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CERAMIQUE ET AUTONOMISATION DES FEMMES A TENGRELA (NORD COTE D’IVOIRE)pp. 7-20.

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Academic year: 2022

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1- Doctorante, Département d’Archéologie de l’Institut des Sciences Anthropologiques de Développement (ISAD), Université Félix Houphouët-Boigny Cocody-Abidjan- Côte d’Ivoire / tiantio.sanogo@yahoo.com

2- Maître de Conférences en Archéologie, Institut des Sciences Anthropologiques de Développement (ISAD), Université Félix Houphouët-Boigny Cocody-Abidjan /Côte d’Ivoire / kksimeon@yahoo.fr

Revue Africaine d’Anthropologie, Nyansa-Pô, n° 21 - 2016

CERAMIQUE ET AUTONOMISATION DES FEMMES A TENGRELA (NORD COTE D’IVOIRE)

RESUME

La céramique, cet auxiliaire indispensable à la vie domestique des sédentaires, connait une fortune singulière en Afrique. Elle est non seulement un marqueur culturel dans la plupart des sociétés, mais aussi, le matériau le plus abondant que l’homme y ait créé. C’est pour cerner l’impact de cette activité sur le devenir de la femme que nous avons décidé d’orienter notre étude sur le sujet suivant : « Céramique et autonomisation des femmes à Tengrela (nord côte d’Ivoire) ».

Tengrela, localité située à l’extrême nord de la Côte d’Ivoire regorge des femmes dynamiques qui ont choisi la céramique comme occupation à plein temps. L’étude s’appuie sur des sources écrites, des enquêtes orales et artisanales. Elle permet de découvrir des femmes indépendantes financièrement qui prennent une part active dans la gestion de leurs foyers.

Mots-clés : Céramique, Tengrela, Autonomisation, Femme, Côte d’Ivoire.

ABSTRACT

Ceramics, is an indispensable auxiliary to the domestic life of sedentary communities, knows a singular fortune in Africa. In most societies it is not only a cultural marker, but also the most abundant material that man has created. This work aims at determining the impact of this activity on woman future. We decided to focus our study on the following subject: «Ceramics and women empowerment in Tengrela (north Ivory Coast).»

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Tengrela, a town located in the far north of Côte d’Ivoire gathers dynamic women who chose ceramics as a full-time occupation. The study is based on written sources, oral and craft surveys. It permits to discover financial autonomous women who take an active part in the management of their homes.

Keywords: Ceramics, Tengrela, Empowerment, women, Ivory Coast.

INTRODUCTION

La céramique est certainement la découverte la plus importante qu’a connue l’humanité depuis le néolithique. Depuis lors, l’artisanat céramique est devenu une source inépuisable pour l’archéologue car il est fondamental pour la compréhension des structures socio- économiques de toute société (Biot et Fofana, 1991, p.91). La Côte d’Ivoire n’est pas restée en marge de cette découverte spectaculaire.

Presque toutes les régions du pays connaissent l’art de la terre cuite notamment la région de la Bagoué à travers le département de Tengrela. Ce département, qui est situé à 900 km de la capitale ivoirienne (Abidjan) compte 39 villages et est majoritairement composé de sénoufo, et de malinké (Monographie de la sous-préfecture de Tengrela, 2012, p.2). Malgré son enclavement, il regorge des femmes qui ont développé le métier de la poterie afin de couvrir le besoin de la population et de s’affranchir des vicissitudes du quotidien c›est-à- dire, d’être autonomes. Comment sont-elles arrivées à ce résultat ?

Les enquêtes menées sur le terrain dans la ville de Tengrela et les villages de Diamakani, Feni et Zélésso (cf. Carte de la région pour la localisation de Tengrela et des villages qui ont fait objet d’étude) permettent de saisir la nature de l’empreinte de ces femmes dans leur société. L’originalité de leurs efforts pour améliorer leur existence, dans un environnement dominé par les hommes se perçoit à trois niveaux : D’abord au niveau de la qualité des céramiques qu’elles proposent à la communauté de même qu’aux clients provenant d’autres contrées de la Côte d’Ivoire. Ensuite les ressources qu’elles parviennent à tirer de l’écoulement de leurs produits céramiques.

Enfin leur contribution à la gestion financière de leurs familles.

