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Substitution dans les hexaferrites de l'ion Fe3+ par Al3+ , Ga3+, Cr3+

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Academic year: 2021

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HAL Id: jpa-00236058

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00236058

Submitted on 1 Jan 1959

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Substitution dans les hexaferrites de l’ion Fe3+ par Al3+ , Ga3+, Cr3+

E.F. Bertaut, A. Deschamps, R. Pauthenet, S. Pickart

To cite this version:

E.F. Bertaut, A. Deschamps, R. Pauthenet, S. Pickart. Substitution dans les hexaferrites de l’ion Fe3+ par Al3+ , Ga3+, Cr3+. J. Phys. Radium, 1959, 20 (2-3), pp.404-408.

�10.1051/jphysrad:01959002002-3040400�. �jpa-00236058�

(2)

SUBSTITUTION DANS LES HEXAFERRITES DE L’ION Fe3+ PAR Al3+, Ga3+, Cr3+

Par E. F. BERTAUT, A. DESCHAMPS et R. PAUTHENET,

Laboratoire d’Électrostatique et de Physique du Métal, Grenoble, France.

et S. PICKART,

Brookhaven National Laboratories, Upton, U. S. A.

Résumé.

2014

L’aimantation à saturation absolue, les paramètres de la maille et les intensités des raies Debye-Scherrer ont été étudiés dans les composés BaO, (6-x) Fe2O3, xM2O3 où M

=

Al, Ga, Cr. On en déduit la répartition préférentielle des atomes M sur les sites cristallographiques 2a, 2b, 4f1, 4f2 et 12k du groupe P6/mmc. La diffraction aux neutrons montre que la direction d’aniso-

tropie est selon c et confirme parmi les trois arrangements possibles de spin celui proposé par Gorter.

Abstract.

2014

The absolute magnetization, the parameters of the unit cell and the Debye-

Scherrer intensities have been studied in the compounds BaO, (6-x) Fe2O3, xM2O3 where M

=

Al, Ga, Cr in order to determine the distribution of the M atoms on the crystallographic sites 2a, 2b, 4f1, 4f2 and 12k of the space group P6/mmc. Neutron diffraction shows the anisotropy direction

to be c and confirms the Gorter model, which is one of 3 possible spin arrangements.

20, 1959,

Introduction.

-

La structure de AO,6Fe20a (A

=

Ba, Sr, Pb ; groupe d’espace D’ -P6/rnrne)

a été résolue par Adelskôld [1]. Elle peut être

décrite grossièrement comme un empilement de

blocs spinelle, soudés entre eux par des couches contenant l’ion A. La maille hexagonale de l’hexa-

ferrite de baryum (a

=

5,889 A ; e

=

23,18 A)

contient deux unités B&O,6Fe203. Les 24 atomes Fe

de la maille sont répartis sur 5 sites cristallogra- phiques, notés 2a, 2b, 4 f 1, 4f2, 12k [1]. Les sites 4f1 seuls sont tétraédriques ; 2a, 4t2 et 12k sont octaédriques. Les octaèdres autour de 4/2 possèdent

la particularité d’être accolés par paires, ayant une face commune. Enfin l’hexaèdre de coordination des sites 2b est formé par 5 atomes d’oxygène aux

sommets d’une bipyramide triangulaire.

Au point de vue magnétique, il n’y a que deux sous-réseaux à moments magnétiques antiparallèles

que nous désignerons par ce et g. D’après Gorter [2],

oc comprend 2a, 2b et 12k tandis que g contient 4/1 et 4f2. C’est cet arrangement (parmi trois arran- gements possibles) que nos expériences’de diffrac-

tion neutronique confirment. A cause de la très

grande anisotropie magnétique, l’aimantation est

toujours dirigée selon. l’axe c, point également

confirmé par la diffraction aux neutrons. D’après

la théorie du ferrimagnétisme de Néel [3], l’aiman-

tation à saturation 6o est par molécule de BaO, (fi-x) Fe203, x M203 (M

=

Al, Ga, Cr)

où les lettres’a,’b*,"...’désignent les moments magné- tiques moyens sur les sites correspondants. Dans BaO,6Fe2O3 on a 1 (16-8) 5 uB = 20 uB (obs.

BaO,6Fe20a on a Jo = 2 (16-8) 5 uB

=

20 tLB (obs.

20,6 03BCB).

Mesures -: magnétiques.

-

Les aimantations 6T

ont été mesurées dans des champs progressive-

ment croissants jusqu’à 20 000 Oe et aux tempé-

ratures de 2,6 oK, 4,2 oK, 20,4 oR et à la tempéra-

ture ordinaire. Pour obtenir la valeur de l’aiman- tation à saturation absolue, 6(H, T) est extrapolée

vers les champs infinis et au zéro absolu. En raison de la très grande anisotropie, les substances étu- diées se saturent difficilement. Nous pensons cepen- dant que l’erreur maximum sur ao ne dépasse pas 4 %.

