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Un design novateur A l'instar d'une sculpture métallique, les surfaces galbées de la Cougar sont reliées entre elles par des traits vigoureux qui retiennent la lumière

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Academic year: 2021

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(1)

Marché de l'automobile:

(2)

GARAGE CENTRAL SA FRIBOURG Rue de l'Industrie 7

1705 FRIBOURG

Administration + vente: tél. 026/425 81 20 fax 026/425 81 30

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La Cougar bondit en 1re Européenne

au Salon International de Genève

«New Edge Design»

Le style et l'espace intérieur vus

par Ford

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Outage 2.A c v\\esses

La Ford Cougar, le nouveau Coupé de Ford, rassemble toutes les qualités de la philosophie de Ford.

Après la sympathique KA et la dynamique Puma, la lignée se complète avec la très expressive «Cou¬

gar» qui procure un plaisir de conduire nouveau, dans un confort, une sécurité et un espace intérieur exceptionnels.

Un design novateur

A l'instar d'une sculpture métallique, les surfaces galbées de la Cougar sont reliées entre elles par des traits vigoureux qui retiennent la lumière. L'audacieuse découpe des glaces latérales met en valeur la ligne de ceinture plongeante et confère à l'ensemble un aspect de félin prêt à bondir.

Nous aimerions que vous soyez parmi les premiers privilégiés à essayer ce nouveau Coupé chez votre concessionnaire Ford - Garage Central à Fribourg et Garage Geinoz à Bulle - dès septembre prochain.

Cependant rien ne nous ferait plus plaisir que de vous rencontrer au Salon de l'automobile de Genève afin d'admirer la Ford Cougar et de découvrir un stand Ford exceptionnel, où Ford se présentera au public sous un tout nouveau visage.

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GARAGE

MICHEL GEINOZ SA Rue de Vevey 92 1630 Bulle Tél. 026/919 81 81

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(3)

Le billet Une société

qui va à la dérive

Ôuotidiennement on entend dire dans la rue, dans les établissements publics et même dans les foyers que la Suisse est le pays le plus riche du monde, que les banques font des milliards de bénéfice, que Von gaspille des millions à tort et à travers, alors qu 'il y a dans notre petite patrie des cen¬

taines de milliers de pauvres, si ce 11 'estplus! En vérité, un demi-million d'indigents qui sont en passe de devenir un nouveau mythe national.

Liulu •Pi ILLUSTRE

La pauvreté existe aus¬

si dans le canton de Fribourg comme partout ailleurs, puisqu'on évalue à quinze pour cent le nombre de personnes qui font l'ob¬

jet d'un dossier social, soit près de quarante pour cent de plus qu'il y a une décen¬

nie. Cela ne veut pas dire qu'ils sont tous pauvres, même si la plupart d'entre eux sont pris en charge par les communes. On constate cependant une tendance à la hausse qui est due spéciale¬

ment au nombre de bénéfi¬

ciaires AVS/AI dont les ver¬

sements accordés par la caisse de compensation se montaient à près de quaran¬

te millions dans les années soixante et ont atteint sep¬

tante millions il y a un lustre.

Autre problème qui anime les conversa¬

tions en Suisse et tout parti¬

culièrement depuis que le passage des frontières est pratiquement libre en Euro¬

pe, c'est l'afflux exagéré de requérants d'asile, dont une infime partie seulement a une conduite irréprochable dans notre pays. En plus de ceux qui n'ont rien ou presque rien à se reprocher,

il y a des milliers d'indivi¬

dus qui ont été contraints de fuir leur pays, le plus sou¬

vent pour des raisons poli¬

tiques ou autres motifs que nous ignorons, et qui vien¬

nent pleurer dans le gilet de nos institutions pour être accueillis comme requé¬

rants d'asile. Certains d'en¬

tre eux sont, dans la plupart des cas, les auteurs de vols commis dans les villas, éta¬

blissements publics, entre¬

prises, des bagarres à coups de couteau dans les bars, des agressions dans la rue, des meurtres et attaques à main armée.

La Suisse, trop géné¬

reuse, ne devrait-elle pas être un peu plus sévère avec ces gens que l'on ne veut plus dans leurs pays respectifs? Les autorités tant cantonales que fédé¬

rales devraient, elles aussi, savoir que la sécurité de notre population est de plus en plus menacée face à cer¬

tains requérants d'asile considérés comme des mal¬

frats, aigrefins ou res¬

quilleurs. Les institutions qui les accueillent ne por- tent-elles pas une part de responsabilité sur cet état de faits, étant donné

qu'elles ont l'obligation de vérifier l'origine de tous les requérants qui arrivent chez nous, de connaître leur pas¬

sé et les raisons pour les¬

quelles ils se réfugient dans notre pays?

La situation commence à devenir intenable pour le Suisse qui se sent de plus en plus étranger chez lui. L'heure est donc venue d'examiner ce problème de requérant d'asile avec plus de sérieux et de n'accepter dans notre pays que ceux qui n'ont rien à se repro¬

cher, qui sont capables de s'intégrer à la mentalité de notre population et disposés à travailler. Ce n'est pas à nous citoyens d'œuvrer jour et nuit, de payer des impôts sur le salaire et en¬

core sur la rente AVS, soit deux fois, afin de permettre à la Confédération helvé¬

tique de dépenser des mil¬

liards pour des larrons.

Sans être raciste, le peuple suisse en a ras le bol et ne va pas tarder à se fâcher et à montrer les dents, si ce n'est les griffes!

Gérard Bourquenoud

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I

ILLUSTRE Sommaire 6 mars 1998 - N° 5 5 Les sports

La santé par le sport 6 Ecole de conduite

Un document pour la vie 9 Pour les lecteurs en herbe

Un choix de livres à découvrir 10 Marché de l'automobile

Tendance à la hausse 12 Artisanat

Les sorcières de la Gruyère 13 Curiosités

La machine à coudre de grand-mère

On y vient du monde entier pour le visiter, ce Musée suisse de la machine à coudre sis au quartier du Bourg, à Fribourg. Il a été créé par Edouard Wassmer, qui en est l'âme et le conserva¬

teur. On y découvre aussi beaucoup d'au¬

tres objets ménagers du passé.

14 Ecole de conduite

Etre moniteur exige du calme et de la patience Pour chaque person¬

ne, être en possession de son permis de conduire est un événe¬

ment important dans sa vie, car à partir de ce jour-là elle est auto¬

risée à rouler seule au volant de sa propre voiture.

1 7 Ellipses

Cinéma, théâtre, histoire 21 Le patê d'intche-no

Hou patêjan dè rèthèta 22 Propos de table

La «Luge» à Moléson

23 Les arts

A voir au château de Gruyères 24 Au fil de la Glane

La sortie des contemporains 25 Huitième district

Le courage d'une Fribourgeoise de Bienne 27 Société

La formation continue Lors de la manifesta¬

tion qui a marqué ré¬

cemment le centième anniversaire de l'Asso¬

ciation des anciens élèves de Grangeneu- ve, il a été question de la formation continue qui pourrait se concré¬

tiser avec la collabo¬

ration de l'Institut agri¬

cole.

31 Artisanat

Un concours d'art populaire 33 L'esprit du temps

La confession 34 Sourire à la vie

Des enfants heureux 36 Santé

Le problème du rhumatisme 37 Nos aînés

La vie en chantant 39 Hommage à...

Ceux qui nous ont quittés

NOTRE COUVERTURE La voiture: mobilité sur mesure

La voiture mascotte de l'affiche du 68e Salon inter¬

national de l'automobile de Genève symbolise une tendance nette chez tous les constructeurs en cette fin de siècle: la forme ronde. Mais plus près de chez vous, vous avez le privilège de découvrir toute la gamme Opel - et cela dès le 20 mars - chez Automobiles Belle-Croix, à Villars-sur-Glâne.

PHOTO OPEL, BIENNE

(5)

La santé

par

le sport

Ê-Jratiquer un sport ré- M. gulièrement c'est un excellent moyen de se sen¬

tir mieux et bien dans son corps et dans sa tête.

