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Ministère de l'industrie, des Postes et Télécommunications et du Commerce Extérieur. LA CONSOMMATION DE CARBURANT DES

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Texte intégral

(1)

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FTC 11,CO

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Ministère de l'Industrie, des Postes et Télécommunications et du Commerce Extérieur .

Direction Générale de l'Energie et des Matières Premières Observatoire de L'Energie

DGEMP/OE/RC/CRC

Hs 1 6 4

Paris, le 2 0 JUIL 1993

LA CONSOMMATION DE CARBURANT DES

VOITURES PARTICULIERES EN FRANCE

il

(Résultats d'avril 1987 à décembre 1992)

Les résultats ci-après résultent de l'exploitation du panel SECODIP. A partir d'avril 1987, 3300 automobilistes ont noté leurs achats de carburant et les kilométrages au compteur correspondants. Ils ont utilisé pour cela un carnet de bord réalisé pour cette opération. Les informations ont été renvoyées chaque semaine à SECODIP pour exploitation. L'échantillon est représentatif du parc national, des conducteurs et des ménages.

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DOUZE CRITERES DE REPRESENTATIVITE ont été utilisés : - Ménages : structure par région

habitat

effectif du foyer âge du chef de ménage revenu du foyer degré de motorisation - Voitures : structure par type de carburant

puissance administrative

origine (marques françaises, étrangères) multi-équipement (n° d'ordre de la voiture) - âge du véhicule (année de première mise en circulation).

Cette affaire est suivie par M. Roland CURTET

99,rue de Grenelle 75353 PARIS CEDEX 07 - Tél.43.19.32.27 Fax : 43.19.41.88

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(2)

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Cette opération, compte tenu de son ampleur, est la première en France. En effet, les consommations conventionnelles, publiées par l'AFME, permettent d'effectuer des comparaisons des divers types de véhicules, mais dans des conditions différentes de la pratique. Le panel commandé par le SETRA de juin 1983 à août 1985 visait aussi la mesure des consommations moyennes. Mais la difficulté des mesures a conduit à abandonner l'étude des consommations, pour se limiter aux déplacements interurbains.

1 - RESULTATS GENERAUX

1

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1 !

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INDICATEURS GENERAUX DE CONSOMMATION

Consommation aux 100 km (en litres)

dont :

supercarburant essence ordinaire gazole

Période d'ian Avril 87 Mars 88

8,53

8,82 8,56 7,12

Année 1988

8,55

8,88 8,81 7,02

Année 1989

8,40

8,81 8,45 6,87

Année 1990

8,25

8,70 N.D.

6,73

Année 1991

8,14

8,65 N.D.

6,69

Année 1992

8,05

8,61 N.D.

6,62

En cinq ans, la consommation moyenne des voitures a diminué d'environ 6%. Ce phénomène résulte à la fois des progrès technologiques et de l'accroissement de la part des véhicules diesel : 10% du parc de voitures au 1.1.1987 ; 20% au 1.1.1993 d'après le Comité des Constructeurs Français d'Automobiles.

Par ailleurs, la moyenne des consommations aux 100 km se situe, pour le gazole, à environ 20 % au-dessous du super. Cependant, les utilisateurs de voitures diesel consomment annuellement de plus grandes quantités de carburant que les autres, compte tenu de leur kilométrage annuel supérieur : environ 1,8 fois celui des voitures au supercarburant. Malgré cela, et compte tenu des prix à la pompe, ce sont les utilisateurs de supercarburant qui dépensent, en moyenne, les sommes les plus importantes pour leurs achats de carburant.

En ce qui concerne les kilométrages, la distance moyenne parcourue en 1992 par les véhicules à essence a été de 10.290 km, les véhicules utilisant du gazole continuant à rouler nettement plus (18.308 km), en dépit d'une certaine banalisation du diesel.

4

(3)

W y * ! DEPENSES MOYENNES TOUS ESSENCES . ' • TOTALES CARBURANTS (SUPERET I (en francs) | | ORDINAIRE)

•*•'] K 1988 4 267 4 303

; » 1989 4 591 4 641

, i 1990 4 620 4 672 { I, I 1991 4 454 4 507

,. '. .'; : 1992 4 355 4 459

-t'> S i " ' — —

!