Le graphique, figure 1, montre la variation de ao par molécule de BaO, (6-x) Fez03, XCr2os en

FIG. 1.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphysrad:01959002002-3040400

(3)

405

fonction de x. On remarque que dans tous les cas

ao décroit avec x ce qui exclut la possibilité d’une

substitution dans le seul sous-réseau j3 ; car la

saturation ao augmenterait alors. La diminution de l’aimantation 0’0 quand M = Al ou Cr indique

une substitution initiale dans le sous-réseau oc. La décroissance plus lente de ao pour M

=

Ga impli-

que une substitution simultanée sur les deux sous- réseaux (x et P. Les droites D 1 et D2, calculées pour les répartitions initiales des ions M == Al ou Ga que

l’on déduit des mesures d’intensités aux rayons-X (voir plus loin) se confondent avec les tangentes à l’origine aux courbes expérimentales [4].

FIG. 2.

La figure 2 représente les variations des points

de Curie en fonction de x pour les corps BaO, (6-x) Fe 20 3, X M2O3 (M =’AI/Ga, Cr).

Mesures.. des’ Paramètres. a et c.

-

Comme les

figures 3 et 4 le montrent, a et e varient linéairement

FIG. 3.

en fonction de x à partir des valeurs initiales

a = 5,889 A, c = 23,182 A de Ba 0,6Fe2O3 jus- qu’aux valeurs finale a

=

5,66 A, c == 22,285 À

de BaO,6AI203; a = 5,818 A, c -23,00 A de

BaO,6 Ga 203 et enfin a

=

5,844 A, c = 22,82 A

de la phase limite BaO,2Fe20a, 4Cr20a. Le plus petit

ion Al3+ provoque naturellement la plus forte

chute de paramètres. La décroissance de c est

toujours plus grande en valeur absolue que celle de

a, fait normal dans une structure où e » a. Les variations relatives Aa la etAc/c ne sont égales que pour M

=

AI. Alors que a diminue conformément à la légère différence des rayons

ioniques de Cr et

de Ga (r(Ga)

=

0,62 A, r(Cr)

=

0,64 ), la décrois-

sance de c, par contre, est bien plus rapide pour Cr que pour Ga, ce qui indique une préférence pour des sites cristallographiques différents.

,

Mesures des intensités aux rayons-X.

-

Les

raies Debye-Scherrer d’mdices 110,008, 112 et 107

sont très rapprochées, mais séparables avec une

bonne technique de focalisation. Leurs intensités

dépendent peu des positions d’oxygène et sont très

sensibles aux variations d’occupation des sites.

L’analyse des intensités se fait selon les mêmes

principes [5] qui ont guidé la détermination de la

répartition des cations dans les ferrites spinelles.

Le facteur de structure F0153(hkl), relatif à la raie (hkl) du composé BaO, (6-x)Fe20S,xM20aest repré-

senté sous la forme

_

Ici Fo(hklj est le facteur de structure de la maille

de BaO,6Fe .03, D = f(M) - f (Fe) est la différence

des facteurs atomiques de M et de Fe, enfin Qx est

une fonction dépendant uniquement des sites occu- pés par les ions M. On a :

A, B,... sont les facteurs de structure trigono-

métriques des sites 2a, 2b,... ; pa, pb,... sont les pro-

babilités d’occupation de ces sites par les ions M.

(4)

On a tenu compte des corrections de dispersion

dues aux électrons K dans Fe et Ga et aux élec-

trons L dans Ba. L’utilisation de la dispersion ano-

male permet d’accroître D et d’améliorer la préci-

sion. Le tableau 1 représente les rapports des inten-

sités 1(hkl)(== p Fm(hkl) ; p

=

multiplicité du plan hkt) observées et calculées pour les deux cas sui- vants a) répartition au hasard de M sur tous les sites, b) répartition se rapprochant le mieux des

intensités observées (dernière colonne).

TABLEAU I

MESURES D’INTENSITÉS ET RÉPARTITION DES IONS

.

Radiation du cobalt partout sauf pour BaO, 5Fe2O3, A1203 (radiation du fer).

a) * Répartitions au hasard.

b) ** Répartitions de la dernière colonne.

Conclusions. -1) AI.

-

L’ion A13+ va d’abord

dans les sites 2a et 12k avec une nette préférence

pour 2a. Lorsque 50 % de Fe sont substitués, la répartition s’accordant le mieux avec les intensités observées est 2AI en 2a, 9 Al en 12k et 1 Al en 4 f 1.

