.

6J.. Inversement les divers pays ont besoin de donnSes regionales et mondiales auxquelles ils puissent rattacher leurs statiatiques nationales, afin d'etre en mesure d'evaluer leur situation par rapport a la production mondiale, au commerce mondial et a la situation mondiale d'autres secteurs,

65« Le rassemblement et I1analyse des donnees aux niveaux national, sous—regional, regional et mondial ne constituent nullement un systeme hierarchique. Les divers pa./s fournissent les renseignenient3 bruts de base mais a long terme i3sutilisent au3bi les statistiques etablis- pour de vastes rM,ginns geographiques parce que les arrangements internationaux concernant la production, le commerce etc. doivent etre decides d'un commun accord par les divers pays ou groupes de pays. D'une maniere peut-etre mnins directe, ceci s'appliiue egalement aux statiatiques

(16)

E/CN.U/CAS.9/4

Page H

lysteme

rendre

monnaie en font

chose. Au cours d forces de proauire sur lea dits p:

de cbiffres o

„ maintenant ications des relations

donnees. La maniere gen les para^raphes suivants

vigoureusement la ne

EET33

xls ont-plus

nationals de l'ONU nnt ete sans

revisees du Systerae de comptabilite

.'le rassemblement, la presenta

sificaticns et des ( revise permet d'etal pr jeotifns econoraiques.

69. -Constant le suoces de- oe

oomrnune cans labile ^

Dans os cas 1'articulation dep classifications riormalisees.

que I1on ace _

les pays en voie

1 'OTO et le^

de definitions et de

71.

{•exaraen des progres aocomplis au

declarees indispensables

oins to donnees" qu'entraine

°^ -e dea Batinns Unies

f^tte fin, tout un

a ^ ^

nbjectif

(17)

E/CH.14/CAS.9/4

Page 15

72. A la suite de cet examen, le Bureau do statistique de l'ONU revise actuellement les recommandations de 1959 sur les Series Statistiques Pouvant Servir aux Pays Peu 31. les grandes lignes du nouveau document ont ete examinees par la huitieme

session de la Conference des statisticiens africaints et un rapport interimaire a ete presente a la dix-huitieme session de la Commission de statistique de l'OKU en octobre 1974= Les travaox se poursuivent et l'on compte que des indicateurs economiques et sociaux revises seront mis au point dans le cadre des nouvelles recomri.andations pour les series otatistiques.

73- les conneils seront done fournis pour le rassemblement et 1'etablissement des donnees coordonnees au niveau national et au niveau international. Le present document ne s'efforce pas de presenter une liste detaillse des besoins parce que ces renseignements s« trouvent dans les documents appropries, on s'y est surtout preoccupe de savoir .comment les recommandations sur les statistiques devaient etre suivies en Afrique-

74« A la CEA on s'est rendu compte qu'il fallait p<">uv ir disposer de renseignements sur les principales tendances et les grandes lignes de I1evolution dans toute la region a. la fin de chaque annne civile. II existe done maintenant des arrangements

systematiques pour le rassemblement des donnees de base privenant de toutes les sources possibles et 1'^n a egalement >rganise des mi^si -ns dans les pays pour obtenir des renseignements h jour. Outre que l'on pr-.cede a une evaluation an- nuellt de la situation des divers pays, il est maintenant possible de fournir des estimations prelimiriaires des comptabilites natinales, qui sont peu a peu precisees a. masure que.l'-in dispose cie chiffres plus exacts. Ceci a permis d'etablir des con

tacts, plus etroits ave'e un certain nombre d1 .'rganismes s1 interessant au develop- pement africain.

75- Ces activites regi-^nales de rassemblement et d1 etablissement des donnees, doivent etre considerees par rapport aux arran ements internationaux generaux ai sujet de .1' etablis.iement des rapports. En gros, du fait qu.e les Nations Unies sont organisees par domaine d'activite, les:diverses institutions specialisees sont chargees de rassembler les donnees dans leur domaine propre, tandis que lea sujets plus generaux sont traites par le Bureau de stati3tique de 1'OMJ. Jusqu'a une date

recente, les commissions economiques regionales n'avaient pas rassemble de donnees sauf pour certaines fins limitees. ' La nocessite d'une information plus a jour fait maintenant modifier dans une certaine mesure ces arrangements et l!on va vrai sembl able men t decentraliser quelque.. peu Ie...ras3embleraent des donneesF compte

tenu. de la neces&ite generale de maintenir une coordination internationale adequate.