«. ••;• '• • Ces dépenses représentent les achats effectués en France, mais une pa '•• • f achetée à l'étranger (2,6 % en 1988,3,1 % en 1989,2,8 % en 1990,2,7 % en 1 ij j Entre 1991 et 1992, la baisse des sommes déboursées en France

• f !

: " - 2,2 % pour l'ensemble des carburants ' "r " - 1,1 % pour les essences

- 6,3 % pour le gazole

; Ces évolutions résultent de la faible variation des kilométrages rr

r tous les carburants, ainsi que de la baisse du prix des essences et du ga;

[ prix du super est affecté (à la baisse) par l'accroissement de la part du

!" cher d'environ 20 centimes le litre que le super plombé.

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^H | ; P7I PRIXDESCARBURANTSPAYESPARLESAUTDMOBIL

^ I • e-j

: ^ supercarburant

,..; «' " 5,5 y ^ -

- ^ * ™ " tous carburants ^ •"•

i 1; 4 "

f\ 'l'ï 3,5 : y ^^x^^—-^

Ny/ gazole

T % 1 .t.90 2.t.90 3.t.90 4.t.901 .t.91 2.t.91 3.t.91 4.191 1 .t.92 2.t.92

ri.' .

(4)

CARBURANTS SANS PLOMB

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'*• 4 . ' Le total des livraisons de super sans plomb a crû de 30 % de

* I Comité Professionnel du Pétrole). Dans le panel , le super sans pion j * 28% du volume total de carburants acheté par les ménages (plus du ri

; J été utilisé par près de 39 % des voitures particulières à essence. Parmi

T • ne consomment que du sans plomb (contre 26% en 1991). Ces demie iV" j A I „ plus fort que la moyenne : 12.149 km contre 10.290 km pour l'ense

• f'j jt , essence. Mais l'écart a diminué par rapport à 1991. Le super sans '*. I* ' constitué à 95% par du 98. Sur l'ensemble des volumes d'essence

; i ménages en 1992, le sans-plomb 98 représente 34,0% contre 1,6% pot

! 64,1% pour le super plombé, l'essence ordinaire étant désormais prai

:,-,« :: (0,3%).

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VARIATIONS DE LA CONSOMMATION MOYENNE A^

> , - . VEHICULES

; ' ' >

! Le tableau ci-dessous décrit la variabilité des consommations a

; . . selon l'âge des véhicules, et l'évolution par rapport à l'année précéder

\

I

'•'*- 4 I I 1 I

: ";\ (En litres/100 km) 1990 1991 1992

?' %

i% ['I' TOUS VEHICULES

! %

i l I à 5 a n s 7,77 7,69 7,61

\-~-, ! 6 à 10 ans 8,63 8,43 8,39 :i ; | • 11 à 15 ans 9,42 9,58 9,12

•i 'i : 16 ans et plus 9,69 10,15 10,89

* l j VEHICULESAESSENCE

'K| ] i 1 à 5 ans 8,30 8,28 8,30

i ) 1 6 à 10 ans 8,93 8,70 8,70

T' • ,,U. 11 à 15 ans 9,51 9,70 9,27

* . . • - ' ' 16 ans et plus 9,74 10,20 10,93

r ,-• 4 1 L = I I

%

(5)

r ». T

i Ainsi, l'écan de consommation est de l'ordre de 20 % entre le

^ * h leurs aînés de 10 ans : l'effet des progrès technologiques est renforcé

" des véhicules diesel, plus faibles consommateurs. L'écart est un peu moi , j » véhicules à essence : 10 à 15%.

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& 2 - CONSOMMATIONS SELON LES CARACTERISTIQUES DE

, • > t

"' l; :' : h i i l l

-C (en litres/100 km) Avril 87-Mars 88 ANNEE ANNEE ANNEI 1 - 1988 1989 1990

\ H o m m e F e m m e H F H F H

; • >

, . \ Tous carburant W 8'5 8'6 8'5 8'4 8'3 8'3

' ! Supercarburant g,9 8,6 9,0 8,7 9,0 8,6 8,8

G a z o l e 7 1 7,2 7,0 7,2 6,9 6,8 6,8

* i I 1 1 I M I I

; M- •

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' V II '

fî On observe une remarquable stabilité de la structure sur toute ' , • sauf pour le gazole. Compte tenu de la taille de l'échantillon, les rés J :- diesel sont plus sûrs pour les années récentes, où la part de gazole a au