Qu'est-ce que cela signi¬

fie? Les effets du sport sont très nombreux; le sport ne joue pas uniquement un rôle sur la forme physique, la silhouette, mais égale¬

ment sur la santé et le mo¬

ral. Regardons plus en dé¬

tail chaque point.

La silhouette

Le sport affine et embellit le corps. Attention, cependant, aux désillusions! N'allez pas croire que si vous faites trois heures de gymnastique par se¬

maine vous allez perdre forcé¬

ment du poids. Pendant un exercice physique nous trans¬

pirons, l'eau perdue est élimi¬

née par la transpiration, et cela peut donner l'impression d'une perte de poids. Mais cet¬

te fausse perte de poids est compensée par une absorption équivalente d'eau. Certes, le fait de faire votre gym aide à maigrir, mais pour cela il faut également faire attention à ce que vous mangez... Donc ne vous réjouissez pas trop vite si après une heure de sauna vous avez perdu 1 kilo...

Cependant, le sport permet de combattre efficacement la cellulite, d'affiner le corps et d'harmoniser la masse muscu¬

laire, sans entraîner une prise de poids excessive, sauf si vous êtes une adepte du body¬

building...

Les effets psychologiques La pratique d'un sport, quel qu'il soit, a également des ré¬

percussions non négligeables sur le plan psychologique. Ces effets, les voici:

• Le sport est un facteur d'har¬

monie dans la gestion de son propre corps, à de nombreux points de vue. En améliorant les performances musculaires et la coordination des gestes, le sport aide à la constitution d'une meilleure image de soi.

Il permet de prendre conscien¬

ce de ses capacités et de ses li¬

mites. Il a un effet relaxant bien connu et participe à la ré¬

gulation des grandes fonc tions de l'organisme: le sportif dort mieux, s'ali mente correctement et est souvent obligé, s'il veut rester à un bon niveau de performan¬

ce, d'éliminer au moins partiellement de mauvaises habi¬

tudes comme le taba¬

gisme et l'alcool. Pra¬

tiqué de façon modérée mais conti¬

nue, tout au long de la vie, il a un effet remar¬

quable sur le système cardio-vasculaire ^ respiratoire. Le cœur d'un sportif bat plus lentement, plus fort, et présente moins de risque d'in¬

suffisance cardiaque. Le spor¬

tif est également moins sujet à l'hypertension artérielle. Tou¬

tefois, après quarante ans, il est indispensable de faire contrôler son cœur par des électrocardiogrammes d'ef¬

fort.

• Le sport stimule la confiance en soi, l'esprit de compétition et la volonté de parvenir à quelque chose. Il nous ap¬

prend à accepter l'échec tem¬

poraire et à comprendre que si l'on ne réussit par à réaliser quelque chose du premier coup, il faut persévérer. La pratique d'un sport d'équipe développe l'esprit de groupe, le respect de l'autre et enrichit le cercle relationnel. Lorsque l'on pratique un sport, cela procure une sensation de plai¬

sir, sans doute liée à la libéra¬

tion par le cerveau de subs¬

tances hormonales, les endorphines. Le sport permet de libérer l'agressivité et contribue à réduire le stress et l'anxiété. Le sport est avant tout une source de plaisir et de distraction, il permet de s'éva¬

der du quotidien et d'oublier les soucis professionnels et fa¬

miliaux.

Les inconvénients Un mau¬

vais en¬

traînement ou le syn¬

drome du surentraîne¬

ment est bien connu des sportifs, car il conduit à des contre performances parfois étonnantes, que l'on met souvent sur le compte d'une

«mauvaise forme».

Tout entraînement de longue durée, d'autant plus s'il doit conduire un jour à la compéti¬

tion de haut niveau, doit être

réalisé sous la surveillance d'un entraîneur spécialisé.

Cette surveillance est d'autant plus importante qu'il est très facile de commettre des er¬

reurs, qui empêchent parfois de continuer l'exercice sportif, ou qui peuvent présenter un danger pour l'organisme.

Le phénomène de surentraîne¬

ment est dû à la pratique ex¬

cessive d'un exercice phy¬

sique, qui s'accompagne d'un état de dépression. On le voit apparaître lorsque les phases d'entraînement sont trop longues et, surtout, quand le temps de récupération est trop court entre chaque séance. Le surentraînement se manifeste par une baisse sensible des performances et un état dé¬

pressif inexplicable.

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N'oubliez pas de boire Les inconditionnels du sport savent que l'eau est très im¬

portante et que la déshydra¬

tation provoquée par des efforts physiques peut pro¬

voquer des troubles impor¬

tants. La transpiration s'ar¬

rête, le cœur s'emballe, des nausées, des évanouisse¬

ments surviennent... Les claquages et autres tendi¬

nites seraient également plus fréquents chez ceux qui ne boivent pas. Com¬

ment boire? Trois heures avant de commencer votre exercice physique, buvez un demi-litre d'eau. Contraire¬

ment aux idées reçues, il faut boire pendant l'effort.

Buvez 5 à 6 gorgées d'eau toutes les 15 minutes. Une fois l'exercice physique ter¬

miné, vous devez continuer à vous hydrater, et ce pen¬

dant deux heures. Ainsi les pertes dues à la transpiration seront compensées. Il faut donc s'hydrater correcte¬

ment et suffisamment, sur¬

tout si vous pratiquez un sport d'endurance.

(6)

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Ecole de conduite

IH ILLUSTRE Que de manœuvres répétées pour jj^ réussir son examen de conduite!

PHOTOS G. BD

Qu'il est difficile de parquer sa voiture dans un espace aussi restreint!

Le permis de condi

f\I otre société a la JL t bougeotte, donc chacun veut sa voiture, et pour rouler il faut obliga¬

toirement un permis de conduire. Et pour obtenir ce document indispensable qui vous autorise à vous mettre au volant d'une au¬

tomobile, vous devez pas¬

ser par une école de conduite et un expert en circulation statuera sur vos qualités de conducteur.

INTERVIEW de Patrice Desdoux, président de l'Association

fribourgeoise des écoles de conduite

FI - Depuis quand assumez- vous la fonction de président de cette association qui compte combien de mem¬

bres?

P. Descloux - J'ai succédé il y a une année seulement à Mi¬

chel Maillard, qui a assumé cette fonction pendant vingt- deux ans. Fondée le 6 dé¬

cembre 1950, cette association compte actuellement septante moniteurs d'auto-école, dont une cinquantaine pratiquent toujours la profession, soit à mi-temps, soit à plein temps.

- Dans quels buts précis votre association a-t-elle été créée?

- Dans le dessein de regrouper des forces, afin de défendre les intérêts de la profession, mais aussi de maintenir des contacts très étroits avec le Service des automobiles.

- Comment se présente à l'heure actuelle la situation des écoles de conduite?

- Depuis quelques années, nous avons constaté une ré¬

gression due en premier lieu à la récession économique qui obligeait bon nombre de Fri- bourgeois à repousser à plus

Un documenf

valable pour la vie

tard l'école de conduite. Il y a d'autre part de jour en jour un nombre croissant de moniteurs d'auto-école et de moins en moins d'élèves conducteurs.

- A combien revient au¬

jourd'hui un permis de conduire?

- Le tarif peut varier d'un élè¬

ve à l'autre, mais en général il faut compter entre 1800 et 2500 francs, soit 1500 francs pour la pratique, 190 francs pour la sensibilisation, 200 francs pour le permis d'élève et 100 francs pour le cours de samaritain. Ce qui n'est pas exagéré pour un document qui vous est utile toute votre vie.

- Que représentent pour vous une automobile et un permis?

- Cela signifie beaucoup de choses. Depuis tout jeune, l'automobile était ma passion, raison pour laquelle j'ai ac¬

compli un apprentissage de mécanicien, avant de devenir moniteur d'auto-école. Je me suis toujours intéressé aux nouveautés techniques et en plus j'adore conduire. Person¬

nellement, je considère la voi¬

ture comme un instrument de travail et un objet de luxe qui rend quotidiennement des ser¬

vices. Et sans permis, nous ne pouvons ni conduire, ni ap¬

prendre à conduire.