Statit.tiqaee africaines disponibles

76. L'un des moyens les plus simple d*indiauer quelles sont les statistiques africaines disponibles est d'examiner les renseignements utilisees par le secre tariat de la CEA poar etablir les Donnoes economiques resumees pour 45 pays, qui sont. reviseo.j I, r.a+ervallss reguliers. Le tableau fig'arant & 1' annexe I m >ntre la derniere annee p^ur laquelle on avait recu certains agregats cle en decerBbre- 1973»

Ceci donne une indication generale assez utile sur la frequence a laquelle on peut disposer de certaines statistiq^es airicaines importantes.

(18)

E/0N;14/CA3;9/4

Page 16

77. Le tableau ci-desaous indique pnur combien de pays sur le total de 45 on avait reou en- decembre 1973- au moins. .certaines danne.es de 1972 sur chacun des pnncipaux domaines (oir*-fai-t figarer. a. des fins .de comparaison le nombre de pays pour lequel des donnees de 1969 avaient ete recues en decembre 1970) :

Nombre de pays

En decembre 1970 En decembre 1973

-~"i 1968/69 Total 1972 19T1/T2 Total

Comptabilite nationale 10

Commerce exterieur 3^

Production d1electricite 3 Production rainerale 2.

Production agricole ?"*

Production manufacturiere

Transports <

Enaeigneraent Services de sante Finances publiques Banques et finances

■Balance des paiements V

Prix (de gros ou de detail) 37

Par rapport aux donnees re9ues 0 .ur en decembre 1970, il y a eu une ame- A..«ii»« A* n^rm+.ahi 1 i tfi nationale et

I de rassemblement de donnoes mentionnees

verra

relatives a la sante (nombre de lits d'hSpital.

1973 Parmi lee sujetes enures, lea principal domaines pour leaquela on manqaait

le leJeT^eJants a jour a la fin'de 1973 etaient encore la' ccnptabilite nationale,

la telanofdes paiernents, la production manufacturiere et les servxces de .ante.

>. Apres avoir examine brievement dans quelle mesure on dispose de statistiques

africaSes il semble aPProt,rie de mentionner certains des problemes qui affeotent ifrasse^biement des donnees dans la region, oe qui" permettra de sug,erer des. .

mesures denature a- remelier a la situation.

80, On a deja examine dans la premiere partie du present ^^ le!'I*0

touclant a 1-organisation. En ce qui concerns les autres P»U » = , J^ ^

re3un,es ci-dessous sous 1'.angle des donees necessaires en vue deB efforts

developpement qui doivent etre entrepris dans un avemr immefliat.

(19)

e/cn. 14/CAS.9/4

Page 17

81. Le commerce exte>ieur est peut-etre le domaine ou 1' n ait le plus besoin

statistics. II est indispensable de di d d ^

posees

-eroiaux spooia-ox ne publient mmri

suffiaantM pour leur parmettfo de participer a la serie de recensements

aie°?onds V , i^ °°"s^"!noe le ^gramme africain dc ecensement a ete

population de l'ONU mais

d6pluS en plus

population etonnament eleves et 1'enquete

aPPel P^r ailleurs aux enquetes pour 1'estima- projets efficaces d1enregistrement des faits d'etat civil.

83. La principale lacuned.es statistiques africaines concerne le secteur des

consacrer les ressources disponibles pour ies enquetes aux recensements de la population et de 1'agriculture. Un regain d'interet pour les_enquetes sur les menages se fait jnur maintenant dans de nombreux Pays de la

regicn

BU Le manque de donnees adequates sur les raenages apparait comme un serieux

obstacle a la formulation des plans et des politiques qui s'impose pour diverses raiscns parrai lesquelles la plus importante ftst probablement la conception unifiee du developpement economique et social adoptee par la Strategie internationale et la otrategie africaine du developpement. Si 1'amelioration dU: bien-etre humain est consaderee comme le but ultime du developpement, il est necessaire de disposer regulierement de ren^eignements relativement complets sur les menages.

85. Parmi les problemes plus particuliers que pouent les donnees

on peut citer la necessity de reduire le dualisme des economies africaines et celle

. menages p-.>ur p -uvoir evaluer les effets de certains

projets, des contriles et des politiques eennomiques. Les donnees disponibles ac- tuellement sont insu:*fisantes pour l.a planification et il est pr-ibable que de nombreux groupes de la regi^ subissent les effets nefastes d>efforts de develop-

qui ne s-accompagnent pas de syatemes a-3equats d' e tablissement de rapports.