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(6)

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CONSOMMATION MOYENNE SELON L'AGE DU CONDUC A CARBURANTS)

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; I î Période d'1 an Année Année Année i (en litres/100 km) Avril 87- 1988 1989 1990

;\ à I Mars 88

* "• * i. _ « _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ . _ ^ _ _ _ _ _ _ _ . . ______________ _

'.: * • Moins de 25 ans 8,3 8,3 8,0 7,6 De 25 à 34 ans 8,5 8,6 8,2 7,9

1 ; De 35 à 49 ans 8,7 8,6 8,5 8,5

" / ;: '• De 50 à 64 ans 8,4 8,5 8,4 8,3

'I : 65 ans et plus 8,5 8,5 8,4 8,3

' - ? . 1S

C'est toujours dans la classe des moins de 25 ans que la consommât la plus faible. En 1992, les plus fortes consommations sont le fait des 50- résultat a peu diminué depuis 1988.

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j CONSOMMATION MOYENNE SELON LA CATEGOR I : ; PROFESSIONNELLE DE L'UTILISATEUR (TOUS CARBURANTS) . •••• i ? '

', I

% fa' Période d'i an Année Année Année

"'\ 1IjE (en litres/100 km) Avril 87 - 1 9 8 8 1989 1 9 9 0 i * f Mars 88

^ ; —^-——^^^^—^^^^^^^^—— ^^^—^^—^—— ———^— ^^-^—^^^— —^———

j . Agriculteurs 8,8 8,9 8,2 8,2

1 ' 1 •' Artisans commerçanis 9,0 9,0 8,5 8,6 ! Cadres supérieurs 8,5 8,5 8,7 8,6

Professions intermédiaires 8,4 8,3 8,1 8,1

i» Employés 8,3 8,4 8,3 8,2 f/. - Ouvriers 8,7 8,8 8,5 8,2

K , ^ Inactifs 8,6 8,6 8,4 8,2

(7)

r » ] CONSOMMATION AUX 100 KILOMETRES 9,5

i , * supercarburant

i 9 —^_ 7=zr r^\

ï ; s - ^ / -X-A -^y-

• tous carburants

; !. 7,5

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> 6,5 ^ - - » r gazole

;

1 .t.90 2.t.90 3.t.90 4.t.901 .t.91 2.t.91 3.t.91 4.t.91 1 .t.922.t.92

Ces séries font apparaître une saisonnalité nette pour les deux types de consommation moyenne en hiver, minimum en été ; les mois extrêmes sont décembr .1 ;J des conditions de circulation : la part de circulation en ville (mesurée dans le panel)

< i notamment au mois d'août. Ces variations sont un peu moins fortes pour le gazole, I . circulation en ville est moins importante (17 % des kilomètres, contre 24 % pour l'ei l»\ I QUANTITES ACHETEES PAR V.P.

Pj* 36On

% gazole , i | 340 -Tr

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, . - tous carburants

! , 2 6 0 y y y / \ W

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. "" supercarburant

»% 180-'—' 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 r

?<• 1.t.902.t903.t.904.t.901.t.91 2.t.91 3.t.914.t.91 1.t.922.t.923.t.924.t.

Mk** La saisonnalité est ici inverse de la nrécédente en raisrm de la variation des W

(8)

\ DEPENSE TRIMESTRIELLE DE CARBURANT

v F (par véhicula)

I 1 4 0 0

I t supercarburant •

,, 1350 A —

à i ion/-» / A \ À

* i loUU / / \ \ 7~\

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1000—^2- SE \ -/- gazole \ /

950 V—

900-J—i 1 < 1 < 1 1 1 1 1 1 -

1 .t.902.t.903.t.904.t.901 .t.912.t.913.t.914.t.911 .t.922.t.923.t.S

1*

i

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ft!* L'évolution des dépenses moyennes est grosso modo parallèle. On not<

g de dépenses au troisième trimestre 1990 (début de la crise du Golfe, avec auj 1 Pn x d e s carburants), et le minimum au premier trimestre 1991 (guerre du GoI

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i . :•

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(9)