Propos recueillis par Vanessa Nobel - G. Bd

(7)

ASSOCIATION FRIBOURGEOISE DES ÉCOLES DE CIRCULATION Aebischer Pierre

Amsler Fritz

Bader Schoenmann Anne Baeriswyl André

Beaud Yves Berset Francis Berset Joël Binz Erwin

Bourqui Jean-Michel Brügger Albert Chapelle Robert Charrière Bernard Chas sot Jean-B « r De Gottrau Ge^

Descloux EsseivaJ Etter RrPlgefittlieh r,

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De la bouteille au verre: tout un art!

Ce livre est un manuel pra¬

tique, indispensable à tous les amoureux du vin qui désirent

se constituer une bonne cave, sans oublier ceux qui possè¬

dent déjà de nombreux crus.

Cet ouvrage se lit avec plaisir, d'un trait. En diagonale, il s'utilise comme un dictionnai¬

re, donnant aux lecteurs tous les renseignements sur les be¬

soins du vin.

En tant que présidente de l'As¬

sociation suisse des somme¬

liers professionnels, je recom¬

mande vivement cet ouvrage à tous les amateurs néophytes ou éclairés, aux professionnels de l'hôtellerie, en souhaitant à tous les lecteurs de grands mo¬

ments de partage dans la convivialité du vin.

L'auteur, Philippe Margot, fait partie de ces rares personnes qui ont tout appris par l'expé¬

rience appliquée. Cette métho¬

de offre des avantages et des inconvénients, mais ne dit-on pas qu 'il faut se tromper pour mieux apprendre?

Depuis son enfance, l'auteur a toujours eu un pied dans la vigne et dans le vin. En effet, les caves du domicile familial, à Vevey, recelaient un trésor, les bouteilles provenant du cé¬

lèbre vignoble de la Cure d'At- talens. Les odeurs de ces crus ont très probablement influé sur son odorat de nourrisson, pour l'orienter inconsciem¬

ment vers l'amour du vin qui engendre la passion, un atavis¬

me familial incontournable!

Trente ans de vie au service de la viticulture ont été pour lui un atout extraordinaire pour analyser les mystères du vin et ses besoins indispensables.

Les sommeliers qui l'ont fré¬

quenté ont été conquis, éblouis par sa modestie et ses connaissances vineuses, à fai¬

re pâlir d'envie plus d'un pro¬

fessionnel.

Myriam Broggi Meilleur sommelier de Suisse 1987 Troisième meilleur sommelier d'Europe 1994 Editions Ketty & Alexandre Chapelle-sur-Moudon

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TOUT-PETITS

«Petit-Jean»

Dans ce petit livret tout-car¬

ton, l'écrivaine américaine Stéphanie Blacke raconte l'histoire délirante de Petit- Jean, qui a la manie de se com¬

parer au soleil. «Si j'étais le soleil, je me lèverais avant tout le monde.» Il se compare

également à un chat: «Si j'étais un chat, je grimperais sur les toits.» Et, finalement, il termine par une comparaison avec la lune: «Si j'étais la lu¬

ne, je n'aurais pas peur du noir...»

Une histoire destinée aux pe¬

tits, aux couleurs éclatantes et vivantes fort bien imagée!

«Petit-Jean» en librairie, paru aux Editions Loulou et Com¬

pagnie.

TOUS AGES

«L'étonnant voyage de

Polyxène»

Dans ce roman, l'auteure et tra¬

ductrice italienne Bianca Pit- zorno nous conte la narration de l'étonnant et sublime voya¬

ge de Polyxène. Tout au long du livre une foule de questions nous viennent à l'esprit: Po¬

lyxène est-elle la fille du roi, la fille d'un mendiant, ou encore la fille d'un pêcheur? A-t-elle été arrachée à sa famille ou fut- elle délibérément abandonnée?

Est-elle orpheline ou ses pa¬

rents sont-ils encore en vie?

Toutes ces questions succèdent

JEUNESSE

Lecture enfantine

Le livre? Ce volume imprimé qui nous fait prendre connais¬

sance du contenu d'un récit, 011 le trouve de tous les types et de toutes sortes. Les librairies regorgent de livres de poche, reliés, d'encyclopédies, de romans policiers et autres, sans oublier assurément les livres d'enfants.

Petit tour d'horizon des principaux livres et albums illustrés pour enfants. Au programme: éducation, amusement, pre¬

mières lectures, rires et rêveries...

DES 3-4 ANS

«Petit clandestin»

Ce livre relié en couleur PetitcUn , intitulé le «Petit clandes-

tin» est écrit par Theresa Tomlinson (native du Sus¬

sex) et illustré par la Britan¬

nique Jane Browne. Il conte l'histoire suivante: Le petit John Robert plus que tout au monde désire partir en mer avec son père pêcheur. Et, un rêve doit toujours pouvoir se réaliser, seulement voilà:

voyager clandestinement dans une cale de chalutier n'est pas

forcément cile et de très bon goût...

«Petit clandestin», disponible en librairie, paru aux Editions Kaléidoscope.

DÈS 5 ANS

«Une petite sœur pour Fenouil»

à des rebon¬

dissements en coup

de théâtre et la vérité n'en finit pas de nous échapper.

Lecture recommandée aux amateurs d'humour et de récits romanesques!

«L'étonnant voyage de Polyxè¬

ne», traduit de l'italien par Florence Michelin-Granier, disponible en librairie, paru aux Editions L'école des Loi¬

sirs de la Collection Médium.

Une pemr sœur pour

■frjITTt IVI THAIUT

L'histoire de Brigitte Wenni- ger évoque les doutes, les peurs que chaque enfant, quel

que soit son âge, peut ressentir lors de l'arrivée d'un bébé dans la famille. Ainsi, l'auteur a mis en scène le récit de «Fe¬

nouil», un petit lapin dont Ma¬

man lapin va avoir un petit.

«Fenouil», très malheureux, s'attend au pire et préférerait de loin avoir une souris blanche, mais sa maman pré¬

tend que c'est impossible, car le bébé est déjà là, dans son ventre!

«Une petite sœur pour Fe¬

nouil», disponible en librairie, paru aux Editions Nord-Sud.

Page réalisée par Vanessa Nobel

(10)

11 ILLUSTRE

Salon

de l'auto Mardïé da ['arjtorncbrta

yy È a voiture: mobi-

^ M^Jlité sur mesu¬

re», tel est le thème choisi pour le 68e Salon interna¬

tional de l'automobile de Genève qui s'est ouvert hier, jeudi 5 mars, en pré¬

sence d'une foule de per¬

sonnalités du monde poli¬

tique et économique de notre pays et de l'étranger.

Les visiteurs auront le pri¬

vilège d'y découvrir quel¬

que 1020 marques en pro¬

venance de 33 pays représentés par 280 expo¬

sants sur une surface tota¬

le de 93000 m2. L'affiche réalisée par deux étu¬

diantes de l'Ecole des arts décoratifs de Genève mon¬

tre que la voiture continue de nous faire rêver! Atte¬

nant au Salon, le Musée international de l'automo¬

bile, inauguré en 1995, vous propose d'y admirer les plus prestigieuses col¬

lections européennes.

Voitures neuves

Si l'année 96 a été quelque peu morose sur le plan de la vente des voitures neuves, 1997 a connu une légère reprise. C'est ainsi que 272441 véhicules neufs ont été immatriculés contre 269 529 en 96, donc une

Les plus belles voitures d'une époque lors d'un rallye en Gruyè¬

re.