(20)

E/0K.14/CA3.9/4

Page 18

evaluer les.resultats c

a titre public ou "-*

etre utile a cet egard

face a la difficult generale qui consiste

resultats d'ordre economise et

l'estiraation

evaluer les marges de distribution.

88. La Srande questi,n suivante, ,u, aurait peut-etre ,u ».^J ^« ;

plas elevee, c -est-i-dire Stre menUonnee plus tot aucu,^ ,^^ 0 insideraUes

eat oelle des 3tatistiques.,n»a,tnel es 1 a e ^ gont dispo_

_ __«/„«,« ^= »™re de statistiques Baio outre <iub « ,-i_. t.»,= =+.a+^a.

nibles que "._

tiques industrielles son-

d'une mais il n'existe

la production des etatlissements

seoients.

d'estimer

a.l'aide des rapp-rts des entreprises

£~AAr.n + Won nn'elles

I^A v,

maniere donnees

que

ert sa publication jusqu'au moment ou

chiffres n'aur-mt plus bea-in d'e^e jusitifie pas, parce que le, compta^i

i&ees apres publication.

(21)

14/0AS.9/4

Page 19

1

91. Fait plus important, 1'attitude conservatrice actuelle envers les donnees de comptabilite nationals est loin d'etre realiste en ce qui concerne les besoins

d'iniormation. Comme il a ete souligne precedemment, lee gouvernements devraient

pouvcir prendre des mesures concertees a, l'egard des problems economiques touohan

la region et il est neces3aire de rasserabler des agregats a jour pour determiner les mesures et les politiques appropriees. Dans cette situation, il importe que les divers pays collaborent avec la CEA et d'autres organismes international pour

tives visant a resoudre les problemes economiques \ court terme et a ameliorer

la base des donnees regionales serviront a encourager la cooperation economique

future.

92, Un probleme,^ 1 >ng terme des comptabilites nationales africaines est le manqu<

d1arrangements techniques normalises. La region a accepte le Systeme de comptabi?- lite nationals revise de l'OHU pour la presentation des dnnnees mais de norabreux pays utilisent encore l'ancienne version de ce systeme ou bien le systeme

francais. La conversion n'est pas particulierement difficile mais le rythme tree lent auquel elle s'effectue ab-mtit a des pmblemes de presentation et d* analyse

des donnees au niveau regional.

93. Par ailleurs, certaines branches de comptabilite nationale devront faire l'ob- jet-d'une attention speciale, la plus imp-rtante etant celle des transactions ex- terieures. Seule une trentaine de pays africains f-»urnissent des donnees sur leur talar.ee de paiements, souvent de maniere irreguliere, ce qui rend difficile 1'eva luation de leur situation exterieure et interieure. L'etat assez peu satisfaisant de ces statistiques pr'>vient des liens que les pays ont maintenus avec les zones

monetaires. . .

c .^ v^ +

entre autres choses, rend malaise d'evaluer dans quelle

prestige. Tie me me la comptabilite publique

tration publique sont incompletes et ne sont pas norrnalisees de telle sorte que l'on ne peut juger facilement de 1'efficacite des services administratif6.

95. On a enonce plus haut un certain nombre de suggestions au sujet de 1'organisa- tion des statistiques et de la prngramma'tion des activites. La plus importante

ts merae dans le cas d1activites decentralioees.

assurer aux statistiqaes la place, qui leur revient dans 1>ensemble des activites

,-.. __ rt._ _ _- „.,+— ^«^«i^ 1'cHon+irtn miT 1'-incidence de plus en plus lortt

des problemes economiques m^ndiaux sur-1'Afrique et sur la necessite de fournir des renseignements adequats p:>ur aider a trouver des solutions. On a vu que la deaxieme Decennie du developpement revetait une importance particuliere enfant que moyen d'elargir et d' integrer les ^rations de rassemblement des donnees economiques et snciales et d'instaurer une meth-^e plus systematique et plus

rapine de communications des donnees.

96. Dans la deuxieme partie du present d-cument, on a examine jua^a maintenant dans quelle mesure les statistiques africaines les plus imp'-rtantes etaient dis- ponitles et ^n a s-uligne les problemes speciaux a res->udre. II convient d;nc

africains.