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Carte : La région de la Bagoué

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1- APERÇU DES CÉRAMIQUES TYPIQUES DU DÉPARTEMENT DE TENGRELA

La visite des villages de Diamakani, Feni et Zélésso nous a permis de rencontrer les potières dans leurs quartiers respectifs. Dans le département de Tengrela, le façonnage de la céramique est l’œuvre des femmes de la caste des noumou4, c’est-à-dire les femmes des forgerons. Elles sont reparties dans la population de Tengrela à travers divers groupes Senoufo précisément les Sénoufo Kadlé, les Nafana et les Gbandjé (les bambaras). Ces derniers appartiennent à la grande famille des mandés venus de l’ancien Mali (Ekanza, 2006, pp. 17-19).

Du fait de l’organisation de la société en caste, ce métier n’est pas l’apanage de toutes les femmes. Il est un héritage gardé jalousement par ces femmes qui est transmis de mère en fille.

Aucune femme ne peut bénéficier de ce savoir-faire si elle n’est pas de la caste des noumou (forgeron). Pour qu’une femme autre que noumou puisse embrasser ce corps de métier, il lui faut contracter mariage au sein de cette caste5. Cette barrière dressée par les regroupements sociaux conduit à la perpétuation de leurs savoir-faire. L’élément premier qui permet de percevoir cette catégorisation de la société se trouve dans l’originalité des récipients qu’elles proposent.

1. 1- Les jarres « djidaga »

Les potières peuvent façonner une (1) à trois (3) jarres dites

« djidaga » par jour. Cela dépend de leur inspiration, de la commande du client et de l’âge de la potière. Les djidaga ont un rôle spécifique : celui de la conservation de l’eau en lui fournissant une bonne senteur et un gout agréable6. D’un village à l’autre on retrouve les mêmes formes dévolues à la même fonction. Ces récipients ont en moyenne 32 à 43 cm de haut, 36 à 33 cm d’envergure et 20 à 42 cm de diamètre à l’ouverture. Ils peuvent ainsi recevoir jusqu’à 16 litres d’eau (cf. Photo n°1).

4- Entretien avec KONE Tenon, 80 ans, Chef de village et cultivateur, Zélésso le 07 septembre 2013

5- Entretien avec DEMBELE Koniba, 65ans, Potière, Feni, 09 Septembre 2014.

6- Entretien avec DIABATE Karidia 60 ans, potière, Diamakani, 08 Septembre 2013

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Photo n°1 : Les djidaga de la ville de Tengrela Photos : SANOGO Tiantio

En termes de spécialité, on constate que la fabrication des djidaga est l’apanage des potières basées dans la ville de Tengrela. Aussi, tout comme les potières des villages, elles fabriquent les « fladaga ».

Dans les villages de Diamakani, Féni et Zélésso ces femmes façonnent la majeure partie du temps des flagada et quelques jarres sous commande. Les canaris « les fladaga » en effet, sont beaucoup convoités par la population du département.

1. 2- Les canaris « flagada »

Les flagada sont remarquables par leur couleur noirâtre. Ils sont destinés à la cuisson des plantes médicinales qui entrent dans la composition de la pharmacopée. Le choix de cette couleur s’explique par le fait que ces récipients sont destinés à aller au feu pour pouvoir remplir leur fonction (cf. Photo n°2).

a) marché de Tengrela b) Feni Photo n°2 : Canaris (flagada)

Photos : SANOGO Tiantio

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Comparativement aux « djidaga » « les flagada » sont moins imposants. Ils ont en moyenne 5 à 22 cm de diamètre à l’ouverture, 13 à 30 cm d’envergure et 7 à 25 cm de haut. La forte demande de ces canaris par la population n’empêche pas les potières de diversifier leur savoir-faire. C’est pourquoi, elles façonnent en plus de ceux-ci des couscoussiers afin que chaque famille y trouve son compte. La base de l’alimentation et le confort de la population, est marquée par les denrées et les feuilles de certains arbres, que cette troisième catégorie de récipients céramiques sert à transformer.

1. 3- Les vases couscoussiers « gnigni » et les encensoirs « woussounandaga »

Il existe deux types de vases couscoussiers gnigni dans le département de Tengrela. Le premier sert à laver le soumara7. Le soumara est produit à base des grains du parkia biglobosa connu dans ces contrées sous l’appellation néré. Il est beaucoup prisé dans le nord de la Côte d’Ivoire où il sert à assaisonner les sauces.

C’est ce qui explique les perforations qui parsèment sa surface (cf.

Photo n°3a).

a) Zélésso b) Feni Photo n°3 : Les gnigni

Photos : SANOGO Tiantio

Le second type de vases couscoussiers (cf. Photo n°3b) sert à la cuisson du fonio. Les perforations dans ce cas se trouvent plutôt à la base.

7- Entretien avec DIABATE Karidia 60 ans, potière, op.cit.