2) Ga.

-

Une répartition au hasard sur les sites 4/1, tétraédriques et 12k octaédriques, fournit un

accord légèrement meilleur avec les intensités obser- vées dans BaO,5Fe2o3, Ga203 qu’une répartition au

hasard sur tous les sites. Quand 50 % de Fe sont

substitués par Ga, la répartition suivante 3 Ga en

4/1,6Gaenl2k,2Gaen2a,lGaen4f2est en assez

bon accord avec les intensités observées.

3) Cr.

-

Nous avons renoncé aux mesures

FIG. 5.

(5)

407

d’intensités aux rayons-X à cause de la très faible différence D des pouvoirs diffusants de Fe et Cr

(aux radiations du cobalt et du fer). L’étude par diffraction des neutrons a été faite sur les corps

isomorphes’SrO, (6-x) Fe2ÛS, xCr2o3 (X

=

0, 1 et 3).

Mesures par diffraction neutronique.

--

Cette partie de l’étude a été effectuée au laboratoire du Dr R. Nathans à l’aide du réacteur de Brookhaven.

Les résultats expérimentaux ne sont pas encore

complètement dépouillés. En particulier, le raffi-

nement des positions d’oxygène n’est pas encore terminé. Nous communiquons ici quelques résul-

tats préliminaires.

La figure 5 représente un enregistrement effectué

sur un échantillon cylindrique de SrO,6Fe20S’ à la température ordinaire. Les Enregistrements de SrO,5Fe20S,Cr20S et de SrO,3Fe2o3, 3Cr2o3, effec-

tués également à la température ordinaire n’en diffèrent que par des variations d’intensités.

La première raie, visible sur la figure 5 (faible ;

26 = 11,2°) a pour indices (004). La deuxième raie (très forte) est due à la superposition des réflexions

(100) et (101). C’est la plus forte raie d’origine magnétique du diagramme (la composante magné- tique de toute autre raie est inférieure à 0,1.1(100 ; 101)). Les deux dernières raies (fortes) du dia-

gramme, correspondant aux indices (205) et (206)

sont surtout d’origine nucléaire. Notre discussion utilisera principalement les intensités de ces

raies.

Mesures magnétiques, paramètres.

-

Les satu-

rations à 16 OC et au zéro absolu (valeurs extrapo- lées) et les paramètres mesurés aux rayons X

figurent dans le tableau II.

TABLEAU II

Arrangement des spins et anisotropie.

--

On peut imaginer trois arrangements de spin (cf. tableau III) qui donnent lieu à la même saturation absolue par mol. de SrO,6Fe20S. L’arrangement I a été préco-

nisé par Gorter [2].

La composante magnétique de l’intensité, soit lM (hkl) peut être décrite par :

où :

est un facteur d’orientation. u est un vecteur uni-

taire, ayant la direction des moments magnétiques,

h est le vecteur de composantes hkl, Si toutes les

directions étaient permises aux moments magné- tiques, on aurait q2 > = 2/3. Dans les trois arrangements possibles figurant au tableau III,

TABLEAU III ARRANGEMENT DES SPINS

les raies (001) et en particulier la raie (004) auraient

alors une forte composante magnétique. Le fait

que les raies (001) se réduisent à leur composante nucléaire prouve que q2(ool)

=

0, c’est-à-dire que les spins sont figés dans la direction de l’axe hexa-

gonal. On a ici :

En première approximation les intensités des raies peuvent être représentées par :

Ici IN est la composante nucléaire, 114. la compo- sante magnétique à 0 OK ; r est le rapport saturation

à 16 OC/saturation absolue :

Pour décider entre les trois hypothèses possibles

du tableau III, on adopte pour r la valeur mesurée

magnétiquement (r

=

0,66) et on calcule le rap-

port d’intensités :

On trouve s(I)

--

1,61 ; s(II)

-

0,63 ;

s(III)

=

0,25. La valeur expérimentale des étant

1,77, c’est l’hypothèse 1 qui se trouve vérifiée.

(6)

Saturation magnétique.

-

Sachant que l’arran-

gement I du tableau I I I est seul acceptable, on peut

considérer le degré de saturation r comme inconnu et le préciser grâce à la connaissance du rapport

expélim entai s(9). On trouve alors r

=

0,70, valeur

un peu supérieure à celle mesurée magnétiquement (r

=

0,66). La raison peut être due à des difficultés de mesure, mais aussi au caractère approché de (7), ((7) suppose que la variation thermique du moment magnétique est la même pour chaque sous-réseau), Répartition des ions dans Sr0,5Fe203, Cr2O3 et

dans SrO, 3Fe203, 3Cr203.