(22)

E/OH.U/CAS.9/4

Page 20

programme

rale au deyelopo font mieux comp:

employe. 'On peut; centraux

proWe.e

s de salaires et de conditions

conoretes a leur,; gou-r-

+ O On oeut etuaiex

accrois-

1'introduction de meilleures

(23)

entre du commerce e

nlorcer

^' -eS par

oe

cadre

et a

(24)
(25)

/CN.14/CAS.9/4

Page 23

113.Le seul problems special qui n'ait pas enc re ete etudie jusqu'ici est 1'eva luation du rendeuient des services publics et la question de savoir si la £)rotation de capital est >rientee dans .la bonne direction. La premiere partie de cette .ques tion sera dans une certaine mesure prise en consideration dans le nouveau systeme de statistiques sociales et lemographiques mais il s'ecoulera un certain temps avant que 1'on dispose de recommandations internati -nales fermes. II semble que la seule solution raisonnable actuellement est que tous les <rganismes charges de la formulation dee budgets et des plans nationaux etudient les effets de ces deperses d'apres les regies du bon sens, en fonction de toutes les donnees dis- ponibles.

114- Cette etude des mesures que doivent prendre les bureaux africains de statis- tiques sous 1'angle de la collaboration inlerinstitutiuns permet de les resumer en quelques grands groupes d'activites relativement simples : ,

1) ■ La coordination et 1'acceleration du rassemblement et de la publication

de toutes les donnees nationales, ce qui peut etre realise sans ressources supplementaires import aites.

2) L'amelioration des statistiques du commerce exterieura la fois en ce qui . concerne la rapidite de leur etablissement et leur p^rtee.

3) Le respect des engagementes aotaels en ce qui concerne les recensements de la population et I1execution des operations consecutives necessaires.

4) La rationalisation et I1expansion du rassemblement direct des donnees pro-

venant des menages et des etablissements par la creation d'organismes permanents d'enquetes sur le terrain, en vue 6e recevoir regulierement des donnees integrees dans les doraaines demographique et social et dans le domaine economique connexe et d'etendre la portee des ntatistiques de 1'industrie, des prix etc..

5) La normalisation des arrangements de comptabilite nationale, I1ameliora tion dea donnoes en. ce"qui concerne certains elements et 1'utilisation plus pousse"e de la comptabilite nationale pour 1'examen des tendances et des

problemes sconomiques actueXs. . , . ■

113, On n'a pas mentionne ici les statistiques sur 1'agriculture mais il faut se ...

souvenir qu'elles meritent d'etre etudiees spscialement par rapport a, 1'ensemble du programme- de statistiques. Meme si les donnees sur la production ou autres sont rassemblees par un organisme sur le terrain distinct, il y a eVidemifient une certaine coordination a assurer et certaines sortes de statistiques agricoles peuvent etre rassemblees au cours d'enquetee sur les menages.

116. Bvidemment aucuno des conditions specifiees ci-dessus ne peut etre remplie de

facori satisfaisante uar de petits bureaux de statistiques publics qui ont recours

sealement aux contacts officieax. avec d'autres ministeres et departements. Ce:tte conclusion nous ramene a la premiere et principals recommandation faite dans 1 . presente section: il est necesaaire" de creer des comites interinstitutionnels

permanents pour la planification et la coordination des travaux de statistique au

niveau national. .

(26)

E/ON.14/CAS.9/4

Page 24

117• XI faut considered la foarniture de statistiques adequates comrae un service national essentiel qui fequiert la participation d1organisme3 publics de toutes sortes. Le travail de comite, meme s'il e3t fastidieux, est le moyen le plus simple d1 assurer uaie meilleare comprehension et de coordonner les ressources. Son succes dans le domaine des statistiques dependra principalempoient de 1'efficacite des

trav&ux preparatoires effectuea par les chefs des "bureaux de statistiques. Les pro positions concernant le de'veloppemeht des statistiques doivent etre simples,

concretes et raanifestement viables. Elles doivent etre appuyees aussi par des explications convaincantes des contributions "qua les divers projets apporteront aux efforts de developpement economique et social.

Developpement du service regional cLe statistiques

118. Le programme de statistiqaes de la CEA a deux objectifs : 1) le developpement des organisations de statistiques africaines et 2) le developpement du pervice.

re:£Lonal de statistiques. Le premier de ces objectifs suppose la realisation de pr^jets d'assistance technique c'est-a-dire de projets concernant des services consultatifs re\-,ionaux, la formation et 1' application de methodes types. On examinera brievement les tendances de 1'assistance technique dans la pmchaine section du present document. La oresente section o ncerne les mesures qu'il est necessaire de prendre pour developper le service d'information regional.