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Les gnini type 1 ou type 2, outre leur fonction de couscoussier, se rejoignent aux niveaux de la hauteur, de l’envergure et du diamètre à l’ouverture. Ils ont respectivement en moyenne : 30 à 35 cm ; 16 à 30 cm et 20 à 31 cm.

Les encensoirs « woussounandaga » eux, jouent deux rôles. Ils servent premièrement de fourneaux pour réchauffer les maisons pendant les périodes de forte pluie et au cours de la saison de l’harmattan où la fraicheur sévit. Ils sont deuxièmement utilisés pour parfumer les maisons8. Ils sont de taille plus réduite et portent un couvercle et souvent des moyens de préhensions latéraux.

On enregistre en moyenne 12 à 15 cm de hauteur, 16 à 24 cm d’envergure et 9 à 15 cm diamètre à l’ouverture (cf. Photo n°4 a et b).

a) Zélésso b) Feni Photo n°4 : Les woussounandaga

Photos : SANOGO Tiantio

Les potières modèlent en plus des récipients cités plus haut, des écuelles. Cependant on note que cette catégorie de récipients conçue à l’origine pour satisfaire les besoins de la population en ustensile de cuisine, est de plus en plus délaissée au profil des récipients en aluminium.

1. 4- Les écuelles « nantchèdièlè »

Les nantchèdièlè se confectionnent que sur commande ou pour les besoins personnels des potières. Ces écuelles sont utilisées dans le service des sauces9 (cf. Photo n°5). Son aspect ouvert donne des

8- Entretien avec DIABATE Karidia 60 ans, potière, op.cit.

9- Entretien avec DIABATE Karidia 60 ans, potière, op.cit.

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orientations sur son usage. A l’heure du repas chaque convive y plonge sa main pour pouvoir se procurer de la soupe ou ‘le cabato’ (nourriture à base de maïs). Leur envergure se situe entre 20 cm et 24 cm.

Photo n°5 : Nantchèdièlè de Diamakani Photos : SANOGO Tiantio

Le façonnage de la céramique, héritage transmis de génération, n’est plus aujourd’hui uniquement un moyen de perpétuation de l’esprit des ancêtres potières. Il est devenu aussi un moyen indispensable à l’autonomisation de la femme. Ce savoir-faire ancestral tient de ce fait une place de choix dans la satisfaction des besoins vitaux des potières et de leurs familles.

2- LA POTERIE À TENGRELA : UN POUVOIR D’ACHAT RELATIVEMENT IMPORTANT

La poterie concourt au mieux-être des potières et de leur ménage.

Elles s’y adonnent avec sérieux et détermination. Bien que les potières façonnent les mêmes produits céramiques, leurs coûts varient d’une contrée à une autre. La nature du récipient en est également une des raisons.

Ainsi, dans le village de Diamakani, le prix des canaris varie de 1000 Fcfa à 1500 Fcfa voire plus. Les jarres sont commercialisées entre 3500 Fcfa et 6000 Fcfa. Ces montants sont marchandés. Ils sont donc sujets au rabais. Aussi parfois ses récipients sont tout simplement offerts à certains clients10. A Feni, les petits canaris sont vendus à 1000 Fcfa et les plus gros à 2000 Fcfa. Quant aux jarres,

10- Entretien avec DIABATE Karidia 60 ans, potière, op.cit.

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leur coût varie en fonction de la forme. La jarre moyenne coûte 4500 Fcfa et la plus grosse est parfois vendue à 7000 Fcfa. A Zélésso, les petits canaris sont vendus à 100 Fcfa, les moyens à 400 Fcfa et les gros à 500 Fcfa. Les prix des jarres sont également fixés en fonction du client. La petite jarre peut coûter 1000 Fcfa, la moyenne entre 2000 Fcfa et 2500 Fcfa et la grosse 5000 Fcfa.

Les céramiques vendues par les potières de Tengrela ville ont des prix un peu au dessus de celles vendues dans les villages. Cela s’explique par le fait que ces potières ont des taxes à payer à la mairie.

Ainsi les petits canaris sont vendus entre 400 Fcfa et 500 Fcfa et les plus gros à 750 Fcfa. Quant aux jarres, elles y coûtent respectivement 3000 Fcfa pour celles pouvant contenir 10 litres d’eau en moyenne et 7000 Fcfa pour celles qui ont un volume de 20 à 30 litres d’eau.

L’argent qu’elles engrangent de la vente de ces vases contribue à la bonne gestion de la famille et à son épanouissement.