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i 4 - RESULTATS SUIVANT LA ZONE GEOGRAPHIQUE DE RESIDl

h : PART DE CARBURANT ACHETEE A L'ETRANGER, ï

* , VEHICULE

' Région de résidence 1988 1989 1990 199

! FRANCE ENTIERE 2,6 3,1 2,8 2,7 ALSACE 13,9 14,0 16,9 10,5 '""' N AQUITAINE 0,7 0,9 0,7 0,7 AUVERGNE 0,6 0,4 0,2 0,1 BASSE-NORMANDIE 0,4 0,5 0,4 0,1 BOURGOGNE 0,2 1,1 0,4 0,9 BRETAGNE 0,3 0,4 0,3 0,7 CENTRE 0,2 0,5 0,3 0,2 CHAMPAGNE 0,9 2,8 3,9 2,7 FRANCHE-COMTE 1,9 2,5 1,8 1,5 , j, HAUTE-NORMANDIE 1,0 0,6 0,0 0,2 J j LANGUEDOC- 1,4 1,9 1,2 1,6 J ROUSSILLON 0,2 0,2 0,0 0,0 m LIMOUSIN 12,3 13,6 14,2 19,C f.ïj LORRAINE 1,6 1,3 1,6 1,4

$ MIDI-PYRENEES 10,3 11,2 8,9 9,0 j f NORD 0,1 0,5 0,7 0,4

1I P A Y S D E L A L O I R E 2,5 3,4 2,1 0,7 ] PICARDIE 0,3 0,8 0,7 0,6 if POITOU-CHARENTES 2,1 1,8 2,0 0,8 ' : PROVENCE-COTE D'AZUR 1,2 1,4 1,6 1,3 1 ILE-DE-FRANCE 2,6 2,9 2,0 2,0

•*--*•." R H O N E - A L P E S

i .

i ,: ' ' — "

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,i • •' La part d'achats à l'étranger est faible. Elle a diminué en 1992, en pa les trois régions les plus concernées : Lorraine, Nord, Alsace.

(10)

V

4 CONSOMMATION MOYENNE SELON LA REGION DE RES

* (tous carburants)

> -

1

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i Période Année Année Année

:*;; (en litres/100 km) A v r»8 7 1988 m9 1990

• • mars 88

: ALSACE 8,2 8,2 8,5 8,2

AQUITAINE 8,1 8,1 8,1 7,9 . ' AUVERGNE 8,3 8,0 8,0 7,8 BASSE-NORMANDIE 8,7 8,3 7,9 8,1

\ BOURGOGNE 8,5 8,4 8,3 8,0 ' BRETAGNE 8,4 8,4 8,3 8,2 CENTRE 8,2 8,3 8,4 7,9 CHAMPAGNE 8,5 8,4 8,8 8,3 FRANCHE-COMTE 8,3 8,7 8,0 7,7 HAUTE-NORMANDIE 8,4 8,2 7,7 8,1 LANGUEDOC-ROUSSILLON 8,3 8,4 8,3 8,1 LIMOUSIN 9,2 9,2 9,3 8,6 ...i LORRAINE 8,1 8,2 8,0 8,0 -j MIDI-PYRENEES 8,3 8,4 8,0 7,7 i l NORD 8,5 8,5 8,5 8,2 f j PAYSDELALOIRE 8,2 8,2 8,1 8,0 Ui PICARDIE 8,2 8,2 8,0 8,2 3 POITOU-CHARENTES 8,5 8,5 7,9 7,9

% PROVENCE-COTE-D'AZUR 8,6 8,7 8,6 8,4

\ ILE-DE-FRANCE 8,9 9,1 8,8 8,7 j. RHONE-ALPES 8,8 8,8 8,8 8,4

•| ENSEMBLE 8,5 8,6 8,4 8,3 ,4

*"1 " L ' ' ' ' ' ~

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Ï

] Les résultats du tableau précédent doivent être interprétés avec pi

1 , -\f tenu de la taille de l'échantillon : la précision de l'ensemble est d'environ ( .' ''T chaque région, elle est plus faible. Cependant, la concordance entre les séri

•. Il existe donc des disparités régionales sensibles dans les consommations voitures. Les fortes consommations de l'Ile-de-France s'expliquent par l'ii