119. Les raisons qui militent en faveur du developpement. <ie ce service ont deja ete debattues en detail. Les travaux executes actuellement comprennent la ^reparation reguliere des publications, 1'etablissement ^'etudes statistiques visant a combler certaines deslacunes les plus importantes en matiere de donnees et les repnnses a des demand.es speciales d'inforamtion. II convient aussi de noter que les activi- tes <?'etabliGsement et de traitement des demises fournissent des elements pour

l'iltude annuelle des conriiti->ns economiqueaen Afrique effectuee par la CEA et pour

les rapports biennaux regi^naax etablis pour la ceuxieme Decennie des Nations Unies

pour le developpement.

120. Etant donn6 que dans le present document on a tant insiste sur la necissite de

disposer de renseignements recents pour toute la region, il semble approprie de commencer par decrire les activites d!estimation de la comptabilite nationale et les activites connexes mentionnees precedemmeht.

121. Au cours du troisieme trimestre de chaque annee, la CEAenvoie dea missions dans la moitie des pays de la region environ. Ces missions ont lieu chaque annee

pour .les grands pays et unc fois tous les deux ans pour'les petits pays. Elles permettent de rassembler les renseignements les plus recents et d'evaluer sur le

terrain les progres et les problemes economiques. Elles visent aussi a aider a accelerer la distribution de donnees" par les voies normales des publications sta

tistiques nationales, des etudes economiques, des questionnaires internationaux,

etc..

122. Les renneignements. obtenus de cette maniere s'ajoutent a ceux qui parviennent au secretariat de touted les autres sources et sont gToupes dans les Donnees

econcraiques resumees etablies pour'45 pays africains. Celles-ci sont publiees

a la fin de l'annee et contiennent une evaluation de la production economique probable pour 1•annee en cours.

(27)

e/ost. H/CAS.9/4

Page 25

123. Le 3ecteur pmductif le plus important de 1'Afrique eat 1' agricul ture, ou les resultats sont souvent diffioiles a eValuer. En consequence a la fin de chaque annee les chiffres preliminaires concern^nt les modifications du produit interieur brut sont examine en fonction dea donnees de production agricole fournies par la FAD. Ceci fournit la premiere serie d'estimations unifiees pour la region les sous-regions et les divers pays, qui eat normaleiaent disponible en fevrier ou mars suivant l'annee a laquelle les chiffres se rapportent. A-la meme epoque environ un examen regional de la position indiquee par les donnees economiques resumesest presente dans le Bulletin d'information statistique et economique. Peu a pres, une synthese de ceci, grossie des renseignements supplementalres demandes specia- lement aux pays, parait dans la publication annuelle semi-graphique. intitulee

"Indicateurs economiques africains".

121.. En juin de chaque ann4e, on s'efforce de ventiler les chiffres du PIB pour lfannee precedente d'apres les principaux elements concernant l'origine et les defenses. Ces chiffres servent a etatlir le rapport annuel de la PAO sur la si

tuation mnndifllA r\t* Tslimon+B+inw «+ ^l^. T» «-; «..T J. .-!_.£.■_.■,__-,

ce-3 chiffres plus detailles peuvent etre encore precises grace aux nnuveaux rer

gnements fnurnis par les pays.

125. II existe done un cycle continu d'npSratims, qui fournit des donnees preli minaires pour les divers pays et des estimations brutes unifiees des resultats economiques nbtenus par la region tout entiere et permet e preciser et de develop- per ^raduellement les donnees au cours de 1'annee suivantecelle a laquelle se rap- pcrtentles chiffres. Les remarques precedentes tendent k etablir qu1actuellement

on travaille en utilisant les renseignements pr tenant des sources nationales et internationales accessibles a la CEA et dans le cadre d'un acenrd avec la FAO.

Cette description est evidemment tres simplifiee et il faut tenir compte des ele

ments indiques ci-apres.