Un trafic toujours plus dense sur les autoroutes de notre pays.

augmentation de 1,1%. On est cependant très loin du résultat de 1989, qui avait comptabilisé 335 (XX) unités. Le mois de dé¬

cembre dernier a enregistré une hausse de 8%, mais beaucoup d'automobilistes attendent le retour du printemps pour chan¬

ger de véhicule, ce qui explique en partie le très grand succès du Salon de l'automobile de Genè¬

ve. Selon les spécialistes de la branche, la tendance 98 est à l'optimisme.

Voitures d'occasion

Ce marché est en hausse en Suisse, puisque l'année der¬

nière quelque 724000 voitures

ont changé de mains, contre 649 000 en 96, soit une progres¬

sion de 4,5%. Ceci exige une petite explication. Pour at¬

teindre ces chiffres, on prend en compte les voitures qui n'ont pas été immatriculées durant au moins quatre jours. Le temps d'immobilisation entre deux propriétaires est d'ailleurs resté à 121 jours l'année passée, soit le même temps qu'en 96. Par contre, les voitures haut de gamme ont attendu en moyenne un nouveau propriétaire durant 171 jours, alors qu'à l'inverse un monospace a trouvé preneur sur une moyenne de 90 jours.

Du plomb dans l'aile

L'essence plombée risque bien de ne pas survivre au prochain millénaire. En effet, l'introduc¬

tion du catalyseur d'une part et la volonté de l'Union européen-

Qu'elle soit neuve ou d'occasion, une voiture nécessite un entretien continue.

ne d'autre part d'introduire de nouvelles directives pour la qualité des carburants et les gaz d'échappement devraient accé¬

lérer sa fin. En 1996, la vente d'essence sans plomb a de nou¬

veau progressé de 7,2% , tandis que l'essence plombée est en constant recul, moins de 21%.

L'explication de cette évolution est simple: le catalyseur - qui ne fonctionne qu'avec de l'essen¬

ce plombée - est devenu obliga¬

toire dans notre pays en 1988.

L'Union prétrolière suisse relè¬

ve que les ventes de benzine stagnent en Suisse depuis 1993, date à laquelle il y a eu une hausse de 20 centimes par litre, alors que l'Union européenne veut atteindre, d'ici à l'an 2010, l'objectif d'être en dessous des valeurs limites d'émissions pré¬

conisées par l'Organisation mondiale de la santé. Une déci¬

sion définitive qui devrait nor¬

malement tomber dans quel¬

ques semaines.

Texte et photos: G. Bd

(11)

La beauté au masculin

Au masculin

i.A L, 1 Li ILLUSTRE

L'homme et sa peau

Chaque matin, la plupart des hommes prennent le temps né¬

cessaire pour se raser. Au cours de toute son existence, un homme passe en moyenne 3350 heures à se raser!

Mais malheureusement ils consacrent beaucoup moins de temps à d'autres soins corpo¬

rels tout aussi essentiels, com¬

me les soins de la peau. Et ce même si elle est

plus épaisse, plus grasse et plus portée aux imperfections que celle de leur par¬

tenaire. Mis à part l'acné, le problème de l'épiderme masculin le plus fréquent est son manque d'éclat. Ce pro¬

blème affecte notamment et principalement les fu¬

meurs. Leur peau est gri¬

se, terne, le teint semble brouillé et fatigué. Pour¬

tant, il existe sur le marché plusieurs produits efficaces et extrêmement faciles à uti¬

liser pour clarifier, gommer, tonifier et adoucir la peau. Et en plus cela ne prend que 5 mi¬

nutes par jour! Donc pourquoi s'en passer?

L'essentiel

Messieurs, pour éliminer le gras, les excès de sébum et les saletés, voici ce qu'il faut faire tous les jours. Vous devez pro¬

céder à un nettoyage minu¬

tieux avec un savon approprié à votre peau selon qu'elle soit sèche, grasse ou normale.

Vous pouvez également utili¬

ser un gel nettoyant facial spé¬

cialement conçu à cet effet.

Le must

Pour supprimer toutes les cel¬

lules mortes qui causent juste¬

ment cet effet de peau grise et dégager les pores obstrués,

rien de tel qu'une exfoliation avec un produit de gommage spécial visage. Vous pouvez effectuer une ou deux séances de gommage par semaine. Ces produits de gommage sont très faciles à utiliser, il suffit de faire mousser le produit sur la peau puis de rincer à l'eau tiè¬

de. Avec ce nettoyage pro¬

fond, non seulement la peau est nettoyée en profondeur, mais chose non

Le quotidien

Le soleil, le froid, le vent et la pollution sont les pires enne¬

mis de la peau. Ces facteurs contribuent non seulement au vieillissement de la peau, mais ils assèchent aussi la peau des hommes. Il est donc fortement recommandé d'appliquer tous les jours une bonne crème hy¬

dratante spéciale

négligeable, les poils de la barbe sont soulevés et votre peau est alors prête à su¬

bir les méfaits du rasage quoti¬

dien. De plus, ce soin empêche la pousse sous-cutanée des poils.

visage. Certains bau¬

mes après-rasage parfumés de bonne qualité sont aussi très efficaces et peuvent être appli¬

qués en guise de crème de jour hydratante. En hydratant, ils réconfortent la peau agressée par le rasoir et atténuent les traces de fatigue.

Les petits plus

Pour ceux qui ont déjà pris goût aux soins quotidiens un peu plus élaborés, il existe aus¬

si des soins plus spécialement ciblés: des crèmes pour le contour des yeux, des crèmes autobronzantes, des lotions ré¬

novatrices exfoliantes.

Chaque semaine, les plus soi¬

gneux d'entre vous peuvent aussi procéder à l'application d'un masque purifiant, hydra¬

tant ou régénérant en fonction des besoins de leur peau. Ces masques ne sont pas unique¬

ment réservés aux femmes, vous pouvez même les choisir dans les gammes de soins pour femmes.

Lutter contre les boutons

Tous les hommes le savent, l'épiderme masculin, plus épais et plus gras que l'épi¬

derme féminin, est naturel¬

lement porté à «faire des boutons». Particulière¬

ment à ceux entre peau et chair qui font très mal et mettent du temps à voir le jour. Sans oublier l'acné, qui frappe près de 25% des hommes dans la vingtaine et i jusqu'à 10% d'hom¬

mes dans la trentai¬

ne. Ajoutez à cela les poils incarnés, conséquences de ra¬

sages plus ou moins minutieux, et vous avez alors une situa¬

tion explosive. La meilleure méthode préventive c'est une bonne hygiène quotidienne et rigoureuse avec des produits purifiants qui contribuent à l'élimination du sébum exces¬

sif et des bactéries qui se pla¬

cent à la surface de la peau.

© MULTI-AD SERVICES EUROPE

(12)

ILLUSTRE Artisanat

On a tout dit d'elles.

Qu 'elles étaient sata- niques, démoniaques, mal¬

faisantes, ignobles, laides, maléfiques, effrayantes.

Mais lorsque Von a un jour croisé le regard des sor¬

cières d'Ursula Rime, on les trouve soudain belles, sym¬

pathiques, rigolotes, tendres et attachantes.

Il y a trois ans, Ursula Rime, déjà artisane à ses heures, se découvre un art nouveau: la création de sorcières. Elle se rappelle des vieux souvenirs de petite fille polissonne. Les sorcières l'ont toujours inter¬

pellée; le mystère et la crainte de ces personnages l'ont, sans relâche, fascinée. Afin de les rendre plus plaisantes aux yeux des autres, elle décide d'en créer. Sur la demande d'un cafetier, elle réalise sa première figurine fantastique, aujourd'hui exposée à la «Pier¬

re à Catillon», à Moléson-Vil- lage. Habile et pleine d'imagi¬

nation, Ursula Rime en fabrique d'autres, qui plaisent, surprennent et se vendent, à son grand étonnement.

Toujours plusieurs sorcières en route

Pour l'élaboration d'une sor¬

cière, Ursula Rime ne compte pas les heures. «11 en faut beau-

BULLE Ursula Rime vit au milieu des sorcières

coup!» dit-elle en plaisantant.

Le modelage de la tête, des mains et des pieds est une opé¬

ration délicate. Elle se fait avec de la poudre de bois très fine.

