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L'Exposition municipale de Beaux-Arts. IV

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Academic year: 2021

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LE r,i REVOIS n -2 SEPTEMBRE 188.=»

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c o r r e s p o n d a n te de 188t. D e p u is 1 ouver­ t u r e , il v a eu 10,0:30 entrées contre 10,800 en ISSi.

(’e soir, m e r c re d i,s e p te m b re , grand concert d’orgue â la cathédrale de Saint- 1>,erre ; on entendra des morceaux d’or­

gue de Volkmar, Mozart, Mendelssohn, etc., ainsi qu’un Air pour soprano tiré d'Eve, légende sacrée de Massenet, Y Ada­

gio du 9mr concerto pour violon de Spohr, exécuté par M. Breidenstein, un Molette pour soprano, alto, ténor et basse, de no­ tre éminent organiste M. Ilæring, et le duo : Ht’ni soit le Seigneur, pour soprano et alto avec accompagnement de violon, tiré de l’oratorio Moïse de M. Nicole ; ce morceau que nous avons eu le plaisir d en­ tendre dernièrement, a été redemandé.— Le concert commencera à 7 h. 1 ^ .

Nous apprenons que les billets du con­ cert Colonne s’enlèvent chez les marchands de musique. Les retardataires doivent d’autant plus se presser que le célèbre orchestre ne se fera entendre qu’une seule fois dans notre ville.

Prud'hommes. Groupe VI. — Les patrons

tailleurs d’habits, chapeliers, fabricants de fleurs et plumes, bâchiers, cordiers, teinturiers, passe­ mentiers, fabricants de broderies et dentelles, tourneurs, fabricants de chemises, cravates, cor­ sets, fabricants de parapluies, bandagistes,ortho­ pédistes, fabricants de brosses, brossiers, cor­ donniers, tanneurs, mégissiers, vachers, sabo­ tiers, selliers, boureliers, corroyeurs, gantiers, maroquiniers, sont convoqués en assemblée gé­ nérale pour jeudi 24 septembre à 7 h. 1[2 du soir, café du Rhône, 10, salle du 1er. Ordre du jour : Renouvellement du juges prud’hommes.

— L’Exposition du Musée Rath restera ouverte jusqu’au dimanche prochain 27 courant au soir, dernier terme. (Communiqué).

— Les électeurs ouvriers du groupe I compre­ nant les horlogers travaillant le mouvement et les parties détachées, sau f ceux faisant la boîte jj de montre, sont invités à se rencontrer au Café |

du Midi, salle du 1er étage, place Chevelu, le I jeudi 24 septembre à 8 heures précises du soir. | Ordre du jour : Nomination du Comité électoral | pour la période 1885-87. Election préparatoire J

au Conseil de prud’hommes. ;

C o n s e il d ’K tat, (Séance du mardi

j

22 septembre.)— Le Conseil d’Etat a reçu 1 le serment de MM. Patry,maire de la com- | m u n e de Chêne-Bougeries, et Schaufel- I berger, maire de la commune de Lancy. Ü — Il a confirmé dans ses fonctions de di­ recteur de la prison de Saint-Antoine M. j John Duperret, nommé en septembre

1883. — Il a donné à M. Scholley,

j

Wilhelm-Ferdinand-Edouard, acte de sa

f

renonciation à la qualité de citoyen suis- J

se. —-Il a délégué M. Jaques Goutau, | conseiller municipal, pour présider la 2 commission électorale chargée de réviser ! les tableaux électoraux dressés en vue de l’élection des conseils de prud’hommes. — 11 a décidé de présenter au GrandCon- seil un projet de loi relatif à l’expropria­ tion d’une parcelle de terrain appartenant aux consorts Fernen, de Gonfignon.

C o n se il a d m i n i s t r a t i f . — (Séance du mardi 22 septembre.) — Le Conseil

Feuilleton du GENEVOIS

L A V E N G E A N C E DU

BEAU VICAIRE

Par 3I.-Ii GAGSfECR

33 (Suite).

Il était oppressé. Sa boucho était sèche, amère haletante. Il voyait danser devant ses ypux des points rouges et passer par instant des tlammes.

Sentant revenir sa lièvre cérébrale, il voulut réagir contre la maladie qui enfonçait dans s^n crâne ses griffes ardentes ; il entra dans un é'a- blissement de bains, et se tii donner une doucbe glacée pour calnitr la b'ûlure du cerveau.

Le frère Chaftln, qui ne l’avait pas un instant perdu de vue, était e:itré derrière lui.

— Ce monsieur, dit-il au maître de Pétabli-se- ment, est le m irquis de Rocliemaure ; il a le cer­ veau dérangé ; je suis chargé de le surveiller ; car on craint un suicide.

La demande de la douche confirmait l’alléga­ tion du frère.