126. Les pays de la region commencent a temoigner de leur interet pour une evalua tion rapide des resultats o"btenus en Afrique et une dizaine d'entre eux fournis- sent des evaluations des taux de croissahce du PIB peu apres la fin de chaque annee. Les renseignements ne parviennent pas encore suffisamment tot h la CEA pour qu'iDs puissent etre incorpores dans la premiere serie d'evaluations unifiees mais leur existence est un signe encourageant que 1'appel lance plus haut en faveur d'une participation plus grande des pays sera peut-etre ecoute,

127. D'autres organismes internationaux s'intoressent evidemment a une evaluation

complete, du point de vue geographique, des comptabilites nationales en fonction

de leurs propres travaux. La CSA procede deja, a des echanges de donnees utiles

avec la BIRD et avec le centre de la planification., des projections et des

politiques relati-rces au deVeloppement au Sie^e de l'OMJ et il semble que des

liens plus etroits soient en voie d'etre etablis avec le Fill. Toutefois il faut

expliquer a ce propos que les organismes internationaux ne se livrent pas a des activites d1^tablisdement de donnees purement theoriques et sans rapport avec

la realite. La regie generale de la CEA consiste a. toujours reraplacer les esti-

matiens par les .donnees officielles des pays, des que celles-ci deviennent dis- ponitles.

(28)

/ Page 26

analyse economiqu3 ou des etablis eh tant que

publication a l'echelle trois principaux organi

special eat 1'etablissement et la

--leroe exierieur. Les

ms.ce domaine sont le

et des details sur les echanges ™ f?^

Uris pour ohaque produit, selon "thode merciales pour les Etats membres assooies d au.tres pays qui peuvent devenir tels. .

130. La CEA a deux ,-s , -atisU^ue, a

S«4? A, ?ui concede la^f-^^/.r

limite de 100 000 dollars des Etats-

& LaCEE puUie des donnees com- .

*e et comLnce a s'interesser aux

ue

ifdirection du oo^oe dee produx .

ooncernant la serie B resulte d'un

mais il convient de noter Dans ure lefait

que la CEE

inte rensei

rssSD

compression necessaires pour pouv.xr

per profluit de tous ses Etats memtres.

avait » ens ae traite^ent ni ceux

+Iblir des MnnLs detaillees du commerce

etablxr

..

'■ ici que l'gtatlissement international des

mcins les

chiffres de valeur en une unite

collate,

6 trois principes pour la

principal P-duits^entrant

(29)

E/CN.U/CAS.9/4

Page 27

135- Ces criteres concernant le choix des elements 1 publier permettraient aux publications regi-nales d'etre plus completes sans :.evenir trop volumineuses.

Toutefcis, il faut souligner que la CSA devra etablir un stock d'informations detaille et complet sur le commerce africain et qu'outre les travaux concernant • les publications regulieres, elle devra surement executer davantage d'activites analytiques, et notamment mettre au point des matrices p>ur le commerce.

136. II reste le prnbleme consistant a rasserabler tous les chiiYres necessaires sur le commerce aans que cela demande tr-p de temps ou salt trop couteux. La revi- sion^prevue du materiel electronique de la CEA qui permettra 1'utilisation de rubans

ns magnetiques pourront aussi aider a.

obtenir des renaeignementj.de certains" pays de la region mais Us ne serviront pas a grand chose dand le cas de ceux qui sont generalement en retard p>ur publier leurs

rapports commerciaux annuels. Dans une certaine mesure les donnees cumulatives

figu.rar t danj les publications commerciales trimestrielles pourront constituer d'autres sources de renceignements ou bien l'>n pourra demander des tabulations' preliminaires limitees aux totaux de la CTCI et a certains articles. Toutefois, la -veritalle solution consiste a fonrnir un service consultatif regional qai aiderait

les pa^s interesses a etablir plus rapidement leurs statistiques oommerciales.

137. Outre les. deux sortes d'activites speciales examinees ci-desaus, la CSA doit

creer eon stock de donnees statiatiques generales pour l'Annuaire statistique re

gional^ le Bulletin d'information statistique et economique pour l'Afrique, les -

travaux en cours des autres divisions du secretariat et pour faire face aux demandes

de renteignements sp^ciaux. On a deja examine dans le present document les sources de ces donnees qui sont les publications nationales, les questionnaires interna-

tionaux periodiques, le rassemblement regulier de reni-eignements a l'aide de

misaiors dans les pays et de questionnaires speciaux, sans compter les periodiques

etc. publies dans les pays'developpes.

138. Le necessite de dispojer de renweignements a. #our suppose evideament que.l'pn utilise en permanence et de plus en plus largement toutes ces sources de donnees,

tout en evitant tout double emplni dans le processus de rassemblement des donnees et en^p-'ursuivant les efforts entrepris pour n .rmalij.er les statistiques. II sera peut-etre necessaire de decentraliuer dans une certaine mesure len arrangements internationaux de rassemblement des donnees mais a long terme les ameliorations dependront surtout de la capacite des divers pays a distribuer les donnees plus rapiien-ent..