Puis vient le limage, travail fastidieux, qui donne l'expres¬

sion du visage (nez, joues, menton). La sorcière est ensui¬

te articulée avec un fil de fer passé au travers du corps et des membres. La figurine prend ainsi vie petit à petit. Le colo¬

riage s'exécute avec une pein¬

ture spéciale, puis vient la pose des cheveux avec de la fourru¬

re de chèvre, et finalement l'habillement de la mégère.

«J'ai toujours plusieurs sor¬

cières en route, car le séchage est très long», indique l'habile artisane. Le résultat final est magnifique, soigné, original.

Qu'elles soient juchées sur un balai magique, dissimulées derrière un cadre ou suspen¬

dues à un fil, les sorcières d'Ursula Rime sont une réussi¬

te totale. De plus, elles ne sont pas chères du tout: de 40 à 350 francs suivant les modèles, une somme ridicule comparée au travail de titan qu'elles repré¬

sentent.

Peu connue encore - mais es¬

pérons plus pour longtemps! - Ursula Rime mérite vraiment la notoriété et de vivre de son art. Au mois de février dernier, courageuse et pleine d'entrain.

Ursula Rime entretient une vraie complicité avec son personnage fétiche.

elle a exposé ses sorcières pour la première fois au foyer Saint- Joseph, à La Roche. Le début du succès.

L'imagination débordante En marge des sorcières, l'arti¬

sane bulloise crée aussi des clowns, des marionnettes et des arrangements floraux.

Mais les sorcières prennent l'avantage. Cet art particulier et fantastique commence à sé¬

duire un public de goût. Dans

Une sorcière tout sourire!

son petit atelier, Ursula Rime aime à se retrouver seule, lais¬

sant libre cours à son imagina¬

tion débordante. Pendant que ses doigts agiles modèlent le sujet, elle laisse vagabonder ses pensées vers son village natal, niché au bord du lac des Quatre-Cantons. Devenue Fri- bourgeoise par son mariage, elle est tombée sous le charme de la Gruyère et a élu domicile à Bulle. L'intégration est tota¬

le, puisque avec les années écoulées elle a, sans y prendre garde, attrapé l'accent de son canton d'adoption.

Marinette Jaquier

(13)

Le Musée suisse

de la machine à coudre Cent trente années d'histoire

Curiosités ILLUSTRE

Au 58 de la Grand- Rue, à Fribourg, elles sont bien logées les petites machines à coudre d'Edouard Wassmer, tout à la fois le créateur, le di¬

recteur, le conservateur et surtout l'âme du Musée suisse de la machine à coudre.

Dans ce quartier du Bourg, une rue au passé aussi histo¬

rique qu'aristocratique consti¬

tuait un cadre assez digne pour ces petites princesses de la couture qui ont participé, par leur travail, à la vie intime des familles de l'époque depuis 1850 environ. Au XVIIe siè¬

cle, la maison avait son «côté jardin» à la Grand-Rue pour servir d'habitation à ses pro¬

priétaires et son «côté cour» à la rue du Pont-Suspendu, avec des garages pour leurs voitures à chevaux. Actuellement, ce sont les caves voûtées de cet ensemble exceptionnel qui servent de résidence privilé¬

giée à quelque 250 merveilles de l'invention domestique.

L'évolution de la machine à coudre

S'il est vrai que le premier dis¬

positif mécanique à couture fut construit en 1755 déjà, on ne saurait parler de machine à coudre qui puisse porter ce nom avant le début du XIXe et les premiers modèles présents dans ce musée peu ordinaire datent des années 1850. Parmi les marques les plus connues, les Howes américaines, les Peugeot françaises côtoient les Opel allemandes, les Helvetia et les Bernina suisses, sans parler des Elna construites à Genève, mais conçues par l'Espagnol Roman Casas.

Des visiteurs de toutes origines

Les différents modèles expo¬

sés montrent l'évolution tech¬

nique de cet outil qui a révolu¬

tionné non seulement la vie domestique, mais aussi celle des professions de sellier, cor¬

donnier, tapissier, chapelier, etc. Plus connu des étrangers et même des Suisses extérieurs au canton que des Fribour- geois, le Musée accueille chaque année 4000 à 5000 vi¬

siteurs, de toutes origines, eu¬

ropéens surtout, mais aussi chinois, japonais, russes, amé¬

ricains.

A côté de ces machines à coudre qui ont bouleversé le monde de la confection au siècle passé, Edouard Wass¬

mer a eu l'heureuse initiative de présenter quelques modèles anciens de calandres, fers à re¬

passer, aspirateurs à tapis qui complètent agréablement un musée déjà fascinant.

Mignonne petite aiguille, Toi, si fine et si gentille Tu seras mon gagne-pain

La cousette de service

Texte et photos: J.S.B.

Edouard Wassmer avec une ma chine à coudre.

Machine à coudre Clark D.W., USA, 1858.

La machine-ciseau USA, 1858.

Hendricks,

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Etre moniteur d'auto-école

exiqe du calme

et de la patience Êf éussir son permis de

M. «L conduire n 'est a priori pas une chose facile, même si le candidat est doué et qu'il assimile ra¬

pidement l'enseignement donné par le moniteur.

Pour chaque personne, qu 'elle soit jeune ou moins jeune, obtenir son permis est un événement impor¬

tant dans sa vie, car à par¬

tir de ce jour-là elle est au¬

torisée à rouler seule au volant de sa propre voiture et prend l'entière respon¬

sabilité de respecter scru¬

puleusement les règles de la circulation sur toutes les routes du monde.

La profession de moniteur d'auto-école exige des quali¬

tés psychologiques exception¬

nelles de la part de la personne qui l'exerce au quotidien, nous précise Robert Meuwly, qui, depuis neuf ans, enseigne la théorie et la pratique de la conduite en ville de Fribourg, tout en étant instructeur des futurs moniteurs d'auto-école à Lausanne. Contrairement à ce que l'on pourrait croire, cette activité professionnelle n'est pas de tout repos, car elle demande de plus en plus d'at¬

tention sur la route, du fait que l'enseignant doit être en mesu¬

re de réagir rapidement au cas où l'élève pourrait commettre une faute ou alors oublier d'accorder la priorité ou de respecter un stop. Il doit appli¬

quer une méthodologie, afin que l'élève soit à même de connaître toutes les règles de la circulation, qu'il se confor¬

me aux prescriptions et soit capable de maîtriser son véhi¬

cule en toute circonstance.

Pour ce faire, il doit faire pas¬

ser le message aux élèves dont la majorité est âgée de 18 à 25 ans, un âge qui permet d'assi¬

miler plus facilement tout ce qu'un élève-conducteur se doit de savoir pour conduire correctement dans un trafic toujours plus dense.

Depuis tout jeune Robert Meuwly rêvait de devenir mo¬

niteur d'auto-école. A la fin d'une carrière de hockeyeur

qui a duré vingt ans, il a suivi durant une année les cours de l'Ecole professionnelle ro¬

mande pour moniteurs de conduite, à Lausanne. Et com¬

me son rêve s'est concrétisé, cela fait bientôt une décennie qu'il enseigne la conduite au¬

to-moto à Fribourg, ville dans laquelle, dit-il, il est de plus en plus difficile d'exercer la pro¬

fession de moniteur en raison de l'infrastructure routière et du nombre grandissant de vé¬

hicules qui ne savent où déni¬

cher une place de parc, en par¬

ticulier le vendredi, journée au cours de laquelle il n'est plus possible d'aller en ville avec des élèves. Et d'ajouter que Lausanne est par contre une ville très agréable pour l'école de conduite.

Robert Meuwly, moniteur d'auto- moto-école à Fribourg.

En sa qualité de moniteur d'auto-moto-école, Robert Meuwly enseigne aussi bien la théorie que la pratique, qui a permis à quelques centaines d'élèves d'obtenir leur permis bleu. En plus de cette activité qui le passionne, Robert

(15)

Les principales qualités d'un mo¬

niteur: le calme et la patience.