Jean sortit du bain avec une grande prostra­ tion, mais plus maitre de lui.

Il entra ensuite dans un restaurant du bou­ levard. Il se laissa servir sans faire aucune alitentiou aui mets qu’on déposait devant lui.

administratif a fait pour la fondation Di- day les acquisitions suivantes à l’exposition des Beaux-Arts : Uîi apprenti, de M. Si-

mond Durand de Genève ; L'offrande, de M. Gustave de Beaumont de Genève ; Vue de Vevey, de M. A. Calame ; Pâturage du Jura, de M. F. Uuguenin de Neuchâlel ; Les Vignerons, de M. Gustave Jeanneret de Neuchâlel. — M. Philippe Boget a été nommé conservateur de la Bibliothèque publique, en remplacement de M. Plan, décédé. — Le Conseil administratif a ad­ jugé à Mlle F. Fourcy, l’exploitation du relief du Mont-Blanc.

K u r s a a l . — Lundi, un nombreux public assistait au concert. On remarquait de riches toilettes parmi l’auditoire fémi­ nin. Mlle Salambiuni, bien en voix, a bril­ lamment enlevé l’air du Pré-aux-Clercs. M. Frery l’a habilement secondée dans l’accompagnement, qui nécessite une exé­ cution irréprochable. L’éminente artiste a également obtenu un grand succès dans la Chanson espagnole de Delibes et dans l’air de Guillaume-Tell de Rossini. Mais Mlle Salambiani s’est surpassée et a exci­ té l’enthousiasme dans la Manola de Bour­ geois où elle s’accompagnait avec des cas­ tagnettes.

M. Jandelli, le digne élève de Lorenzi, a fort bien joué Autumn et a été vivement acclamé dans la Danse des Sylphes, mor­ ceau plein de difficultés dans les accords. L’orchestre de M. Gobert a exécuté avec une magistrale correction la Valse lente et Pizzicati. Ces deux morceaux ont été bissés. —- Après le concert belle soirée dansante.

Ce soir grand concert donné par la Cé- cilienne avec le concours de l’orchestre du Kursaal. Notre sympathique société chantera Germinal et Saltarelle, les deux chœurs qui lui ont valu les suffrages du jury du concours musical de Lyon.

îj’£x|iosition m u n i c i p a l e des B e a u x - A r t s

IY

M. Beaumont, Gustave de. — L'ofjran- de.— C’est l’âge d’or. Sur une prairie d’un vert immaculé, un sentier serpente. Des jeunes filles et des jeunes garçons qui, sans doute, ignorent le mal, car ils sont peu ou pas vêtus, défilent avec la candeur de l’innocence. Une jeune fille marche en tête et porte un plat en bois sur lequel une substance que nous n’avons pu défi­ nir se trouve étagée ; un groupe suit ; un jeune homme conduit une chèvre, un au­ tre porte un mouton, l’offrande probable­ ment. Cette bucolique composition, œuvre d’imagination pure, est peinte à peu de frais. Nous n’avons pas à demander de l’exactitude à l’auteur puisqu’il nous trans­ porte dans un monde idéal ; toutefois le pâturage qu’il nous présente a été traité si sommairement qu’il est permis de le trouver monotone, sinon banal. Les formes épurées de cette candide jeunesse ne pou­ vaient avoir un aspect plastique, nous le comprenons ; nous regrettons toutefois

Il essaya vainement de manger. Son estomac ! était toujours contracté. I! but quelques gouttes

de vin,et demanda l’addition: — Trente-cinq francs.,

Il fit un haut le corps; car il n’avait pas cette somme sur lui.

— iMais c’est un vol manifeste, s’écria-t-il, je ne paierai pas.

Une rumeur se produisit dans le restaurant. Le jésuite, qui se dissimulait dans un coin de la salle, s’approcha de la dame du comp­ toir.

— Ce jeune hom me, lui dit-il, n’a pas l’es­ prit en parfaite santé ; vous serez payée par la famille.

La caissière rappela le garçon, lai parla à l’oreille.

Après quelques mots chuchottés de table en table, le silence se fit; et l’on regarda avec une espèce de crainte le prétendu fou s’éloi­gner. Avant de rentrer chez lui, Jean erra quelqua temps encore.

Que ce grand Paris si peuplé, lui paraissait désert ! Cette animation même lui semblait tris­ te. Tous ces gens qui allaient et venaient, pous­ sés par on intérêt, une passion, éiaient heureux; car au moins ils avaient un mobile, eux.

Celui-ci était attendu par la femme aimée ; celui-là poursuivait une affaire. Cet autre, à l’œil inspiré, le front dans la nue, courait sans doute après cette chimère qu’on appelle la gloire.

Mais lui, quel pouvait être désormais le but de sa vie, sans Madeleine ?