139> La CEA doit extraire des chiffres n^uveaux et revises du vlume croissant de documentation mis a sa disposition et stacker des donnees de maniere systematique

■et accessible. Dans certains domaines, par exemple ceux du commerce exterieur, des statistiques industriellera et de la comptabilite nati-nale, les ren3eignements disponibles sont deja entierement ou partiellement places sur nrdinateur. Pour les autres sujets, lesdOBsiers de donnees etablis manuellement constituent le principal moyen ce stoctcage. Le nouvel ordinateur h bande magnetique representera une

methode de stockage plus sfficace et on espere qu'il permettra de produire de maniare automatique l'Annuaire statistique et des donnees repondant a des fins speciales.

(30)

£/.4

Page 28

«iSte -certain -nn.es

dam la memoire magnetique doit etre organii

n1 eet pas faci difierentes^-

maese encombrante ae "»»f'""?"- ^T'^toc^e "des donnees, a des demande.a de

les possibilites de repondre^grace^au btocKage des aonn.e ,

renteignementsspeciaux plus detailles.

H2. Co.pte du fait ,ue les chiflres doivent etre cinc.uantaine de pays afrioaxns, le vo

it fent decide

manuel des donnees dans de nomtreui

H3. I! consent ,e ,.ter =^

d'eifeotuer les operations ^*fff8

le rreSent document envisage oo,»e ur la regi.m africaine.

domalnes 6±f-

s^rvir a des fins analytiques generales s a

travaux visenu a ^t

il r1 exists pas de series Sauf lorsqu'on public

.es.e effective.ent au Sen,e de

^^fdno^Xu

doouLntation que la CEA s'efforce de produire. .

,». ,es etude, statxsti.ues oo^ennent ^-^^£!S^\S^^

d orites ci-dessus et une equate reffLonale ia p«xtae d ^ ^ ^ la aatraa «uj[.> traites JjjKuf* ™aiff^ra'rioa n, la ocnptaMlite puUiqua, la'

l l d com.e-ce intera.rioain y l

q ^ ^

aatraa «uj[.> traites JjjKuf* ™aiff^ra'rioa n, la ocnptaMlite puUiqua, la' stooture et le volume du co.m.e.-ce intera.rioain y di3tritation et les

fornation de capital, laa dapensaa fc™^^'^ re^liereaent le trarsports. De toute f^'enoe' .^^'^^f^ Oe "genre pourront gaider les tra-

Mtit^£TT^ K3AM5 ds

di

'^ re^liereaent les e pourront gaider les tra-

et d^anal^e dee donnees.

plain rationales et r :gix

prolaUes en donnees

ces deux niveaux, let, o

d'analysa et de presentation peuv»nt rasseraW.ement et 1' ntabli.sement

^- S .elative^ent long ,™.

(31)

\./oas.9/1

Page 29 ■

ues africaines

" *" P—'"3 ^«« de recense.ent agriculture et fie l'induetrie aux fina

s

™nues ou ^W "e ces annees reperes presente motion du d^ou.aent sont fondees dans I'enseSle Bu s b a

^f"8 aU —^ »«««•* ^ la pculationTde9

149- 'eu apres 1970 il eut apparu qu'envimn la moitie des pays de la

des di

150. II a ete dit plus haut et a la Commence des statisticiens africains que :

staxistiaJ: r°tenSernt ^SqUait ^ °r6er Un ^^^ili^a dans les aoSvI«e '

statiatiqaes nat:onales. Ici nous avono 1'intention d'examiner ce programme en ,

sTvlTaTl3; ^devBloppement des stati.tiques et de vnir comment 1'of pent se

aervir de 1'expenence qu'il a permis d'acquerir.

151. Le Pngramme africain de recenuement est ^articuli^

on aux depenses locales et par les services d'apoui ragionaux crees sppcialement aux fins du Programme.

fiSl P^t"!-rG l6 d^3=Lr de Con^id6rer le Programme comme un tout c^rdonne devant

etre execute au cours d'une periode relativement breve est-il 1'un des ^rincipaux facteurs qui ont entrave se3 progres. Cette politique a amene a .■organiser en sibilitesde realisation. Les pays devaient etablir pour le recensement des plans et ces buagetsprovisoires qui ne se sent Pa,5 toujour3 reveles satisfaisants et qui les genent maintenant pour prendre des dispositions plus roalistes..