Une élève exécutant le parcage du véhicule.

Meuwly enseigne depuis déjà six ans, à raison d'un jour par semaine, la pratique de la conduite aux futurs moniteurs à l'Ecole professionnelle ro¬

mande pour moniteurs de conduite.

Qui est Robert Meuwly?

Originaire de St-Antoine, il a fait un apprentissage de car- tonnier chez Vuille à Fribourg, tout en se passionnant pour le

Ecole

de conduite ILLUSTRE

hockey sur glace. Il a d'abord joué comme gardien à Fri¬

bourg, à Genève Servette, Sierre, La Chaux-de-Fonds, puis fut sélectionné au sein de l'équipe suisse. De retour à Fribourg, il a été durant neuf ans gardien du HC Gottéron en ligue A. Il a ensuite joué à Lausanne, Martigny et finale¬

ment à Genève Servette, où a pris fin sa carrière de hoc¬

keyeur. On l'entend aussi sur les ondes de Radio-Fribourg en compagnie du journaliste sportif Alain Thévoz, avec le¬

quel il assure les commen¬

taires des matches du HC Fri- bourg-Gottéron, sport qui le passionne encore, après avoir été pendant vingt ans joueur.

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(16)

t ILLUSTRE

Image d'antan

Trente-cinq garçons

et filles de Léchelles

çzzièy

Qu'ils ont bonne mine ces élèves de la classe primaire de Léchelles de 1921 avec Sœur Claire Verda, leur enseignante! Tous sont bien habillés et portent des sou¬

liers montants, car à cette époque les routes n'étaient pas ce qu'elles sont aujourd'hui.

Les filles, elles, ont fière allure avec leurs rubans blancs autour du

cou et en plus confectionnés avec de la dentelle qui leur donne un cer¬

tain charme. Peut- être que ceux qui sont encore de ce monde se reconnaî¬

tront sur ce souve¬

nir des bancs d'éco¬

le.

Cette magnifique photo d'antan nous a été remise par Ni¬

nette et Paul Grivel, de Chandon, que nous remercions vi¬

vement.

Une figure de la Gruyère

fête ses septante ans

On nous a dit: «Si vous passez par So- rens, ne manquez pas de rendre visite à Albin Alla- rtian, une figure terrienne avec laquelle il fait bon partager un brin de causet¬

te.» Père de six enfants, il porte avec fierté le bredzon qu'il mettra le vendredi 6 mars, jour de son 70e anni¬

versaire, alors qu 'un repas réunira sa famille qui s'est agrandie de onze petits- enfants. L'an prochain, il aurait également fêté ses noces d'or avec son épouse Jeannette, qui lui a été ra¬

vie le 30 décembre dernier.

Exploitant un petit domaine aux Neigles, il a d'autre part été chauffeur à la Commune de Fribourg durant une partie de sa vie, puis

concierge de la Maison de Justice. Et pour permettre à sa famille de mettre un peu de beurre sur les épi- nards, Albin Allaman a assumé la fonction de Sécuritas durant de nombreuses années en ville de Fribourg.

C'est en qualité de chef de la décharge de Châtillon qu'il a mis un terme à son activité professionnelle. Des problèmes de santé l'ont obli¬

gé à prendre sa retraite à l'âge de 62 ans.

Albin vit seul à Sorens, mais il reçoit régulièrement la visite

de l'une de ses filles qui se charge de la lessive, des em¬

plettes et des soins dont il a be¬

soin. Il consacre une partie de son temps à jouer aux cartes et à la lecture des journaux tels que notre revue bimensuelle ,dont il est un fidèle abonné depuis plus de vingt ans.

La rédaction de Fribourg Illus¬

tré lui souhaite bon anniversai¬

re et lui donne rendez-vous dans dix ans !

G. Bd

(17)

ART

«Rupture en papier tendresse»

Le Musée du Pays et Val de Char- mey expose jusqu'au 1er juin prochain l'œuvre de Viviane

Fontaine: papiers. Cette expo¬

sition se divise en deux groupes: d'une part les objets et d'autre part les panneaux muraux, une division qui peut paraître artificielle, mais qui permet de mieux cerner ce dia¬

logue avec le papier. Le pa¬

pier? Quelle autre matière au¬

rait mieux permis à l'artiste d'évoquer la destinée humai¬

ne, la sienne d'abord, la nôtre ensuite, englobée dans un uni¬

vers sensible. Ainsi, le parche¬

min relie le travail de Viviane Fontaine à l'éternité, au temps qui, ici, n'est plus une notion abstraite mais un espace vierge à cou¬

vrir d'un message ja¬

mais lu. Avis aux ama¬

teurs d'oeuvres d'art modernes dans leur quête de l'être, in¬

tégrant bois, pier¬

re, métal et d'un besoin viscéral de se situer dans un mon¬

de à l'évolution si sou¬

daine...

Viviane Fontaine, jusqu 'au 1"

juin prochain au Musée du Pays et Val de Charmey.

&

ti v BEAUTE

«Petits et Mamans»

Bulgari lance une nou¬

velle eau de toilette sans alcool appelée j

«Petits et Mamans».

Ce parfum poudré

avec ligne de bain ,, complète (gel et lotion pour le corps), comme son nom l'indique, ne s'adresse pas uniquement aux enfants,

CINÉMA

«Marion»

à maman, une

y

Ce *fit a

«Marion» est le titre du nou¬

veau film réalisé par le talen¬

tueux cinéaste Manuel Poirier (qui a remporté le Prix du jury au Festival de Cannes). Ce jeu¬

ne réalisateur porte tout au long de son film un regard cha¬

înais aussi à leur C'est composi¬

tion où la princi¬

pale essen- parfu- mée et fruitée est le thé à la ca¬

momille. Des substances na¬

turelles garan¬

tissant des soins doux et odorants...

En vente en parfumerie.

leureux sur ses personnages. A travers de longs et beaux plans-séquences, il nous pré¬

sente une famille nouvelle¬

ment installée dans la cam¬

pagne normande. Le père est maçon. Quant à la maman, elle s'occupe de ses quatre enfants:

Stéphanie, en pleine crise d'adolescence, deux petits gar¬

çons et Marion, l'héroïne de cette comédie rurale.

Une histoire pleine de senti¬

ments qui fuit les conventions afin de s'intéresser à la vraie vie. Au programme: fous rires, engueulades et réconciliations!

Sortie le 4 février.

* *

THEATRE

«La parole des poètes»

Le Théâtre des Osses, à Givi- siez, vous propose quelques jeudis, et ceci jusqu'en avril prochain, des soirées poésies.

Ces représentations intitulées

«La parole des poètes», inter¬

prétées par Véronique Mer- moud et Ange Fragnière, vous convient à partager en toute simplicité la beauté des textes des poètes et de leur suave voix du présent et du passé. Le jeudi 19 mars, la soirée sera basée sur le thème des «Poètes du XXe siècle». Quant à la soi¬

rée du 23 avril, le ton de la re¬

présentation reste encore mé¬

connu. A découvrir une poésie dite haute et claire, un texte qui n'est plus présent que dans le silence du cœur des amou¬

reux des poètes...

«La parole des poètes», au Théâtre des Osses, à Givisiez, les jeudis 19 mars et 23 avril prochains.

Location au 026/466 13 14.

HISTOIRE

«Histoire universelle de la philosophie et des

philosophes»%xt|#

Cette histoire universelle de la philosophie, dirigée par J. Bor, E. Petersma et J. Kingma, est traduite du néerlandais et s'ap¬

parente plutôt à un livre d'art.

Toutefois cette magnifique présentation ne sacrifie pas l'essentiel. Le texte dominant introduit aux idées de l'Anti¬

quité et à celles de nos jours en les situant dans leur contexte historique et social. De plus, elle est complétée par des bio¬

graphies, des bibliographies et

des ex¬

traits de grands philosophes!

«Histoire universelle de la philosophie et des philoso¬

phes», parue aux Editions Flammarion.