(11)

i CONSOMMATIONS AUX 100 KM SELON LE DEGR ' D'URBANISATION DE L'HABITAT

\ i

4

Ï,

A ! , SUPERCARBURANT I , HABITAT TOUSCARBURANTS (avec ou sans plomb) '*• ' (en litres) (en litres>

1 1989 1990 1991 1992 1989 1990 1991 1992 1

Communes < 2 000 79 7g 77 7 5 g4 8,3 8,2 8,2 6 habitants

2 000 à 49 999 habitants g j 8 i 0 8>0 7 i 8 gi5 8>5 8 i 6 8>4 6

• f 50 000 habitants et plus 8 i 7 g_5 8 j 4 8 j 3 9>0 8>9 8 8 8>8 7 (hors agglomération paris.)

Agglomération parisienne 9 0 8 jç 8j g,7 9,2 9,2 9,0 9,1 7,

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I; Les consommations moyennes croissent avec le taux d'urbanisation 1$ en évidence l'influence pénalisante de la circulation en ville : en agglomén .4 la consommation aux 100 km dépasse de 14% celle qui est observée dans 1<

jH , moins de 2 000 habitants. Le phénomène est maintenant perceptible aus

""3Il gazole que pour l'essence.

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(12)

S PRIX DES CARBURANTS PAYES SELON LE DEGRE D'URBANIS,

J L'HABITAT

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SUPERCARBURANT jl. ! H A B I T A T TOUS CARBURANTS (avec ou sans plomb)

C ' ' I I (en F/1) I (en F/1) [ '#:•

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i 1989 1990 1991 1992 1989 1990 1991 1992 198«

I

Communes < 2 000 4,74 4,88 4,81 4,61 5,11 5,29 5,27 5,11 3,23 habitants

2 000 à 49 999 habitants 4,71 4,87 4,79 4,59 5,08 5,26 5,26 5,11 3.23 JO 000 habitants et plus 4,78 4,94 4,91 4,76 5,09 5,26 5,25 5,10 3,22 (hors agglom. paris.)

Agglomération parisienne 5,01 5,18 5 Q 9 4,90 5,20 5,34 5,31 5,15 3,33

. ;' Tous habitats 4,78 4,95 4 g 9 4 ? 0 5,11 5,28 5,27 5,12 3,23

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1 .

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• Nous notons que les prix payés sont les plus élevés dans l'agglomératic : ; cela s'explique par l'absence presque totale des grandes surfaces dans la di i carburants. A l'inverse, les prix les moins élevés pour le super se situent dans I 50 000 habitants et plus. Sur les deux dernières années, la baisse du prix moyi , l . Yf \ par celle du coût du pétrole importé, mais aussi par la plus grande part du ga

• ' "'j" consommations.

(13)

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.t DEPENSE ANNUELLE DE CARBURANT SELON LE DE S D'URBANISATION DE L'HABITAT

} \.

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* TOUSCARBURANTS SUPERCARBURANT /k ! HABITAT (avec ou sans plomb)

£ . ' | I (en F) I (en F) |_

!' 1989 1990 1991 1992 1989 1990 1991 1992 1!

1 , MMiMMaBMMBBa BBBBBBBBBBMf M H M M H BMMMMMMi MMMMMMM MMMMMBH MMMMMMM M M M M BMBMI

i; •

;; Communes < 2 000 4506 4225 4219 4248 4756 4464 4292 4416 37 habitants

2 000 à 49 999 habitants 4511 4457 4409 4216 4733 4622 4423 4283 42 ,-•* •• 50 000 habitants ei plus 4494 4647 4445 4304 4524 4760 4485 4338 45

'^ (hors agglom. paris.)

Agglomération parisienne 5162 5339 5034 4871 5200 5583 5212 5038 n.s

• • Tous habitats 4591 4620 4454 4355 4641 4672 4507 4459 42

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»! En 1992, la dépense moyenne par véhicule a baissé de 2% par rapp<

| j : diminution touche toutes les zones d'habitat, sauf les communes rurales [I en essence ont augmenté) ; elle est particulièrement forte pour les véhiculf

" $ Par rapport à l'année 1990, la baisse est de près de 6%. Le niveau atteint

: j celui de 1989, dans toutes les zones.

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