133. En raison du volume de tr ,vaux preparatn.ires de tallies qu'ils entrainent, on

a recours pour les.recensements de la population dans les PayS administratevement

recensements a >ref delai ont provoqag un probleme de

recrutement particulierement aig-u au Oie-e de l-OMJ. D'autre part cela a amene a

preyoir des recensements dans certains pays a des periodes qui n'etaient pas op-

portunes compte tenu de la situation locale. Les retards dus a des problemes de

(32)

E/0N.14/CAS-9A1

Page 30

recrutement et a des difficultes loo-ales -ont^en fait abouti a un echelonnement du

programme qui aurait pu etre envisage plus tot.

ttt Du cote OOfflittf le Programme africain de reoensement fournira preaque- certai

n«n^4 Urf^des donnas de.ographi.ues de base ^^^^.r*^

que celles dont * pour les travau:

■ grande experience ;

recensement comine prefigurant les futures activites de developpement des statis-

tiques.

155. La necessite d'un n^uveau programme a grande ecfaelle s'est deja fait sentir pcur les donnees sur les menages, qui sent l'une des principals lacunes des

statistiques africaines. II convient de se rappeler que les statistiques demogra- phiques a elles seales sent d'une valeur limitSe aux fins du developpement. Biles dcive'nt etre examinees en etroite correlation avec d'autres donnees. economiques et scciales. D'autres facteurs pertinents sont les nombreuses demandes d assistance presentees par les pays et la Conference des stati.ticiens ^.^po.ur l^]p

.. .. . ?... ..._ «w*. ~a « Q+ I ^ nnyinpn+.inn nniiiee de la ■^■™tptrif! Interna

tionale du developpement a 1'egard du developpement economique

ment, la Comerence mondiale de la population a souligne les rapports entre la

population et le developpement.

156. En fonotion de oes facteurs, la huitie.ne session de la Conference des statis- ticien:, africaine a examine en novemDre 1973 un projet de proportion ooncornant un programme de statistics integrees phur les domaines demographique et social et p.ur le domaine eoonomigue, connexe, 4ui serait effectue apres le recensement,

v ^, :... »„, i=a mi^a^a. Cr nroftramme est maintenant ennnu sous le

nom abrege de Programme d'enquetes sur les menages en Afnque.

157, La Conference a donne son plein appui a ce Pmjet et a demande que Jȣt

orLni^ un ^rou,e rle travail sur la meth- -.logie, 1'organisation et le contenu des

oigam-e un groups V* 1 H^til tchniques et pra

. menages

iege de irCEA^our assurer.'uni approche m^ltidisciplinaire et une coordination adequate avec les autres activites sur le terrain.

■oupe de travail •••Bt reuni en septembre 1974

les besoins essentiels en .ionnees sur les -nages p^urr des programmes roguliers d'enquetes d>n

quatre annees. Des reoominandations -mt

: ^ i + 1 i

H a ensi^ere que tous

^■et^Vnchronisations des *™ fenque es^r^es . na« > j^

v,ftl1S+Pa Lp Grourie a egalement etabii un caienaiiyi

"nt le -ut du progra,mf tout entier et il a demand que des .esures

our les arrangements financiers et autres.

1,9. L-oboectif pratique_du pr-gram^_est ^der^^va^paya^

de donnees connexes sur les menages

l'-ppui administratif et technique

Références

Documents relatifs

Le développement social et communautaire municipal est une démarche de réflexion collective et de mobilisation qui vise à favoriser le développement d’une communauté

de la population québécoise de 15 ans et plus avec une incapacité utilisent de façon régulière les transports en commun pour leurs déplacements dans leur ville ou

Le développement social et communautaire municipal est une démarche de réflexion collective et de mobilisation qui vise à favoriser le développement d’une communauté solidaire

• Élaborer une politique environnementale et un plan d’actions environnementales qui tiennent compte des principes du développement social et qui renforcent la mise en place

La Ville de Lévis définit le développement social et communautaire comme « une démarche de réflexion collective et de mobilisation qui vise à favoriser le développement

La Ville de Lévis définit le développement social et communautaire comme « une démarche de réflexion collective et de mobilisation qui vise à favoriser le développement

Jugeant la satisfaction des besoins à travers leurs propres lunettes, nous avons vu que les premiers expriment leur mécontentement principalement en termes de problématiques

L'épargne  peut  baisser  l'intérêt.  Mais  s'il  n'y  a  pas  de  marchés  sur lesquels  on  peut  vendre  les  produits,  il  n'y  aura  pas  d'investissement