Un instant, ses idées de suicide lui

revin-que les lois de l’anatomie ne soient pas applicables à ces chastes mais peu vivants personnages ; sans doute, la convention le voulait ainsi. Cette œuvre aussi fausse­ ment conçue que pauvrement exécutée a touché le jury qui l’a désignée au choix de la Ville. Si nous sommes bien infor­ més elle a été préférée au beau Maître d'armes italien de M. de Pury. Nous en ­ registrons le fait sans commentaires. Si le jury continue à être inspiré comme il l’a été trop souvent, nous savons bien de quel nom le public baptisera le musée Diday.

Portrait de M. H. F .— Très médiocre. M. Leenhardt, Max. — Prisonniers pro­ testants sous Louis X IV .— Cette toile aux dimensions immenses ne pourrait être observée convenablement que dans la grande salle du Bâtiment électoral. Il faut beaucoup d’audace pour oser aborder un épisode historique dans un aussi grand cadre car, dans le domaine de l’art, la fortune ne sourit pas toujours aux auda­ cieux. Ces soldats empesés, ces cadavres académiques sur cette toile d’un gris uni­ forme n'ont rien qui empoignent ; cette scène, d’une cruauté atroce cependant, la!sse le spectateur indifférent. Evidem­ ment l’artiste n’a pas touché juste.

M. Gervex, Henri. —- Une séance du jury de peinture. — Il y a du savoir, de l’habileté, dans ce tableau dont le sujet est ingrat. Il n’est pas attrayant, en effet, de peindre un groupe de messieurs en habits noirs et en chapeaux de haute forme. Néanmoins, autant qu’on en peut juger, la scène est exacte et les physionomies de ces blasés de l’art prises sur le fait. La belle perspective de cette grande salle est aussi à remarquer ; toutefois l’œu­ vre manque d’intérêt ; elle ne peut guère en offrir que pour les familiers du salon de Paris.

M. Hodler, Ferdinand. — Un regard dans Véternité. — Un charpentier sexa­ génaire est à moitié agenouillé sur un meuble renversé, une table de nuit, sem ­ ble-t-il ; d’une main il tient une scie, de l’autre il caresse une barbe phénoménale; autour de lui une bière, des planches, des copeaux. Il semble vraiment que M. Hodler a le goût du laid, car il a tout accumulé pour rendre son tableau désagréable à l’œil. Certains détails sont puissamment traités ; ainsi des planches sont rendues avec un grand relief, mais cela ne suffit pas pour sauver l’ensemble qui est déci­ dément mauvais ; ce brave charpentier possède, en particulier une chevelure et une barbe invraisemblables.

Régents à la cour du collège. — Il y a ? de cela trois siècles au moins. A cette époque, paraît-il, MM. les régents se pro­ menaient durant le quart-d’heure comme aujourd’hui. Ils sont cinq qui discutent j avec force gestes et contorsions. M. Hodler

j

a brossé des chanteurs automates qui sem- 1 blent prêts, chacun dans leur partie, à j exécuter un morceau comique. Si les pê- g dagogues modernes avaient une allure aussi grotesque, il faudrait fermer le col­ lège ; mais au seizième siècle la jeunesse

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rent. Toutefois il surmonta son découragement. — L’hom m e, neosa-t-il, a d’autres destinées que l’amour. L^ but de la vie n’est pas seulem ent le bonheur personnel. L’être intelligent et géné­ reux a de plus hauis devoirs. Il doit concourir, selon la mesure de ses forces, au bonheur g én é­ ra), à l’émancipation des esprits. La souffrance a sa raison d’être. Si j’eusse été d’emblée h e u ­ reux et riche, je me serais enfermé peut-être dans mon égoïste félicité, sans me préoccuper des douleurs du grand nombres. Mais que faire pour servir mes semblables ?

Il songea alors à la carrière politique. En République n’est-ce pas la carrière la plus no­ ble, celle qui permet le plus complet essor des sentiments hum anitaires?

Il se rappela cet homme éminent, très haut placé, pour lequel l’amiral lui avait donné une lettre d’introduction.

Il résolut d’aller le voir dès le lendemain. — Et puis, se dit-il, si je réussis à faire quel­ que bien, c est à elle, c est à son cher souvenir que jen ferai remonter tout le mérite.

Il rentra chez lui et sous cette inspiration i écrivit à Madeleine :

« Mon adorée. »

« Tout à l’heure, en recevant la nouvelle de votre mariage, j’ai un instant manqué de coura­ ge , car il ne me semblait pas possible de sup - porter la vie sans vous.

a Je ne vous adresserai aucun reproche, pau­

vre enfant ! Je connais votre coeur. Ou vous avez été abusée par les calomnies, ou vous vous ôtes sacrifiée au bonheur de vos parents. Donc je

vous pardonne.

