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Question 2La rupture du contrat de travail en 30 affirmations

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Academic year: 2022

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(1)

UTBM GE03 Nom : Prénom : Signature :

GE03-2015A-FS02-02

Question 2

La rupture du contrat de travail en 30 affirmations

(Barème : bonne réponse +0.1 ; mauvaise réponse -0.1 ; absence de réponse 0.0) Lisez attentivement les 30 affirmations suivantes et répondez par VRAI ou FAUX pour

chacune d’elle et compétez si nécessaire vos réponses de vos commentaires

Insérez le questionnaire ci-dessous dans votre copie

sans oublier d’indiquer vos nom et prénom et d’y apposer votre signature

VRAI FAUX Observations

éventuelles

1.

La lettre de convocation à l’entretien de licenciement doit préciser de façon succincte

les motifs du licenciement envisagé 2.

Si lors d’un entretien de licenciement un fait grave a lieu (ex : menaces de l’employeur par le salarié), ces faits peuvent être pris

en compte dans la lettre de rupture expédiée suite à cet entretien 3.

Seuls les motifs indiqués dans la lettre de licenciement pourront être invoqués par l’employeur en cas de procès

devant le Conseil des Prud’hommes 4.

En cas de licenciement pour motif personnel sans cause réelle et sérieuse (CRS), et donc abusif, le juge prud’homal peut ordonner la réintégration du salarié abusivement licencié

5.

Le salarié peut toujours se faire représenter lors de l’entretien préalable

en vue d’une éventuelle mesure de licenciement 6.

La procédure de licenciement doit être engagée au plus tard dans les 2 mois

de la connaissance des faits par l’employeur 7.

Un salarié licencié pour une faute lourde, par exemple sabotage des installations de l’entreprise, perd de ce fait

ses droits à indemnisation chômage

8.

Un salarié qui à 25 ans d’ancienneté et qui est licencié pour cause réelle et sérieuse a droit à une indemnité légale

de licenciement correspondant à 7 mois de salaire 9.

En cas de licenciement abusif, l’entreprise peut toujours être condamnée par les prud’hommes à rembourser au Pôle Emploi

les allocations chômage dans la limite de 6 mois de salaire 10.

Les licenciements économiques

sont dans tous les cas des licenciements collectifs qui concernent plusieurs salariés

Pierre GUENEBAUT GE03 A2015

(2)

UTBM GE03 Nom : Prénom : Signature :

VRAI FAUX Observations

éventuelles

11.

Tout licenciement économique collectif de plus de 10 salariés

doit faire l’objet d’un PSE 12.

PSE signifie

« Plan de Sauvegarde de l’Emploi » 13.

Le PSE se compose de deux parties :

 1° partie : motifs du licenciement économique

 2° partie : mesures de reclassement des salariés concernés 14.

Tout licenciement économique doit être précédé d’un entretien de licenciement avec le salarié concerné afin de lui indiquer

les motifs économiques du licenciement envisagé 15.

En matière de licenciement économique, le contrôle du Conseil des prud’hommes peut s’exercer sur 3 domaines : la procédure suivie, l’existence de la CRS et le PSE s’il existe

16.

En cas de rupture conventionnelle l’employeur et le salarié ont un droit légal d’assistance lors du ou des entretiens

qui précèdent la rupture conventionnelle 17.

L’employeur et le salarié peuvent librement d’un commun accord déterminer le montant de l’indemnité

de rupture conventionnelle 18.

L’employeur qui a accepté une rupture conventionnelle et qui a signé la convention de rupture avec le salarié

est définitivement lié par son engagement 19.

L’administration du travail

doit être systématiquement saisie pour homologuer toute convention de rupture conventionnelle 20.

L’administration du travail peut refuser d’homologuer une convention de rupture conventionnelle si elle constate

que le salarié aura de grandes difficultés de reconversion 21.

Le salarié qui accepte une rupture conventionnelle homologuée par l’administration du travail n’a plus la possibilité ensuite de contester cette rupture conventionnelle devant les Prud’hommes 22.

Un employeur peut mettre d’office à la retraite un salarié de 67 ans

qui a ses tous ses droits à retraite à taux plein 23.

IDR signifie

« Information de Demande de Retraite »

Pierre GUENEBAUT GE03 A2015

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UTBM GE03 Nom : Prénom : Signature :

VRAI FAUX Observations

éventuelles

24.

Une démission donnée verbalement est valable

25.

Un salarié qui écrit une lettre de démission sous un coup de colère peut revenir sur sa démission et demander à son employeur de ne pas en tenir compte

26.

Un salarié absent sans aucun motif de son travail depuis 2 ans, et qui n’a donné aucune nouvelle à son employeur, peut être considéré par ce dernier comme étant démissionnaire de fait

27.

Le salarié qui démissionne sans respecter son préavis de démission commet une faute qui peut justifier son licenciement

28.

Dans le cas général, le salarié qui démissionne perd ses droits à indemnisation chômage

auprès du Pôle Emploi 29.

En cas de sanction (par exemple 5 jours de mise à pied), le Conseil des Prud’hommes peut réduire cette sanction s’il la juge trop sévère par rapport aux faits reprochés par l’employeur

30.

Une mise à pied conservatoire doit toujours être précédée

d’un entretien préalable avant d’être infligée au salarié

Pierre GUENEBAUT GE03 A2015

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