3- LA CONTRIBUTION DES POTIÈRES À LA GESTION DU QUOTIDIEN FAMILIAL

Le métier de la poterie selon les potières est une activité noble qui nourrie les femmes qui s’y donnent à fond, avec amour et bravoure11. Grâce à ce métier, ces femmes subviennent à 80% au besoin de leurs différentes familles respectives. En effet, elles scolarisent leurs enfants, contribuent aux dépenses de la famille (nourriture, transport, santé,)12. En un mot, elles aident leurs maris à maintenir l’équilibre familial tout en ayant à l’esprit le respect de ceux-ci (leur mari) même quand ceux-ci sont au chômage13.

Dans leur conception, la femme se doit d’apporter la joie de vivre au sein du tissu familial14. Elles maintiennent donc cet héritage, confronté à la rude concurrence des vaisselles en aluminium, en porcelaine et en plastique, pour continuer à jouer valablement leur rôle dans la société. Par leurs efforts, elles contribuent à la bonne marche de la société en sortant dans des cas extrêmes leurs familles

11- Entretien avec DIARRASSOUBA Karidiatou, 43 ans, potière, Tengrela le 8 septembre 2014.

12- Idem

13- Entretien avec DEMBELE Koniba, 65ans, Potière, Feni, 09 Septembre 2014.

14- Idem

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de la léthargie, de la mendicité et des vices telles que le banditisme, l’alcool, la drogue (en ce qui concerne les enfants).

CONCLUSION

Les investigations que nous avons menées dans la région de la Bagoué, précisément au sein du département de Tengrela dans les villages de Diamakani, Feni, Zélésso et Tengrela ville, nous ont permis de rencontrer des potières à l’œuvre, de cerner leur savoir- faire et de voir les produits qu’elles façonnent. Epouses de forgerons, elles détiennent leur art, qu’elles pratiquent conjointement avec l’agriculture, de leurs mères. Elles façonnent des récipients de différentes natures qui aident la population à satisfaire certains de ses besoins primaires. En retour, les ressources issues de cet artisanat parviennent à les aider à s’investir dans la bonne marche de leurs différentes familles.

De ce fait, cette activité mérite d’être valorisée, et mieux encadrée par les pouvoirs publics, pour apporter une plus-value à la hauteur des efforts que ces femmes fournissent pour jouer leur rôle dans la société. En s’y investissant l’Etat pourra aider ces potières à évacuer leurs produits finis partout en Côte d’Ivoire et pourquoi pas dans la sous-région

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REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES Sources orales

Nom et Prénoms Âges Statut

professionnel Localités enquêtées

DEMBELE Koniba 65 Potière Féni/09-09-2014 DIABATE Karidia 60 Potière Diamakani/08-09-2013 KONE Fatoumata 50 Potière Zélésso/09-09-2013 DIARRA Adjara 20 Potière Feni/10-09-2013

BALLO Mariam 45 Potière Feni/10-09-2013

DEMBELE Siriki 75 Forgeron Feni/10-09-2013 DIARRASSOUBA

Karidiatou 43 Potière Tengrela/08-09-2014

D E M B E L E

Gnakoro 76 Chef du quartier

des forgerons Feni/09-09-2013 DEMBELE Chata 52 Potière Zélesso/10-09-2014 DEMBELE Karidia 46 Potière Zélesso/10-09-2014 KONE Achata 48 Potière Zélesso/10-09-2013 DEMBELE Aliman 50 Potière Zélesso/10-09-2013 KONE Tenon 80 Chef de village et

cultivateur Zélesso/07-09- 2013 Bibliographie

1. BALFET Hélène, FAUVET-BERTHELOT Marie-France, MONZON Susana, 2000, Lexique et Typologie des Poteries pour la Normalisation de la Description des Poteries. CNRS, Paris.

2. BIOT Bernadine, FOFANA Lemassou, 1991, « Contribution à l’histoire des techniques anciennes de Côte d’Ivoire : le cas de la céramique », Godo Godo revue semestrielle de l’Institut d’Histoire d’Art et d’Archéologie (IHAAA), 12, p.91-126.

DIABATE Henriette (dir), 1987, Mémorial de la Côte d’Ivoire. Ami, Abidjan.

3. EKANZA Simon-Pierre, 2006, Côte d’Ivoire : terre de convergence et d’accueil (XVe-XIXe siècle). Les éditions du CERAP, Abidjan.

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4. Monographie de la sous-préfecture de Tengrela, 2012, Rapport, non publié, Monographie, Tengrela, 22 p.

5. SANOGO Tiantio, 2014, La production céramique à Tengrela, non publié, Mémoire de Master, Abidjan, Université de Cocody, 109 p.

6. TROARE Aminata, TOURE Ismaïla, juin 1984, Potières de Côte d’Ivoire, Techniques, Besoins. IES, Abidjan.

Références

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