» Je n’ai même pas à vous pardonner. Je vous

était plus respectueuse qu’aujourd’hui. On remarque aussi dans ce tableau des ac­ cessoires intéressants : par exemple les bâtiments du collège qui sont sobrement enlevés, le bon homme à la barbe blancke et à la physionomie rabelaisienne, mais l’œuvre en elle-même est manquée.

M. Calame, Arthur. — M. Calame a exposé deux toiles, Vue de Vevey et Soleil couchant dans lesquelles l’élément liquide lient la plus grande place. Ces deux ta­ bleaux sont très soignés ; il y a toutefois lieu de regretter que la terre n’y occupe pas un espace plus considérable. Franche­ ment M. Calame ne peut donner cette construction élevée à front du lac comme la vue de Vevey.

M. Brot, Edouard. — Brisaus (Nor­ mandie). La mer, très-houleuse, roule ses flots avec furie ; les vagues se brisent sur la plage avec de beaux reflets aigue-ma­ rine. II est difficile de faire mieux avec l’eau et le ciel. Le catalogue indique une autre œuvre de M. Brot : Villerville (Nor­ mandie) ; nous n’avons pas su la décou­ vrir.

M. Mazerolles, Joseph.— L'alliance de la Suisse et de la France. — Cette allégo­ rie, bien dessinée, bien peinte, peut être considérée comme le modèle d’un genre démodé aujourd’hui.

M. Chollet, Marcel.— Un point de com­ paraison. Une dame, en toilette de ville,

est assise devant un chevalet dans un ate­ lier de peintre; elle tient à la main une feuille de papier — qu’elle compare — à

une toile ébauchée qui se trouve sur le chevalet. Cette toile, fort agréablement peinte, présente peu d’intérêt — Prunes et pruneaux. — M. Chollet a déjà exposé à Genève des tableaux de nature morte fort remarqués. Les fruits appétissants f qu’il envoie cette année ne le cèdent en I rien à ses œuvres précédentes.

| M. Ortgies, Edouard. — Troupeau en repos. — Voilà un berger qui a choisi un endroit bien escarpé pour faire reposer | ses vaches. La pente est raide et caillou- I teuse; le précipice n’est pas loin. Une des vaches a positivement l’air de pousser sa voisine dans l’abîme ; ces braves animaux sont certainement incapables d’une action aussi noire. Le dessin laisse beaucoup à désirer et le coloris est faux. A. B.

ISerasSèr©» ŒoiiveMess

Sofia, 21 septembre. Un décret convoque PAssemblée nationale pour après-dem ain.

Vienne, 21 septembre.

Le roi de Serbie, après une conférence de deux

heures avec l’ambassadeur anglais, est parti hier

soir pour Belgrade.

Le roi et la reine de Roumanie sont partis ce matin de bonne heure pour Bucharest.

La Correspondance politique publie une pro­

clamation du prince de Bulgarie, datée de Tir- now o le 26 septembre ; elle est ainsi conçue :

« Nous, Alexandre, prince de la Bulgarfe du Nord et de la Bulgarie du Sud, par la volonté de Dieu tout-puissant et du peuple, faisons connaître à notre peuple que la population de la Roumélie orientale, en date du 18 septembre, après avoir renversé son gouvernement, a insti­ tué un gouvernement provisoire et nous a pro­ admire et je vous adore comm e par le passé ; car rien ne peut amoindrir à mes yeux la chère idole ; et tant que mon cœur battra, il battra pour elle. Peut-être un jour aurez-vous besoin de moi.

* Rappelez-vous alors que vous trouverez en

moi, quoi qu’il arrive, un appui, un ami qui sera

toujours tout à vous. JEAN DE R .d

Il enferma cette lettre dans une autre à Mme Herbaut, et se sentit un peu moins malheureux.

De son côté, le frère Chaffin, rentré dans la

mansarde qu’il occupait au sixième étage de

I

l’hôtel, écrivait, dans une sorte de journal où il

prenait note jour par jour, heure par heure, des faits et gestes de Jean :

« 28 septembre.

a Ce matin, à huit heures, a reçu une lettre

d’une écriture de femme avec le timbre de Châ- teaubourg.

a Grande prostration, mais sans évanouisse­ m ent. A pleuré. Puis, tout à coup, vive surex­ citation. A voulu se suicider. Ai soustrait le re­ volver.

* Promenade extravagante sur les boulevards. Marchait comme un fou. A pris bain et douche. Scandale, bruit dans un restaurant. Rentré à

minuit, plus calme. «

Cette noie était suivie de l’adresse des bains et du restaurant où Jean s’était arrêté.

XXXVI

Pendant la nuit, Jean se confirma dans la ré­ solution d ’aller, dès le lendemain, se présenter

chez le personnage, pour lequel l’amiral lai

avait donné une lettre d’introduction.

Références

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