Page réalisée par Vanessa Nobel

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Salon de l'auto

» ILLUSTRE

Jean-Jacques Koch, le patron, et la nouvelle OMEGA 1998.

un écrin digne des Belles qu'il abrite

/ean-Jacques Koch, l'homme qui a «fait»

le garage Automobiles Bel- le-Croix, aux portes de Fribourg, est un passion¬

né. Un passionné qui a conçu entièrement lui-mê¬

me, bâti, dirigé, conduit à la réussite cette agence Opel dont le succès, lors de son implantation en 1982, n'était rien moins qu'un pari sur l'avenir.

En effet, convaincre les Fri- bourgeois - habitués à avoir leur garage en ville - à devenir clients d'un garage situé en périphérie tenait, à cette époque, d'un esprit visionnai¬

re. Après seize ans d'activité faite de luttes et de succès, nous avons voulu rencontrer ce «battant» de la branche au¬

tomobile et l'interroger sur le virage capital qu'elle amorce actuellement.

FI - Où situez-vous l'avenir d'Opel dans la mondialisa¬

tion toujours plus avancée des industries?

J.-J. Koch - Opel est déjà lea¬

der en Europe et, depuis 16 ans, N° 1 en Suisse. La lutte

devient donc toujours plus dif¬

ficile pour élargir notre place dans un marché qui stagne ac¬

tuellement à 270000 voitures, après avoir approché les 345 000 il y a quelques années.

Ce qui veut dire que la moyen¬

ne d'âge de la voiture a aug¬

menté de 10 à 12 ans, par conséquent les voitures d'oc¬

casion se retrouvent avec un kilométrage plus élevé.

- Quelle est la tendance d'achat?

- Le marché des petites voi¬

tures est plus prononcé dans le canton de Fribourg, en opposi¬

tion à la moyenne suisse.

La tendance générale d'achat va vers des voitures plus éco¬

nomiques, de classes petite, moyenne et familiale.

Le client est très exigeant sur le choix des modèles, compo¬

sés d'un équipement le plus complet possible, ainsi que d'une qualité supérieure ac¬

compagnée d'un service pro¬

fessionnel.

- Quelle est votre politique d'entreprise?

- «La satisfaction totale de notre clientèle.»

Notre politique s'étend à tous les niveaux des services de l'entreprise: accueil, vente, atelier, magasin de pièces dé¬

tachées, afin de répondre à une satisfaction totale de la clien¬

tèle par une compétence pro¬

fessionnelle. Notre garage oc¬

cupe 30 personnes, dont 4 à la vente qui produisent les deux tiers du chiffre d'affaires. Le dernier tiers est fourni par l'atelier et le magasin des pièces détachées. D'autre part la qualité des voitures en géné¬

ral a augmenté de telle maniè¬

re que l'intervalle des grands services est de 30000 kilo¬

mètres et plus. Par conséquent le passage des voitures à l'ate¬

lier est moins fréquent,

d'où une économie non négli¬

geable pour le client.

- Le prochain Salon de l'auto vous titille-t-il?

- Certainement, et nous en at¬

tendons beaucoup de résultats.

Spécialement parce que nous présenterons notre nouveau modèle Astra. Tout y a été re¬

pensé, amélioré, jusqu'à en faire une voiture entièrement nouvelle. Ce Salon 1998 sera pour nous un challenge que nous sommes certains de réus¬

sir.

Texte et photos: J.S.B.

Un garage largement dimensionné pour présenter les nouveaux modèles.

(20)

Solutions

des mots croisés du numéro précédent

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Blonde comme les blés, un minois à croquer, Laurie Balmat (3 ans) habite à Châtel-St-Denis. Elle aime se déguiser, imitant ses animaux préférés. Elle est comblée, ses parents viennent de lui offrir un petit chien prénommé «Bilbo».

Les bouilles du mois

Une santé de fer, une vitalité en or, une joie de vivre inépuisable.

Force de la nature, Jean-Paul Demierre pourrait sans complexe rivaliser avec «Superman». Récent retraité, c'est aussi un as des broches. A son actif: 1200 poulets et 800 gigots cuits pile poil.

Qui dit mieux?

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Hou patêjan dè rèthèta

Chovinyi dè mon dzouno tin (dè Dzojè a Kolin) V

Le patê

d'intche-no ILLUSTRE

N'in d'avê mimumin ke pre- nyan a mena dou bou dè mou¬

la è dou bou a papâ po la ke- mouna. Irè on krêva-dzin, chuto kan la lekii mankâvè. Le payijan ke l'avan di tsavô me- nâvan chuto di hiyon. Li-in d'avê tantyè a ouna dodzanna a la fela. Le tsavô l'avan on chenô nyâ ou bon. Por alâ amon, le chenakè irè chu la yudze avoui le chârpi, la grèpa è le rête. I prenyan le tsemin dou déchu è po vinyi avô dè- chindan pè lè kràjè. Chin irè po prèvinyi di mâlà, pèchke avoui on yâdzo dè bou n 'aran pu nè chè kriji, nè ch 'arèthû.

L'avan bi betâ di pechintè mù- lè a trêna è avê di bon charyù, kan keminhyivè a tséhyi è ke lè tsavô portan farâ a kranpon dzubyâvan chu le ku, li-avê rin mé tan a chè dèmorâ.

Por mè, a pû bayi on kau dè man por inkotchi la pathera è

trére lèfèmê, li-avê pâ mé on grô trctvô. N'in profitâvo po mè tsigâ a lafèrvâdze k'irè de- lé de la route. N'in d'é pachâ di j'àrè vê Dzojè le martsô a le vuityi chèrhyâ di rùvouè, apouinti di chêrpè, fordji totè chouârtè dè j'afére, ma chuto fera lè tsavô. Apondu a lafèr- vûdze li-avê l'atelyé dou châ- ron. L'i chobrâvo di pechintè vouêrbè a mè dèmorâ avoui di mochi dèfrâno, di din dè rathi trochâyè è mimamin avoui hou grantè bubè ke ch'inbortoyi- van a mèjera k'avanhivè le ra- bo. Ma por mè, le mondo dè mèrâhyo chobrâvè adi lafèr- vâdze. Trovâvo lé a mè rèdzoyi lè j'yè, lè j'oroyè è le nâ. Lè j'yè, kan le martsô chayivè dou fa di mochi dèfê k 'iran prèch- ke byan. Po mè j'oroyè irè ou¬

na mujika d'intindre hou dutrè piti kou ke le martsô bayivè chu l'inhyeno dèvan dè fyêre Une image authentique de chez nous. photo tirée DE L'ENCYCLOPÉDIE DE LA SUISSE ACTUELLE, ÉDITIONS MONDO

chu lefê ke tinyê charâ din chè grôchè byochètè. Lè j'èpèluvè martalâvan chon fourdâ dè kouê. E kan èprovâvè chu lè chabo di pikre lè fê k'iran adi kouèjin, achenâvo avoui gor- nuindi le chon de la kouârna ke chupyâvè.

Ma, outre l'evê li-avê bin di j'ôtrè j'okajyon dè chè dèmo¬

râ. On profitâvè de la nê po chè yudji, on chè malôtâvè, on krojivè di tanné din lè gonhyè, ou bin on fajê dij'omo dè nê.

Nouthrè chôrkè fèrûyè alâvan déchira po chè dzubyâ pèrto yô on vêyê on bokon dè yèche, mimamin chu di krà a lujé dè kourtena ke l'avan dz.alâ.