--

Sachant que Cr

n’occupe que des sites octaédriques (cela s’accorde

bien avec l’existence d’une substitution limite max.

correspondant àjla formule : SrO,4Cr2o3,2Fe2O3),

nous avons étudié 2 hypothèses.

Hyp. 1.

-

Les atomes Cr vont au hasard sur

les sites 2a et 12k (sites octaédriques du sous-

réseau a).

Hyp. 2.

-

Les atomes Cr vont au hasard sur les

sites 2a, 12k et 4f2 (sous-réseaux oc et B),

Les raies (205) et (206) sont bien résolues et pos- sèdent des composantes magnétiques négligeables.

y

Leur rapport d’intensité (cf. tableau IV)] favorise l’équipartition sur les sites 2a et 1.2k dans

TABLEAU IV

SrO,5Fe2o3, Cr203 et l’équipartition sur tous les

sites octaédriques 2a, 12k et 4/2 dans SrO, 3Fe2O3, 3Cr203.

Saturation magnétique.

-

Le rapport de satu-

ration r (8) que l’on déduit pour ces répartitions à partir des mesures de s (9) est r =0,64 dans Sr0,5Fe203,Cr203 et r = 0,43 dans SrO,3Fe2o3,

3Cr203 ; les rapports correspondants, tirés des

mesures magnétiques sont respectivement r

=

0,67

et r

=

0,40. Il semble donc y avoir un bon accord entre les mesures magnétiques et aux neutrons. Il

faut remarquer cependant que cet accord n’est

qu’apparent. En effet, les saturations théoriques

à 0 OK seraient d’après (1) égales à 16 et à 10 magné-

tons de Bohr pour les répartitions trouvées dans

SrO,5Fe2O3,Cr2o3 et Sr0,3Fe203, 3Cr.0.3 alors que celles résultant de mesures magnétiques sont systé- matiquement inférieures, soit de 14 et de 3,2 uB

respectivement.

Si l’on admettait l’hypothèse du renversement de

spin de Cr, avancée par McGuire et Greenwald [16],

Nathans et Pickart [7], il suffirait que 0,67 resp.

3,4 Cr sur les sites 2a et 12k renversent ’ leurs

spins pour abaisser les saturations calculées aux

valeurs expérirr entalement observées.

Admettant les répartitions trouvées et le renver-

sement de spins de Cr, nous trouvons de nouveaux rapports de saturation r’ = 0,65 pour SrO,5Fe20a, Cr203 et r’= 0,51 pour SrO,3Fe20g, 3Cr20S. Ces

nombres ne peuvent ni confirmer ni infirmer la séduisante hypothèse du renversement de spins.

Nous nous proposons d’étudier la variation ther-

mique de l’intensité magnétique 1(100 ; 101) pour élucider ce point.

Il est assez remarquable que dans tous les cas

étudiés, les ions Al, Ga et Cr montrent initialement peu de tendance à occuper les sites 2b à 5 voisins et les sites 4/2 octaédriques. Les octaèdres autour

de 4f2 ont des faces communes ce qui en vertu des règles de Pauling les rend énergétiquement peu favorables à être occupés par des ions plus ioniques

ou plus petits que Fe3+.

L’un de nous (E. F. B.) tient à remercier le

Pr Goudsmit pour avoir rendu possible un séjour

d’études à Brookhaven et le Dr R. Nathans pour

l’hospitalité de son laboratoire.

RÉFÉRENCES

[1] ADELSKÖLD (V.), Ark. Kemi Min. Geol., 1938, 12 A, n° 29, 1.

[2] GORTER (E. W.), Thèse, Leyde, 1954.

[3] NÉEL (L.), Ann. Physique, 1948, 3, 137.

[4] MONES (A. H.) et BANKS (E.), J. Phys. Chem. Sol., 1958, 4, 217, ont publié une étude magnétique, faite

à 78 °K. Leurs résultats, bien que qualitatifs s’accor-

dent dans les grandes lignes avec les nôtres, plus précis. Nos résultats sur la substitution de l’ion Al

sont également en accord avec les observations

déduites de mesures de saturation magnétique par R. M. Bozorth (Colloque de Grenoble, 1958) et par Ch. GUILLAUD et G. VILLERS (C. R. Acad. Sc., 1956, 242, 2817).

[5] BERTAUT (F.), C. R. Acad. Sc., 1950, 230, 213 et 231, 88.

[6] MCGUIRE (T. R.) et GREENWALD (S. W.), Congrès Int.

Phys. État Solide, Bruxelles, 2 au 7 juin 1958.

[7] NATHANS (R.) et PICKART (S.), Bull. Amer. Phys. Soc.,

1958, Ser. II, 3, n° 13, sous presse.

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