A la vèya li-avê du tin j'in tin on vejin ke vinyê no trovâ. On chè tinyê chu le ban de l'èthrâ- byo a dèvejâ di bîthè, de la pa¬

thera kefojenûvè ou bin k'alâ- vè tru rido, di vatsè ke l'avan vilâ, dou pèlâdzo di vi, di rè- mêdo ke l'avan vouêri ouna vatse infêrma. Le vejin no ra- kontâvè ke li-avê fayu boutsèyi ouna bala vatsèta ke l'avê le tsanbèro. On-ôtro kou irè in pochyin pèchke l'avê tot'ouna nyâ dè piti kayon ke l'avan j'ou di kouran d'ê pindin ke tréjê lèfèmê è ke l'avan atrapâ le tchya-byan. N'avê portan pâ rin tyè di j'innoyichè. No dejê uchebin ke l'avi j'ou dou martchan po li patsèyi ouna toura prèchta ou vi. Irè galéja- min intrèprê pèchke le bon pri ke li in prèjintâvan irè pâ a dè- ginyi, ma l'è ke li tinyê a cha Cherije, tan bin inkornâye è ke dèchindê d'on-èchtra bon bù.

On porê moujâ pout-ithre k 'on chavê dèvejâ tyè dè bîthè, nui tyè voli-vo, pê vêr no on-avê rin d'ôtro po chè tsèvanhyi. Lè kx>tyè takon dè granna k'on vêyê ou mitin di prâ, bayivan djuchto on bokon dè farna po lè pouê ou bin dutrè chatsè

Kèchponchûbyo dè ha pâdze:

Albert Bovigny Rte de Schiffenen 15 1700 Fribourg

d'avêna po lè pikre. Din chi tin li-avê rin dè radio è gayâ pou dè gajètè. L'armana dè Bêrna è Vevè irè a pou pri le cheul lê- vro ke lè dzin yêjan. Po chavê le tin ke volifére, nouthron ve¬

jin chè fyâvè a chè ni d'agache. Kan l'avan pouta- min chèkutâ le dzoua dèvan, irè prou chur ke volé vinyi na pètûye dè nê ou bin ouna lorda bije nêre. Pindin k 'on dichku- tâvè, lè vatsè fajan alâ lou rondzon, a mitya inchumiyè.

Dè tin j'a ôtro le Pindzon veri- vè la titha kontre no avoui l'ê dè dre: «Volon-the pâ dyora alâ dremi hou kouènè?» Kan la lintêrna a pétrole hyintyivè, on rèmontâvè on bokon la motse. On-intindê l'oura ke chubyâvè a travê ouna tètse dè lan k'irè d'avô de la méjon, ma no, no j'iran ou tsô, no j'iran bin è n'àbyèri djamé hou vèyè pachâyè chu le ban de l'èthrâbyo. In l'i rèmoujin mè chinbyè ke l'é nyenapa ré¬

tro vâ ouna paryè trantyilitâ, ouna paryè pé.

(A chiêdre)

(22)

t

ILLUSTRE Propos de table

Michel Seydoux et ses galettes, qui sont un vrai délice.

Vous connaissez cer¬

tainement la station de Moléson-Vïllage et éga¬

lement la Pierre à Catillon, ce restaurant qui porte le nom d'une sorcière d'une certaine époque et qui vous propose des mets adaptés à toutes les bourses, en hiver comme en été. Il suffit de jeter un coup d'œil sur la carte pour en avoir l'eau à la bouche!

Pour un repas entre amis ou en famille, Madeleine et Michel Seydoux, les tenanciers de cet établissement, vous invitent à savourer une spécialité ty¬

pique de cette station de va¬

cances et de sports d'hiver: la

«Luge Moléson», une entrecô¬

te flambée sur la Pierre à Ca¬

tillon, accompagnée de gratin et de légumes. Vous avez éga¬

lement la liberté de choisir le jambon de la borne, les bei¬

gnets au fromage, les fondues moitié-moitié, au vacherin et la royale enrobée de crème de la Gruyère qui fait vibrer les papilles gustatives, l'assiette skieur et après les galettes su¬

crées et salées de février, le mois de mars verra un festival de pâtes selon des recettes du patron qui, chaque mois, vous mijote une autre spécialité, sans oublier la chasse en au¬

tomne et la quinzaine du pois¬

son en décembre.

Originaire de Vaulruz, Michel Seydoux a accompli son ap¬

prentissage de cuisinier et

De la galette à Catillon

tonnes

G<y pour

L\e^s

sv)C tëes OV> sa\ée*

Ae

sUcte

à la «Luge Moléson»

50 % de*

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se\o^oWe — *****

atàe. des o\S>°'

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dans le service à Rheinfal (Chutes du Rhin), puis a fait l'Ecole hôtelière de Zurich et un stage à l'Hôtel Continental, à Lausanne, pour ensuite de¬

venir maître d'hôtel à l'Hos- tellerie des Chevaliers, à Gruyères. De sous-directeur du Chalet Suisse, à Sauvabe- lin, il est arrivé le 25 juin 1986, il y a donc douze ans, à Moléson-Village, en qua¬

lité de chef de cuisine et

do^s

La «Luge Moléson», une spécialité du restaurant de la Pierre à Catillon.

exploitant du restaurant de la

«Pierre à Catillon», auquel il a donné une renommée qui dé¬

passe nos frontières.

Texte et photos:

G. Bourquenoud

(23)

I Les arts ILLUSTRE

1

au château de Gruyères

Le château de Gruyères dans tou¬

te sa splendeur, face au majes¬

tueux Moléson.

PHOTO BUCHHEIM & CRAUSAZ, MAR¬

KETING CONSULTING-COMMUNICA- TION-CREATIVE DESIGN, LA TOUR- DE-TRÊME

Il y a sept ans, Etienne Chat- ton, le conservateur du châ¬

teau de Gruyères, a eu l'idée audacieuse et originale de créer, dans ce beau cadre his¬

torique, un Centre internatio¬

nal de l'art fantastique.

Les œuvres de peintres venant de toute l'Europe, ainsi que des Etats-Unis et de l'Amé¬

rique du Sud, se sont succédé, sur les hauts murs de la forte¬

resse gruérienne, permettant aux près de 200000 personnes qui visitent chaque année les lieux, de découvrir les ri¬

chesses d'un art encore trop mal connu.

Comment déterminer ce qu'on qualifie de «fantastique», dans le domaine de la peinture et de la sculpture? On entre ici dans un univers purement vision¬

naire, où les potentialités de l'imaginaire, très souvent ser¬

vies par une grande maîtrise

technique, trouvent un champ privilégié pour exprimer tout le registre de leurs séductions ou de leurs menaces. Les ar¬

tistes du fantastique semblent communiquer avec les puis¬

sances surnaturelles, ils trans¬

crivent sur leurs toiles les peurs ancestrales, aussi bien que les extravagances du futur.

Etienne Chatton a acquis des œuvres qui forment une col¬

lection que l'on peut voir dans les étages et sur les galeries du château. Outre cet accrochage permanent, il expose jusqu'au 3 décembre, sous le titre de:

«Peinture slave visionnaire», deux peintres venus de Serbie.

L'art de Jelko Durovic est flamboyant et d'une sensualité extrême. Ses nus féminins sont entourés d'anges, de li¬

cornes, de béliers, d'animaux de feu, qui évoluent dans un univers en pleine transforma¬

tion, où l'on ne sait plus si la vie mène à la mort ou si celle- ci souffle sur les forces vitales.

Sergej Aparin est un Ukrai¬

nien établi à Belgrade. Obsédé par la fuite du Temps, il peint des villes édifiées sur des na¬

vires que la mer va engloutir et dont l'existence est mesurée par des pendules, des cadrans solaires, des mouvements de montres.

L'ambition de ce jeune musée et de son créateur est d'ac¬

cueillir des artistes du monde entier. Après avoir exposé des Européens et des Américains du Nord et du Sud, Etienne Chatton explore maintenant de nouveaux horizons. Il pros¬

pecte au Moyen-Orient, en Asie et en Australie, afin d'en¬

richir la collection et de repé¬

rer les peintres qui pourront faire l'objet d'expositions dans les années à venir.

Cette volonté d'ouverture et ce goût constant de la découverte font du Centre international de l'art fantastique et des murs chargés de passé qui l'abritent l'un des phares, sur le plan mondial, de cette forme d'art en plein essor.

(SPS) Mousse Boulanger

Références

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